Le casino de Hong Kong. De la BD à l'action
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Le casino de Hong Kong. De la BD à l'action
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Hong Kong, lieu des ébats d'une héroïne de Régine Desforges. Je recherche, en vain, le casino où l'on se joue soi-même. Comme je ne connais aucun jeu, je sais que je vais perdre. Mon désir de mettre en scène mes fantasmes me fais parfois confondre le réel et l'irréel.
A l'aéroport, une nuée de taxis font la chasse aux touristes. J'ai choisi celui qui avait l'air le plus salace.
- Je cherche le casino Régine Desforges, dis-je au chauffeur.
A ma grande surprise, il démarra aussitôt. Il me conduit à un petit port d'où partaient des petits canots à moteur. Il m'amena jusqu'à l'un d'eux. Ils se dirent quelques mots en chinois, puis l'un d'eux s'approcha de moi. Après la courbette habituelle, il dit :
- Régine Desforges ?
Il s'effaça pour me faire monter à bord. J'étais surprise, d'une part, de l'entendre parler français, de l'autre, qu'il connaisse Régine Desforges. Le canot quitta le port et environ 15 minutes plus tard, le moteur s'arrêta. Le chinois revint vers moi, et me montra la fameuse bande dessinée. Elle était ouverte à la page où un des joueurs se fait sucer par l'héroïne.
Je relève la tête, il avait déjà baissé son pantalon. Son sexe était plutôt malpropre. Il posa l'index sur le dessin explicite, me prit par la main et dit quelque chose en chinois, sur un ton sans équivoque. Il exigeait la même chose. De peur qu'il me jette par dessus bord, je me suis exécutée. L'homme voulait la scène exacte. Il passa la main sur la jupe et éructa de nouveau. J'ai compris qu'il voulait que j'enlève ma culotte. Il cria quelque chose, et un jeune marin, fit son apparition. Le commandant me fit descendre dans la cale. Le jeune homme aux muscles luisants nous suivit. Ils m'ont faite monter sur une couchette et mise à quatre pattes.
Le patron du canot a pris sa bite à la main et l'a présentée à mes lèvres. Avec un air de dégoût, j'ai ouvert la bouche et le chinois me l'a fourré dedans. Le jeune est passé derrière moi et a rabattu ma jupe sur mes reins. Il s'est agenouillé et, écartant mes genoux, il a glissé sa tête entre mes cuisses. Sa langue râpeuse a léché ma chatte et s'est insinuée à l'intérieur. J'ai poussé un soupir, quand sa pine m'a embroché. Il glissait entre mes cuisses à toute vitesse, quand il réalisa qu'il regardait mes fesses. Il les écarta et éclata de rire. Il dit quelque chose en chinois et la réponse sonna comme un encouragement. Lubrifié par mes sécrétions, le jeune homme sortit de moi et derechef, s'enfonça dans mon cul. Dans ma bouche, l'instrument douteux, glissait au rythme des hanches du commandant. Il grossit d'un seul coup et devint plus raide. J'ai compris qu'il allait jouir. J'ai essayé de me dégager, mais le chinois maintint ma tête sur sa queue. Il cria quelque chose en montrant la BD. On voyait clairement le sperme déborder de la bouche de l'héroïne. Il appuya sur ma tête, plantant son dard encore plus profond. Il se raidit, et le liquide jaillit. Ses mains dans mon cou, il appuyait de toutes ses forces. Ses hanches étaient raides, ses fesses durcies. Mes lèvres touchaient son ventre. Sa queue toute entière était enfoncée dans ma bouche. Au bord de la nausée, j'ai avalé la semence du chinois. J'avais un goût d'huile rance sur la langue.
Je me suis rajustée et le bateau est reparti. Nous avons accosté un bateau plus grand, très coloré et tout illuminé.
- Régine Desforges ! a dit le chinois au réceptionniste.
Celui-ci m'a conduite dans une cabine luxueuse. Les parois étaient couvertes de tableaux de nus. Un chinois bedonnant entra. Il s'est courbé devant moi avec un sourire énigmatique.
- Chère madame, me dit-il, comme dans la célèbre bande dessinée, tous nos navires sont équipés de caméras. Je suis au courant de votre prestation. Je suppose que si vous avez parlé de Régine Desforges, ici à Hong Kong, c'est que vous avez lu la bande dessinée. Je suppose aussi que vous voulez participer au jeu. Nous avons amélioré le concept. La culture érotique française est très intéressante. Vous pourrez passer du jeu de dés où vous serez l'enjeu, bien sûr, à la partie de poker de Marion Cotillard dans Chloë et enfin, au rôle de Corinne Cléry, dans histoire d'O. Si vous ne connaissez pas toute ces oeuvres, je peux vous passer les cassettes. Il va de soi que des spectateurs seront présents. Mais, je manque à tous mes devoirs. Détendez-vous, je vous envoie quelqu'un.
Le chinois disparut. On frappa, je suis allée ouvrir. Un homme très grand et très élégant entra dans la cabine. Il s'approcha de moi et passa une main sur mes cheveux. Il se pencha vers moi et m'embrassa sur la bouche. Dans le même temps, il glissa une main sous ma jupe et caressa mes fesses. Ses lèvres se glissèrent dans mon cou et lentement, il me poussa vers le miroir. Tout en m'embrassant, sa main releva ma jupe. Il regardait dans le miroir et me déplaça légèrement.
- Regardez la glace derrière moi, chuchota-t-il à mon oreille.
Je le voyais de dos et se reflétant d'un miroir à l'autre, je me voyais, la jupe relevée et sa main qui pétrissait mes fesses. Il a tiré sur la culotte et a glissé sa main à l'intérieur. Doucement, la culotte, dans le miroir, glissait sur mes fesses et les dévoilaient à mon regard. Le spectacle et la sensation du tissu qui glisse sur mon cul me mettent toujours en émoi.
J'ai vu, autant que j'ai senti, son doigt se glisser entre mes globes et s'enfoncer dans ma chatte. Je me suis collée à lui. Sa queue, raide, palpitait contre mon ventre.
- Mais tu es trempée, salope !
Il arracha son pantalon et sa chemise. Je me suis reculée, surprise. Devant moi, se tenait un homme des cavernes. Ses bras et ses cuisses étaient monstrueusement musclés. Son seul vêtement était un slip de cuir brun. Il m'attrapa par un bras et posa sa grosse main sur ma bouche. De l'autre, il arracha mon chemisier, ma jupe et enfin ma culotte. J'étais nue. Enfin, il arracha son slip. Il me saisit par le poignet et m'obligea à m'agenouiller. Son énorme sexe pendait entre ses cuisses volumineuses. Je ne me suis pas rebellée. J'ai pris sa lance dans la main et l'ai gratifié d'un coup de langue. Il m'a prise par les cheveux et a enfoncé sa grosse bite dans ma bouche. Les mains sur ma nuque, il faisait glisser mes lèvres écartelées le long de son manche. Il se dégagea et me repoussa en arrière. Je me suis retrouvée assise par terre. Il se pencha vers moi et passa ses mains sous mes fesses, et de son genou, il écarta mes cuisses. Il me souleva, et pour ne pas tomber en arrière, j'ai passé mes bras autour de son cou. Dans cette position, les fesses écartées, ma chatte était offerte.
Il m'a laissée tomber lentement contre son torse. Bientôt, l'énorme gland buta sur les petites lèvres. Le géant déplaça ses mains de mes fesses à mes hanches. D'un seul coup, il m'empala sur son glaive monstrueux. Je poussai un cri de douleur. Mon sexe était distendu. Une fois calmée, il me fit glisser le long de son pieu. Ma respiration s'accéléra, je haletais. Il me souleva à nouveau. Son énorme engin ressortit de moi. J'ai cru que c'était fini, quand soudain, il me retourna. J'ai hurlé. Alors il m'a reposé sur mes pieds et a posé sa main sur ma bouche. Son bras autour de ma taille, il s'est baissé et a ramassé ma culotte. Il l'a roulée en boule et l'a enfoncée dans ma bouche.
Cette fois, il a passé ses mains sous mes genoux, le dos collé contre son torse. La pointe du monstre s'est posée sur mon petit trou. Je me suis débattue mais il me tenait fermement. Il posa le menton sur mon épaule et appuya. J'ai rué de douleur, mais ses bras puissants me tenaient prisonnière. Lentement mais inexorablement, le reptile surhumain s'enfonçait dans mon cul. Quand ses poils chatouillèrent mes fesses, j'ai compris qu'il était au fond. Quand il a joui, j'ai eu la sensation de subir un lavement. La giclée était tellement importante que mon cul était rempli. Quand il eut fini, il remit son slip en cuir, enfila un peignoir de bain et sortit.
Le gros chinois opulent revint et me dit :
- Après ça, je n'ai plus de doute, vous irez jusqu'au bout. Mes clients vont être ravis. Ils en auront pour leur argent. On dit quoi ? Dans une semaine ?
- Tous frais payés, bien entendu, ajouta-t-il avec ce sourire égrillard.
Huit jours plus tard....
Hong Kong, lieu des ébats d'une héroïne de Régine Desforges. Je recherche, en vain, le casino où l'on se joue soi-même. Comme je ne connais aucun jeu, je sais que je vais perdre. Mon désir de mettre en scène mes fantasmes me fais parfois confondre le réel et l'irréel.
A l'aéroport, une nuée de taxis font la chasse aux touristes. J'ai choisi celui qui avait l'air le plus salace.
- Je cherche le casino Régine Desforges, dis-je au chauffeur.
A ma grande surprise, il démarra aussitôt. Il me conduit à un petit port d'où partaient des petits canots à moteur. Il m'amena jusqu'à l'un d'eux. Ils se dirent quelques mots en chinois, puis l'un d'eux s'approcha de moi. Après la courbette habituelle, il dit :
- Régine Desforges ?
Il s'effaça pour me faire monter à bord. J'étais surprise, d'une part, de l'entendre parler français, de l'autre, qu'il connaisse Régine Desforges. Le canot quitta le port et environ 15 minutes plus tard, le moteur s'arrêta. Le chinois revint vers moi, et me montra la fameuse bande dessinée. Elle était ouverte à la page où un des joueurs se fait sucer par l'héroïne.
Je relève la tête, il avait déjà baissé son pantalon. Son sexe était plutôt malpropre. Il posa l'index sur le dessin explicite, me prit par la main et dit quelque chose en chinois, sur un ton sans équivoque. Il exigeait la même chose. De peur qu'il me jette par dessus bord, je me suis exécutée. L'homme voulait la scène exacte. Il passa la main sur la jupe et éructa de nouveau. J'ai compris qu'il voulait que j'enlève ma culotte. Il cria quelque chose, et un jeune marin, fit son apparition. Le commandant me fit descendre dans la cale. Le jeune homme aux muscles luisants nous suivit. Ils m'ont faite monter sur une couchette et mise à quatre pattes.
Le patron du canot a pris sa bite à la main et l'a présentée à mes lèvres. Avec un air de dégoût, j'ai ouvert la bouche et le chinois me l'a fourré dedans. Le jeune est passé derrière moi et a rabattu ma jupe sur mes reins. Il s'est agenouillé et, écartant mes genoux, il a glissé sa tête entre mes cuisses. Sa langue râpeuse a léché ma chatte et s'est insinuée à l'intérieur. J'ai poussé un soupir, quand sa pine m'a embroché. Il glissait entre mes cuisses à toute vitesse, quand il réalisa qu'il regardait mes fesses. Il les écarta et éclata de rire. Il dit quelque chose en chinois et la réponse sonna comme un encouragement. Lubrifié par mes sécrétions, le jeune homme sortit de moi et derechef, s'enfonça dans mon cul. Dans ma bouche, l'instrument douteux, glissait au rythme des hanches du commandant. Il grossit d'un seul coup et devint plus raide. J'ai compris qu'il allait jouir. J'ai essayé de me dégager, mais le chinois maintint ma tête sur sa queue. Il cria quelque chose en montrant la BD. On voyait clairement le sperme déborder de la bouche de l'héroïne. Il appuya sur ma tête, plantant son dard encore plus profond. Il se raidit, et le liquide jaillit. Ses mains dans mon cou, il appuyait de toutes ses forces. Ses hanches étaient raides, ses fesses durcies. Mes lèvres touchaient son ventre. Sa queue toute entière était enfoncée dans ma bouche. Au bord de la nausée, j'ai avalé la semence du chinois. J'avais un goût d'huile rance sur la langue.
Je me suis rajustée et le bateau est reparti. Nous avons accosté un bateau plus grand, très coloré et tout illuminé.
- Régine Desforges ! a dit le chinois au réceptionniste.
Celui-ci m'a conduite dans une cabine luxueuse. Les parois étaient couvertes de tableaux de nus. Un chinois bedonnant entra. Il s'est courbé devant moi avec un sourire énigmatique.
- Chère madame, me dit-il, comme dans la célèbre bande dessinée, tous nos navires sont équipés de caméras. Je suis au courant de votre prestation. Je suppose que si vous avez parlé de Régine Desforges, ici à Hong Kong, c'est que vous avez lu la bande dessinée. Je suppose aussi que vous voulez participer au jeu. Nous avons amélioré le concept. La culture érotique française est très intéressante. Vous pourrez passer du jeu de dés où vous serez l'enjeu, bien sûr, à la partie de poker de Marion Cotillard dans Chloë et enfin, au rôle de Corinne Cléry, dans histoire d'O. Si vous ne connaissez pas toute ces oeuvres, je peux vous passer les cassettes. Il va de soi que des spectateurs seront présents. Mais, je manque à tous mes devoirs. Détendez-vous, je vous envoie quelqu'un.
Le chinois disparut. On frappa, je suis allée ouvrir. Un homme très grand et très élégant entra dans la cabine. Il s'approcha de moi et passa une main sur mes cheveux. Il se pencha vers moi et m'embrassa sur la bouche. Dans le même temps, il glissa une main sous ma jupe et caressa mes fesses. Ses lèvres se glissèrent dans mon cou et lentement, il me poussa vers le miroir. Tout en m'embrassant, sa main releva ma jupe. Il regardait dans le miroir et me déplaça légèrement.
- Regardez la glace derrière moi, chuchota-t-il à mon oreille.
Je le voyais de dos et se reflétant d'un miroir à l'autre, je me voyais, la jupe relevée et sa main qui pétrissait mes fesses. Il a tiré sur la culotte et a glissé sa main à l'intérieur. Doucement, la culotte, dans le miroir, glissait sur mes fesses et les dévoilaient à mon regard. Le spectacle et la sensation du tissu qui glisse sur mon cul me mettent toujours en émoi.
J'ai vu, autant que j'ai senti, son doigt se glisser entre mes globes et s'enfoncer dans ma chatte. Je me suis collée à lui. Sa queue, raide, palpitait contre mon ventre.
- Mais tu es trempée, salope !
Il arracha son pantalon et sa chemise. Je me suis reculée, surprise. Devant moi, se tenait un homme des cavernes. Ses bras et ses cuisses étaient monstrueusement musclés. Son seul vêtement était un slip de cuir brun. Il m'attrapa par un bras et posa sa grosse main sur ma bouche. De l'autre, il arracha mon chemisier, ma jupe et enfin ma culotte. J'étais nue. Enfin, il arracha son slip. Il me saisit par le poignet et m'obligea à m'agenouiller. Son énorme sexe pendait entre ses cuisses volumineuses. Je ne me suis pas rebellée. J'ai pris sa lance dans la main et l'ai gratifié d'un coup de langue. Il m'a prise par les cheveux et a enfoncé sa grosse bite dans ma bouche. Les mains sur ma nuque, il faisait glisser mes lèvres écartelées le long de son manche. Il se dégagea et me repoussa en arrière. Je me suis retrouvée assise par terre. Il se pencha vers moi et passa ses mains sous mes fesses, et de son genou, il écarta mes cuisses. Il me souleva, et pour ne pas tomber en arrière, j'ai passé mes bras autour de son cou. Dans cette position, les fesses écartées, ma chatte était offerte.
Il m'a laissée tomber lentement contre son torse. Bientôt, l'énorme gland buta sur les petites lèvres. Le géant déplaça ses mains de mes fesses à mes hanches. D'un seul coup, il m'empala sur son glaive monstrueux. Je poussai un cri de douleur. Mon sexe était distendu. Une fois calmée, il me fit glisser le long de son pieu. Ma respiration s'accéléra, je haletais. Il me souleva à nouveau. Son énorme engin ressortit de moi. J'ai cru que c'était fini, quand soudain, il me retourna. J'ai hurlé. Alors il m'a reposé sur mes pieds et a posé sa main sur ma bouche. Son bras autour de ma taille, il s'est baissé et a ramassé ma culotte. Il l'a roulée en boule et l'a enfoncée dans ma bouche.
Cette fois, il a passé ses mains sous mes genoux, le dos collé contre son torse. La pointe du monstre s'est posée sur mon petit trou. Je me suis débattue mais il me tenait fermement. Il posa le menton sur mon épaule et appuya. J'ai rué de douleur, mais ses bras puissants me tenaient prisonnière. Lentement mais inexorablement, le reptile surhumain s'enfonçait dans mon cul. Quand ses poils chatouillèrent mes fesses, j'ai compris qu'il était au fond. Quand il a joui, j'ai eu la sensation de subir un lavement. La giclée était tellement importante que mon cul était rempli. Quand il eut fini, il remit son slip en cuir, enfila un peignoir de bain et sortit.
Le gros chinois opulent revint et me dit :
- Après ça, je n'ai plus de doute, vous irez jusqu'au bout. Mes clients vont être ravis. Ils en auront pour leur argent. On dit quoi ? Dans une semaine ?
- Tous frais payés, bien entendu, ajouta-t-il avec ce sourire égrillard.
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