Nathalie 2 - histoire érotique

Nathalie est repartie, elle était contrariée. Contrariée de s’être laissé faire, de ne pas avoir résisté mais aussi heureuse du moment et du plaisir qu’elle avait ressenti.
Je commençais à comprendre que la relation n’allait pas être simple…
Je suis parti, satisfait, heureux du moment de plaisir mais aussi heureux du plaisir donné et j’ai compris qu'il ne fallait pas trop se poser de question. Ma philosophie de vie est de profiter des instants, de vivre intensément et respectueusement bien sûr.
Nos échanges ont été compliqués ensuite. Elle m’a même dit ne pas pouvoir me voir parce qu’elle avait un rendez vous avec un vrai gentleman. Je lui ai dit que j’étais heureux pour elle et j’ai laissé notre relation là. Soit elle me rappelait, soit c’est moi qui finissait par le faire mais pas tout de suite.
Lundi dernier, j’ai reçu un sms où elle me parlait d’une relation commune. Un sujet futile mais j’ai rebondi et nous avons échangé. Je lui ai demandé si elle était en télétravail et elle m’a répondu que non. Mais le message suivant disait “vendredi”. J’ai souri.
Plus de message le mardi ni le mercredi et le jeudi, j’ai reçu une demande pour déjeuner à Paris. J’ai décliné et elle m’a proposé de déjeuner le vendredi.
Je l’attendais, je l'ai appelée et lui ai répondu que c'était une bonne idée, que comme elle était en télétravail, je proposais de passer chez un traiteur et d’apporter le déjeuner. “Indien ou japonais ?”
Après un instant d'hésitation, elle a répondu japonais mais… J’ai coupé court en lui disant que j’avais un double appel ;“tu m’envois ton adresse par sms?” et j’ai raccroché.
J’ai attendu, elle n’a pas rappelé et quelques minutes après, j’ai reçu l’adresse, le code d’entrée, le code de l’ascenseur, le parking visiteur de la résidence, une véritable invitation à… Déjeuner bien sûr !
Le lendemain, j’ai pris une bouteille de champagne et une de vin dans la réserve de l’entreprise pour les invités. Je suis passé au Monop pour les sushis que je trouve assez bon et j’ai pris un melon et des fraises pour accompagner le tout.
J’ai reçu un sms qui disait “12h, je reprends à 14h mais ce sera souple cet après-midi”. J’ai souri en pensant à la souplesse de l'après-midi…
Je suis arrivé devant sa porte les bras chargés de sac et d’un bouquet de fleurs qui l’a ravi. Elle m’a fait rentrer dans son appartement, parfaitement rangé et presque impersonnel. Elle m’a dit qu’elle avait encore un rendez-vous téléphonique et qu’elle serait libre. Elle a pris son casque-micro et je l’ai entendu appeler puis se lancer dans une conversation pro insignifiante. Je pense qu’elle m’a joué le grand rôle de la working girl…
Elle est habillé d’un jean moulant qui montre bien ses formes et en particulier ce cul superbe et d’un chemisier blanc, déboutonné sur un décolleté plutôt sage… Pour le moment !
J’ai installé notre repas, j’ai trouvé des coupes pour le champagne et même un seau à glace, elle a souri.
Elle a raccroché et est venue vers moi pour m’embrasser et me remercier pour le bouquet. j’ai à mon tour souri et déboutonné un bouton de son chemisier. Elle a faussement râler en souriant et en me laissant faire. J’ai aperçu un joli balconnet rouge et sa poitrine débordante…
J’ai servi les coupes de champagne et nous avons trinqué. Elle m’a dit qu’elle ne tenait pas bien l’alcool mais qu’elle aimait le champagne. J’ai complété son verre !
Nous avons déjeuné rapidement. Elle m’a dit qu’elle devait mettre un message pour dire qu’elle ne serait joignable qu’en cas d’urgence. J’ai souri, elle s’est assise à son bureau, je me suis placé derrière elle. Je l’ai embrassé dans le cou et ma main s’est glissée sur sa poitrine. “Pas maintenant !” mais m’a laissé faire.
“voilà ! “ Elle a fait pivoter son siège et s’est retrouvée assise devant moi. Je l’ai embrassée en la maintenant assise, je me suis redressé en m’avançant, elle a dégrafé ma ceinture, déboutonné mon pantalon et sorti mon sexe. J’avais encore ma coupe de champagne, Elle m’a sucé pendant que je savourais ce nectar, elle souriait. J’ai versé quelques gouttes sur mon sexe et elle s’est précipité pour le prendre en bouche et à son tour rire.
Elle me caressait, me suçait, elle appliquait une aspiration en même temps et elle branlait mon sexe dans son érection maximale. Elle restait en gorge profonde, elle voulait me montrer son “apnée de championne” alors j’ai sorti mon sexe et maintenu son visage par les cheveux en branlant mon sexe. L’éjaculation a couvert son visage. Elle essayait d’échapper aux jets. Je souriais, elle était furieuse. J’ai fait couler le reste de mon champagne sur son visage. Elle se débattait et le sperme se mélangeait au champagne, coulait le long de ses joues, au bord de ses yeux…
Je l’ai embrassée, elle s’est calmée et a fini par sourire de nouveau. J’ai essuyé son visage avec une serviette, délicatement, avec beaucoup d’attention. Je l’ai relevé et accompagné vers le canapé. J’ai terminé d’essuyer les dernières traces près des cheveux et je lui ai servi une coupe. Elle était calme. Ça n'allait pas durer…

Nous avons mangé des fraises et du melon que j’avais préparé. Elle était dans mes bras. Je la câlinais et lui proposais les fruits que j’avais parfois déjà mordus, nous étions deux ados.
“Je ne pensais pas vivre ça… Et aimer ! “
J’ai souri.
“Nous en vivrons d’autres, fais moi confiance!”
“Il faut que tu obéisses, es tu prête ?”
Elle a réfléchi, s’est redressée. Elle a hésité.
“oui”
J’ai répété “es tu prête?” en forçant le ton et elle m’a répondu un franc “OUI !”.
J’ai souri.