La voisine est une salope !

- Par l'auteur HDS JefCostello -
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Récit libertin : La voisine est une salope ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La voisine est une salope !
Enfin je publie notre histoire à 4 mains que je devais ecrire avec Mireille et que j'ai finalement ecrite avec Hélène...
Cette femme est une surprise, j'ai commencé une histoire sage et elle m'a entrainé dans une histoire très... Hard !

Merci Hélène, tu es une femme sublime !

Et si une autre femme souhaite écrire avec moi, merci de me le dire. C'est une expérience que j'ai adorée !!!



Il me regarde, je le sais mais lui se croit seul. Je suis dans mon petit jardin, celui de notre appartement du rez-de -chaussée. Il est à l’étage de la maison d’en face. Je sais qu’il rentre tous les jours en vélo pour déjeuner et quand je sors fumer ma cigarette, il me regarde en buvant son café. Je sors avec mes lunettes de soleil et je l’observe discrètement en levant les yeux. Il se penche à sa fenêtre avec sa tasse à la main.
J’ai décidé aujourd’hui de le chauffer, de l'allumer même…
Je suis en jupe, j’ai un chemisier blanc très classique, presque sévère. Mais je n’ai pas de sous-vêtement. Il ne verra pas sous ma jupe mais il peut sûrement voir ma poitrine moins bien tenue surtout qu’elle est bien présente.
Je suis encore une belle femme, les regards se tournent sur mon passage, j’adore ça. Je porte bien ma 50aine, presque puisqu’encore à 49 pour quelques mois. Je suis encore fine sauf pour cette poitrine qui parfois me gène mais qui plait, je le sais.
Sauf aussi pour ce petit “bidon” qui ne me gène pas …Et malheureusement pour ces fesses que je voudrais plus rondes mais c’est comme ça !
Je me retourne vers la baie vitrée, je me baisse pour écraser ce mégot dans le cendrier au sol. Il a une vue sur mon cul tendu dans cette jupe droite. Je me relève, je pivote lentement, je déboutonne un bouton de mon chemisier. Le décolleté est superbe. J’écarte les pans en relevant la tête comme si je voulais me faire bronzer. Je ne suis pas en face de lui, je regarde l’appartement voisin de mon voyeur. Il a bougé, il s’est penché, il est ferré !

Il est l’heure de mon café. Le soleil est là et je vais sûrement voir la voisine d’en face, c’est l’heure de sa pause clope !
J’aime bien mater, personne ne pense à lever la tête et moi je suis là à profiter de la situation. Je comprends pourquoi Hitchcock a filmé Rear Window, il était aussi voyeur que moi.
Elle sort, elle allume sa cigarette et elle prend le soleil. Je ne vois pas ses yeux, elle porte des lunettes mais aujourd’hui, elle est superbe. Les cheveux courts qui dessine un cou superbe, cette poitrine qui me damne, ronde et très prononcée dans ce chemisier blanc. C’est la première fois que je la vois comme ça, j’ai déjà quelques picotements…
Elle flâne, elle fait quelques pas et je devine sa poitrine avec ma vue plongeante. Il y a quelque chose de changé, serait-il possible qu’elle n’ait pas de soutien gorge ?
Pourtant, je suis sûr que sa poitrine ne bougeait pas comme ça les jours précédents. Sa cigarette se termine, elle va l’écraser dans le cendrier posé sur la marche de la baie vitrée.
Hé, elle a un cul sublime ! Elle s’est pliée en gardant les jambes droites pour écraser sa cigarette. Quelle souplesse ! Mais surtout quel cul ! C’est la première fois qu’elle est comme ça, j’adore !
Tiens, elle ne rentre pas, elle revient vers le milieu du jardin et … Elle ouvre son décolleté pour l'exposer au soleil, je crois que j’ai vu un de ses tétons!!!!


Je suis maintenant derrière mon rideau et je l’observe. Il s’est penché, j’ai cru qu’il allait tomber !
Je pense qu’il est mûr, je vais continuer à jouer avec ce voyeur…
Elle retire sa jupe et n’est plus habillée que de ce chemisier blanc dont elle a retroussé les manches et qui n’est fermé que par les deux boutons du bas. Elle ouvre alors la baie vitrée et sort dans le jardin, pieds nus sur la pelouse rase, elle a son téléphone à l’oreille.
S’il n’a pas une érection avec ça, je me fais nonne !
Je parle fort en anglais à un correspondant fictif. Ça me permet de le surveiller du coin de l'œil. Il est comme fou, j’adore.
Je me penche pour ramasser quelque chose sur la pelouse, il a dû voir mes fesses. Je me retourne et je me fâche au téléphone ce qui a le résultat de faire sortir alternativement mes seins, je raccroche et je rentre furieuse dans l’appartement. Je l'épie maintenant derrière la fenêtre en souriant, je suis très heureuse de mon petit cinéma.

Tiens, elle revient… Mais elle est à poil ! Juste ce chemisier ouvert, incroyable, elle a dû être interrompue par un appel alors qu’elle se changeait et j’ai une “extra ball” de voyeur, merci l’interlocuteur mystérieux !
Elle est énervée, on entend bien qu’elle est furieuse. Elle parle anglais sans accent, c’est agréable.
Je vois ses seins sublimes, j’ai même vu ses fesses, une bonne partie de ses fesses. Peut-être un peu plates mais je pourrais m’y sentir bien, très bien même !
Il faut que je lui parle mais je ne sais même pas où est l’entrée de la résidence. J’y vais. Je vais prévenir que je serai en télétravail cet après-midi et je vais attendre sa sortie. J’attendrai jusqu’à ce soir s’il le faut, elle finira bien par sortir !

Il est vraiment excité. Je le vois regarder partout, je sais qu’il doit bientôt partir. Je vais lui faire une surprise…

Je pars, je laisse mon vélo. Je pense que l’entrée de la résidence est à côté de celle du parking souterrain. J’ai une érection de jeune homme. La même que quand je regardais les poitrines des femmes topless sur la plage quand j’avais 15 ans. Je suis vraiment un voyeur !
Je sors du hall d’entrée qui donne sur la rue, je regarde à gauche et je vois le parking. J’avance vers l’entrée et mon regard est attiré vers la rue, le trottoir d’en face. Elle est là. Son chemisier reboutonné mais je vois bien qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Elle porte des talons qui lui donnent une superbe allure. Elle écrase sa cigarette, la mets dans une poubelle, regarde à droite et à gauche et traverse la rue vers moi. Elle sourit, je ne peux plus bouger…

Elle ouvre la porte et m’appelle d’un geste de la main. Je n’ai pas bougé, elle sourit !
Je la suis, je n’ai encore rien dit. Je ne comprends pas pourquoi elle etait là à m’attendre… Ou alors ?
Elle m’a bien eu, elle m’a chauffé, elle a joué avec moi. Un seul mot, bravo !

Nous rentrons dans l'ascenseur et je lui glisse à l’oreille “bravo” ! Elle rit de bon cœur, elle a presque les larmes aux yeux. Je ris aussi, je suis bon joueur.
Mais ou allons nous, vous habitez au rez-de -chaussée ?
C’est vrai, mais je ne veux pas vous emmener chez moi…
Nous arrivons au 4ième et dernier étage. Elle sort des clés et ouvre un appartement et nous rentrons.
Ce sont des amis qui ont déménagé et qui louent leur appartement en rbnb. J’ai les clés. Il n'y a pas de locataires avant ce week-end…
Elle se tourne vers moi et m’embrasse. Je suis complètement paumé, je ne sais toujours pas ce qui se passe. Elle me pousse sur le canapé et commence à me déshabiller.

Il va falloir que je me reprenne, je n’aime pas être manipulé comme ça…

C’est bien gentil de me regarder, moi ça me donne des idées, on est seuls ici alors on ne vous entendra pas crier.
Je m’attaque à sa ceinture qui ne résiste pas longtemps, j’adore ses yeux qui roulent comme des billes de loto. Il est perdu. Mais il ne résiste pas, il se laisse faire, si on essayait de me violer je mordrais, grifferais. Lui me regarde avec un air un peu bovin..
Le bouton du pantalon, un second, la fermeture zip hop en bas, un caleçon bleu avec des petits poissons on dirait. Ma main se pose sur le caleçon, il tressaille, mais je suis déçue. J’espérais un peu plus de consistance.
Hmm on dirait que je ne vous inspire pas tant que ça ! timide ?
Non, mais on tente rarement de me violer c’est sans doute pour ça que je suis peu en forme pour le moment C’est votre truc de violer les hommes qui vous regardent ?..
Non, juste ceux qui me matent en douce, ce n’est pas très fair play non?

Je me relève, et défait les boutons de mon chemisier sauf le dernier, je me penche vers lui, mon chemisier baille et il peut voir mes seins en gros plan dans l’ombre de mon maxi décolleté.
Je ne te fais pas plus d’effet que ça? Il suffit de tendre la main pour me toucher.
Je défait le dernier bouton et je lui jette mon chemisier au visage. Campée devant lui les seins à l’air, je les caresse, titille mes pointes qui durcissent rapidement. Je relève mon sein droit, ma langue taquine le téton et je fini pas le sucer au prix d’une contorsion un peu douloureuse. Si lui ne semble pas excité, moi je le suis.
Je m’agenouille devant lui, pose mes seins sur ses genoux et ma main passe sur le caleçon. Ah on dirait que mon exhibition fait de l’effet.

Mais le serpent semble se réveiller ? Non?
Heuuuuuuu
Pas beaucoup de vocabulaire. Il semble que les yeux fonctionnent mais la synthèse vocale est en panne. J'espère que les autres fonctions marchent. L’érection à l’air de très bien fonctionner. C’est sans doute pour ça que le langage ne marche pas !!
Pas encore en version multitâche mon cher?

La tête qu’il fait me donne envie de l’agacer plus encore. Je fouille un peu et sors son sexe, qui palpite dans mes doigts. Ses yeux sont presque exorbités. Pas très glamour, ni excitant. Par contre sa queue est plutôt appétissante. Debout devant lui, je me penche en avant laissant pendre mes gros seins et en les faisant balancer doucement. Voir ses yeux qui suivent le mouvement de mes nibards est hilarant. Je dois me contenir pour ne pas partir d’un fou-rire. Le voir loucher quand ma bouche approchait de son gland était encore plus intenable. Je mets un petit bisous sur le bout.
Je me redresse et calmement je fais tomber ma jupe, puis ma culotte que je lui jette au visage. et m’assieds près de lui sur le canapé, le dos contre l’accoudoir une jambe le long du dossier, l’autre avec le pied sur le sol. les cuisses bien écartées, il a une vision imprenable sur ma chatoune. Je reste sans un mot.Va-t-il tenter quelque chose? aura-t-il les couilles de le faire.
Moi je suis prête, il est pas moche une belle queue. Je doute qu’il baise bien mais ça ne me fera aucun mal.
Combien de temps vais-je rester comme ça?

Je suis nu, sur un canapé avec une culotte à la main !

Je bande et c’est la première fois que ça m’arrive sans le décider. Je prends mon sexe pour me racrocher à la réalité et je le masturbe. Il est à moi, je maitrise la situation.
Elle est devant moi, la langue sur sa lèvre, un sourire vicieux qui me regarde. Sa main droite est sur son sexe, une belle chatte aux lèvres ouvertes. Son clito sous ses doigts, elle se cambre légèrement et continue de sourire.
J’ai décidé de reprendre les choses en mains…
J’attrape son poignet, sa chatte est libre. J'attire sa main à ma bouche et je la baise délicatement. Je tire alors violemment en me mettant debout. Elle tombe du canapé et je la tire vers moi. J’ai rapidement mis son bras dans son dos. C’est une clé qui peut faire mal et je la pousse vers le canapé. Elle obéit, le bras que je remonte vers le haut de son dos lui tire un cri de douleur. Elle est maintenant à genoux sur le canapé, je prends ses cheveux de mon autre main et je plaque sa tête sur le haut des coussins. Je pousse lentement son bras et me penche à son oreille, “tu es une salope ! “.
Je lâche son bras et prends avec mes deux mains ses cheveux que je tire. J’ai les jambes écartées, mon sexe se dresse contre son cul. Je plie les genoux, mon sexe contre le sien et je force. Elle bouge pour remonter son cul, je pense que sa main gauche, aide à la pénétration et mon sexe disparait sans ménagement.
Elle était prête mais son cri est autant de plaisir que de douleur !
Je lime sans m'arrêter, toujours en tirant ses cheveux. Elle a maintenant sa tête dans le coin du canapé. Je monte une jambe et j’accélère mon mouvement. J'aime faire claquer mon pubis sur son cul, je veux que l’immeuble entende !
Je ralentis maintenant un peu, je veux profiter et je laisse mon sexe en elle pour le sortir lentement et me replonger dans cette chatte sublime !
Sa peau est pâle, presque blanche. Son cul commence à rougir sous les tapes de mon bassin. J’ai une idée, une envie…
Je me retire, elle reprend son souffle et se tourne vers moi. Je sens qu’elle veut reprendre la direction de nos ébats. Son œil pétille et un sourire lui revient.
C’est le moment que je choisis pour lui claquer la fesse de ma main gauche. Je suis gaucher, je n’ai rien retenu, son cri non plus…
Elle me regarde de nouveau et sourit...
C’est une provocation, je le prends comme ça et c’est une volée de claque qui s’abat sur ses fesses si blanches. Une main après l’autre, en rythme et avec l’envie de faire rougir, peut-être de faire mal !
Elle accepte le jeu et répond à chaque coup par un petit cri de plaisir mais je sens qu’elle commence à souffrir. Son cul est rouge écarlate et contraste avec le reste de son corps si pâle.
Elle se tourne vers moi et je vois ses yeux humides. Je ralentis et commence à caresser son cul, elle tremble, j’adore, je me mets à genou et embrasse ce cul. Je recule, je souris et m’assois sur le canapé. J’ouvre un bras et elle vient se caler contre moi.

Je me presse contre lui, je pensais qu’il allait baiser comme un lapin mais non le salaud m’a fait mouiller comme une folle, ma main caresse sa queue qui frétille. et je serre bien sa tige en décalottant son gland gonflé, je tire fort Il geint doucement mais il ne m'empêche pas de le faire, le frein blanchi et s’étend, il grimace un peu je dois faire attention. Si je le maintiens longtemps ainsi il va éjaculer et j’ai pas envie de gâcher son sperme.
Je le regarde droit dans les yeux..
J’approche ma bouche, ma langue dessine la forme de sa bouche je lui dessine les lèvres avec la pointe de ma langue. Je recule un peu je souris et lui dit :
Maintenant je vais te sucer, mais ne jouis pas , surtout pas j’ai envie que tu m’encules , que tu me défonce le trou du cul que tu me fasse gueuler comme une pute.et si tu a envies de me cogner fais le j'aimes ça, mais des vrais gnons pas des caresses.
Sur ce j’arrondis ma bouche et avale le gland descendant lentement mes lèvres je mouille sa queue et une fois qu’il est au fond de ma gorge je le laisse sortir de ma bouche,il donne des coups de reins, timide !
Ma main se referme sur ses couilles je les presse et les malaxe pendant que mon index cherche la pastille de ce mâle voyeur…

va t’il m’enculer? vais je le doigter en le suçant?

Incroyable, cette fille est incroyable !
Je pensais prendre un petit temps calme, un calin tranquille avant de remettre ça et la voilà qui veut me doigter et que je l’encule !
Il faut vraiment que je reprenne les commandes. La fessée n’a pas suffit, je dois passer à l’étape supérieure…
Je l’attrape par ses cheveux d’une jolie rousseur et je tire en arrière. Je me lève en la tenant toujours par les cheveux et je l’oblige à s’agenouiller devant moi pour me sucer de nouveau. Je force plusieurs fois mon sexe au fond de sa gorge et après plusieurs instants, je me retire et la laisse presque étouffer. Elle est rouge, elle reprend son souffle difficilement, je la regarde dans les yeux en la tenant par les cheveux et la rejette légèrement en arrière. Elle ne s’attendait pas à ce mouvement et se retrouve au sol.
Je pars vers la cuisine. Je me retourne, elle se masse l’épaule sur laquelle elle est tombée.

Dans la cuisine, je trouve des torchons, je prends une spatule. Dans la salle de bain, je prends les ceintures des peignoirs, une brosse à dent et une bouteille de shampoing et de la creme nivea dans l’armoire à pharmacie !

Je reviens vers ma chère Hélène, j’ai eu le temps de lui demander son prénom. J’ai un verre d’eau et je lui fais boire quelques gorgées. Je bois à mon tour et je lui souris. Elle sourit aussi et je lui jette le reste d’eau au visage. Je l’attrape ensuite par les cheveux et je la relève. Son visage dégouline et elle est gênée par l’eau dans ses yeux et ses cheveux qui collent.
J’attache ses poignets avec une ceinture de peignoir, je serre fort et j’attache l’autre bout à une tringle à rideau. L’appartement est sous les toits, il est mansardé et il y a encore des poutres apparentes.
Elle est devant moi, nue, les bras en l’air attachés et le visage encore mouillé…
J’essuie son visage, d’abord en le léchant puis avec une serviette.
Je me retourne et je regarde mes accessoires…
Je suis toujours nu, j’ai toujours mon sexe en érection, il y a longtemps que je n’ai pas été aussi excité !
Je vais près du canapé et je prends mon pantalon. Je me rapproche d’elle et je l’enfile. Elle me regarde intriguée. Je rentre mon sexe sur un coté, j’aime la sensation d’être sans sous-vêtement…
Et au moment de boucler ma ceinture, je la tire lentement et je la prends en main. Je fais un tour autour de ma main en prenant la boucle et je commence à caresser son corps avec le cuir. Le bout de ses seins, son ventre, son dos, je passe même la ceinture entre ses jambes, je frotte un peu et je mets ensuite sous mon nez le cuir, je suis dans un état rare !
Je reduit ma ceinture à une trentaine de cm, je caresse ses seins avec le cuir et je claque, elle crie et son sein rougit. Je claque immédiatement l’autre sein et elle crie encore plus fort. Je me suis un peu laissé aller sur ce deuxième coup…
Elle a maintenant les seins marqués de rouge.
Je descends ensuite sur son ventre, ses cuisses et je claque l’une après l’autre. Elle étouffe ses cris, c’est mieux…
Je la retourne et je recule un peu son cul. Elle est tendue vers moi, ces bras tirent sur le lien. Je me recule et je lâche ma ceinture dans toute sa longueur. Son cul est moins rouge de la fessée de tout à l’heure, elle marque moins que je pensais !
Je palpe ce cul, j’écarte les lobes et je vois son petit trou, je bande encore plus mais ce trou, je ne le prendrai pas tout de suite !
Je fais claquer la ceinture sur une fesse, puis l’autre, j’aime la symétrie et Hélène ne peut retenir deux cris intenses. Elle a des larmes dans les yeux. Sa tête retombe, je pense qu’elle est soumise.
Je la détache et je l’aide à s'allonger sur le canapé. J’ouvre le pot de crème et je masse son cul qui frémis à chaque passage. J’en profite pour lui introduire un doigt dans son cul. Elle est très réceptive et s’ouvre facilement. Je lime maintenant avec deux doigts et je sens qu’elle apprécie. J’arrête ce jeu et je retire mon pantalon. Mon érection est totale. Je la redresse un peu, je masse aussi ses seins écarlates avec la crème. Je lui parle doucement à l’oreille et je positionne mon sexe à l’entrée de son cul. Je masse mon sexe avec mes mains pleines de crème et je la pénètre violemment, sans précaution. Mon entrée s’est accompagnée d’un petit cri mais pas de douleur. C’est elle qui commence le mouvement, il faut que je me coordonne sinon, je vais sortir et je suis si bien.
Je lime en faisant claquer mon pubis sur son cul, je vois sa main sur son clito, je prends ses cheveux et je la tire vers moi. Je vais jouir… Je jouis, dans son cul, je n’ai pas mis de préservatif, je le vois seulement maintenant !
Je la relève et je l’accompagne à la salle de bain, je démarre une douche fraîche et je nous glisse dessous. Je la sers dans mes bras sous le jet, je l’embrasse.

Enfin un mec qui sait baiser une femme comme moi. sous la douche tiède je reprends mon souffle; il m’a bien baisée je reconnais. Maintenant il va comprendre qui je suis.. J'attrape sa main, la tire vers moi, lèche ses doigts, sa paume, tous les doigts passent sous ma langue. J’avise la grosse bouteille de shampoing ça fera l’affaire. J’enduis ses doigts de sa main d’une énorme quantité de shampoing Il me regarde faire interloqué. Puis avec la bouteille de shampoing je rentre le col dans mon anus et a deux mains j’appuie sur la bouteille, je sens le liquide visqueux et gras se répandre dans mon cul. Je le regarde avec un air de défi.
Défonce mon cul jusqu’au coude chéri .. j’aimes ça si tu ose.
Je me mets en position, la mains droite branle mon sexe et s’enfonce profondément. De ma gauche j’écarte mes fesses, pousse mon anus qui ressort facilement attendant une vraie défonce qui me fais mouiller déja comme une folle.j’ai le clito enflé qui dépasse son capuchon.
Le pauvre n’a surement pas connu de folles dans mon genre, il ne sait pas jusqu’ou je peux l’emmener. Je ne sais pas même moi jusqu’ou je peux aller. Trop loin un jour sûrement…

Incroyable, elle ne s’arrête jamais !
Elle est sortie de la douche. Elle est penchée en avant et se tient au lavabo, les jambes écartées. Son cul dégouline de shampoing. A mon tour, je branle mon sexe et il commence à mousser !
Je me rapproche et je prends une serviette. Je la roule sur elle même en tenant deux coins opposés. Je tends entre mes mains la serviette et je lache la main arrière. La serviette vient fouetter le cul et arrache un cris de douleur plus fort que les précédents. je vise l’autre fesse et je renouvelle le geste. Elle essaye de retenir son cri mais il est fort.
Je me rapproche, j’attrape son cul et je pose mon sexe sur son anus. Elle a de belles jambes, elle se plie sur ses genoux, elle est plus basse que moi mais je n’arrive pas à la pénétrer. Je l’attrape par les cheveux et je la jette au sol. Je la mets sur ses genoux, la tête au sol, son cul en l’air et je passe une jambe de chaque côté de ses cuisses. Je me plie à mon tour, je prends mon sexe bien raide et luisant de shampoing, je guide sur son anus et je la pénètre. Elle sursaute et pousse un petit cri mais je vois qu’elle sourit.
Je lime alors violemment son anus, j'appuie sur sa tête qui s’écrase contre le carrelage. Je prends ses bras au niveau de ses biceps et je m'accroche en tirant en arrière. Je suis dans son cul comme dans sa chatte !
Je m’attarde au fond, nos corps collés par plaisir mais aussi pour faire durer. Je continue de limer et je me retire. Je pose ma main en pointe sur son anus et je pousse, mes doigts rentrent de plusieurs phalanges, je bloque sur la largeur, je ne peux pas m'arrêter là !
Je finis par enfoncer ma main presque complètement et c’est là que j’éjacule à gros jets sur ces cheveux, sur son visage souriant.
Je me retire, je vois sortir de son anus un mélange liquide un peu brun, un peu rouge aussi…
Je retourne sous la douche et je me rince rapidement.
Je sors et je la vois sur les toilettes…
J’attrape ses cheveux et je l’embrasse.
“Tu es à moi maintenant ! “
Je retourne dans le salon, je me rhabille et je sors.
Cette fille est incroyable… Mais l’histoire n’est pas terminée !

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