La valse des queues au Beverley Cinema
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La valse des queues au Beverley Cinema
Quand j’étais à Paris, c’est l’un des derniers cinéma porno acceptable où j’ai passé de longues après-midi à sucer, pomper, me faire caresser, titiller ma corolle ou même me faire sodomiser. Ce cinéma est paraît-il fermé… Il ne reste plus que celui de Pigalle, vraiment glauque, je m’y suis aventuré une fois et suis ressorti vierge de la bouche et du cul alors que ça baisait dur, les travellos tenant le haut du pavé et de la queue.
Au Berverley, j’y ai pris du plaisir, une fois alors que debout penché sur une queue généreuse, le cul à l’air comme toujours, je me suis fait prendre… Mais le meilleur souvenir que j’ai, c’est une baise assez fréquente que j’ai eu toujours à la même place à gauche près de la porte des toilettes, le rang contre le mur. Je m’installais habituellement là à la deuxième place, le cul à l’air naturellement tourné vers la place du bout et souvent la tête entre les jambes du voisin de droite pour lui faire sa petite affaire, une fois satisfait il laissait la place au client suivant. Il m’est arrivé pourtant de passer de longues journées (débutées à l’ouverture 10h jusqu’à 21h) où je n’ai pas eu beaucoup de succès, les partouzes se faisant au fond de la salle près du trou du projecteur mais je gardais ma place fétiche. En effet, ici, arrivait de temps en temps, un turc qui avait pris pour habitude de triturer ma rondelle pour l’assouplir et lorsqu’il la jugeait apte à accueillir sa poutre juteuse. Là toujours assis à ma place mais les fesses tournées vers mon partenaire, je me laissais pénétrer et travailler tout en regardant le film où des pornostars se faisaient prendre par tout les trous et inondées de sperme. Un vrai plaisir, assis, baisé dans de superbes conditions, il faisait tout le travail, je restais soumis à son pilonnage jusqu’au plaisir suprême où il s’enfonçait profond et restait collé à mon cul jusqu’au ramolissement de sa tige et son expulsion par mes sphincters qui reprenaient le dessus; et là il s’en allait. Une fois, j’étais encore sous le coup de cette enfilade qu’une belle queue noir bien raide s’est invité dans mon canal sans que je n’y prenne garde.
J’ai eu aussi un arabe qui prenait plaisir à enculer les spectateurs à l’aide d’un sextoy vibrant qu’il me laissait vibrer, pourquoi pas ! Un autre s’est fait sucer mais il n’aimait que les femmes et à refuser de m’enculer. Il s’est laisser sucé avec un préservatif sur la queue me demandant de boire son jus, ce que j’ai fait volontiers mais j’avoue que ce sperme avait pris le goût du caoutchouc. Un vieux dans ce cinema avait sans doute pris une bonne dose de viagra car il m’a baisé dans toutes les positions : lui assis, et moi empalé sur sa queue m’activant à monter et descendre pour faire gicler sa crème en vain.
Debout plié sur le dossier avant, il m’a défoncé jusqu’à fatigué sans me donner la moindre goutte de son pénis avare. Après en avoir eu plein le cul, j’ai jeté l’éponge et je suis aller voir une queue plus généreuse. Mon plaisir, c’est lorsque je sens jouir mon partenaire qui se vide en moi, en cul ou en bouche.
Au Berverley, j’y ai pris du plaisir, une fois alors que debout penché sur une queue généreuse, le cul à l’air comme toujours, je me suis fait prendre… Mais le meilleur souvenir que j’ai, c’est une baise assez fréquente que j’ai eu toujours à la même place à gauche près de la porte des toilettes, le rang contre le mur. Je m’installais habituellement là à la deuxième place, le cul à l’air naturellement tourné vers la place du bout et souvent la tête entre les jambes du voisin de droite pour lui faire sa petite affaire, une fois satisfait il laissait la place au client suivant. Il m’est arrivé pourtant de passer de longues journées (débutées à l’ouverture 10h jusqu’à 21h) où je n’ai pas eu beaucoup de succès, les partouzes se faisant au fond de la salle près du trou du projecteur mais je gardais ma place fétiche. En effet, ici, arrivait de temps en temps, un turc qui avait pris pour habitude de triturer ma rondelle pour l’assouplir et lorsqu’il la jugeait apte à accueillir sa poutre juteuse. Là toujours assis à ma place mais les fesses tournées vers mon partenaire, je me laissais pénétrer et travailler tout en regardant le film où des pornostars se faisaient prendre par tout les trous et inondées de sperme. Un vrai plaisir, assis, baisé dans de superbes conditions, il faisait tout le travail, je restais soumis à son pilonnage jusqu’au plaisir suprême où il s’enfonçait profond et restait collé à mon cul jusqu’au ramolissement de sa tige et son expulsion par mes sphincters qui reprenaient le dessus; et là il s’en allait. Une fois, j’étais encore sous le coup de cette enfilade qu’une belle queue noir bien raide s’est invité dans mon canal sans que je n’y prenne garde.
J’ai eu aussi un arabe qui prenait plaisir à enculer les spectateurs à l’aide d’un sextoy vibrant qu’il me laissait vibrer, pourquoi pas ! Un autre s’est fait sucer mais il n’aimait que les femmes et à refuser de m’enculer. Il s’est laisser sucé avec un préservatif sur la queue me demandant de boire son jus, ce que j’ai fait volontiers mais j’avoue que ce sperme avait pris le goût du caoutchouc. Un vieux dans ce cinema avait sans doute pris une bonne dose de viagra car il m’a baisé dans toutes les positions : lui assis, et moi empalé sur sa queue m’activant à monter et descendre pour faire gicler sa crème en vain.
Debout plié sur le dossier avant, il m’a défoncé jusqu’à fatigué sans me donner la moindre goutte de son pénis avare. Après en avoir eu plein le cul, j’ai jeté l’éponge et je suis aller voir une queue plus généreuse. Mon plaisir, c’est lorsque je sens jouir mon partenaire qui se vide en moi, en cul ou en bouche.
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