La vie dissoue d'une bigote 21 : Telle mère telle fille

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : La vie dissoue d'une bigote 21 : Telle mère telle fille Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La vie dissoue d'une bigote 21 : Telle mère telle fille
Je poursuivais donc mes relations avec mon ex belle-mère. Nous nous retrouvions parfois tous les deux seuls en dehors du groupe. Geneviève aimait beaucoup ces moments là. Depuis qu’elle m’avait avoué son amour, sans être jalouse des autres, elle appréciait nos apartés. Ayant la tutelle de son mari, elle avait découvert qu’en fait celui-ci avait mis de côté des sommes importantes, à son insu.
Cette découverte l’avait mise en rage et elle comptait bien profiter du pécule amassé, même si une bonne partie était en “liquide” et non déclarée. Après des années de vie monacale imposée, elle avait enfin les moyens de “s’amuser”.
Ses fonctions au sein de l’église catholique, lui donnaient des prétextes pour voyager. Certains étaient réellement destinés à des réunions pour l'évêché, mais elle se réservait quelques “sorties” moins officielles. C’est ainsi que profitant des mes congés, elle nous a organisé un séjour à Rome, un autre à Fatima et quelques-uns à Paris.
Dans ces moments, nous pouvions nous afficher main dans la main, comme un couple d’amoureux. Peut-être certains qui nous ont vus, ont pensé que la “vieille” se payait un gigolo, peu nous importait. C’était un peu vrai, car Geneviève prenait tous les frais en charge. Elle s’était constitué une garde robe “spéciale” pour ces sorties. Ces habits la rajeunissaient et la mettaient en valeur et je ne parle pas des sous vêtements !
Nous passions des jours et des nuits heureux. Loin de chez elle, Geneviève se lâchait. Elle ne ressemblait plus à l’austère paroissienne de son village. Je me demande même si quelqu’un la connaissant dans sa vie de tous les jours, la reconnaîtrait lors de ses balades. Chaque fois, je nous trouvais aussi un club libertin où ma belle-mère faisait le show. Sa classe naturelle et ses allures de “grande dame” lui valaient de nombreux et nombreuses partenaires. Cela ne nous empêchait pas non plus de faire l’amour dans tous les coins.
Geneviève avait fait construire une piscine à côté de la maison. Officiellement pour ses enfants et petits enfants, elle l’utilisait fréquemment avec Ludivine. Bien dissimulées derrière les hautes haies de thuya, elles y passaient des heures à s’exposer et à se baigner nues. Depuis le départ de sa maîtresse, Geneviève l’utilisait un peu moins, mais quand je passais le week-end, elle m’y invitait. Elle poussait maintenant le vice jusqu’à sortir le fauteuil roulant de son mari sur la terrasse afin que le vieux grabataire subisse l’humiliation de voir sa femme nue, parfois faire l’amour au bord de l’eau. Lorsqu’elle recevait ses “amies” du club et leurs amants, elle ouvrait simplement la fenêtre de la chambre de l’invalide afin qu’il ne puisse qu'entendre les ébats.
En cette fin d’été, je passais quelques jours de vacances au village. Je devais retrouver mon fils, mais il était en vacance avec sa mère et ne reviendrait qu’après le week-end. Ma belle-mère m’hébergeait officiellement dans l’ancien appartement de Ludivine, mais comme avec sa maîtresse, je la retrouvais la nuit dans sa chambre. C’est alors que sa fille cadette est arrivée sans prévenir.
Avec Geneviève, nous étions frustrés. Notre intimité n’était plus possible. Le séjour devenait moins agréable. Bien sûr, j’aimais beaucoup mon ex belle-soeur, mais cette fois-ci, elle tombait mal.
Dès son arrivée, Nelly a voulu profiter de la piscine. Aussitôt en maillot de bain, elle part s’installer. Pendant ce temps, à l’abri de ses regards, ma belle-mère, comme je continue à l’appeler, aussi frustrée que moi, s’est mise nue dans le couloir et à genoux, m’a gratifié d’une fellation dont elle était devenue experte. D’où nous nous trouvions, je pouvais voir Nelly. Nous étions donc tranquilles de ce côté là.
Quand j’ai été bien raide, ce qui n’a pas traîné, j’ai relevé Geneviève, l’ai retournée, penchée sur une chaise, je l’ai pénétrée aussitôt debout par derrière. Nous étions face à la baie vitrée par laquelle on voyait la piscine. La situation était particulièrement excitante, même si Nelly ne pouvait nous voir. J’ai été obligé de bâillonner Geneviève pour qu’elle n’alerte pas sa fille par ses cris de jouissance.
Enfin calmés, je passais dans mon appartement pour trouver un maillot de bain, prendre une serviette et retrouver Nelly à la piscine.
Sur un transat, Nelly bronze. Elle a tombé le haut du maillot et ne cherche pas à cacher ses seins lorsque j’arrive. Je dois dire que le spectacle et magnifique. C’est la première fois que je les vois depuis très longtemps. La dernière fois remonte à plus de quinze ans et alors, sa poitrine n’était aussi formée qu’aujourd’hui.
Ses seins et surtout ses tétons érigés sont les mêmes que ceux de sa mère quand je les ai découverts lors de cette fameuse nuit qui a changé nos existences. Je suis scotché, incapable d’un mouvement. Nelly tourne sa tête vers moi, bien consciente du tableau qu’elle offre.
• “Eh bien ! Tu as un problème ?
• Je… je suis… surpris !
• Tu en as vu d’autre non ?
• Oui ! Bien sûr ! Mais… dans ce contexte… • Bon. Tu ne vas pas rester comme ça. Ta bite te trahit !
• Ah ! Oh ! Pardon !
• Il n’y a pas de mal ! Au contraire, c’est flatteur !”Je jette ma serviette sur un transat. et je plonge dans l’eau, à la fois pour cacher et pour diminuer mon érection. L’eau fraîche et quelques longueurs me font du bien, mais le répit est de courte durée. Nelly me rejoint dans l’eau et rapidement vient se coller à moi.
• “Alors mon salaud, tu bandes toujours pour moi.
• Tu le sais bien et tu ne fais rien pour l’empêcher.
• La simple vue de mes seins et… hop ! Ben dis-donc !
• C’est que… • Quoi ?
• Ils.. Ils sont très beaux et… • Tu les connais pourtant.
• Je les connaissais, mais aujourd’hui ils sont… • Plus gros ?
• C’est ça !
• Et puis… • Tes tétons… • oui ?
• On dirait ceux de… - j’ai failli dire ceux de sa mère - • De ma soeur ?
• Non. Ils ne sont pas comme ça.
• De qui alors ?
• Tu ne connais pas.
• Si tu dis ça c’est que je la connais.
• Non, non, c’est une collègue.
• Si tu le dis... En attendant, tu bandes mon salaud ! Et moi aussi j’ai envie !
• Pas ici ! Tu es folle ! Si ta mère nous voit … • Je m’en fous de ma mère. J’ai envie !
• Tu es ma belle-soeur..
• Ex… Et je sais que tu m’aimes depuis toujours. Aujourd’hui, je n’ai plus envie de jouer avec toi. Je veux… avec toi.
• Ta mère… • Tu m’agaces avec ma mère..
• Elle.. arrive.”Nelly se détache de moi et s’éloigne dans l’eau. Geneviève s’approche, enveloppée dans un peignoir de bain. Arrivée près de la piscine, elle l’enlève et se retrouve en maillot de bain. C’est la première fois que je la vois ainsi. Elle est superbe ! Elle s’assoit sur un transat et nous interpelle.
• “Alors, l’eau est bonne ? Je la connais suffisamment, pour sentir un peu d’ironie dans sa question. Elle nous a vus, serrés l’un contre l’autre dans l’eau.
• Très bonne ! Dis-je. Vous venez vous baigner ?
• Oui, pourquoi pas.”Elle descend par l’échelle, nous exposant ses fesses généreuses. Je bande maintenant, mais plus pour la même femme. Dans l’eau, Geneviève fait quelques brasses, me lançant au passage quelques regards discrets. Elle est heureuse de s’exposer et ses tétons qui tendent le haut du maillot la trahissent.
De son côté, Nelly nage un peu et reste contre le bord. Je laisse les deux femmes dans l’eau et je vais m’étendre sur un transat pour me sécher tout en admirant les deux naïades. Nelly,la première, sort à son tour et vient se coucher sur sa serviette à mes côtés. Ses seins s’étalent un peu sur sa poitrine, mes ses tétons restent tendus.
Après un moment, Geneviève nous rejoint et s’installe sur le bain de soleil resté libre. Elle s’assoit et déclare alors. : • “Moi aussi j’aime me mettre les seins nus ! Ça ne vous dérange pas ?
• Pas du tout dis-je.
• Oh maman ! C’est la première fois que je te vois ainsi ! Dit sa fille. Mais tu es toute bronzée dis-donc !
• J’avais pris l'habitude avec Lu… la locataire.Nous bronzions même nues !
• Oh !
• Je ne vais pas vous déranger, dis-je alors, je suis sec et je dois aller faire des courses, je vous laisse !”Je reprend ma serviette et m’en vais à mon logement. Après une douche, je quitte la maison.
• “Maintenant qu’il est parti, nous allons pouvoir nous mettre à l’aise, déclare Geneviève.” Elle se lève et se débarrasse du maillot dont elle avait simplement baissé le haut. Nelly découvre alors sa mère pour la première fois entièrement nue.
• Mais… Maman ! Tu es toute bronzée ! Et… épilée !
• Oui ! Il y a longtemps. J’avais été obligée de le faire pour un examen et j’avais trouvé ça très agréable. Depuis, je l’ai même fait de façon permanente au laser.
• Eh bien dis-donc ! C’est une surprise !
• Je te choque ?
• N… Non ! pas du tout ! Je ne pensais pas que … C’est vrai que ça te va bien.
• Merci. Mais si tu veux, ne te gêne pas pour moi. Déshabille- toi ! Tu verras, c’est si agréable !”Un peu hésitante malgré tout, mais n’ayant pas envie de passer pour une godiche face à sa mère, Nelly tombe le bas et se retrouve à son tour nue. Elle a conservé une touffe de poils sur son pubis. Châtain clair et peu fournie, le tableau est joli.Sa mère continue, comme libérée.
• “Tu n’as pas beaucoup de poils, tu devrais essayer de les enlever, tu verras, c’est très agréable !
• Maman ! On ne parle pas de ces choses là à sa fille !
• Pourquoi pas ? Nous sommes entre nous ! Une mère peut donner des conseils à sa fille ?
• Tout de même !
• Ça te gêne ? Bon. Dans tous les cas, si tu le fais, évite le rasoir.
• Maman !
• Bon. J’arrête ! On va dans l’eau ? C’est aussi très agréable de nager nue.
• Je ne te reconnais plus !
• Tu crois que je suis trop vieille pour ce genre de chose ?
• Ce n’est pas ça, mais…. Je te découvre ! Cette jolie chaînette autour de ta taille, c’est joli aussi et… drôlement sexy !
• Merci.”Heureusement que Nelly ne s’approche pas trop de sa mère, sinon, elle pourrait voir que quelques maillons de la chaînette forment un “ J’appartiens à Jean”. Geneviève avait eu peur de se faire tatouer mon prénom, aussi avait-elle trouvé ce stratagème, pour m’avoir toujours avec elle. Elle portait d’ailleurs toujours sa chaîne avec le nom dans le dos “Comme cela, vous voyez que je vous appartiens quand vous me prenez par derrière” m’avait-elle déclaré un jour.
La mère et la fille sont ainsi restées un bon moment entre la piscine et les transats, jusqu’à que le soleil se couche et qu’il soit temps de rentrer, les enfants arrivant pour le repas.. Nelly découvrait sa mère sous un nouveau jour. Elle lui devenait ainsi plus sympathique et plus proche. Le soir sous la table, alors que nous mangions avec les enfants, mes deux pieds étaient sollicités, d’un côté par la mère, de l’autre par la fille.
Après le repas, nous sommes sortis avec Nelly pour fumer une cigarette sur la terrasse. Nos enfants sont partis dans leur chambre pour jouer avant de dormir. Geneviève regardait la télévision. Nous sommes restés un bon moment.Nelly avait besoin de parler.
• “C’est incroyable ! Quand tu es parti tout à l’heure, ma mère m’a proposé de nous mettre nues. Apparemment elle en a l’habitude.
• Dommage que je sois parti !
• Salaud ! Ne rêve pas ! C’est justement parce qu’on était tranquilles, que nous l’avons fait.
• Normal !
• Oui. Mais ce qui m’a surprise, c’est que ma mère est… entièrement bronzée !
• Je la comprend. Elle est souvent toute seule et c’est vachement agréable.
• Toi aussi tu bronze à poil ?
• Oui, Bien sûr ! Pas toi ?
• Je n’ai jamais eu l’occasion. Je n’y pensais pas.
• Et alors ?
• Alors quoi ?
• Vous avez bronzé à poil ?
• Salaud ! Oui ! C’est la première fois que je voyais ma mère comme ça. Elle avait l’air vachement à l’aise.
• Et toi ?
• Au début, j’étais un peu crispée, mais après tout… C’est vrai que c’est agréable, comme quand on est dans l’eau.
• C’est sûr.
• Je… Je ne sais pas si je peux le dire….
• Tu en as trop dit ou pas assez.
• C’est que… C’est… intime… • Ne le dis pas alors !
• Après tout… Elle s’épile..
• D’accord !
• Je veux dire… intimement !
• Ah oui ! quand même !
• Ça te choque ?
• Non… Elle fait ce qu’elle veut, même si c’est surprenant… chez elle !
• Tu trouves aussi ?
• Ben… La connaissant, on y pense pas, mais, pourquoi pas ! Qu’est ce qui te gêne ? Son âge ?
• Non… C’est pas ça !... Enfin,un peu...Et elle est bronzée… intégral !
• Elle n’est pas si coincée qu’elle n’en a l’air, mais bon… • En plus elle porte une chaînette à la taille… “ Je fais semblant d’être indifférent, mais je me demande ce qu’elle a vu. “C’est joli d’ailleurs ! Je la trouve rajeunie.
• C’est vrai !
• Tu crois que… • Que quoi ?
• Qu’elle a…. quelqu’un ?
• Tu veux dire un amant ?
• O.. Oui !
• Bien lui fasse !
• Tout de même !
• Elle n’y aurait pas droit ? Elle a avalé quelques couleuvres non ?
• C’est que… C’est bizarre ! C’est ma mère… • Laisse-la vivre sa vie. C’est vrai qu’elle est mieux qu’avant, plus… ouverte, moins… autoritaire…. comment dire, plus… abordable.
• Tu trouves bien toi ?
• Je crois oui.
• Finalement tu as raison. Je la préfère comme ça.
• Tu vois !
• Bon. Tout à l’heure, tu laisses ta porte ouverte en bas ? J’ai envie… • Salope !
• Alors ?
• Si tu n’as pas peur de faire du bruit et que ta mère ne t’entende… • Je m’en fout… Enfin, non, mais… Tout ça m’a excitée !
• Fais comme tu veux.
Tu n’as pas l’air très enthousiaste. Tu n’as pas envie ?
• Bien sûr ! Tu es vraiment une salope !
• Dis que ça ne te plaît pas ?
• Je n’ai pas dis ça !
• A tout à l’heure mon salaud de beau-frère !
• C'est ça qui t’excite !
• Oui ! Aussi .”Nous rentrons dans la maison. Geneviève regarde la télévision et nous installons avec elle. Nelly me lance un regard frustré. A la fin du programme, Geneviève nous quitte en nous souhaitant une bonne nuit. Je fais de même, laissant ostensiblement Nelly seule. Alors que je me dirige vers l’escalier qui descend à l’entresol, Geneviève qui m’attendait, se colle à moi et m’embrasse “Bonne nuit mon amour ! Pensez à moi comme je penserai à vous ! Je vous aime ! Bientôt nous serons seuls à nouveau”Une heure plus tard, je sommeille à moitié sur le canapé en regardant la télévision, .

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