Laveur de vitres à domicile, début des travaux chez Louise.
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Laveur de vitres à domicile, début des travaux chez Louise.
Après avoir connu une aventure délicieuse avec Tania, la compagne du responsable de la salle des sports, il est l'heure pour moi de téléphoner à Louise afin de la rejoindre pour préparer la rénovation de sa maison.
Il est aux alentours de quatorze heures et après avoir déjeuné dans un parc municipal de la ville afin de me détendre, je prends mon téléphone afin de joindre ma quadragénaire un peu dépressive et en manque d'affection. Celle-ci me répond avec une voix beaucoup plus détendue, ce qui est rassurant me direz-vous.
Je passe à mon domicile pour récupérer du matériel afin de décoller les tapisseries, et me voilà parti en direction de cette petite maison de banlieue. Au bout d'une demi-heure, je suis devant le portail, je sonne, puis je rentre.
Louise m'accueille avec un large sourire, que je lui rends avec un baiser langoureux. Je retourne à ma camionnette, puis je récupère mon matériel. Je rentre dans la maison, visiblement, un grand ménage a été fait, les odeurs de propreté se mélangent avec celle de l'encens. Je lui demande dans quelle pièce elle souhaite commencer les travaux, et me dirige vers une chambre d'ami. Dans cette pièce, il y a un lit, une armoire, et un miroir. Avec son aide, je déplace les meubles.
Avec un vaporisateur d'eau, j'arrose la tapisserie, et je laisse agir pendant quelques minutes.
Celle-ci se décolle facilement, sauf dans les coins, mais ce n'est pas un souci particulier.
Il est presque dix-sept heures, et j'ai quasiment terminé cette mise en place. Samedi, je ferais des ajustements, et il n'y aura plus qu'à faire la peinture.
Je rejoins Louise qui est dans le salon, elle regarde la télévision, les fameux téléfilms policiers de fin d'après-midi. Je lui demande timidement, si elle peut me donner un verre d'eau, elle sursaute un peu, puis accepte de me servir. Je m'assois à côté d'elle sur le sofa, puis nous conversons. Rapidement, notre aventure revient en avant, elle m'explique qu'elle a repris confiance en elle, et qu'elle compte faire des efforts afin de redevenir la femme qu'elle était avant le laisser aller qui a fait d'elle la personne qu'elle est aujourd'hui. Je lui précise malgré tout que notre ébat sexuel m'avait beaucoup plus.
En disant ces quelques mots, je me rapproche d'elle, je la saisis par la taille, nos bouches se rapprochent, et je goûte à nouveau à ses douces lèvres. Elle est habillée avec une robe moderne qui met sa poitrine en valeur. Je ne mets pas longtemps, à descendre une première bretelle puis une seconde. À ma plus grande surprise, elle ne porte pas de soutien-gorge, et je prends en main son mamelon bien lourd. Je titille son téton, puis je le gobe. Je la sens trembler de désir, elle s'allonge sur le canapé, écarte les jambes afin d'être plus à l'aise, puis je déguste cette poitrine si délicieuse.
Je remonte quelques fois pour l'embrasser, puis je glisse lentement en direction de sa vulve.
Deuxième surprise, je m'aperçois qu'elle s'est rasée, et qu'il ne reste qu'un ticket de métro.
Je découvre alors un abricot juteux qui était bien caché. Je le dévore avec envie, je joue avec son bouton magique et je sens Louise défaillir. Ma verge commence à être à l'étroit dans mon pantalon, je me lève, je me déshabille, puis je me remets entre ses jambes pour continuer les préliminaires.
Quelques minutes après, je me lève, me dirige vers sa bouche, je présente mon pénis qu'elle saisit avec vigueur et envie. Les vas et vient sont saccadés, puis je retourne en direction de son vagin qui ne résiste pas beaucoup à mon premier coup de reins. Je commence à lui faire l'amour de façon langoureuse et passionnée. Je prends beaucoup de plaisir, et je la positionne à quatre pattes. Je lui fais une levrette, en saisissant ses seins entre mes mains. J'accélère le mouvement, je suis beaucoup plus bestiale. Puis je me couche sur le dos, et là, c'est un déluge de cyprine qui coule sur ma verge au moment de la pénétration. Louise gère la cadence, et au bout d'une dizaine de minutes, je ne peux plus résister, je sens mon bassin faire des mouvements anarchiques jusqu'à l'explosion de sperme au fond de ses entrailles.
Le souffle accéléré, elle se couche sur moi, mon sexe se détend au fur et à mesure du temps.
Je sens que ma partenaire a eu un orgasme d'un autre monde, elle me le fait remarquer puis m'embrasse langoureusement.
Nous partons ensemble à la douche, comme un petit couple ayant ses habitudes. Puis celle-ci me propose de dîner à la maison. J'accepte sans hésiter, puis elle m'annonce qu'elle va inviter sa copine Marie qui sera accompagnée de sa fille Sonia.
Après un léger silence, je lui dis que cela ne me cause aucun souci, et que ce sera un plaisir de revoir une amie en commun.
Il est aux alentours de quatorze heures et après avoir déjeuné dans un parc municipal de la ville afin de me détendre, je prends mon téléphone afin de joindre ma quadragénaire un peu dépressive et en manque d'affection. Celle-ci me répond avec une voix beaucoup plus détendue, ce qui est rassurant me direz-vous.
Je passe à mon domicile pour récupérer du matériel afin de décoller les tapisseries, et me voilà parti en direction de cette petite maison de banlieue. Au bout d'une demi-heure, je suis devant le portail, je sonne, puis je rentre.
Louise m'accueille avec un large sourire, que je lui rends avec un baiser langoureux. Je retourne à ma camionnette, puis je récupère mon matériel. Je rentre dans la maison, visiblement, un grand ménage a été fait, les odeurs de propreté se mélangent avec celle de l'encens. Je lui demande dans quelle pièce elle souhaite commencer les travaux, et me dirige vers une chambre d'ami. Dans cette pièce, il y a un lit, une armoire, et un miroir. Avec son aide, je déplace les meubles.
Avec un vaporisateur d'eau, j'arrose la tapisserie, et je laisse agir pendant quelques minutes.
Celle-ci se décolle facilement, sauf dans les coins, mais ce n'est pas un souci particulier.
Il est presque dix-sept heures, et j'ai quasiment terminé cette mise en place. Samedi, je ferais des ajustements, et il n'y aura plus qu'à faire la peinture.
Je rejoins Louise qui est dans le salon, elle regarde la télévision, les fameux téléfilms policiers de fin d'après-midi. Je lui demande timidement, si elle peut me donner un verre d'eau, elle sursaute un peu, puis accepte de me servir. Je m'assois à côté d'elle sur le sofa, puis nous conversons. Rapidement, notre aventure revient en avant, elle m'explique qu'elle a repris confiance en elle, et qu'elle compte faire des efforts afin de redevenir la femme qu'elle était avant le laisser aller qui a fait d'elle la personne qu'elle est aujourd'hui. Je lui précise malgré tout que notre ébat sexuel m'avait beaucoup plus.
En disant ces quelques mots, je me rapproche d'elle, je la saisis par la taille, nos bouches se rapprochent, et je goûte à nouveau à ses douces lèvres. Elle est habillée avec une robe moderne qui met sa poitrine en valeur. Je ne mets pas longtemps, à descendre une première bretelle puis une seconde. À ma plus grande surprise, elle ne porte pas de soutien-gorge, et je prends en main son mamelon bien lourd. Je titille son téton, puis je le gobe. Je la sens trembler de désir, elle s'allonge sur le canapé, écarte les jambes afin d'être plus à l'aise, puis je déguste cette poitrine si délicieuse.
Je remonte quelques fois pour l'embrasser, puis je glisse lentement en direction de sa vulve.
Deuxième surprise, je m'aperçois qu'elle s'est rasée, et qu'il ne reste qu'un ticket de métro.
Je découvre alors un abricot juteux qui était bien caché. Je le dévore avec envie, je joue avec son bouton magique et je sens Louise défaillir. Ma verge commence à être à l'étroit dans mon pantalon, je me lève, je me déshabille, puis je me remets entre ses jambes pour continuer les préliminaires.
Quelques minutes après, je me lève, me dirige vers sa bouche, je présente mon pénis qu'elle saisit avec vigueur et envie. Les vas et vient sont saccadés, puis je retourne en direction de son vagin qui ne résiste pas beaucoup à mon premier coup de reins. Je commence à lui faire l'amour de façon langoureuse et passionnée. Je prends beaucoup de plaisir, et je la positionne à quatre pattes. Je lui fais une levrette, en saisissant ses seins entre mes mains. J'accélère le mouvement, je suis beaucoup plus bestiale. Puis je me couche sur le dos, et là, c'est un déluge de cyprine qui coule sur ma verge au moment de la pénétration. Louise gère la cadence, et au bout d'une dizaine de minutes, je ne peux plus résister, je sens mon bassin faire des mouvements anarchiques jusqu'à l'explosion de sperme au fond de ses entrailles.
Le souffle accéléré, elle se couche sur moi, mon sexe se détend au fur et à mesure du temps.
Je sens que ma partenaire a eu un orgasme d'un autre monde, elle me le fait remarquer puis m'embrasse langoureusement.
Nous partons ensemble à la douche, comme un petit couple ayant ses habitudes. Puis celle-ci me propose de dîner à la maison. J'accepte sans hésiter, puis elle m'annonce qu'elle va inviter sa copine Marie qui sera accompagnée de sa fille Sonia.
Après un léger silence, je lui dis que cela ne me cause aucun souci, et que ce sera un plaisir de revoir une amie en commun.
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