Le casino de Hong Kong 2eme partie
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Le casino de Hong Kong 2eme partie
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Au même embarcadère que la semaine précédente, il n'y avait aucun canot. Un homme, un chinois, attendait. Je n'y ai pas prêté attention. Au-dessus du mouillage, un panneau écrit en chinois et dessous, moi, à poil, vue de côté, une bite dans la bouche et une autre dans le cul. J'ai regardé le voyageur et lui ai demandé, en français, s'il pouvait me traduire le panneau. Il n'avait pas l'air de m'avoir reconnue et dans ma langue maternelle et un sourire énigmatique, il dit :
- Jeanne est de retour !
Quand l'embarcation est arrivée, le capitaine m'a reconnu. Il me fit un grand sourire. Celui qui attendait, se courba et m'invita à passer devant lui. Si j'avais pu voir dans mon dos, j'aurais remarqué que ses yeux étaient rivés à mon cul.
Le canot leva l'ancre, et quand je pénétrai dans la cabine, le jeune marin était déjà à poil. L'autre passager me poussa en avant. Le jeune se coucha sur la banquette et me prit par les bras. Le nouveau passager souleva ma robe, se saisit de ma culotte à deux mains et la déchira. Il me poussa vers le jeune qui m'attrapa par la taille. Celui-ci m'attira vers lui et me fit asseoir sur sa queue. Le deuxième larron avait déjà sorti la sienne. Il la plongea dans mon cul. Le capitaine fit enfin son entrée. Il passa devant moi et souleva sa vareuse. Il ne portait rien dessous. Sa bite était dressée telle un menhir. Il me prit par les oreilles et, de force, il abaissa ma tête vers son membre. Le mouvement m'a surpris. Du coup, le gland heurta ma bouche, forçant le passage entre mes lèvres. Il pénétra si loin qu'il heurta le fond de ma gorge. Le gars qui m'enculait, me tenait par les hanches et donnait de grands coups de boutoir qui remuaient mon corps tout entier. En fin de compte, chacune de ses ruées faisaient glisser mes lèvres sur la bite du capitaine.
A l'entrée du navire-casino, le valet obséquieux me tendit la main et dit avec l'éternel sourire asiatique :
- Bonjour Madame, Monsieur Fong vous attend.
Et du bras, il me montra la direction.
Monsieur Fong se montra déférant et m'invita à entrer dans son bureau.
- Bonjour Jeanne !
- Jeanne ?
- Oui ! Jeanne, comme dans le conte !
Il se retourna et me tendit un vêtement emballé dans une enveloppe de soie.
- Allez dormir quelques heures. A votre réveil vous passerez cette robe et on viendra vous chercher. Vous devrez être en forme pour ce soir. Autre chose ?
- Oui. A l'embarcadère, j'ai vu des photos de moi....
- La publicité, chère Jeanne ! La publicité ! Vous verrez qu'on a mis les moyens.
Je me suis couchée, nue. Trois heures plus tard, j'ouvris le paquet remis par Monsieur Fong. Une robe en plastique transparent, criblée de petits trous pour la respiration. Des plumes de toutes les couleurs étaient piquées dans le plastique. Je ne sais pas comment ils ont fait, le brio des fabricants asiatiques peut-être, mais la robe était exactement à ma taille, quoique particulièrement ajustée. La robe entrait entre mes fesses, les plumes n'ornaient que mes épaules. On n'ignorait rien de mon anatomie.
On frappa à la porte de la cabine, et un factotum me prit par la main et, le bras levé, m'accompagna jusqu'au bureau de Monsieur Fong.
- Rebonjour Jeanne. Maintenant, la présentation à votre public. Allons manger !
Deux jeunes filles, dans les 20 ans, européennes, me prirent par la main. Leurs seuls vêtements étaient des étoiles rouges sur le bout des seins et un string pour cacher leur sexe. Elles avaient des petites fesses adorables. Monsieur Fong nous précédait. Une porte à double battants portait l'inscription en chinois, sous-titrée en français :
" Jeanne joue aux dés !"
La porte s'ouvrit. Au centre, une table, deux chaises et un chandelier. Une clameur s'éleva. Monsieur Fong me dit :
- Saluez, Jeanne !
Je me courbai en avant, me tournant vers les quatre côtés de la salle.
Un Ooohhhh ! parcourut l'assistance à chaque révérence. Pas étonnant, sous la robe transparente, mes fesses étaient offertes avec insolence à tous les regards.
Après le repas, Monsieur Fong me fit apporter une nouvelle robe. Celle-ci était aussi ajustée que la première. De couleur perle, elle descendait jusqu'à mes cuisses. Quels que soient mes mouvements, on voyait la naissance de mes fesses. En me regardant dans les glaces de la coursive, même moi, j'étais excitée. Nous retournâmes vers la "salle de jeux". En chemin, Monsieur Fong me dit à voix basse :
- Vous verrez, Jeanne, nous avons innové...
Au milieu de la salle, il y avait une table longue. Elle m'arrivait juste au nombril. On verra plus tard que sa largeur correspondait exactement à la mesure entre mon nombril et mes seins. Un homme était déjà assis. Devant lui, des dés chinois. Ils n'avaient pas de points mais des idéogrammes sur chaque face. En face de moi, un écran. La partie commença. Sur l'écran, les points s'affichaient en chinois et en français. Bien entendu, j'ai perdu.
Le joueur se leva et vint vers moi. Ses cheveux gris et clairsemés étaient sales. Il était habillé comme un paysan des rizières. Il me prit par la main et je me levai. Un projecteur s'alluma et une puissante lumière blanche fit un cercle sur le sol. Il me fit mettre à genoux et releva sa tunique. Il ne portait rien dessous. Son sexe pendouillait. Il le prit en main et me le tendit. Je m'approchai. Il puait la sueur. Il éructa quelque chose et sur l'écran je vis s'inscrire, sous le texte chinois :
- Suces !
Une voix résonna dans un micro :
- Obéissez Jeanne, c'est le jeu !
J'écartai les lèvres et l'infecte monceau de chair pénétra dans ma bouche. L'homme posa ses mains sur ma tête et, à grands coups de reins, il faisait glisser sa pine nauséabonde sur ma langue. La nausée me guettait quand, devenu raide, il s'enfonça tout entier en criant. Je regardai l'écran :
- Avales !
J'ai dégluti, et avec un air de dégoût, j'ai tout avalé. Le chinois s'est rajusté et est retourné s'asseoir. L'air furieux, je suis retournée jouer. Cette fois, j'ai perdu deux parties d'affilée. Je me suis levée, et une clameur s'éleva. Le chinois se leva lui aussi mais se contenta de reculer. Une main dans mon dos me poussa vers la table. Sur l'écran, je vis deux grands noirs. Le premier était celui qui m'avait poussé vers la table. Je me retournai et je poussai un cri. Ils étaient nus. L'un avait une bite grosse comme mon bras, le second, moins gros, avait une bite d'au moins trente centimètres. Je n'avais jamais vu ça.
Le gros gourdin me coucha sur la table. Mes fesses étaient proéminentes. Ma tête et mes seins dépassaient de l'autre côté. Il passa ses mains entre mes jambes et écarta mes cuisses. Il souleva ma robe, et découvrit ma culotte. Il la saisit à deux mains et la déchira. Nouvelle rumeur dans l'assistance. Il frotta son bazooka sur mes petites lèvres. Sur l'écran, en gros plan, on vit l'énorme engin écarteler ma chatte. Les mains sur mes fesses, il plongea son monstrueux attribut jusqu'à la garde.
Devant moi, le type me prit par les cheveux et releva ma tête. Il regarda mon visage avec un sourire sardonique. Il tenait sa lance à incendie dans sa main. J'ouvris la bouche et il la glissa entre mes lèvres. Il se colla contre la table et quelqu'un vint me prendre les mains. Il les tira, et avec un lacet en cuir, il les lia dans le dos du noir. Celui-ci me tenait toujours les cheveux. Il passa une main sous mon menton et releva ma tête. Au micro, la voix annonça :
- Au signal, avalez !
Un bip retentit. Dans mon dos, le noir donna un coup de reins et l'autre me tirant les cheveux se propulsa en avant. En même temps, je déglutis et la bite s'enfonça dans mon œsophage jusqu'à ce que mes lèvres touchent le pubis de son propriétaire. Les deux noirs levèrent les bras en l'air et sur l'écran, des caméras bien placées, montraient mes lèvres distendues sur le sexe dans ma bouche et l'autre, à moitié sorti de ma moule pour que tout le monde puisse voir la grosse que je venais de prendre.
Retour à la table de jeu. Cette fois je perdis trois parties. Le gros noir se coucha sur la table, sur le dos, la queue dressée. Sur l'écran, je vis un géant s'approcher dans mon dos. Il me prit par les hanches, et, appuyée contre son torse, il fit glisser ses mains sous mes cuisses. Il les écarta et me porta jusqu'au-dessus du noir. Le gland touchait ma moule. Les mains du géant glissèrent jusqu'à mes genoux et replièrent mes cuisses sur ma poitrine. Il posa sa tête sur mon épaule et et m'embrocha sur la grosse queue. Il me poussa en avant et me coucha sur le torse de l'autre. L'homme à la longue queue reprit possession de ma bouche. Assise sur les cuisses du gros noir, mes fesses étaient écartées. Sur l'écran, on voyait mon petit trou en gros plan.
Le géant plia les genoux et prenant sa bite dans sa main, il posa son gland dessus. Les mains sur mes hanches, il poussa son manche dans mon cul. Il se releva et le sexe dans ma moule réapparu. Le gros noir et le géant se sont animés et les deux sexes coulissaient dans mes orifices.
Les spectateurs ont attendu que je perde les cinq parties suivantes, pour voir mes mains s'emparer chacune de la bite des autres quidams et de les branler.
Quand tout fut fini, Monsieur Fong vint me voir.
- Ça a été un triomphe ! Demain, ils recevront la visite de Chloé...
Au même embarcadère que la semaine précédente, il n'y avait aucun canot. Un homme, un chinois, attendait. Je n'y ai pas prêté attention. Au-dessus du mouillage, un panneau écrit en chinois et dessous, moi, à poil, vue de côté, une bite dans la bouche et une autre dans le cul. J'ai regardé le voyageur et lui ai demandé, en français, s'il pouvait me traduire le panneau. Il n'avait pas l'air de m'avoir reconnue et dans ma langue maternelle et un sourire énigmatique, il dit :
- Jeanne est de retour !
Quand l'embarcation est arrivée, le capitaine m'a reconnu. Il me fit un grand sourire. Celui qui attendait, se courba et m'invita à passer devant lui. Si j'avais pu voir dans mon dos, j'aurais remarqué que ses yeux étaient rivés à mon cul.
Le canot leva l'ancre, et quand je pénétrai dans la cabine, le jeune marin était déjà à poil. L'autre passager me poussa en avant. Le jeune se coucha sur la banquette et me prit par les bras. Le nouveau passager souleva ma robe, se saisit de ma culotte à deux mains et la déchira. Il me poussa vers le jeune qui m'attrapa par la taille. Celui-ci m'attira vers lui et me fit asseoir sur sa queue. Le deuxième larron avait déjà sorti la sienne. Il la plongea dans mon cul. Le capitaine fit enfin son entrée. Il passa devant moi et souleva sa vareuse. Il ne portait rien dessous. Sa bite était dressée telle un menhir. Il me prit par les oreilles et, de force, il abaissa ma tête vers son membre. Le mouvement m'a surpris. Du coup, le gland heurta ma bouche, forçant le passage entre mes lèvres. Il pénétra si loin qu'il heurta le fond de ma gorge. Le gars qui m'enculait, me tenait par les hanches et donnait de grands coups de boutoir qui remuaient mon corps tout entier. En fin de compte, chacune de ses ruées faisaient glisser mes lèvres sur la bite du capitaine.
A l'entrée du navire-casino, le valet obséquieux me tendit la main et dit avec l'éternel sourire asiatique :
- Bonjour Madame, Monsieur Fong vous attend.
Et du bras, il me montra la direction.
Monsieur Fong se montra déférant et m'invita à entrer dans son bureau.
- Bonjour Jeanne !
- Jeanne ?
- Oui ! Jeanne, comme dans le conte !
Il se retourna et me tendit un vêtement emballé dans une enveloppe de soie.
- Allez dormir quelques heures. A votre réveil vous passerez cette robe et on viendra vous chercher. Vous devrez être en forme pour ce soir. Autre chose ?
- Oui. A l'embarcadère, j'ai vu des photos de moi....
- La publicité, chère Jeanne ! La publicité ! Vous verrez qu'on a mis les moyens.
Je me suis couchée, nue. Trois heures plus tard, j'ouvris le paquet remis par Monsieur Fong. Une robe en plastique transparent, criblée de petits trous pour la respiration. Des plumes de toutes les couleurs étaient piquées dans le plastique. Je ne sais pas comment ils ont fait, le brio des fabricants asiatiques peut-être, mais la robe était exactement à ma taille, quoique particulièrement ajustée. La robe entrait entre mes fesses, les plumes n'ornaient que mes épaules. On n'ignorait rien de mon anatomie.
On frappa à la porte de la cabine, et un factotum me prit par la main et, le bras levé, m'accompagna jusqu'au bureau de Monsieur Fong.
- Rebonjour Jeanne. Maintenant, la présentation à votre public. Allons manger !
Deux jeunes filles, dans les 20 ans, européennes, me prirent par la main. Leurs seuls vêtements étaient des étoiles rouges sur le bout des seins et un string pour cacher leur sexe. Elles avaient des petites fesses adorables. Monsieur Fong nous précédait. Une porte à double battants portait l'inscription en chinois, sous-titrée en français :
" Jeanne joue aux dés !"
La porte s'ouvrit. Au centre, une table, deux chaises et un chandelier. Une clameur s'éleva. Monsieur Fong me dit :
- Saluez, Jeanne !
Je me courbai en avant, me tournant vers les quatre côtés de la salle.
Un Ooohhhh ! parcourut l'assistance à chaque révérence. Pas étonnant, sous la robe transparente, mes fesses étaient offertes avec insolence à tous les regards.
Après le repas, Monsieur Fong me fit apporter une nouvelle robe. Celle-ci était aussi ajustée que la première. De couleur perle, elle descendait jusqu'à mes cuisses. Quels que soient mes mouvements, on voyait la naissance de mes fesses. En me regardant dans les glaces de la coursive, même moi, j'étais excitée. Nous retournâmes vers la "salle de jeux". En chemin, Monsieur Fong me dit à voix basse :
- Vous verrez, Jeanne, nous avons innové...
Au milieu de la salle, il y avait une table longue. Elle m'arrivait juste au nombril. On verra plus tard que sa largeur correspondait exactement à la mesure entre mon nombril et mes seins. Un homme était déjà assis. Devant lui, des dés chinois. Ils n'avaient pas de points mais des idéogrammes sur chaque face. En face de moi, un écran. La partie commença. Sur l'écran, les points s'affichaient en chinois et en français. Bien entendu, j'ai perdu.
Le joueur se leva et vint vers moi. Ses cheveux gris et clairsemés étaient sales. Il était habillé comme un paysan des rizières. Il me prit par la main et je me levai. Un projecteur s'alluma et une puissante lumière blanche fit un cercle sur le sol. Il me fit mettre à genoux et releva sa tunique. Il ne portait rien dessous. Son sexe pendouillait. Il le prit en main et me le tendit. Je m'approchai. Il puait la sueur. Il éructa quelque chose et sur l'écran je vis s'inscrire, sous le texte chinois :
- Suces !
Une voix résonna dans un micro :
- Obéissez Jeanne, c'est le jeu !
J'écartai les lèvres et l'infecte monceau de chair pénétra dans ma bouche. L'homme posa ses mains sur ma tête et, à grands coups de reins, il faisait glisser sa pine nauséabonde sur ma langue. La nausée me guettait quand, devenu raide, il s'enfonça tout entier en criant. Je regardai l'écran :
- Avales !
J'ai dégluti, et avec un air de dégoût, j'ai tout avalé. Le chinois s'est rajusté et est retourné s'asseoir. L'air furieux, je suis retournée jouer. Cette fois, j'ai perdu deux parties d'affilée. Je me suis levée, et une clameur s'éleva. Le chinois se leva lui aussi mais se contenta de reculer. Une main dans mon dos me poussa vers la table. Sur l'écran, je vis deux grands noirs. Le premier était celui qui m'avait poussé vers la table. Je me retournai et je poussai un cri. Ils étaient nus. L'un avait une bite grosse comme mon bras, le second, moins gros, avait une bite d'au moins trente centimètres. Je n'avais jamais vu ça.
Le gros gourdin me coucha sur la table. Mes fesses étaient proéminentes. Ma tête et mes seins dépassaient de l'autre côté. Il passa ses mains entre mes jambes et écarta mes cuisses. Il souleva ma robe, et découvrit ma culotte. Il la saisit à deux mains et la déchira. Nouvelle rumeur dans l'assistance. Il frotta son bazooka sur mes petites lèvres. Sur l'écran, en gros plan, on vit l'énorme engin écarteler ma chatte. Les mains sur mes fesses, il plongea son monstrueux attribut jusqu'à la garde.
Devant moi, le type me prit par les cheveux et releva ma tête. Il regarda mon visage avec un sourire sardonique. Il tenait sa lance à incendie dans sa main. J'ouvris la bouche et il la glissa entre mes lèvres. Il se colla contre la table et quelqu'un vint me prendre les mains. Il les tira, et avec un lacet en cuir, il les lia dans le dos du noir. Celui-ci me tenait toujours les cheveux. Il passa une main sous mon menton et releva ma tête. Au micro, la voix annonça :
- Au signal, avalez !
Un bip retentit. Dans mon dos, le noir donna un coup de reins et l'autre me tirant les cheveux se propulsa en avant. En même temps, je déglutis et la bite s'enfonça dans mon œsophage jusqu'à ce que mes lèvres touchent le pubis de son propriétaire. Les deux noirs levèrent les bras en l'air et sur l'écran, des caméras bien placées, montraient mes lèvres distendues sur le sexe dans ma bouche et l'autre, à moitié sorti de ma moule pour que tout le monde puisse voir la grosse que je venais de prendre.
Retour à la table de jeu. Cette fois je perdis trois parties. Le gros noir se coucha sur la table, sur le dos, la queue dressée. Sur l'écran, je vis un géant s'approcher dans mon dos. Il me prit par les hanches, et, appuyée contre son torse, il fit glisser ses mains sous mes cuisses. Il les écarta et me porta jusqu'au-dessus du noir. Le gland touchait ma moule. Les mains du géant glissèrent jusqu'à mes genoux et replièrent mes cuisses sur ma poitrine. Il posa sa tête sur mon épaule et et m'embrocha sur la grosse queue. Il me poussa en avant et me coucha sur le torse de l'autre. L'homme à la longue queue reprit possession de ma bouche. Assise sur les cuisses du gros noir, mes fesses étaient écartées. Sur l'écran, on voyait mon petit trou en gros plan.
Le géant plia les genoux et prenant sa bite dans sa main, il posa son gland dessus. Les mains sur mes hanches, il poussa son manche dans mon cul. Il se releva et le sexe dans ma moule réapparu. Le gros noir et le géant se sont animés et les deux sexes coulissaient dans mes orifices.
Les spectateurs ont attendu que je perde les cinq parties suivantes, pour voir mes mains s'emparer chacune de la bite des autres quidams et de les branler.
Quand tout fut fini, Monsieur Fong vint me voir.
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