La vie dissolue d'une bigote 12 : Le manoir
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2020 dans la catégorie Plus on est
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La vie dissolue d'une bigote 12 : Le manoir
Le manoir
Le dimanche suivant, je retrouve mes « vieilles amies » sur la place du village, à la sortie de la messe dominicale. Je n’assistais pas à l’office, ce qui aurait pu paraître suspect, puisque je n’y vais jamais mais j’attendais sur le parking voisin, sachant que j'y retrouverais ces dames. Depuis ma position, je peux voir le discret salut de la tête que Geneviève adresse de loin à Jacqueline et Pauline avant de s’éloigner vers le parking. Enfermée dans sa position de « grande dame, patronnesse modèle». Je lui envoie aussitôt un texto marqué « salope » et vais saluer les deux autres. Je les fais rigoler en leur montrant le texto. Geneviève se retourne alors vers nous, le téléphone à la main. Troublée, elle s’engouffre rapidement dans sa voiture. Son mari, lui, est déjà reparti de son côté avec sa voiture
Je l’appelle aussitôt.
• « Rejoins-nous au « manoir »
• Maintenant ?
• Oui. On va le montrer aux autres. J’ai les ai fais venir pour ça, mais comme tu t’es éclipsée rapidement…
• Je… Je ne voulais pas qu’on me voit avec…
• Oui, je comprends, salope. Tu as eu raison. Je crois qu’il n’y a que moi qui ai vu ton petit bonjour !
• Vous êtes sûr ?
• J’espère pour toi ma salope ! A tout de suite.
• C’est quoi le manoir ? Demande Pauline, même plus étonnée que je traite ma belle-mère de salope.
• C’est une propriété qui lui appartient. C’est très discret, vous allez voir. Ça va nous servir pour nos « soirées ». Vous récupérez Mélanie et on se retrouve au rond point après le cimetière, de là vous me suivrez. »
Je salue quelques personnes connues, ne paraissant pas pressé, puis je prends congé et retourne à ma voiture. Les deux femmes suivront dans peu de temps. Au lieu de rendez-vous, je retrouve Irène et Gérard que j’ai prévenus, sachant que comme moi ils ne vont pas à la messe.
Nous attendons quelques minutes et lorsque j’aperçois la voiture de Pauline, je donne le signal du départ. Notre petit convoi prend la direction de la propriété de Geneviève. Il s’agit d’un héritage personnel. Son mari ne s’en est jamais occupé. Moi-même, je n’en ai appris l’existence que très tard, lorsque Geneviève m’avait demandé d’y effectuer quelques travaux d’entretien, qu’elle avait d’ailleurs payés sur ses propres deniers.
Après deux petits kilomètres, je m’engage dans un chemin menant à la propriété, entre deux champs de maïs. L’entrée est marquée par un grand portail et des piliers en pierre, signe d’une ancienne opulence. Je fais passer tout le monde et referme le portail derrière nous. Une longue allée s’enfonce ensuite entre les arbres en serpentant, pour déboucher après quelques centaines de mètres sur un parc entourant une grande bâtisse.
Celle-ci est totalement invisible à la ronde. Je sais, pour en avoir fais le tour un jour, que derrière les arbres, un mur entoure totalement la propriété et l’isole du voisinage, cela explique que les chasseurs ne viennent jamais par là et que très peu de monde en connaît l’existence. Geneviève aurait pu vendre, plusieurs fois, mais elle tient à ce vestige, dernier symbole de l’ancienne richesse de sa famille. Elle l’entretient grâce aux revenus des terres et des bois qu’elle fait cultiver par une entreprise extérieure. Curieusement, les travaux n’ont jamais été faits par son propre mari, pourtant de la partie. Peu de gens connaissent en fait l’existence de ce lieu et encore moins de personnes, que cela lui appartient.
A notre arrivée, Geneviève nous attend sur le grand perron qui court sur toute la façade sud et sur lequel donnent les grandes portes fenêtres du rez-de-jardin. Elle a déjà ouvert les volets de la maison. A l’abri des regards, tout le monde se retrouve et s’embrasse. Ici, aucun témoin, nous sommes entre nous.
Nous entrons dans la bâtisse pour une visite un peu « spéciale ». Il s’agit en effet, de découvrir le lieu qui va recevoir les réunions des « Vieilles Salopes des Gaves ». J’ai convaincu ma belle-mère que ce serait l’endroit idéal. Discret, isolé, invisible, peu ou pas connu des voisins. Nous sommes venus tous les deux discrètement il y a quelques jours, afin que je me remémore le lieu et que j’imagine un aménagement adapté à notre « activité ». J’ai pu prendre les dimensions avec Geneviève et préparer un plan avant la venue de nos amis.
L’intérieur a gardé le luxe de l’ancien temps. Une vaste entrée avec un escalier en pierre qui mène à l'étage. Nous restons au rez-de-jardin. A droite et à gauche deux grandes portes. Geneviève nous guide vers la droite. Nous pénétrons dans un premier vestibule.
A droite une porte fenêtre donnant sur le perron, comme pour toutes les pièces suivantes. A gauche, une porte ouvrant vers ce qui devait être une chambre et pourra servir de vestiaire pour les « invités ». Elle communique avec une salle d’eau antique mais qui pour nous est idéale. En effet, la douche est en fait un grand espace, comme à l’italienne. Elle pourra être utilisé à plusieurs, à côté il y a même un bidet. Appareil que l’on ne trouve plus dans les salles d’eau modernes et qui sera très utile pour les dames qui le désireront.
Retour dans le vestibule. L’autre porte en face de l'entrée, nous fait découvrir une grande pièce d’une centaine de mètres carrés. Ici, le plafond est haut, le plancher en chêne. Des boiseries aux murs et quatre grandes portes-fenêtres donnant sur le perron de devant, deux autres vers l’arrière ouvrant sur un parc. Au fond de la grande salle deux portes ouvrant sur deux pièces. Celle de droite sur une chambre dont la fenêtre s’ouvre sur le perron et celle de gauche une autre chambre avec une porte fenêtre donnant vers l’arrière. Ce sera « l’entrée des artistes » Ces dames pourront se garer derrière le bâtiment et accéder directement à leur « loge ». Une salle d’eau centrale est accessible par les deux chambres. On utilisera finalement celle donnant sur le perron comme office, pour préparer le buffet et stocker les boissons.
J’explique que de l’autre côté de l’entrée principale on retrouve deux pièces sur l’avant, deux sur l’arrière et au milieu un couloir. Elles pourraient servir de chambres pour les participants voulant un peu s’isoler provisoirement et surtout à certains d’entre nous qui au petit matin, voudront rester sur place.
On dirait que le « manoir » est fait pour être un lieu de rendez-vous. Discret, caché des voisins, un beau cadre extérieur et intérieur. Il ne reste qu’à nettoyer un peu et meubler la grande pièce qui recevra les participants des soirées. Pour l’instant nous n’allons nous occuper que de la première partie pour recevoir les soirées. Plus tard, si nous continuons et si le besoin s’en fait sentir on aménagera les 4 chambres. Comme on ne peut se permettre de tout chauffer on se concentrera sur la grande salle. Pour le premier été cela suffira.
J’explique tout cela à mes complices, qui sont enchantés. Tout le monde tire des plans et pense aux aménagements futurs. Chacun se chargera d’une partie. Gérard et moi allons amener des meubles stockés dans les autres pièces et à l'étage. Geneviève nous guidera et choisira fauteuils, canapés et autres tapis. Les autres dames vont nettoyer et cirer parquet et boiseries. Gérard, qui est décidément un atout précieux, va installer quelques appliques qui éclaireront le tour de la pièce et un gros spot au milieu du plafond à la place du lustre qui éclairera une estrade installée au dessous, recouverte de tapis sur lequel on posera des matelas et des coussins. Je m'occuperai d'aménager les douches. Gérard m'assistera.
Les travaux commencent dès le lendemain et ont lieu en pleine journée. Tout le monde est maintenant très motivé. Chacun arrive ou part à une heure différente. A chaque passage, nous refermons la grille du parc derrière nous. Le chemin d’accès est un cul de sac qui ne dessert que la propriété. Il n’est pas fréquenté bien que bitumé jusqu’au portail. Geneviève nous apprend que les champs qui le bordent lui appartiennent. Le chemin n’est utilisé que deux fois par an pour le semi et la récolte. Comme côté route une haute haie de Thuya protège la récolte du vent, l'entrée est invisible, même quand la récolte est faite, En plus, elle est avertie chaque fois lorsque les travaux vont commencer. Cela permettra de gérer le passage et de suspendre éventuellement les allées et venues.
En parallèle des travaux au manoir, j’alimente le site internet. Bien que incomplet, il y a déjà des consultations après quelques jours en ligne. Je réuni le groupe un soir pour leur présenter et leur expliquer le fonctionnement.
Pendant que Jacqueline sert l’apéritif, je branche l’ordinateur sur la télé, me connecte à Internet et lorsque tout le monde est prêt, je commence ma présentation.
Je rentre tout d’abord dans le site principal appelé « Vieilles Salopes » Les dames sont surprises car les photos ne sont pas d’elles et c’est très « chaud » J’explique que ce site couvre toutes les régions de France et les pays limitrophes. Que c’est surtout un site commercial, pour vendre des photos et surtout des vidéos. Pour les trouver on peut choisir le pays, la région et même le département. On peut aussi choisir par le nom lorsqu’il est connu, car le site héberge des blogs, dont celui que j’ai créé. Ceux-ci bénéficient du référencement du site principal et sur ce dernier on peut faire de la recherche. J’ai donc bien précisé la région et le but non lucratif de l’affaire.
Nous arrivons enfin sur la page des « Vieilles Salopes des Gaves » Première surprise, au milieu se trouve la photo du manoir et tout autour, chaque femme est présentée nue, le visage flouté. Les commentaires fusent mais les femmes se trouvent plutôt bien, enfin, surtout plus les autres qu’elle-même. Elles sont critiques vis-à-vis de leur propre image.
Nouveaux commentaires lorsqu’en cliquant sur chacune des photos, on découvre la « spécialité » de chacune. La discussion permet d’affiner chaque profil.
Geneviève 65 ans : Bourgeoise BCBG, adepte de soumission, travail des seins, urophilie, fontaine, fist.
Irène 67 ans : Rousse véritable, très adepte de sodomie, candaulisme (devant son mari voyeur).
Jacqueline 71 ans : Délurée aime soumission, humiliation, fellation, fessée (main, martinet, cravache) bondage.
Mélanie 70 ans : chatte blanche très poilue, fist, travail des seins.
Pauline 71 ans : tendresse, fellation, travail des seins, s’équipe souvent d’un gode ceinture.
Toutes pratiquent la sodomie et le sexe entre femmes. Elles sont épilées sauf Mélanie.
Une autre page présente les lieux. Salon, vestiaire et toilettes du public. La situation géographique reste suffisamment vague et s’étend sur trente kilomètres à la ronde à vol d’oiseau.
L’annonce précise que toutes les dames sont à disposition pour la soirée. Que préservatifs et gel sont fournis et à portée, ainsi que divers accessoires : godes, gode-ceinture, menottes, martinet, cravache. Qu’il est possible d’amener ses propres instruments sous réserve d’accord et vérification de l’organisateur.
La soirée est organisée lorsque huit personnes au moins, hommes ou femmes, sont inscrites. L’organisateur se réserve le droit de gérer le maximum de présents.
La participation est libre, chaque invité apportant une bouteille de champagne. Une participation facultative pourra être déposée dans une urne, à discrétion des participants.
Pour participer, il faut s’inscrire avec une adresse mail valide, puis répondre à un questionnaire vérifiant la motivation et le sérieux de l’interlocuteur.
Les invités sont informés par mail dix jours avant la date et l’heure de la soirée. Ils doivent confirmer leur présence pour permettre un remplacement. Le jour défini, une demi-heure avant le rendez-vous, ils reçoivent un texto sur leur mobile avec les coordonnées GPS du lieu de rendez-vous. J’utilise pour ça un mobile à carte spécial, qui ne servira qu’à cela. Ces précautions sont nécessaires à la discrétion de l’opération. Cela me permet aussi de rencontrer et juger le participant. Il est arrivé une fois que celui-ci soit très jeune. Même si nous avons accepté des participants de trente cinq ans. J’ai jugé, peut-être à tort, que cet homme, qui avait déjà menti sur son âge. Il devait avoir en réalité un peu plus de vingt ans, n’était pas assez mûr pour participer à ce type de soirée avec des personnes ayant plus du triple de son âge.
Après un commentaire acerbe sur le site, le médisant ne s’est d’ailleurs plus jamais manifesté. Il ne faut pas croire malgré tout que l’âge était une ségrégation. Un jour, une dame mûre dans la cinquantaine, est venue avec son jeune amant de vingt cinq ans. Elle l’avait signalé et demandé au préalable, C’était en fait elle la caution. La soirée et les quelques autres auxquelles elle a participé ont d’ailleurs été très agréables.
Le rendez-vous est prévu au départ et à l’utilisation il le restera, un parking en bordure de route, lieu suffisamment anonyme et éloigné du manoir pour ne pas attirer l’attention, ni donner d’indication. Là, j’indique l’itinéraire, très facile malgré la nuit si on suit les indications, pour rejoindre l’entrée du chemin de la propriété.
Là, en bordure de route, un panneau aux lettres fluorescentes « VSG » apparaît bien dans les phares quand on est prévenu – nous l’avions testé – VSG, bien sûr, pour « Vieilles Salopes des Gaves ». Ce panneau, je le poserai au dernier moment en partant au lieu de rendez-vous et je le retirerai après le passage du dernier arrivant. Je ne suis pas l’itinéraire normal afin de repérer un éventuel intrus et le perdre dans la nature.
Par ce biais, je peux contrôler les personnes et s’ils ne correspondent pas aux critères fournis sur leur demande, les détourner vers les coordonnées… d’une gendarmerie, située à dix ou vingt kilomètres. Ils ne se vanteront pas de leur expédition !
Cela fait un peu jeu de piste et permet d’entretenir le mystère, mais aussi donc, de vérifier le « sérieux » de nos invités. Ayant déposé sur le site, leur adresse mail et leur numéro de portable pour être joints, ils seront « repérables » en cas de problème.
Entre l’arrivée du premier et celle du dernier participant, c’est Geneviève qui les reçoit, leur sert du champagne et des petits fours en compagnie de Gérard. Celui-ci, s’il est aujourd’hui desservi par la nature pour son sexe, ne l’est pas dans sa stature. Ancien militaire et toujours en forme, il impressionne.
Après cette présentation, nous discutons de la mise en page, des photos, des informations … Ce soir-là, pas de « galipettes », c’est une réunion de travail. Pauline décide de rester avec Jacqueline. Irène et Gérard raccompagnent Mélanie et moi je fini la nuit chez ma belle-mère.
Quinze jours plus tard, le manoir est prêt. Nous décidons de faire une soirée « inaugurale » entre nous, qui permettra de tester l’installation. Les dames vont jouer le rôle des invités, sans le GPS, dont l’utilisation leur pose problème. A la tombée de la nuit, Geneviève se rend au manoir, ouvre la grille, pose le panneau VSG et stationne sa voiture devant le perron. Comme chaque fois, c’est elle qui réceptionnera les arrivants et les guidera. A quelques minutes d’intervalle, j’envoie chaque dame, comme je le ferai plus tard avec les invités. Je suis la voiture de la dernière, enlève le panneau et referme la grille derrière moi.
Tout s’est bien passé, même Jacqueline ne s’est pas perdue ! Nous en rions.
Mise à part l’absence des invités, le buffet est dressé, nous avons en effet prévu quelques amuse-gueule, ainsi que des choses plus consistantes si besoin en cours de soirée. Le tout consommable avec les mains. Bien sûr des seaux à champagne garnissent la table. Dans divers endroits, des paniers avec des préservatifs et du gel.
Nous débutons la soirée en dégustant les petits fours et le champagne dont tout le monde est amateur. Un rituel que l’on reprendra lors des soirées et qui permet de détendre l’atmosphère. Il ne s’agit pas de se jeter comme des morts de faim sur ces dames. La discussion s’anime avec les bulles, les dames rient, d’abord nerveusement, puis de façon plus naturelle. On commence à se caresser, se bécoter, se déshabiller et à baiser. Seul homme de l’assistance - je ne tiens pas compte de Gérard- je suis heureusement aidé par Pauline qui adore porter un gode ceinture.
Cette soirée nous permet de peaufiner le décor, le réglage des lumières et des miroirs. Gérard a l’idée de recouvrir les vitres des deux immenses portes-fenêtres de film réfléchissant sans tain, qui vont permettre aux participants de se voir en entier. Le spot au dessus de l’estrade est modifié pour donner alternativement trois couleurs différentes au lieu du blanc, trop dur.
Tout est prêt maintenant pour recevoir notre première soirée. Pour l’instant, quatre hommes se sont inscrits. Les dames sont un peu déçues et je leur explique qu’il faut quelques temps pour que le site soit repérable sur Internet. Parallèlement, elles sont anxieuses à l’idée de s’offrir à des inconnus.
Trois jours plus tard, Irène m’appelle au téléphone et me demande de passer chez eux, car Gérard a quelques problèmes avec l’ordinateur et les photos.
J’arrive chez eux après le travail et y trouve une dame âgée en leur compagnie.
• « Je te présente Marlène, c’est une vieille amie avec qui nous nous amusions il y a quelques années. Elle est venue habiter à Bayonne et nous nous sommes retrouvés par hasard.
• Enchanté Marlène, vous êtes charmante !
• Et vous êtes un charmeur jeune homme !
• Jeune… Jeune, n’exagérons rien.
• Vous savez, quand on a quatre vingt ans, les autres paraissent jeunes !
• Quatre vingt ! ? Je ne l’aurais jamais cru !
• N’en faites pas trop tout de même jeune homme !
• Pas du tout ! Je ne sais quoi dire… » Bredouille-je. C’est Irène qui intervient alors
• « Arrête de le chambrer ! On sait bien que c’est ton jeu favori pour déstabiliser les hommes !
• Bon d’accord ! Alors, c’est vous qui venez dépanner Gérard ? » Dit-elle avec un sourire coquin. Je commence à cerner la dame et la soupçonne de tenir un double langage volontairement.
• « J’aime bien dépanner les dames, et les messieurs, qu’ils soient jeunes, ou … moins jeunes.
• Egalité ! Rigole Irène. Bon, sérieusement, Gérard voulait préparer des photos de notre dernière soirée pour te les donner, mais il a un souci, tu vois ça avec lui et vous nous rejoignez pour l’apéritif ? Il est dans son bureau.
• D’accord, à tout à l’heure mesdames, je vous laisse papoter. »
Je retrouve Gérard qui rigole. En effet, le coquin a installé une webcam qui filme le salon. Irène n’est pas encore au courant et comme il a l’intention de filmer ses ébats, il veut que je lui montre comment enregistrer et comment projeter ensuite sur son téléviseur.
Le bricoleur malin qu’il est, a installé aussi un micro. Nous effectuons quelques réglages et essais, les femmes servant de cobayes à leur insu. Ensuite, nous choisissons des photos de la soirée précédente, pour agrémenter le site. Après un moment on retourne voir ce que filme la webcam et là je vois les deux femmes enlacées en train de s’embrasser et se caresser.
Gérard rigole, car il connaît les habitudes de ces dames.
• « Tu vas voir ! Cette Marlène est une sacrée coquine et à son âge elle continue à s’amuser. D’ailleurs Irène l’a invitée, car je crois qu’elle veut l’intégrer au groupe. Je ne t’ai rien dis, ok ?
• Pas de problème.
• Au fait, elle t’a menti. Elle a quatre vingt six ans en réalité. »
On se marre de la coquetterie des femmes, puis, nous revenons au salon en discutant suffisamment fort pour que les dames retrouvent une attitude décente.
• « Tu restes manger avec nous ? » Me demande Irène.
• Je n’avais pas prévu….
• Si, si on pourra discuter un peu tranquillement et Marlène se sentira moins seule.
• Bon, d’accord, mais, sans complication ! »
En attendant le repas, Irène propose bien sûr d’ouvrir une bouteille de champagne. La discussion s’engage et j’en profite pour détailler un peu plus Marlène. C’est une femme assez grande et charpentée. Une carrure impressionnante comme l’était la comédienne qui incarnait Mahaut d’Artois dans les « Rois Maudits ». Mais ce qui frappe le plus sur sa silhouette, c’est son énorme poitrine, dont il est difficile de détacher le regard. La coquine d’ailleurs, s’aperçoit rapidement de mon intérêt pour ses avantages mammaires. Je ne cherche pas à dissimuler mes regards. Irène, qui bien sûr s’est rendu compte, me taquine gentiment.
• « Je pense que Jean a du mal à te regarder dans les yeux ma chérie !
• Je les regarde aussi, car ils sont beaux. Dis-je. Mais excusez-moi, il est vrai que j’ai rarement vu une poitrine comme la votre.
• Ne vous excusez pas. Je suis habituée depuis le temps à ce que les hommes, et les femmes, posent leurs yeux sur cette partie de ma personne. D’après vous, c’est du combien ?
• Je dirais 115 ou 120 E
• J’ai affaire à un connaisseur ! C’est du 120 F mon jeune ami. Ce qui m’a souvent complexée en étant jeune. Maintenant, malheureusement, ils s’effondrent.
• Je trouve pour ma part qu’ils sont très agréables à regarder et doivent l'être surement à toucher à empaumer et à caresser !
• Eh bien ! mon jeune ami ! Vous ne manquez pas d’aplomb ! D’habitude, les hommes sont plutôt confus et moins directs.
• Je pense que Irène a dû vous parler de moi. Je ne suis pas du genre gêné, surtout avec les dames.
• Oui, j’ai bien compris. Mais vous savez, à mon âge, je n’intéresse plus personne.
• Détrompez-vous ! J’aimerais bien m’occuper d’une dame comme vous. Je suis sûr que vous êtes une coquine et si vous voulez le savoir, je bande en vous regardant !
• Ça alors ! On ne me l’avait jamais faite celle-là ! Surtout en compagnie ! Mais ce ne sont que des paroles. Passer à l’acte, c’est autre chose !... Ah ah ! Vous voyez, moi aussi j’aime bien mettre les gens mal à l’aise. »
Je me lève et m’approche alors de Marlène. Je me penche pour soupeser ses grosses loches, puis, j’ouvre mon pantalon lui présente ma queue bien raide et lui dis « suce salope ! Tu vas voir si je suis mal à l’aise…»
Irène s’approche de son amie. Gérard est aux anges. Je lui fais signe discrètement d’aller allumer la caméra. Marlène est une vorace. J’ai d’un coup une idée un peu folle. Je la relève et l’embrasse. Je sais maintenant qu’elle porte un dentier. Je retire sa robe et comme je le soupçonnais, elle porte une guêpière qui moule son corps. Ses énormes seins mis en avant, des bas tenus par les jarretelles.
• « Tu es bandante ma vieille ! Maintenant tu vas te remettre à genoux et avant de me sucer, tu vas enlever ton dentier. Je veux que tu me suces sans les dents.
• Oh non ! J’ai trop honte !
• Regarde ! Mois aussi j’ai un appareil ! Allez ! J’ai trop envie. »
Elle se détourne et cache son dentier, alors je lui prends la tête et l’embrasse. Surprise d’abord, elle se laisse faire. Je craignais un peu de le faire, mais maintenant qu’on se roule des pelles d’enfer, je regrette de ne pas avoir essayé avant. C’est génial !
On se sépare tout de même et Marlène s’assoie sur le bord du canapé. C’est quand même plus facile à son âge, que j’avais oublié.
Je m’enfonce dans sa bouche édentée et là aussi la sensation est extraordinaire. J’ai l’impression d’être dans un vagin. Je baise sa bouche, qui, telle une ventouse me pompe gaillardement. Tout en continuant à me faire pomper, je demande à Irène de me passer mon téléphone et toujours pompé par Marlène, j’appelle Geneviève.
- « Passe chez Irène et Gérard. J’ai besoin de toi un moment… Quoi ?... Pas plus d’un quart d’heure. Tu auras le temps d’aller à ta réunion après. »
J’arrête Marlène qui continuait son œuvre pendant ma conversation. Ce qui permet de me reprendre. Je la couche sur le canapé en avançant ses fesses bien au bord et à genoux entre ses cuisses, je guide ma queue dans sa chatte légèrement poilue. L’intérieur n’est pas très mouillé. Peut être dû à son âge. Je mets de la salive et la pénétration est plus agréable. Je baise ma première octogénaire. Ses seins sortent de la guêpière et s’étalent, obscènes sur son poitrail. Irène, en profite pour les caresser et les malaxer.
Lorsque la sonnette retenti, j’intime à Marlène de rester ainsi et demande à Irène d’aller ouvrir. « C’est certainement Geneviève. Fais là venir »
Ma belle-mère nous découvre ainsi. Une vieille femme inconnue, dépoitraillée, avec des seins énormes qui s’étalent, que je suis en train de baiser dans le salon.
• « Eh bien ! On ne se gêne pas ici ! Déclare-t-elle. Un sourire aux lèvres malgré tout.
• Tais-toi et viens poser ta chatte sur la bouche de cette vieille pute ! Qu’elle te broute le minou. »
Geneviève monte sur le canapé, enjambe le corps de Marlène alors que je continue ma chevauchée. Belle-maman relève sa jupe et comme maintenant elle ne porte plus que rarement de culotte, pose directement son sexe sur la figure de l’inconnue.
Marlène n’en est pas à son coup d’essai avec une femme, car très vite Geneviève gémit, puis crie. Ça monte dans la gamme et Irène doit contourner le canapé et plaquer des lèvres sur la bouche de ma belle-mère pour éviter que les voisins ne soient alertés.
Tout en continuant de bourrer Marlène, je vois Geneviève heureusement accroché à Irène, se crisper une première fois. Elle doit lâcher son jus abondant dans la bouche de la lécheuse. Apparemment, Cela ne dérange pas celle-ci, qui avale tout et recommence. Geneviève va jouir et éjaculer plusieurs fois dans la bouche de Marlène. C’est elle qui y met fin en se relevant, comme vidée.
• « Mon dieu ! Mais c’est énorme ! J’avais l’impression d’avoir une ventouse qui m’aspirait !
• Tu ne crois pas si bien dire ! Quand notre amie enlève son dentier, sa bouche et si souple qu’elle se colle à toi.
• Malheureusement je dois partir, j’espère que l’on se reverra madame, dit-elle à celle dont elle ne connaît ni le nom ni l’âge et qui vient de la gouiner.
• Tu vas où ? Demande Irène.
• J’ai réunion chez monsieur le curé nous dit très sérieusement Geneviève.
• Eh bien s’il savait ce que tu viens de faire ! Dis-je en rigolant.
• Oh vous ! Pourvu que vous vous moquiez de la religion !
• Il n’empêche que s’il voyait sous ta jupe il changerait surement d’avis sur sa paroissienne préférée. Tu devrais tout de même t’essuyer. Tu vas sentir le foutre !
• Eh bien non mon cher ! Notre amie, que je ne connais pas, m’a bien nettoyée avec sa langue fureteuse. Je suis quasiment sèche. Allez, à bientôt ! »
Elle repart aussitôt accompagnée par Irène qui l’embrasse sur la bouche avant d’ouvrir la porte.
Je continue de baiser Marlène un moment puis sentant venir ma jouissance. Je me relève, l’enjambe à mon tour et enfourne ma bite dans sa bouche édentée. Elle m’aspire et me vide les burnes. La salope garde mon sperme en bouche qu’elle nous montre en l’ouvrant en grand. Un spectacle surréaliste ! Irène se précipite embrasse son amie pour partager mon jus. Elle se relève et va embrasser son mari, lui faisant avaler le mélange de salive et de sperme. Je me penche alors et embrasse Marlène à mon tour. Je retrouve cette sensation étrange mais très agréable de sa bouche édentée.
Bien sûr, en dehors de ces moments-là. Le port du dentier est recommandé esthétiquement. Mais je n’hésiterai plus à l’avenir lorsque l’occasion se présentera, d’embrasser et me faire sucer par une femme en lui faisant enlever son dentier.
• « Mais qui est cette femme fontaine qui est venue se faire lécher ? S’enquiert Marlène.
• C’est Geneviève. La belle-mère de Jean répond Irène.
• Quoi ? Ta belle-mère ? Mais tu es vraiment un vicieux toi ! Tu baises avec ta belle-mère ! Et tu la commande en lui parlant comme à une pute !
• En fait c’est mon ex, belle-mère.
• Tout de même ! Mais tu la baisais quand tu étais encore marié avec sa fille ?
• Ah non ! Nous n’avons jamais eu de rapports quand j’étais marié !
• Et avant ?
• Je… Non…Je m’embrouille quelques secondes qui éclairent Marlène.
• Ce n’est pas vrai ! Tu baisais ta future belle-mère ! et tu as recommencé après ton divorce !
• Tu ne nous as pas dis, que tu la baisais avant de te marier. Dit Irène.
• Personne ne me l’a demandé.
• Tout de même ! Vous êtes de sacrés cachotiers tous les deux !
• Geneviève est très gênée avec cela ; dis-je. C’est un péché grave pour elle ! Elle m’a fait promettre de ne pas en parler.
• Mais comment avez-vous fait pendant tout le temps du mariage pour ne pas baiser ?
• Ça, je peux vous en parler, je n’ai rien promis. Mais comme l’histoire est assez longue. Je vous la raconterai lorsque tout le monde sera là. Tu essaieras alors de faire dire à Geneviève, que nous avions commencé bien avant le divorce. Pour faire court, pendant mon mariage je lui ai trouvé un amant et même une maîtresse. Il se trouve qu’après mon divorce elle a perdu l’un et l’autre et s’est retrouvée seule.
• Je suis curieuse d’apprendre tout ça !
• Bon ! Maintenant, si nous passions à autre chose ? Gérard, tu veux bien allumer la télé et nous montrer les photos ? »
Les deux femmes ne comprennent pas. Je nous installe tous les trois dans le canapé face à l’écran, une femme de chaque côté de moi. Marlène est restée dans sa tenue sexy, dépoitraillée. Irène, se rendant compte que je pelote son amie alors qu’elle est habillée, enlève ses vêtements et se colle contre moi.
Gérard, après avoir allumé le poste, est parti dans son bureau et envoi tout d’abord les photos de la soirée inaugurale. Marlène est très excitée. Lorsque nous découvrons le film du jour, elle est troublée. Se trouve moche, vieille. Se voit en train de me sucer puis de se faire prendre. Enfin, lorsque Geneviève monte sur elle et se fait lécher, puis quand je me vide dans sa bouche et que l’on s’embrasse. Ma main entre ses cuisses trouve une belle chaleur, de même qu’entre celles d’Irène.
Ces dames sont surprises toutes les deux, car elles ne soupçonnaient pas la présence de la caméra, elles cherchent d’abord à la repérer et trouvent la scène filmée très chaude.
Gérard revient alors après avoir relancé la webcam qui montre la pièce en direct. Il s’est déshabillé, ayant oublié ses complexes de « petite bite ». Marlène regarde son petit oiseau avec tendresse. Je lui dis alors que Gérard a redécouvert le plaisir en regardant sa femme se faire enculer, ce que je vais faire. Pour cela il faut le sucer en prenant bite et couilles en bouche. Je lui suggère d’enlever à nouveau son dentier, la sensation risquant d’être encore meilleure.
Gérard s’installe dans le fauteuil et Marlène, débarrassée de son appareil, s’assoit entre ses jambes pour le pomper. Nous nous positionnons alors de profil devant le couple, afin que Gérard voit bien sa femme se faire sodomiser. Comme chaque fois, je prends un grand plaisir à enculer la belle rousse sous les yeux de son mari.
Nous jouissons ainsi, emplissant la pièce de cris et d’odeur de stupre.
• « Espèces de salauds ! S’écrie alors Marlène. Vous avez tous bien profité, même toi Gérard. Mais moi je n’ai rien eu ! Nous nous regardons en riant.
• Tu n’as pas assez eu de coup de queue ? Dis-je. Tu es vraiment une vieille salope indigne. Malheureusement, j’ai déjà donné deux fois. Je ne suis plus opérationnel !
• Heureusement que je suis là dit alors Irène. Elle se précipite dans la chambre, revient harnachée du gode ceinture et déclare. Ma chérie ! C’est moi qui vais te baiser, en souvenir du bon vieux temps où tu ne manquais jamais de m’embrocher. Allez ! A genoux vieille salope, que je te prenne comme une chienne que tu es ! »
Alors qu’Irène baise sa copine, je passe par-dessous Marlène et je malaxe ses imposantes mamelles. La femme manifeste son désaccord mais j’insiste lui disant que l’obscénité des ses grosses outres pendantes est super excitante. Les photos de Gérard, prises à ce moment-là, confirmeront mes dires et seront un argument des plus frappants lorsqu’elles seront mises en ligne sur le site.
En effet. Marlène est intégrée aux « Vieilles Salopes des Gaves » et les inscriptions vont décoller lorsqu’elle sera en ligne. « Marlène 80 ans tour de poitrine 120 F. Suce en enlevant son dentier ! Sensation garantie !» l’annonce fait fureur ! Elle, persuadée que son âge était un obstacle, va se rendre à l’évidence du contraire, en voyant l’attrait qu’elle suscite dès l’inscription et lors des soirées.
Quelques jours plus tard, il y a suffisamment de participants inscrit. Une vingtaine d’hommes sont candidats. Afin de permettre un tri et une bonne répartition et pour que l’invité soit sûr de la présence de telle ou telle femme, j’ai ajouté un choix préférentiel pour deux des salopes. Si Geneviève tient la corde, Marlène est aussi demandée quasiment chaque fois.
Dernière réunion avant la soirée inaugurale, toujours chez le couple Irène Gérard, C’est autour de la grande télévision que nous sélectionnons les invités. Je note que la présence d’une photo est un avantage supplémentaire aux yeux de ces dames. Je rajoute donc ce critère sur le site en signalant le « plus ».
Nous parvenons à une liste de douze hommes, en les répartissant deux par femme. Nous sommes d’accord sur ce choix, lorsqu’une fiche attire notre attention. Il s’agit d’une femme de quarante cinq ans, qui vient de s’inscrire, qui se déclare gouine et qui veut « baiser de la vieille » Elle n’a pas de préférence mais veut « tirer » tout ce qui bouge par devant ou par derrière.
La discussion est serrée. Certaines ne veulent pas de femme, d’autres voudraient bien, mais elle leur semble trop « décidée » et trop jeune. Un groupe se détache pour la recevoir, d’autant que Gérard et moi le soutenons.
Nous nous mettons finalement d’accord pour l’accepter, sachant qu’avec Gérard nous serons les régulateurs de la soirée. Lui en tant que « voyeur » et moi en tant qu’organisateur. Le grand salon est suffisamment vaste pour accueillir tout ce monde.
Les invitations sont aussitôt lancées. Ça y est ! On ne peut plus reculer, le premier rendez-vous est fixé dans dix jours. Sachant que beaucoup de nos « adhérents » sont connectés le soir, certains risquent de répondre rapidement. En attendant, nous discutons entre nous, pour régler les derniers détails.
La première réponse parvient moins de cinq minutes plus tard. J’ouvre le mail et… Déception ! L’invité n’est pas disponible ce jour-là. L’excitation retombe. Est-ce que Ça va marcher ? Tout semble compromis. Nous avions quelques adhérents en attente aussi j’envoie une autre invitation.
C’est celle-ci qui revient presque aussitôt. L’homme devait être connecté. Il est disponible, confirme sa venue et attend les instructions. Le moral remonte en flèche ! Champagne ! Lance aussitôt Irène qui en raffole.
La maligne profite de ce moment pour lancer la discussion sur ma relation avec Geneviève. Sachant où elle veut en venir, je laisse ma belle-mère répondre. Quand Marlène soulève le fait que j’ai été obligé de reconnaître que notre relation est beaucoup plus ancienne, Geneviève se raidit. Ses yeux s’emplissent de larmes !
• « Qu’allez-vous penser de nous ? lance-t-elle en regardant les autres femmes.
• Mais c’est merveilleux ! Déclare Mélanie en l’embrassant tendrement. Tu as eu bien raison ! Maintenant, il faut tout nous dire. Quelle histoire !
• C’est vrai ? Vous ne trouvez pas que je suis perverse ? Je vis dans le péché depuis tant d’années !
• Parce que tu t’imagines être la seule dans ce cas ? Il y en a plus que tu ne crois déclare Jacqueline. Mon beau-frère, qui ne s’est jamais marié, couchait avec sa propre mère, ma belle-mère donc, jusqu’à la mort de celle-ci. Et je ne parle pas de ma belle-sœur qui baisait avec son neveu.
• C’est énorme ! Je ne pensais pas que… s’étonne ma belle-mère.
• Raconte ! Comment est-ce arrivé ?
• Je… Je préfère que ce soit Jean qui le fasse »
• Bien, dis-je. Comme j’ai déjà dis à Marlène, à Irène et son mari, nous n’avons pas eu de relation physique durant tout mon mariage, ce qui diminue la faute. Quoi, que ! »
Après ce préambule, je raconte alors comment tout a commencé, comment Geneviève a découvert le plaisir, comment je lui ai « trouvé » un amant. Bien sûr il a fallu leur dire le nom, ce qui a fait rigoler Pauline et Jacqueline qui l’ont connu.
L’apparition de Ludivine et de l’amour caché, partagé pendant toutes ces années entre les deux femmes les étonne.
• « Je me suis toujours demandé pourquoi tu hébergeais cette fille, dit alors Pauline. Une très jolie fille d’ailleurs, tu as eu beaucoup de chance, et surement de peine, lorsqu’elle t’a quittée.
• C’est vrai que j’ai beaucoup pleuré en cachette, car personne à part Jean, ne pouvait comprendre. C’est aussi cela qui me peinait, ne pouvoir rien dire. » Mélanie s’approche d’elle et la serre fort dans ses bras.
Pendant notre récit quatre confirmations sont arrivées, preuve que notre soirée a du succès. Ce soir là, pas de débordements chacun rentre chez soi. Geneviève, troublée par son aveu, mais aussi libérée du poids du secret qu’elle porte depuis plus de vingt ans, se fait câline. Elle me demande de rester un peu avec elle. Elle veut recréer la scène où, pour la première fois, nous avons baisé. Tout y passe. Moi, nu dans la cuisine, elle en peignoir – elle a toujours ce vieux vêtement informe – allumant la lumière, s’offusquant, me touchant et se donnant à moi au coin de la table. Seule différence par rapport au passé, c’est qu’aujourd’hui, Geneviève est entièrement épilée et bronzée et qu’elle est devenue une femme fontaine qui nous arrose lorsqu’elle jouit.
C’est presque aussi fort que la première fois malgré les années, je la couche ensuite sur la table pour dévorer sa chatte dégoulinante de mouille. Seule avec moi, Geneviève n’est plus la même femme hautaine, puritaine et sûre d’elle. Elle aime s’abandonner et se soumettre. En ce soir d’été, après avoir attaché son collier et la laisse, je la fais sortir toujours nue, pour une promenade pipi autour de sa maison. Elle urine debout puis, s’approche d’un arbre, appuie ses mains au tronc et quémande une saillie les fesses tendues en arrière, obscène.
Sa croupe m’accueille. Alors que je la baise par la chatte elle implore que je la prenne par le cul. Je la traite de chienne, de traînée, de grand-mère indigne et bien sûr de salope et de pute, qualificatifs qu’elle aime et qui l’amènent à une dernière jouissance. Je la ramène à l’intérieur toujours trainée par la laisse. Avant de partir, à genoux devant la porte d’entrée, où souvent par le passé son facteur-amant la prenait rapidement, je lui fais nettoyer avec sa bouche, ma queue sortant de son cul.
Le lendemain avant midi, l’ensemble des participants a donné son accord, y compris la femme. J’en informe mes compagnons. Avec Gérard, nous profitons de ces derniers jours pour finaliser notre installation. Mise en place de hauts parleurs pour diffuser une musique douce, essais de lumière. Le mari d’Irène s’est procuré un gros disque dur sur lequel il va enregistrer les ébats à partir de trois caméras. Le bougre, qui a des moyens financiers, a acheté des modèles très performants qui donnent de belles images même en éclairage diffus.
Les derniers jours sont interminables. Mélanie et Geneviève veulent tour à tour que je vienne dans leur lit. A la veille du week-end, je vais chez Mélanie, surprise quand, ouvrant la porte, elle nous découvre Geneviève et moi. Je sais que les deux femmes aiment se gouiner malgré leurs dénégations. J'avais entrainé Geneviève avec moi sous un faux prétexte. Les deux femmes ne voulant pas m'avouer leur attachement.
Arrivé devant chez Mélanie, ma belle-mère refusait d'abord de rentrer. Je sors alors le collier et la laisse et lui indique qui si elle ne vient pas de son plein gré, je l'équipe et l'entraîne ainsi au risque d'être vue par les voisins.
A l'intérieur, les deux femmes nient bien sûr toute relation cachée entre-elles, mais leurs arguments ne tiennent pas longtemps.
• « Comment peux-tu croire que... Geneviève... et moi...
• Arrête un peu ! Je vous connais bien ! J'ai bien vu comment vous vous comportiez ensemble ! Je peux même te dire que dès le premier soir où tu as découvert son identité, ton cœur a commencé à battre pour elle et ma salope de belle-mère mouillait déjà fort quand vous vous êtes roulé une pelle d'enfer devant tout le monde ! A ce moment vous ne vous rendiez pas compte. C'était très beau d'ailleurs et je suis sûr que si j'en parle à Irène, elle en conviendra comme moi.
• Irène ? Vous êtes fou ! Se récrie aussitôt Geneviève.
• Toi ma salope, il faut que tu arrêtes un peu de te récrier sur tout et de penser qu'il faut que tu paraisses une dame « bien ». Irène te connais, t'apprécie, et a très bien compris vos sentiments. » Franchement ! Vous ne trompez personne d'un peu observateur, alors au lieu de vous cacher, montrez-le à nos amis. Ils en seront très heureux pour vous.
• Vous croyez ?
• Tout le monde sait maintenant que tu avais une maîtresse et tu aimes te gouiner !
• Oh !
• Ne dis pas le contraire ! Dans le groupe, toutes les femmes se gouinent, donc le problème n'est pas là. Vous ne voulez pas qu'ils sachent qu'entre vous c’est... plus fort ! C'est ça ?
• O... Oui ! C'est vrai consent alors Mélanie. Mais, c'est si nouveau, pour moi en tous cas, que j'avais un peu peur de le dire. Geneviève était moins gênée, puisqu'elle nous avait avoué son amour pour sa petite postière. C'est vrai qu'on est idiotes !
• C'est bon ! La prochaine fois qu'on se retrouve avec les autres, arrivez ensemble en vous tenant par la main ou par la taille. Embrassez-vous ! Enfin bref. Montrez et confirmez votre amour aux autres !
• Mais... Que vont-ils penser ?
• Ils seront très heureux je vous l'assure, comme moi pour vous !
• C'est vrai ? Tu nous approuves ?
• Bien sûr mes deux salopes adorées ! Vous vous aimez ? Montrez-le, au moins à vos amies. Je ne vous dis pas d'étaler au grand jour vos amours lesbiennes, mais entre-nous, cela se voit tellement quand on vous regarde, que ce serait dommage de la cacher et de vous le cacher !
Vous êtes deux gouines ! Eh oui, belle-maman tu es une gouine ! Eh bien, pour la peine, vous allez commencer par vous gouiner devant moi. Ne vous inquiétez pas je vais vite vous rejoindre, mais j'ai envie de vous voir ensemble vous déshabiller, vous embrasser, vous lécher, vous baiser ! Allez-y salopes ! Montrez-moi !
• Salaud ! » lance Mélanie en souriant. Elle se penche vers ma belle-mère, elles s'étreignent et s'embrassent à grand coups de langue ! Si les âmes bien pensantes de la paroisse voyaient Madame de Brassac en ce moment, il y aurait des attaques cardiaques !
Nous buvons une coupe de champagne, puis très cérémonieusement, Mélanie se lève, prend la main de Geneviève et l'invite à venir la rejoindre au centre de la pièce où elles s'enlacent et s'embrassent à nouveau passionnément. « Montrons-lui à ce pervers, ce que c'est que l'amour entre femmes! » lance notre hôtesse.
Ces deux femmes, si dissemblables dans la vie comme physiquement, forment un beau couple. Mélanie qui est chez elle, prend l'initiative, comme lorsqu'elle est dans le groupe. Tout en embrassant ma belle-mère, elle entreprend de la déshabiller. La robe et le soutien gorge tombent vite et Geneviève se retrouve nue en bas et escarpins, magnifiquement offerte à nos regards. Son corps cuivré, délicatement musclé et qui a retrouvé de la fraîcheur d'une femme plus jeune, est déjà une belle vision. Sa poitrine généreuse aux énormes tétons, son cul bombé attire le regard et son mont de vénus totalement épilé est un appel au viol !
Lui prenant la main, Mélanie l'entraîne vers sa chambre où je les suis. Je m'installe sur le fauteuil à côté du lit. Dans cette position, je vois à la fois le couple sur lit et dans le reflet de la glace de l'armoire, doublant ainsi mon spectacle.
Elle couche Geneviève au bord du lit et s'installe entre ses jambes pour lécher la chatte juteuse. Mélanie se régale. Je lui conseille de se déshabiller car la cataracte de ma belle-mère qui ne va pas tarder, va noyer sa robe.
• Je m'en fiche ! Je veux qu'elle me couvre de son jus et qu'il imprègne mes vêtements ! J'aurai son odeur quand je voudrai.
• Tu es vraiment « accro » dis-donc toi ! »
Effectivement Geneviève ne tarde pas à succomber aux léchouilles et autre doigtage de son amante et arrose généreusement le corps et les habits de Mélanie. Celle-ci se relève, passe sa robe par dessus la tête et se retrouve aussitôt nue, n'ayant rien en dessous. Elle se couche alors sur le corps de sa maîtresse et les deux femmes entrelacées, s'embrassent langoureusement, oubliant ma présence.
J'assiste au magnifique spectacle des deux gouines. Le corps bronzé et épilé de ma belle-mère contre celui d'albâtre à la magnifique toison blanche de Mélanie. Les deux gousses rivalisent de caresses. Les tétons sont léchés et pincés, particulièrement ceux de Geneviève qui arrose sa compagne et le lit à plusieurs reprises.
Les deux lesbiennes prennent ensuite la position préférée paraît-il de leurs congénères. Assises étendues face à face, leurs jambes imbriquées et les sexes se frottant l’un contre l’autre. Le gros clitoris de Geneviève est frotté ainsi par la fourrure blanche de Mélanie. Les deux femmes sont les yeux dans les yeux voyant monter les plaisir dans ceux de leur partenaire. Une fois de plus, ma belle-mère est la plus prompte à jouir et arrose le ventre les seins et le visage de Mélanie qui se pâme à son tour, arrosant, moins abondamment le bas ventre de sa chérie.
C'est le tour des sextoys d'entrer en scène. Le « Rabbit » de Geneviève fait des ravages dans la chatte de Mélanie qui se tord de plaisir.
Cette dernière s'attaque alors au cul de ma belle-mère, qu'elle matraque à grand coups de gode. Enfin, Geneviève se retrouve à genoux entre les jambes de la tribade pour lui administrer un cunnilingus d'enfer.
A ce moment, n'y tenant plus, alors que je me suis mis nu depuis un moment, je monte sur le lit rejoindre les deux femelles. L'énorme cul de ma belle-mère, mis en valeur par les bas qui tiennent toujours et bien relevé sur la couche, s'offre à moi. Je n'ai pas à prendre de précaution vu la préparation effectuée, aussi je pointe mon gland sur la rosette violacée et la pénètre d'un coup.
Geneviève relève la tête un instant, juste pour lancer « Oh oui ! Salaud ! Défoncez-moi le cul ! » Elle replonge aussitôt dans la toison couleur neige de sa maîtresse. Bien excité par les deux femmes, je sens vite monter la jouissance dans mes reins et alors que Mélanie se répand une dernière fois dans la bouche de son amante, je me vide à mon tour dans les entrailles de belle-maman.
Il règne dans la chambre une chaleur torride et que dire de l'odeur ! Les deux femmes sont en nage. Couvertes du suc de Geneviève. Je m'installe entre les deux sexagénaires. Noyé dans leurs parfums et leurs sécrétions.
C'est énorme ! Elles me remercient encore de leur ouvrir les yeux sur leur amour. Oui ! Elles sont conscientes d'éprouver autre chose qu'une attirance physique. C'est un peu le ciel qui leur tombe sur la tête, mais elles découvrent, au moins pour Mélanie, qu'elle peut aimer une femme d'amour ! Depuis ce soir là elles n’hésiteront plus à montrer leur amour aux autres membres du groupe, s’embrassant de façon passionnée, se tenant par la main ou par la taille, ou encore en se disant des mots tendre « Ma chérie ! Mon amour ! Ma tendre ! Je t’aime ou Je vous aime pour ma belle-mère »
Comme je le pensais, nos amis sont heureux de les voir ainsi. Marlène la première les a félicitées. Il faut dire que voir ces deux femmes, si dissemblables dans la vie, se retrouver si proches avec nous, avait un côté attendrissant. Elles arrivaient chaque fois ensemble, dans leur tenue sexy se tenant par la main au début des soirées. Elles s’embrassaient avant de débuter et terminaient ensemble quand les invités étaient repartis.
Je les ai vues frustrées lorsqu’elles se retrouvaient en public et ne pouvaient se témoigner leur amour. Elles s’évitaient volontairement, malheureuses de ne pouvoir se témoigner leur amour. J’abordais alors l’une, puis l’autre pour discrètement leur transmettre les mots doux de leur partenaire. Ce n’était pas facile non plus de leur dire « Elle t’embrasse ! Elle t’aime ! Elle a envie de toi ! » Leurs yeux brillaient autant de plaisir que de tristesse.
Mélanie prenait le risque parfois d’aller retrouver sa maîtresse chez elle. Même si mon ex beau-père se fichait des occupations de sa femme, elle aurait pû se faire repérer par un voisin se demandant ce qu’elle pouvait faire dans la nuit autour de cette maison.
Je leur ai bien conseillé de se retrouver au manoir, mais seules dans la grande bâtisse elles avaient peur. Quand nous le pouvions, je les accompagnais avec Pauline chaque couple restant dans une chambre pour qu’elles se retrouvent seules. Irène et Gérard les accueillaient aussi mais Irène était, elle, frustrée de les entendre s’aimer sans pouvoir les rejoindre !
***
Le dimanche suivant, je retrouve mes « vieilles amies » sur la place du village, à la sortie de la messe dominicale. Je n’assistais pas à l’office, ce qui aurait pu paraître suspect, puisque je n’y vais jamais mais j’attendais sur le parking voisin, sachant que j'y retrouverais ces dames. Depuis ma position, je peux voir le discret salut de la tête que Geneviève adresse de loin à Jacqueline et Pauline avant de s’éloigner vers le parking. Enfermée dans sa position de « grande dame, patronnesse modèle». Je lui envoie aussitôt un texto marqué « salope » et vais saluer les deux autres. Je les fais rigoler en leur montrant le texto. Geneviève se retourne alors vers nous, le téléphone à la main. Troublée, elle s’engouffre rapidement dans sa voiture. Son mari, lui, est déjà reparti de son côté avec sa voiture
Je l’appelle aussitôt.
• « Rejoins-nous au « manoir »
• Maintenant ?
• Oui. On va le montrer aux autres. J’ai les ai fais venir pour ça, mais comme tu t’es éclipsée rapidement…
• Je… Je ne voulais pas qu’on me voit avec…
• Oui, je comprends, salope. Tu as eu raison. Je crois qu’il n’y a que moi qui ai vu ton petit bonjour !
• Vous êtes sûr ?
• J’espère pour toi ma salope ! A tout de suite.
• C’est quoi le manoir ? Demande Pauline, même plus étonnée que je traite ma belle-mère de salope.
• C’est une propriété qui lui appartient. C’est très discret, vous allez voir. Ça va nous servir pour nos « soirées ». Vous récupérez Mélanie et on se retrouve au rond point après le cimetière, de là vous me suivrez. »
Je salue quelques personnes connues, ne paraissant pas pressé, puis je prends congé et retourne à ma voiture. Les deux femmes suivront dans peu de temps. Au lieu de rendez-vous, je retrouve Irène et Gérard que j’ai prévenus, sachant que comme moi ils ne vont pas à la messe.
Nous attendons quelques minutes et lorsque j’aperçois la voiture de Pauline, je donne le signal du départ. Notre petit convoi prend la direction de la propriété de Geneviève. Il s’agit d’un héritage personnel. Son mari ne s’en est jamais occupé. Moi-même, je n’en ai appris l’existence que très tard, lorsque Geneviève m’avait demandé d’y effectuer quelques travaux d’entretien, qu’elle avait d’ailleurs payés sur ses propres deniers.
Après deux petits kilomètres, je m’engage dans un chemin menant à la propriété, entre deux champs de maïs. L’entrée est marquée par un grand portail et des piliers en pierre, signe d’une ancienne opulence. Je fais passer tout le monde et referme le portail derrière nous. Une longue allée s’enfonce ensuite entre les arbres en serpentant, pour déboucher après quelques centaines de mètres sur un parc entourant une grande bâtisse.
Celle-ci est totalement invisible à la ronde. Je sais, pour en avoir fais le tour un jour, que derrière les arbres, un mur entoure totalement la propriété et l’isole du voisinage, cela explique que les chasseurs ne viennent jamais par là et que très peu de monde en connaît l’existence. Geneviève aurait pu vendre, plusieurs fois, mais elle tient à ce vestige, dernier symbole de l’ancienne richesse de sa famille. Elle l’entretient grâce aux revenus des terres et des bois qu’elle fait cultiver par une entreprise extérieure. Curieusement, les travaux n’ont jamais été faits par son propre mari, pourtant de la partie. Peu de gens connaissent en fait l’existence de ce lieu et encore moins de personnes, que cela lui appartient.
A notre arrivée, Geneviève nous attend sur le grand perron qui court sur toute la façade sud et sur lequel donnent les grandes portes fenêtres du rez-de-jardin. Elle a déjà ouvert les volets de la maison. A l’abri des regards, tout le monde se retrouve et s’embrasse. Ici, aucun témoin, nous sommes entre nous.
Nous entrons dans la bâtisse pour une visite un peu « spéciale ». Il s’agit en effet, de découvrir le lieu qui va recevoir les réunions des « Vieilles Salopes des Gaves ». J’ai convaincu ma belle-mère que ce serait l’endroit idéal. Discret, isolé, invisible, peu ou pas connu des voisins. Nous sommes venus tous les deux discrètement il y a quelques jours, afin que je me remémore le lieu et que j’imagine un aménagement adapté à notre « activité ». J’ai pu prendre les dimensions avec Geneviève et préparer un plan avant la venue de nos amis.
L’intérieur a gardé le luxe de l’ancien temps. Une vaste entrée avec un escalier en pierre qui mène à l'étage. Nous restons au rez-de-jardin. A droite et à gauche deux grandes portes. Geneviève nous guide vers la droite. Nous pénétrons dans un premier vestibule.
A droite une porte fenêtre donnant sur le perron, comme pour toutes les pièces suivantes. A gauche, une porte ouvrant vers ce qui devait être une chambre et pourra servir de vestiaire pour les « invités ». Elle communique avec une salle d’eau antique mais qui pour nous est idéale. En effet, la douche est en fait un grand espace, comme à l’italienne. Elle pourra être utilisé à plusieurs, à côté il y a même un bidet. Appareil que l’on ne trouve plus dans les salles d’eau modernes et qui sera très utile pour les dames qui le désireront.
Retour dans le vestibule. L’autre porte en face de l'entrée, nous fait découvrir une grande pièce d’une centaine de mètres carrés. Ici, le plafond est haut, le plancher en chêne. Des boiseries aux murs et quatre grandes portes-fenêtres donnant sur le perron de devant, deux autres vers l’arrière ouvrant sur un parc. Au fond de la grande salle deux portes ouvrant sur deux pièces. Celle de droite sur une chambre dont la fenêtre s’ouvre sur le perron et celle de gauche une autre chambre avec une porte fenêtre donnant vers l’arrière. Ce sera « l’entrée des artistes » Ces dames pourront se garer derrière le bâtiment et accéder directement à leur « loge ». Une salle d’eau centrale est accessible par les deux chambres. On utilisera finalement celle donnant sur le perron comme office, pour préparer le buffet et stocker les boissons.
J’explique que de l’autre côté de l’entrée principale on retrouve deux pièces sur l’avant, deux sur l’arrière et au milieu un couloir. Elles pourraient servir de chambres pour les participants voulant un peu s’isoler provisoirement et surtout à certains d’entre nous qui au petit matin, voudront rester sur place.
On dirait que le « manoir » est fait pour être un lieu de rendez-vous. Discret, caché des voisins, un beau cadre extérieur et intérieur. Il ne reste qu’à nettoyer un peu et meubler la grande pièce qui recevra les participants des soirées. Pour l’instant nous n’allons nous occuper que de la première partie pour recevoir les soirées. Plus tard, si nous continuons et si le besoin s’en fait sentir on aménagera les 4 chambres. Comme on ne peut se permettre de tout chauffer on se concentrera sur la grande salle. Pour le premier été cela suffira.
J’explique tout cela à mes complices, qui sont enchantés. Tout le monde tire des plans et pense aux aménagements futurs. Chacun se chargera d’une partie. Gérard et moi allons amener des meubles stockés dans les autres pièces et à l'étage. Geneviève nous guidera et choisira fauteuils, canapés et autres tapis. Les autres dames vont nettoyer et cirer parquet et boiseries. Gérard, qui est décidément un atout précieux, va installer quelques appliques qui éclaireront le tour de la pièce et un gros spot au milieu du plafond à la place du lustre qui éclairera une estrade installée au dessous, recouverte de tapis sur lequel on posera des matelas et des coussins. Je m'occuperai d'aménager les douches. Gérard m'assistera.
Les travaux commencent dès le lendemain et ont lieu en pleine journée. Tout le monde est maintenant très motivé. Chacun arrive ou part à une heure différente. A chaque passage, nous refermons la grille du parc derrière nous. Le chemin d’accès est un cul de sac qui ne dessert que la propriété. Il n’est pas fréquenté bien que bitumé jusqu’au portail. Geneviève nous apprend que les champs qui le bordent lui appartiennent. Le chemin n’est utilisé que deux fois par an pour le semi et la récolte. Comme côté route une haute haie de Thuya protège la récolte du vent, l'entrée est invisible, même quand la récolte est faite, En plus, elle est avertie chaque fois lorsque les travaux vont commencer. Cela permettra de gérer le passage et de suspendre éventuellement les allées et venues.
En parallèle des travaux au manoir, j’alimente le site internet. Bien que incomplet, il y a déjà des consultations après quelques jours en ligne. Je réuni le groupe un soir pour leur présenter et leur expliquer le fonctionnement.
Pendant que Jacqueline sert l’apéritif, je branche l’ordinateur sur la télé, me connecte à Internet et lorsque tout le monde est prêt, je commence ma présentation.
Je rentre tout d’abord dans le site principal appelé « Vieilles Salopes » Les dames sont surprises car les photos ne sont pas d’elles et c’est très « chaud » J’explique que ce site couvre toutes les régions de France et les pays limitrophes. Que c’est surtout un site commercial, pour vendre des photos et surtout des vidéos. Pour les trouver on peut choisir le pays, la région et même le département. On peut aussi choisir par le nom lorsqu’il est connu, car le site héberge des blogs, dont celui que j’ai créé. Ceux-ci bénéficient du référencement du site principal et sur ce dernier on peut faire de la recherche. J’ai donc bien précisé la région et le but non lucratif de l’affaire.
Nous arrivons enfin sur la page des « Vieilles Salopes des Gaves » Première surprise, au milieu se trouve la photo du manoir et tout autour, chaque femme est présentée nue, le visage flouté. Les commentaires fusent mais les femmes se trouvent plutôt bien, enfin, surtout plus les autres qu’elle-même. Elles sont critiques vis-à-vis de leur propre image.
Nouveaux commentaires lorsqu’en cliquant sur chacune des photos, on découvre la « spécialité » de chacune. La discussion permet d’affiner chaque profil.
Geneviève 65 ans : Bourgeoise BCBG, adepte de soumission, travail des seins, urophilie, fontaine, fist.
Irène 67 ans : Rousse véritable, très adepte de sodomie, candaulisme (devant son mari voyeur).
Jacqueline 71 ans : Délurée aime soumission, humiliation, fellation, fessée (main, martinet, cravache) bondage.
Mélanie 70 ans : chatte blanche très poilue, fist, travail des seins.
Pauline 71 ans : tendresse, fellation, travail des seins, s’équipe souvent d’un gode ceinture.
Toutes pratiquent la sodomie et le sexe entre femmes. Elles sont épilées sauf Mélanie.
Une autre page présente les lieux. Salon, vestiaire et toilettes du public. La situation géographique reste suffisamment vague et s’étend sur trente kilomètres à la ronde à vol d’oiseau.
L’annonce précise que toutes les dames sont à disposition pour la soirée. Que préservatifs et gel sont fournis et à portée, ainsi que divers accessoires : godes, gode-ceinture, menottes, martinet, cravache. Qu’il est possible d’amener ses propres instruments sous réserve d’accord et vérification de l’organisateur.
La soirée est organisée lorsque huit personnes au moins, hommes ou femmes, sont inscrites. L’organisateur se réserve le droit de gérer le maximum de présents.
La participation est libre, chaque invité apportant une bouteille de champagne. Une participation facultative pourra être déposée dans une urne, à discrétion des participants.
Pour participer, il faut s’inscrire avec une adresse mail valide, puis répondre à un questionnaire vérifiant la motivation et le sérieux de l’interlocuteur.
Les invités sont informés par mail dix jours avant la date et l’heure de la soirée. Ils doivent confirmer leur présence pour permettre un remplacement. Le jour défini, une demi-heure avant le rendez-vous, ils reçoivent un texto sur leur mobile avec les coordonnées GPS du lieu de rendez-vous. J’utilise pour ça un mobile à carte spécial, qui ne servira qu’à cela. Ces précautions sont nécessaires à la discrétion de l’opération. Cela me permet aussi de rencontrer et juger le participant. Il est arrivé une fois que celui-ci soit très jeune. Même si nous avons accepté des participants de trente cinq ans. J’ai jugé, peut-être à tort, que cet homme, qui avait déjà menti sur son âge. Il devait avoir en réalité un peu plus de vingt ans, n’était pas assez mûr pour participer à ce type de soirée avec des personnes ayant plus du triple de son âge.
Après un commentaire acerbe sur le site, le médisant ne s’est d’ailleurs plus jamais manifesté. Il ne faut pas croire malgré tout que l’âge était une ségrégation. Un jour, une dame mûre dans la cinquantaine, est venue avec son jeune amant de vingt cinq ans. Elle l’avait signalé et demandé au préalable, C’était en fait elle la caution. La soirée et les quelques autres auxquelles elle a participé ont d’ailleurs été très agréables.
Le rendez-vous est prévu au départ et à l’utilisation il le restera, un parking en bordure de route, lieu suffisamment anonyme et éloigné du manoir pour ne pas attirer l’attention, ni donner d’indication. Là, j’indique l’itinéraire, très facile malgré la nuit si on suit les indications, pour rejoindre l’entrée du chemin de la propriété.
Là, en bordure de route, un panneau aux lettres fluorescentes « VSG » apparaît bien dans les phares quand on est prévenu – nous l’avions testé – VSG, bien sûr, pour « Vieilles Salopes des Gaves ». Ce panneau, je le poserai au dernier moment en partant au lieu de rendez-vous et je le retirerai après le passage du dernier arrivant. Je ne suis pas l’itinéraire normal afin de repérer un éventuel intrus et le perdre dans la nature.
Par ce biais, je peux contrôler les personnes et s’ils ne correspondent pas aux critères fournis sur leur demande, les détourner vers les coordonnées… d’une gendarmerie, située à dix ou vingt kilomètres. Ils ne se vanteront pas de leur expédition !
Cela fait un peu jeu de piste et permet d’entretenir le mystère, mais aussi donc, de vérifier le « sérieux » de nos invités. Ayant déposé sur le site, leur adresse mail et leur numéro de portable pour être joints, ils seront « repérables » en cas de problème.
Entre l’arrivée du premier et celle du dernier participant, c’est Geneviève qui les reçoit, leur sert du champagne et des petits fours en compagnie de Gérard. Celui-ci, s’il est aujourd’hui desservi par la nature pour son sexe, ne l’est pas dans sa stature. Ancien militaire et toujours en forme, il impressionne.
Après cette présentation, nous discutons de la mise en page, des photos, des informations … Ce soir-là, pas de « galipettes », c’est une réunion de travail. Pauline décide de rester avec Jacqueline. Irène et Gérard raccompagnent Mélanie et moi je fini la nuit chez ma belle-mère.
Quinze jours plus tard, le manoir est prêt. Nous décidons de faire une soirée « inaugurale » entre nous, qui permettra de tester l’installation. Les dames vont jouer le rôle des invités, sans le GPS, dont l’utilisation leur pose problème. A la tombée de la nuit, Geneviève se rend au manoir, ouvre la grille, pose le panneau VSG et stationne sa voiture devant le perron. Comme chaque fois, c’est elle qui réceptionnera les arrivants et les guidera. A quelques minutes d’intervalle, j’envoie chaque dame, comme je le ferai plus tard avec les invités. Je suis la voiture de la dernière, enlève le panneau et referme la grille derrière moi.
Tout s’est bien passé, même Jacqueline ne s’est pas perdue ! Nous en rions.
Mise à part l’absence des invités, le buffet est dressé, nous avons en effet prévu quelques amuse-gueule, ainsi que des choses plus consistantes si besoin en cours de soirée. Le tout consommable avec les mains. Bien sûr des seaux à champagne garnissent la table. Dans divers endroits, des paniers avec des préservatifs et du gel.
Nous débutons la soirée en dégustant les petits fours et le champagne dont tout le monde est amateur. Un rituel que l’on reprendra lors des soirées et qui permet de détendre l’atmosphère. Il ne s’agit pas de se jeter comme des morts de faim sur ces dames. La discussion s’anime avec les bulles, les dames rient, d’abord nerveusement, puis de façon plus naturelle. On commence à se caresser, se bécoter, se déshabiller et à baiser. Seul homme de l’assistance - je ne tiens pas compte de Gérard- je suis heureusement aidé par Pauline qui adore porter un gode ceinture.
Cette soirée nous permet de peaufiner le décor, le réglage des lumières et des miroirs. Gérard a l’idée de recouvrir les vitres des deux immenses portes-fenêtres de film réfléchissant sans tain, qui vont permettre aux participants de se voir en entier. Le spot au dessus de l’estrade est modifié pour donner alternativement trois couleurs différentes au lieu du blanc, trop dur.
Tout est prêt maintenant pour recevoir notre première soirée. Pour l’instant, quatre hommes se sont inscrits. Les dames sont un peu déçues et je leur explique qu’il faut quelques temps pour que le site soit repérable sur Internet. Parallèlement, elles sont anxieuses à l’idée de s’offrir à des inconnus.
Trois jours plus tard, Irène m’appelle au téléphone et me demande de passer chez eux, car Gérard a quelques problèmes avec l’ordinateur et les photos.
J’arrive chez eux après le travail et y trouve une dame âgée en leur compagnie.
• « Je te présente Marlène, c’est une vieille amie avec qui nous nous amusions il y a quelques années. Elle est venue habiter à Bayonne et nous nous sommes retrouvés par hasard.
• Enchanté Marlène, vous êtes charmante !
• Et vous êtes un charmeur jeune homme !
• Jeune… Jeune, n’exagérons rien.
• Vous savez, quand on a quatre vingt ans, les autres paraissent jeunes !
• Quatre vingt ! ? Je ne l’aurais jamais cru !
• N’en faites pas trop tout de même jeune homme !
• Pas du tout ! Je ne sais quoi dire… » Bredouille-je. C’est Irène qui intervient alors
• « Arrête de le chambrer ! On sait bien que c’est ton jeu favori pour déstabiliser les hommes !
• Bon d’accord ! Alors, c’est vous qui venez dépanner Gérard ? » Dit-elle avec un sourire coquin. Je commence à cerner la dame et la soupçonne de tenir un double langage volontairement.
• « J’aime bien dépanner les dames, et les messieurs, qu’ils soient jeunes, ou … moins jeunes.
• Egalité ! Rigole Irène. Bon, sérieusement, Gérard voulait préparer des photos de notre dernière soirée pour te les donner, mais il a un souci, tu vois ça avec lui et vous nous rejoignez pour l’apéritif ? Il est dans son bureau.
• D’accord, à tout à l’heure mesdames, je vous laisse papoter. »
Je retrouve Gérard qui rigole. En effet, le coquin a installé une webcam qui filme le salon. Irène n’est pas encore au courant et comme il a l’intention de filmer ses ébats, il veut que je lui montre comment enregistrer et comment projeter ensuite sur son téléviseur.
Le bricoleur malin qu’il est, a installé aussi un micro. Nous effectuons quelques réglages et essais, les femmes servant de cobayes à leur insu. Ensuite, nous choisissons des photos de la soirée précédente, pour agrémenter le site. Après un moment on retourne voir ce que filme la webcam et là je vois les deux femmes enlacées en train de s’embrasser et se caresser.
Gérard rigole, car il connaît les habitudes de ces dames.
• « Tu vas voir ! Cette Marlène est une sacrée coquine et à son âge elle continue à s’amuser. D’ailleurs Irène l’a invitée, car je crois qu’elle veut l’intégrer au groupe. Je ne t’ai rien dis, ok ?
• Pas de problème.
• Au fait, elle t’a menti. Elle a quatre vingt six ans en réalité. »
On se marre de la coquetterie des femmes, puis, nous revenons au salon en discutant suffisamment fort pour que les dames retrouvent une attitude décente.
• « Tu restes manger avec nous ? » Me demande Irène.
• Je n’avais pas prévu….
• Si, si on pourra discuter un peu tranquillement et Marlène se sentira moins seule.
• Bon, d’accord, mais, sans complication ! »
En attendant le repas, Irène propose bien sûr d’ouvrir une bouteille de champagne. La discussion s’engage et j’en profite pour détailler un peu plus Marlène. C’est une femme assez grande et charpentée. Une carrure impressionnante comme l’était la comédienne qui incarnait Mahaut d’Artois dans les « Rois Maudits ». Mais ce qui frappe le plus sur sa silhouette, c’est son énorme poitrine, dont il est difficile de détacher le regard. La coquine d’ailleurs, s’aperçoit rapidement de mon intérêt pour ses avantages mammaires. Je ne cherche pas à dissimuler mes regards. Irène, qui bien sûr s’est rendu compte, me taquine gentiment.
• « Je pense que Jean a du mal à te regarder dans les yeux ma chérie !
• Je les regarde aussi, car ils sont beaux. Dis-je. Mais excusez-moi, il est vrai que j’ai rarement vu une poitrine comme la votre.
• Ne vous excusez pas. Je suis habituée depuis le temps à ce que les hommes, et les femmes, posent leurs yeux sur cette partie de ma personne. D’après vous, c’est du combien ?
• Je dirais 115 ou 120 E
• J’ai affaire à un connaisseur ! C’est du 120 F mon jeune ami. Ce qui m’a souvent complexée en étant jeune. Maintenant, malheureusement, ils s’effondrent.
• Je trouve pour ma part qu’ils sont très agréables à regarder et doivent l'être surement à toucher à empaumer et à caresser !
• Eh bien ! mon jeune ami ! Vous ne manquez pas d’aplomb ! D’habitude, les hommes sont plutôt confus et moins directs.
• Je pense que Irène a dû vous parler de moi. Je ne suis pas du genre gêné, surtout avec les dames.
• Oui, j’ai bien compris. Mais vous savez, à mon âge, je n’intéresse plus personne.
• Détrompez-vous ! J’aimerais bien m’occuper d’une dame comme vous. Je suis sûr que vous êtes une coquine et si vous voulez le savoir, je bande en vous regardant !
• Ça alors ! On ne me l’avait jamais faite celle-là ! Surtout en compagnie ! Mais ce ne sont que des paroles. Passer à l’acte, c’est autre chose !... Ah ah ! Vous voyez, moi aussi j’aime bien mettre les gens mal à l’aise. »
Je me lève et m’approche alors de Marlène. Je me penche pour soupeser ses grosses loches, puis, j’ouvre mon pantalon lui présente ma queue bien raide et lui dis « suce salope ! Tu vas voir si je suis mal à l’aise…»
Irène s’approche de son amie. Gérard est aux anges. Je lui fais signe discrètement d’aller allumer la caméra. Marlène est une vorace. J’ai d’un coup une idée un peu folle. Je la relève et l’embrasse. Je sais maintenant qu’elle porte un dentier. Je retire sa robe et comme je le soupçonnais, elle porte une guêpière qui moule son corps. Ses énormes seins mis en avant, des bas tenus par les jarretelles.
• « Tu es bandante ma vieille ! Maintenant tu vas te remettre à genoux et avant de me sucer, tu vas enlever ton dentier. Je veux que tu me suces sans les dents.
• Oh non ! J’ai trop honte !
• Regarde ! Mois aussi j’ai un appareil ! Allez ! J’ai trop envie. »
Elle se détourne et cache son dentier, alors je lui prends la tête et l’embrasse. Surprise d’abord, elle se laisse faire. Je craignais un peu de le faire, mais maintenant qu’on se roule des pelles d’enfer, je regrette de ne pas avoir essayé avant. C’est génial !
On se sépare tout de même et Marlène s’assoie sur le bord du canapé. C’est quand même plus facile à son âge, que j’avais oublié.
Je m’enfonce dans sa bouche édentée et là aussi la sensation est extraordinaire. J’ai l’impression d’être dans un vagin. Je baise sa bouche, qui, telle une ventouse me pompe gaillardement. Tout en continuant à me faire pomper, je demande à Irène de me passer mon téléphone et toujours pompé par Marlène, j’appelle Geneviève.
- « Passe chez Irène et Gérard. J’ai besoin de toi un moment… Quoi ?... Pas plus d’un quart d’heure. Tu auras le temps d’aller à ta réunion après. »
J’arrête Marlène qui continuait son œuvre pendant ma conversation. Ce qui permet de me reprendre. Je la couche sur le canapé en avançant ses fesses bien au bord et à genoux entre ses cuisses, je guide ma queue dans sa chatte légèrement poilue. L’intérieur n’est pas très mouillé. Peut être dû à son âge. Je mets de la salive et la pénétration est plus agréable. Je baise ma première octogénaire. Ses seins sortent de la guêpière et s’étalent, obscènes sur son poitrail. Irène, en profite pour les caresser et les malaxer.
Lorsque la sonnette retenti, j’intime à Marlène de rester ainsi et demande à Irène d’aller ouvrir. « C’est certainement Geneviève. Fais là venir »
Ma belle-mère nous découvre ainsi. Une vieille femme inconnue, dépoitraillée, avec des seins énormes qui s’étalent, que je suis en train de baiser dans le salon.
• « Eh bien ! On ne se gêne pas ici ! Déclare-t-elle. Un sourire aux lèvres malgré tout.
• Tais-toi et viens poser ta chatte sur la bouche de cette vieille pute ! Qu’elle te broute le minou. »
Geneviève monte sur le canapé, enjambe le corps de Marlène alors que je continue ma chevauchée. Belle-maman relève sa jupe et comme maintenant elle ne porte plus que rarement de culotte, pose directement son sexe sur la figure de l’inconnue.
Marlène n’en est pas à son coup d’essai avec une femme, car très vite Geneviève gémit, puis crie. Ça monte dans la gamme et Irène doit contourner le canapé et plaquer des lèvres sur la bouche de ma belle-mère pour éviter que les voisins ne soient alertés.
Tout en continuant de bourrer Marlène, je vois Geneviève heureusement accroché à Irène, se crisper une première fois. Elle doit lâcher son jus abondant dans la bouche de la lécheuse. Apparemment, Cela ne dérange pas celle-ci, qui avale tout et recommence. Geneviève va jouir et éjaculer plusieurs fois dans la bouche de Marlène. C’est elle qui y met fin en se relevant, comme vidée.
• « Mon dieu ! Mais c’est énorme ! J’avais l’impression d’avoir une ventouse qui m’aspirait !
• Tu ne crois pas si bien dire ! Quand notre amie enlève son dentier, sa bouche et si souple qu’elle se colle à toi.
• Malheureusement je dois partir, j’espère que l’on se reverra madame, dit-elle à celle dont elle ne connaît ni le nom ni l’âge et qui vient de la gouiner.
• Tu vas où ? Demande Irène.
• J’ai réunion chez monsieur le curé nous dit très sérieusement Geneviève.
• Eh bien s’il savait ce que tu viens de faire ! Dis-je en rigolant.
• Oh vous ! Pourvu que vous vous moquiez de la religion !
• Il n’empêche que s’il voyait sous ta jupe il changerait surement d’avis sur sa paroissienne préférée. Tu devrais tout de même t’essuyer. Tu vas sentir le foutre !
• Eh bien non mon cher ! Notre amie, que je ne connais pas, m’a bien nettoyée avec sa langue fureteuse. Je suis quasiment sèche. Allez, à bientôt ! »
Elle repart aussitôt accompagnée par Irène qui l’embrasse sur la bouche avant d’ouvrir la porte.
Je continue de baiser Marlène un moment puis sentant venir ma jouissance. Je me relève, l’enjambe à mon tour et enfourne ma bite dans sa bouche édentée. Elle m’aspire et me vide les burnes. La salope garde mon sperme en bouche qu’elle nous montre en l’ouvrant en grand. Un spectacle surréaliste ! Irène se précipite embrasse son amie pour partager mon jus. Elle se relève et va embrasser son mari, lui faisant avaler le mélange de salive et de sperme. Je me penche alors et embrasse Marlène à mon tour. Je retrouve cette sensation étrange mais très agréable de sa bouche édentée.
Bien sûr, en dehors de ces moments-là. Le port du dentier est recommandé esthétiquement. Mais je n’hésiterai plus à l’avenir lorsque l’occasion se présentera, d’embrasser et me faire sucer par une femme en lui faisant enlever son dentier.
• « Mais qui est cette femme fontaine qui est venue se faire lécher ? S’enquiert Marlène.
• C’est Geneviève. La belle-mère de Jean répond Irène.
• Quoi ? Ta belle-mère ? Mais tu es vraiment un vicieux toi ! Tu baises avec ta belle-mère ! Et tu la commande en lui parlant comme à une pute !
• En fait c’est mon ex, belle-mère.
• Tout de même ! Mais tu la baisais quand tu étais encore marié avec sa fille ?
• Ah non ! Nous n’avons jamais eu de rapports quand j’étais marié !
• Et avant ?
• Je… Non…Je m’embrouille quelques secondes qui éclairent Marlène.
• Ce n’est pas vrai ! Tu baisais ta future belle-mère ! et tu as recommencé après ton divorce !
• Tu ne nous as pas dis, que tu la baisais avant de te marier. Dit Irène.
• Personne ne me l’a demandé.
• Tout de même ! Vous êtes de sacrés cachotiers tous les deux !
• Geneviève est très gênée avec cela ; dis-je. C’est un péché grave pour elle ! Elle m’a fait promettre de ne pas en parler.
• Mais comment avez-vous fait pendant tout le temps du mariage pour ne pas baiser ?
• Ça, je peux vous en parler, je n’ai rien promis. Mais comme l’histoire est assez longue. Je vous la raconterai lorsque tout le monde sera là. Tu essaieras alors de faire dire à Geneviève, que nous avions commencé bien avant le divorce. Pour faire court, pendant mon mariage je lui ai trouvé un amant et même une maîtresse. Il se trouve qu’après mon divorce elle a perdu l’un et l’autre et s’est retrouvée seule.
• Je suis curieuse d’apprendre tout ça !
• Bon ! Maintenant, si nous passions à autre chose ? Gérard, tu veux bien allumer la télé et nous montrer les photos ? »
Les deux femmes ne comprennent pas. Je nous installe tous les trois dans le canapé face à l’écran, une femme de chaque côté de moi. Marlène est restée dans sa tenue sexy, dépoitraillée. Irène, se rendant compte que je pelote son amie alors qu’elle est habillée, enlève ses vêtements et se colle contre moi.
Gérard, après avoir allumé le poste, est parti dans son bureau et envoi tout d’abord les photos de la soirée inaugurale. Marlène est très excitée. Lorsque nous découvrons le film du jour, elle est troublée. Se trouve moche, vieille. Se voit en train de me sucer puis de se faire prendre. Enfin, lorsque Geneviève monte sur elle et se fait lécher, puis quand je me vide dans sa bouche et que l’on s’embrasse. Ma main entre ses cuisses trouve une belle chaleur, de même qu’entre celles d’Irène.
Ces dames sont surprises toutes les deux, car elles ne soupçonnaient pas la présence de la caméra, elles cherchent d’abord à la repérer et trouvent la scène filmée très chaude.
Gérard revient alors après avoir relancé la webcam qui montre la pièce en direct. Il s’est déshabillé, ayant oublié ses complexes de « petite bite ». Marlène regarde son petit oiseau avec tendresse. Je lui dis alors que Gérard a redécouvert le plaisir en regardant sa femme se faire enculer, ce que je vais faire. Pour cela il faut le sucer en prenant bite et couilles en bouche. Je lui suggère d’enlever à nouveau son dentier, la sensation risquant d’être encore meilleure.
Gérard s’installe dans le fauteuil et Marlène, débarrassée de son appareil, s’assoit entre ses jambes pour le pomper. Nous nous positionnons alors de profil devant le couple, afin que Gérard voit bien sa femme se faire sodomiser. Comme chaque fois, je prends un grand plaisir à enculer la belle rousse sous les yeux de son mari.
Nous jouissons ainsi, emplissant la pièce de cris et d’odeur de stupre.
• « Espèces de salauds ! S’écrie alors Marlène. Vous avez tous bien profité, même toi Gérard. Mais moi je n’ai rien eu ! Nous nous regardons en riant.
• Tu n’as pas assez eu de coup de queue ? Dis-je. Tu es vraiment une vieille salope indigne. Malheureusement, j’ai déjà donné deux fois. Je ne suis plus opérationnel !
• Heureusement que je suis là dit alors Irène. Elle se précipite dans la chambre, revient harnachée du gode ceinture et déclare. Ma chérie ! C’est moi qui vais te baiser, en souvenir du bon vieux temps où tu ne manquais jamais de m’embrocher. Allez ! A genoux vieille salope, que je te prenne comme une chienne que tu es ! »
Alors qu’Irène baise sa copine, je passe par-dessous Marlène et je malaxe ses imposantes mamelles. La femme manifeste son désaccord mais j’insiste lui disant que l’obscénité des ses grosses outres pendantes est super excitante. Les photos de Gérard, prises à ce moment-là, confirmeront mes dires et seront un argument des plus frappants lorsqu’elles seront mises en ligne sur le site.
En effet. Marlène est intégrée aux « Vieilles Salopes des Gaves » et les inscriptions vont décoller lorsqu’elle sera en ligne. « Marlène 80 ans tour de poitrine 120 F. Suce en enlevant son dentier ! Sensation garantie !» l’annonce fait fureur ! Elle, persuadée que son âge était un obstacle, va se rendre à l’évidence du contraire, en voyant l’attrait qu’elle suscite dès l’inscription et lors des soirées.
Quelques jours plus tard, il y a suffisamment de participants inscrit. Une vingtaine d’hommes sont candidats. Afin de permettre un tri et une bonne répartition et pour que l’invité soit sûr de la présence de telle ou telle femme, j’ai ajouté un choix préférentiel pour deux des salopes. Si Geneviève tient la corde, Marlène est aussi demandée quasiment chaque fois.
Dernière réunion avant la soirée inaugurale, toujours chez le couple Irène Gérard, C’est autour de la grande télévision que nous sélectionnons les invités. Je note que la présence d’une photo est un avantage supplémentaire aux yeux de ces dames. Je rajoute donc ce critère sur le site en signalant le « plus ».
Nous parvenons à une liste de douze hommes, en les répartissant deux par femme. Nous sommes d’accord sur ce choix, lorsqu’une fiche attire notre attention. Il s’agit d’une femme de quarante cinq ans, qui vient de s’inscrire, qui se déclare gouine et qui veut « baiser de la vieille » Elle n’a pas de préférence mais veut « tirer » tout ce qui bouge par devant ou par derrière.
La discussion est serrée. Certaines ne veulent pas de femme, d’autres voudraient bien, mais elle leur semble trop « décidée » et trop jeune. Un groupe se détache pour la recevoir, d’autant que Gérard et moi le soutenons.
Nous nous mettons finalement d’accord pour l’accepter, sachant qu’avec Gérard nous serons les régulateurs de la soirée. Lui en tant que « voyeur » et moi en tant qu’organisateur. Le grand salon est suffisamment vaste pour accueillir tout ce monde.
Les invitations sont aussitôt lancées. Ça y est ! On ne peut plus reculer, le premier rendez-vous est fixé dans dix jours. Sachant que beaucoup de nos « adhérents » sont connectés le soir, certains risquent de répondre rapidement. En attendant, nous discutons entre nous, pour régler les derniers détails.
La première réponse parvient moins de cinq minutes plus tard. J’ouvre le mail et… Déception ! L’invité n’est pas disponible ce jour-là. L’excitation retombe. Est-ce que Ça va marcher ? Tout semble compromis. Nous avions quelques adhérents en attente aussi j’envoie une autre invitation.
C’est celle-ci qui revient presque aussitôt. L’homme devait être connecté. Il est disponible, confirme sa venue et attend les instructions. Le moral remonte en flèche ! Champagne ! Lance aussitôt Irène qui en raffole.
La maligne profite de ce moment pour lancer la discussion sur ma relation avec Geneviève. Sachant où elle veut en venir, je laisse ma belle-mère répondre. Quand Marlène soulève le fait que j’ai été obligé de reconnaître que notre relation est beaucoup plus ancienne, Geneviève se raidit. Ses yeux s’emplissent de larmes !
• « Qu’allez-vous penser de nous ? lance-t-elle en regardant les autres femmes.
• Mais c’est merveilleux ! Déclare Mélanie en l’embrassant tendrement. Tu as eu bien raison ! Maintenant, il faut tout nous dire. Quelle histoire !
• C’est vrai ? Vous ne trouvez pas que je suis perverse ? Je vis dans le péché depuis tant d’années !
• Parce que tu t’imagines être la seule dans ce cas ? Il y en a plus que tu ne crois déclare Jacqueline. Mon beau-frère, qui ne s’est jamais marié, couchait avec sa propre mère, ma belle-mère donc, jusqu’à la mort de celle-ci. Et je ne parle pas de ma belle-sœur qui baisait avec son neveu.
• C’est énorme ! Je ne pensais pas que… s’étonne ma belle-mère.
• Raconte ! Comment est-ce arrivé ?
• Je… Je préfère que ce soit Jean qui le fasse »
• Bien, dis-je. Comme j’ai déjà dis à Marlène, à Irène et son mari, nous n’avons pas eu de relation physique durant tout mon mariage, ce qui diminue la faute. Quoi, que ! »
Après ce préambule, je raconte alors comment tout a commencé, comment Geneviève a découvert le plaisir, comment je lui ai « trouvé » un amant. Bien sûr il a fallu leur dire le nom, ce qui a fait rigoler Pauline et Jacqueline qui l’ont connu.
L’apparition de Ludivine et de l’amour caché, partagé pendant toutes ces années entre les deux femmes les étonne.
• « Je me suis toujours demandé pourquoi tu hébergeais cette fille, dit alors Pauline. Une très jolie fille d’ailleurs, tu as eu beaucoup de chance, et surement de peine, lorsqu’elle t’a quittée.
• C’est vrai que j’ai beaucoup pleuré en cachette, car personne à part Jean, ne pouvait comprendre. C’est aussi cela qui me peinait, ne pouvoir rien dire. » Mélanie s’approche d’elle et la serre fort dans ses bras.
Pendant notre récit quatre confirmations sont arrivées, preuve que notre soirée a du succès. Ce soir là, pas de débordements chacun rentre chez soi. Geneviève, troublée par son aveu, mais aussi libérée du poids du secret qu’elle porte depuis plus de vingt ans, se fait câline. Elle me demande de rester un peu avec elle. Elle veut recréer la scène où, pour la première fois, nous avons baisé. Tout y passe. Moi, nu dans la cuisine, elle en peignoir – elle a toujours ce vieux vêtement informe – allumant la lumière, s’offusquant, me touchant et se donnant à moi au coin de la table. Seule différence par rapport au passé, c’est qu’aujourd’hui, Geneviève est entièrement épilée et bronzée et qu’elle est devenue une femme fontaine qui nous arrose lorsqu’elle jouit.
C’est presque aussi fort que la première fois malgré les années, je la couche ensuite sur la table pour dévorer sa chatte dégoulinante de mouille. Seule avec moi, Geneviève n’est plus la même femme hautaine, puritaine et sûre d’elle. Elle aime s’abandonner et se soumettre. En ce soir d’été, après avoir attaché son collier et la laisse, je la fais sortir toujours nue, pour une promenade pipi autour de sa maison. Elle urine debout puis, s’approche d’un arbre, appuie ses mains au tronc et quémande une saillie les fesses tendues en arrière, obscène.
Sa croupe m’accueille. Alors que je la baise par la chatte elle implore que je la prenne par le cul. Je la traite de chienne, de traînée, de grand-mère indigne et bien sûr de salope et de pute, qualificatifs qu’elle aime et qui l’amènent à une dernière jouissance. Je la ramène à l’intérieur toujours trainée par la laisse. Avant de partir, à genoux devant la porte d’entrée, où souvent par le passé son facteur-amant la prenait rapidement, je lui fais nettoyer avec sa bouche, ma queue sortant de son cul.
Le lendemain avant midi, l’ensemble des participants a donné son accord, y compris la femme. J’en informe mes compagnons. Avec Gérard, nous profitons de ces derniers jours pour finaliser notre installation. Mise en place de hauts parleurs pour diffuser une musique douce, essais de lumière. Le mari d’Irène s’est procuré un gros disque dur sur lequel il va enregistrer les ébats à partir de trois caméras. Le bougre, qui a des moyens financiers, a acheté des modèles très performants qui donnent de belles images même en éclairage diffus.
Les derniers jours sont interminables. Mélanie et Geneviève veulent tour à tour que je vienne dans leur lit. A la veille du week-end, je vais chez Mélanie, surprise quand, ouvrant la porte, elle nous découvre Geneviève et moi. Je sais que les deux femmes aiment se gouiner malgré leurs dénégations. J'avais entrainé Geneviève avec moi sous un faux prétexte. Les deux femmes ne voulant pas m'avouer leur attachement.
Arrivé devant chez Mélanie, ma belle-mère refusait d'abord de rentrer. Je sors alors le collier et la laisse et lui indique qui si elle ne vient pas de son plein gré, je l'équipe et l'entraîne ainsi au risque d'être vue par les voisins.
A l'intérieur, les deux femmes nient bien sûr toute relation cachée entre-elles, mais leurs arguments ne tiennent pas longtemps.
• « Comment peux-tu croire que... Geneviève... et moi...
• Arrête un peu ! Je vous connais bien ! J'ai bien vu comment vous vous comportiez ensemble ! Je peux même te dire que dès le premier soir où tu as découvert son identité, ton cœur a commencé à battre pour elle et ma salope de belle-mère mouillait déjà fort quand vous vous êtes roulé une pelle d'enfer devant tout le monde ! A ce moment vous ne vous rendiez pas compte. C'était très beau d'ailleurs et je suis sûr que si j'en parle à Irène, elle en conviendra comme moi.
• Irène ? Vous êtes fou ! Se récrie aussitôt Geneviève.
• Toi ma salope, il faut que tu arrêtes un peu de te récrier sur tout et de penser qu'il faut que tu paraisses une dame « bien ». Irène te connais, t'apprécie, et a très bien compris vos sentiments. » Franchement ! Vous ne trompez personne d'un peu observateur, alors au lieu de vous cacher, montrez-le à nos amis. Ils en seront très heureux pour vous.
• Vous croyez ?
• Tout le monde sait maintenant que tu avais une maîtresse et tu aimes te gouiner !
• Oh !
• Ne dis pas le contraire ! Dans le groupe, toutes les femmes se gouinent, donc le problème n'est pas là. Vous ne voulez pas qu'ils sachent qu'entre vous c’est... plus fort ! C'est ça ?
• O... Oui ! C'est vrai consent alors Mélanie. Mais, c'est si nouveau, pour moi en tous cas, que j'avais un peu peur de le dire. Geneviève était moins gênée, puisqu'elle nous avait avoué son amour pour sa petite postière. C'est vrai qu'on est idiotes !
• C'est bon ! La prochaine fois qu'on se retrouve avec les autres, arrivez ensemble en vous tenant par la main ou par la taille. Embrassez-vous ! Enfin bref. Montrez et confirmez votre amour aux autres !
• Mais... Que vont-ils penser ?
• Ils seront très heureux je vous l'assure, comme moi pour vous !
• C'est vrai ? Tu nous approuves ?
• Bien sûr mes deux salopes adorées ! Vous vous aimez ? Montrez-le, au moins à vos amies. Je ne vous dis pas d'étaler au grand jour vos amours lesbiennes, mais entre-nous, cela se voit tellement quand on vous regarde, que ce serait dommage de la cacher et de vous le cacher !
Vous êtes deux gouines ! Eh oui, belle-maman tu es une gouine ! Eh bien, pour la peine, vous allez commencer par vous gouiner devant moi. Ne vous inquiétez pas je vais vite vous rejoindre, mais j'ai envie de vous voir ensemble vous déshabiller, vous embrasser, vous lécher, vous baiser ! Allez-y salopes ! Montrez-moi !
• Salaud ! » lance Mélanie en souriant. Elle se penche vers ma belle-mère, elles s'étreignent et s'embrassent à grand coups de langue ! Si les âmes bien pensantes de la paroisse voyaient Madame de Brassac en ce moment, il y aurait des attaques cardiaques !
Nous buvons une coupe de champagne, puis très cérémonieusement, Mélanie se lève, prend la main de Geneviève et l'invite à venir la rejoindre au centre de la pièce où elles s'enlacent et s'embrassent à nouveau passionnément. « Montrons-lui à ce pervers, ce que c'est que l'amour entre femmes! » lance notre hôtesse.
Ces deux femmes, si dissemblables dans la vie comme physiquement, forment un beau couple. Mélanie qui est chez elle, prend l'initiative, comme lorsqu'elle est dans le groupe. Tout en embrassant ma belle-mère, elle entreprend de la déshabiller. La robe et le soutien gorge tombent vite et Geneviève se retrouve nue en bas et escarpins, magnifiquement offerte à nos regards. Son corps cuivré, délicatement musclé et qui a retrouvé de la fraîcheur d'une femme plus jeune, est déjà une belle vision. Sa poitrine généreuse aux énormes tétons, son cul bombé attire le regard et son mont de vénus totalement épilé est un appel au viol !
Lui prenant la main, Mélanie l'entraîne vers sa chambre où je les suis. Je m'installe sur le fauteuil à côté du lit. Dans cette position, je vois à la fois le couple sur lit et dans le reflet de la glace de l'armoire, doublant ainsi mon spectacle.
Elle couche Geneviève au bord du lit et s'installe entre ses jambes pour lécher la chatte juteuse. Mélanie se régale. Je lui conseille de se déshabiller car la cataracte de ma belle-mère qui ne va pas tarder, va noyer sa robe.
• Je m'en fiche ! Je veux qu'elle me couvre de son jus et qu'il imprègne mes vêtements ! J'aurai son odeur quand je voudrai.
• Tu es vraiment « accro » dis-donc toi ! »
Effectivement Geneviève ne tarde pas à succomber aux léchouilles et autre doigtage de son amante et arrose généreusement le corps et les habits de Mélanie. Celle-ci se relève, passe sa robe par dessus la tête et se retrouve aussitôt nue, n'ayant rien en dessous. Elle se couche alors sur le corps de sa maîtresse et les deux femmes entrelacées, s'embrassent langoureusement, oubliant ma présence.
J'assiste au magnifique spectacle des deux gouines. Le corps bronzé et épilé de ma belle-mère contre celui d'albâtre à la magnifique toison blanche de Mélanie. Les deux gousses rivalisent de caresses. Les tétons sont léchés et pincés, particulièrement ceux de Geneviève qui arrose sa compagne et le lit à plusieurs reprises.
Les deux lesbiennes prennent ensuite la position préférée paraît-il de leurs congénères. Assises étendues face à face, leurs jambes imbriquées et les sexes se frottant l’un contre l’autre. Le gros clitoris de Geneviève est frotté ainsi par la fourrure blanche de Mélanie. Les deux femmes sont les yeux dans les yeux voyant monter les plaisir dans ceux de leur partenaire. Une fois de plus, ma belle-mère est la plus prompte à jouir et arrose le ventre les seins et le visage de Mélanie qui se pâme à son tour, arrosant, moins abondamment le bas ventre de sa chérie.
C'est le tour des sextoys d'entrer en scène. Le « Rabbit » de Geneviève fait des ravages dans la chatte de Mélanie qui se tord de plaisir.
Cette dernière s'attaque alors au cul de ma belle-mère, qu'elle matraque à grand coups de gode. Enfin, Geneviève se retrouve à genoux entre les jambes de la tribade pour lui administrer un cunnilingus d'enfer.
A ce moment, n'y tenant plus, alors que je me suis mis nu depuis un moment, je monte sur le lit rejoindre les deux femelles. L'énorme cul de ma belle-mère, mis en valeur par les bas qui tiennent toujours et bien relevé sur la couche, s'offre à moi. Je n'ai pas à prendre de précaution vu la préparation effectuée, aussi je pointe mon gland sur la rosette violacée et la pénètre d'un coup.
Geneviève relève la tête un instant, juste pour lancer « Oh oui ! Salaud ! Défoncez-moi le cul ! » Elle replonge aussitôt dans la toison couleur neige de sa maîtresse. Bien excité par les deux femmes, je sens vite monter la jouissance dans mes reins et alors que Mélanie se répand une dernière fois dans la bouche de son amante, je me vide à mon tour dans les entrailles de belle-maman.
Il règne dans la chambre une chaleur torride et que dire de l'odeur ! Les deux femmes sont en nage. Couvertes du suc de Geneviève. Je m'installe entre les deux sexagénaires. Noyé dans leurs parfums et leurs sécrétions.
C'est énorme ! Elles me remercient encore de leur ouvrir les yeux sur leur amour. Oui ! Elles sont conscientes d'éprouver autre chose qu'une attirance physique. C'est un peu le ciel qui leur tombe sur la tête, mais elles découvrent, au moins pour Mélanie, qu'elle peut aimer une femme d'amour ! Depuis ce soir là elles n’hésiteront plus à montrer leur amour aux autres membres du groupe, s’embrassant de façon passionnée, se tenant par la main ou par la taille, ou encore en se disant des mots tendre « Ma chérie ! Mon amour ! Ma tendre ! Je t’aime ou Je vous aime pour ma belle-mère »
Comme je le pensais, nos amis sont heureux de les voir ainsi. Marlène la première les a félicitées. Il faut dire que voir ces deux femmes, si dissemblables dans la vie, se retrouver si proches avec nous, avait un côté attendrissant. Elles arrivaient chaque fois ensemble, dans leur tenue sexy se tenant par la main au début des soirées. Elles s’embrassaient avant de débuter et terminaient ensemble quand les invités étaient repartis.
Je les ai vues frustrées lorsqu’elles se retrouvaient en public et ne pouvaient se témoigner leur amour. Elles s’évitaient volontairement, malheureuses de ne pouvoir se témoigner leur amour. J’abordais alors l’une, puis l’autre pour discrètement leur transmettre les mots doux de leur partenaire. Ce n’était pas facile non plus de leur dire « Elle t’embrasse ! Elle t’aime ! Elle a envie de toi ! » Leurs yeux brillaient autant de plaisir que de tristesse.
Mélanie prenait le risque parfois d’aller retrouver sa maîtresse chez elle. Même si mon ex beau-père se fichait des occupations de sa femme, elle aurait pû se faire repérer par un voisin se demandant ce qu’elle pouvait faire dans la nuit autour de cette maison.
Je leur ai bien conseillé de se retrouver au manoir, mais seules dans la grande bâtisse elles avaient peur. Quand nous le pouvions, je les accompagnais avec Pauline chaque couple restant dans une chambre pour qu’elles se retrouvent seules. Irène et Gérard les accueillaient aussi mais Irène était, elle, frustrée de les entendre s’aimer sans pouvoir les rejoindre !
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