Laure très chaude, une envie
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2014 dans la catégorie Plus on est
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Laure très chaude, une envie
Leslie VC04 – Vacance en camping-carLaure très chaude, une envie
Alors que nous roulions tranquillement sur une belle petite nous conduisant à Forcalquier, Laure soudain, alors que j’étais au volant, Laure se rapprocha de moi et posa sa main sur mon sexe et me disant :- Chérie, j’ai une furieuse envie de baiser. Arrêtes-toi quelque part.
Laure, depuis que nous sommes en vacances et que nous sillonnons les routes du sud de la France, est insatiable, sa libido est au maximum et de plus, elle très gourmande…Mais là, sur cette route de campagne, s’arrêter n’est pas si simple avec le bahut que je conduisais, d’ailleurs Laure le savait trop bien, alors je lui demandais :- Tu ne peux vraiment pas attendre un peu que nous soyons posées pour l’étape du soir ?
- Chérie, il est trois heures de l’après-midi, ça urge, et une envie est une envie, plus tard ce ne sera qu’un souvenir !
Sur cette petite route de Manosque à Forcalquier, je trouve enfin un endroit pour garer le bahut, tout près d’une petite aire boisée en bordure de la route, je m’arrête c’est le coin idéal et discret pour abriter nos ébats.
Nous descendons du camping-car et empruntons un petit sentier, s’enfonçant dans le petit bois et nous nous y enfonçons…Le lieu est très isolé, et Laure avait déjà fait passer son débardeur par-dessus sa tête, libérant ses seins aux pointes tendues, s’isolant dans un bosquet, j’enlevais mon short, libérant mon sexe que nulle culotte ne gênait et m’allongeais à même la mousse au sol.
Laure se mit nue et nous nous sommes retrouvées à poil, allongées côte à côte sur la mousse.
Laure écarte aussitôt ses jambes et me dit :- Lèches-moi, j’ai trop envie !
J’adore lécher Laure avant de la pénétrer, alors me plaçant entre ses cuisses, j’ai commencé à lécher sa chatte, aspirant son clitoris, lapant son anus.
Elle me demanda de me mettre en soixante-neuf au-dessus d’elle pour prendre mes bourses à pleine bouche tout en excitant mon gland d’un doigt humide.
Seuls nos bruits de succion troublaient le silence bucolique du bosquet, Laure manifestant de plus en plus d’impatience, me dit :- Viens maintenant, je suis à point, tu vas t’enfoncer en moi, j’ai tant attendue !
- Attends, suce-moi encore un peu.
- S’il te plaît, j’en peux plus, prends-moi maintenant, sinon je ne réponds plus de rien !
Je m’exécutais et la pénétrais d’un coup dans la position classique du missionnaire, moi en appui bras tendus pour voir ses seins s’agiter et son visage exprimer le plaisir, elle genoux hauts et talons vrillés dans mes côtés.
Nous eûmes le même râle de satisfaction et aussitôt je la besognais dur. La pression de ses pieds sur mon dos était très forte quand je m’enfonçais, tant elle avait besoin de sentit ma queue en elle. Ses ongles plantés dans mon flanc me faisaient mal. Elle m’injuriait presque :- Salope, tu m’as fait languir, mets-la-moi complètement, baise-moi !
Quoi qu’elle en dise, j’étais sacrément raide et mes coups de reins se faisaient violents. Nous variâmes les positions, et elle me chevaucha avec ardeur
Laure ruisselait de sueur, des gouttes d’eau coulaient entre ses seins, elle se donnait en remuant sa croupe au-dessus de moi, mon sexe enfoncé très profondément en elle.
- Chérie, tu vas me faire jouir, dis-je.
- J’y compte bien, mais tu as intérêt à ne jouir qu’après moi !
Un cri sortit de sa gorge quand son corps se tendit sous l’effet de la jouissance, alors je me déversais en elle, pour sa plus grande satisfaction.
Après un court instant de répit, elle se mit à quatre pattes sur la mousse pour que je la prenne en levrette, la tête dans ses bras pendant que je la limais, mes mains empaumant ses seins qui ballottaient sous mes assauts.
- Oh, c’est trop bon, encule-moi maintenant !
Elle était tellement humide de partout que mon sexe s’enfonça presque sans résistance dans son anus.
Mon bassin martelait ses fesses musclées avec un clapotis sonore et elle tournait la tête vers moi comme pour s’assurer que je n’allais pas me retirer et la laisser ainsi.
L’orgasme nous frappa au même moment et je m’effondrais sur elle et nous restâmes ainsi, sans bouger pendant un long moment.
Nues, nous nous dirigeâmes vers le camping-car, Laure m’embrassa avec passion avant de monter dedans et en me caressant les bourses, elle me dit :- Ma chérie, on ne met que le haut et on reste le cul nu !
- Comme tu veux, dis-je.
- Ainsi je vais pouvoir me caresser et te sucer si j’en ai envie !
Repues et comblées, nous reprîmes la route du chemin de nos vacances vers l’étape du soir, Laure paraissait heureuse, et pendant que je redémarrais, elle commença à se caresser en me regardant de temps en temps et en soupirant de plaisir.
Elle me suça aussi, puis elle se mit un plug dans le cul en continuant de se doigter, le routier arrêté au feu rouge près de nous faillit s’étrangler en voyant Laure, les cuisses grandes ouvertes se doigtant allégrement, le cul investit par le plug, je suis certaine qu’il aurait bien aimé remplacé le plug par sa bite certainement dressé, car au démarrage, il nous le fit savoir à grands coups de klaxon…
Le soir à l’étape nous avons encore fait l’amour et Laure m’a sodomisé pendant près d’une heure, j’avoue qu’à cet instant j’aurais bien aimé sentir un liquide chaud me remplir les entrailles, mais je dus me contenter du gode de Laure…
A suivre…
Alors que nous roulions tranquillement sur une belle petite nous conduisant à Forcalquier, Laure soudain, alors que j’étais au volant, Laure se rapprocha de moi et posa sa main sur mon sexe et me disant :- Chérie, j’ai une furieuse envie de baiser. Arrêtes-toi quelque part.
Laure, depuis que nous sommes en vacances et que nous sillonnons les routes du sud de la France, est insatiable, sa libido est au maximum et de plus, elle très gourmande…Mais là, sur cette route de campagne, s’arrêter n’est pas si simple avec le bahut que je conduisais, d’ailleurs Laure le savait trop bien, alors je lui demandais :- Tu ne peux vraiment pas attendre un peu que nous soyons posées pour l’étape du soir ?
- Chérie, il est trois heures de l’après-midi, ça urge, et une envie est une envie, plus tard ce ne sera qu’un souvenir !
Sur cette petite route de Manosque à Forcalquier, je trouve enfin un endroit pour garer le bahut, tout près d’une petite aire boisée en bordure de la route, je m’arrête c’est le coin idéal et discret pour abriter nos ébats.
Nous descendons du camping-car et empruntons un petit sentier, s’enfonçant dans le petit bois et nous nous y enfonçons…Le lieu est très isolé, et Laure avait déjà fait passer son débardeur par-dessus sa tête, libérant ses seins aux pointes tendues, s’isolant dans un bosquet, j’enlevais mon short, libérant mon sexe que nulle culotte ne gênait et m’allongeais à même la mousse au sol.
Laure se mit nue et nous nous sommes retrouvées à poil, allongées côte à côte sur la mousse.
Laure écarte aussitôt ses jambes et me dit :- Lèches-moi, j’ai trop envie !
J’adore lécher Laure avant de la pénétrer, alors me plaçant entre ses cuisses, j’ai commencé à lécher sa chatte, aspirant son clitoris, lapant son anus.
Elle me demanda de me mettre en soixante-neuf au-dessus d’elle pour prendre mes bourses à pleine bouche tout en excitant mon gland d’un doigt humide.
Seuls nos bruits de succion troublaient le silence bucolique du bosquet, Laure manifestant de plus en plus d’impatience, me dit :- Viens maintenant, je suis à point, tu vas t’enfoncer en moi, j’ai tant attendue !
- Attends, suce-moi encore un peu.
- S’il te plaît, j’en peux plus, prends-moi maintenant, sinon je ne réponds plus de rien !
Je m’exécutais et la pénétrais d’un coup dans la position classique du missionnaire, moi en appui bras tendus pour voir ses seins s’agiter et son visage exprimer le plaisir, elle genoux hauts et talons vrillés dans mes côtés.
Nous eûmes le même râle de satisfaction et aussitôt je la besognais dur. La pression de ses pieds sur mon dos était très forte quand je m’enfonçais, tant elle avait besoin de sentit ma queue en elle. Ses ongles plantés dans mon flanc me faisaient mal. Elle m’injuriait presque :- Salope, tu m’as fait languir, mets-la-moi complètement, baise-moi !
Quoi qu’elle en dise, j’étais sacrément raide et mes coups de reins se faisaient violents. Nous variâmes les positions, et elle me chevaucha avec ardeur
Laure ruisselait de sueur, des gouttes d’eau coulaient entre ses seins, elle se donnait en remuant sa croupe au-dessus de moi, mon sexe enfoncé très profondément en elle.
- Chérie, tu vas me faire jouir, dis-je.
- J’y compte bien, mais tu as intérêt à ne jouir qu’après moi !
Un cri sortit de sa gorge quand son corps se tendit sous l’effet de la jouissance, alors je me déversais en elle, pour sa plus grande satisfaction.
Après un court instant de répit, elle se mit à quatre pattes sur la mousse pour que je la prenne en levrette, la tête dans ses bras pendant que je la limais, mes mains empaumant ses seins qui ballottaient sous mes assauts.
- Oh, c’est trop bon, encule-moi maintenant !
Elle était tellement humide de partout que mon sexe s’enfonça presque sans résistance dans son anus.
Mon bassin martelait ses fesses musclées avec un clapotis sonore et elle tournait la tête vers moi comme pour s’assurer que je n’allais pas me retirer et la laisser ainsi.
L’orgasme nous frappa au même moment et je m’effondrais sur elle et nous restâmes ainsi, sans bouger pendant un long moment.
Nues, nous nous dirigeâmes vers le camping-car, Laure m’embrassa avec passion avant de monter dedans et en me caressant les bourses, elle me dit :- Ma chérie, on ne met que le haut et on reste le cul nu !
- Comme tu veux, dis-je.
- Ainsi je vais pouvoir me caresser et te sucer si j’en ai envie !
Repues et comblées, nous reprîmes la route du chemin de nos vacances vers l’étape du soir, Laure paraissait heureuse, et pendant que je redémarrais, elle commença à se caresser en me regardant de temps en temps et en soupirant de plaisir.
Elle me suça aussi, puis elle se mit un plug dans le cul en continuant de se doigter, le routier arrêté au feu rouge près de nous faillit s’étrangler en voyant Laure, les cuisses grandes ouvertes se doigtant allégrement, le cul investit par le plug, je suis certaine qu’il aurait bien aimé remplacé le plug par sa bite certainement dressé, car au démarrage, il nous le fit savoir à grands coups de klaxon…
Le soir à l’étape nous avons encore fait l’amour et Laure m’a sodomisé pendant près d’une heure, j’avoue qu’à cet instant j’aurais bien aimé sentir un liquide chaud me remplir les entrailles, mais je dus me contenter du gode de Laure…
A suivre…
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