Le chantier - histoire érotique

Le minicar approchait, elle entendait son bruit caractéristique s'amplifier et ses cuisses se contractèrent instinctivement resserrant sa vulve pleine d'excitation. Ils en avaient fait un jeu avec Mick, ils avaient commencé par se serrer davantage l'un contre l'autre quand il passait en les klaxonnant puis, il l'avait livrée un peu plus aux regards excités des immigrés en dégrafant davantage son corsage débordant de ses énormes seins, elle ne disait rien mais, elle avait vite remarqué son manège, et maintenant, elle s'imaginait offerte à eux tous, haletante et folle de désir d’être possédée bientôt
Elle imaginait leurs braguettes gonflées de désir, leurs membres cherchant à s'échapper comme celui de son timide fiancé qu'elle frôlait comme si de rien n'était tant elle avait envie de le saisir et de pouvoir le câliner de petits bisous mais, elle devait se contenter de ses grosses mains qui fourrageaient entre ses cuisses cherchant à pénétrer sous sa culotte qu'elle défendait encore trouvant qu'exacerber le plaisir du mâle était très excitant et puis,elle aimait rentrer toute mouillée le soir afin que son antre soit plus accueillante à ses doigts impatients. A ce moment là, elle imaginait les immigrés la queue emprisonnée dans leur grosse main calleuse, accélérant leur va et vient pour essayer de se libérer et, elle se voyait approchant du plus beau, se penchant sur le membre gonflé de plaisir pour le rafraîchir de ses petites mains accueillantes et elle qui interdisait à son fiancé de toucher là ou il ne devait pas aller, rêvait que la main étrangère qui s'était introduite entre ses cuisses consentantes écartait sans vergogne l'élastique de son slip, entrant de force entre ses grosses lèvres trempées. Elle s'imaginait se tortillant sous la caresse des gros doigts poilus et elle se tournait en tous sens dans son lit étreignant son polochon entre ses cuisses en imaginant que c'était son bel immigré qui la possédait
Le dimanche suivant, il y avait la fête à la ville voisine et elle avait convenu avec Denise qu'elles iraient y faire un tour pour danser. Elle devint toute rouge quand le premier cavalier s'inclina légèrement devant elle pour l'inviter, Elle le reconnu tout de suite, c'était un des immigrés du car, un de ceux qui l'avait vu offerte, les seins tendus attendant la caresse, elle se lova chancelante entre ses bras musclés, il dégageait une forte odeur de musc différente de celle des garçons d'ici et il la serra fougueusement contre lui car lui aussi l'avait reconnue. D'orchestre jouait une de ces danses lascives et il lui fit tout de suite sentir contre sa cuisse son désir d'elle qui se dressait impétueusement entre ses jambes musclées. Elle ne savait plus où se mettre et le garçon devinant son état poussa son avantage plus avant en prenant sa bouche sans façon, sa langue forçant ses lèvres défaillantes se mit à fouiller sa bouche comme si elle était sienne, lui imposant son empreinte de mâle.
Quand enfin il desserra un peu son étreinte pour faire danser Denise, elle repris un peu de calme et se dit qu'à deux filles, elle pourrait lui en faire baver et quand elle lui demanda s'il ne pouvait pas leur faire faire une ballade en minicar, il n'hésita pas un instant et, quelques minutes plus tard, elle se retrouva avec sa copine installée à la place de ceux qu'elle faisait bander quand ils la regardaient exposant ses seins comme si de rien n'était, adossée contre son arbre pendant que son fiancé fouraillait sous ses jupes.
Elles étaient en train de lui demander s'il avait une petite amie quand il tourna brusquement en entrant dans un chantier qui était érigé là et Denise qui était plus coquine qu'elle dégrafa un peu plus son chemisier pour pouvoir l'affoler quand il allait se mettre à s'occuper d'elles et pour ne pas être en reste, elle défit également des boutons du sien, après tout, elles étaient deux et il ne pourrait pas faire grand chose.
Elles le suivirent le sourire au coin des lèvres quand il les entraîna vers une de ces cabanes de chantier, elles se trémoussaient à l'idée de pouvoir rentrer dans l'antre de ces hommes célibataires, ça devait être drôlement fouillis là dedans et l'odeur du mâle devait y régner avec force.
C'est quant il referma la porte sur eux qu'elles comprirent dans quel guêpier elles s'étaient fourrées, il y avaient déjà des autres hommes dans la pièce et en les voyant arriver toutes les deux, ils s'étaient cachés dans un coin pour ne pas les apeurer et elles comprirent vite à leur air bizarre qu'ils bandaient déjà tout en les déshabillant du regard. Elle essaya de refermer un peu son corsage, ce salaud les avait bien eu, mais Denise qui était assez olé olé ne se démoralisa pas pour autant et, elle s'installa devant la table quand ils leur proposèrent de trinquer avec eux pendant qu'un autre s'occupait de mettre de la musique.
Elle sentie tout de suite la cuisse de son voisin de droite se coller avec force contre la sienne, celui de gauche semblait plus intéressé par son corsage qu'il avait vu tant de fois débraillé le long de l'arbre, et se penchant soudain sur elle, il ne put retenir son désir et sa main bouillante s'introduisit sous le frêle tissu. Elle essaya sans trop d'ardeur de l'empêcher de pénétrer dans son soutient gorge mais que faire contre une telle caresse? Sa main était bouillants et elle soulevait ses mamelons en les pétrissant et il eu tôt fait de les faire jaillirent, fièrement exposés à la vue de tous les autres mâles qui soudain ne parlèrent plus, hypnotisés, ne pouvaient plus décrocher leurs regards de la poitrine qui leur était enfin offerte, dressée entre les deux pans du corsage à moitié arraché.
Quant elle sentie sa tête reversée en arrière par un des homme, elle se mit à serrer les lèvres pour lui résister mais comment pouvait elle être à la foire et au moulin? Des grosses mains se promenaient déjà entre ses cuisses essayant de les écarter, désirant maintenant autre chose et quand les doigts se mirent à fourrager entre ses poils écartant l'élastique de sa petite culotte, elle tenta de les empêcher d'aller plus avant en les serrant avec toute la force de son énergie mais les hommes savaient bien qu'elle allait s'ouvrir au plaisir maintenant malgré ses petites mains qui se crispaient sur les gros doigts velus. Ecartant la petite culotte, ils avaient vite trouvé la fente qui s'était remplie de mouille et entamé leur va et vient au bord de la minette toute trempée et quand une queue toute raide se mit à lui soulever un de ses mamelon en dégageant une forte odeur de sperme, elle sentie ses cuisses qui s'écartaient malgré elle sous les caresses masculines et elle se mit à gémir doucement quant elle se sentie soulevée par toutes ces mains et ces queues qui la pétrissaient en lui retirant les derniers vêtement qu'elle portait encore.
Elle était là étendue sur une paillasse, impudique, le regard des deux hommes qui s'étaient allongés contre elle n'en pouvait plus de tant de féminité, cela faisait tant de mois qu'ils en étaient privés, ils étaient comme des enfants, ils serraient son corps dénudé cherchant la douce chaleur féminine qui leur manquait tant et elle sentait contre son flan leurs gros braquemarts qui battait la chamade. Ce fut celui de droite qui réagi le premier, il n'en pouvait plus de sentir cette odeur de vulve humide qui venait flatter ses narines et il s'installa sans façon entre ses cuisses qu'il écarta de sa tête, sa langue gourmande cherchant la douce fente poilue.
Il écartât d'abord en de grands coups de langue, les poils de chaque coté des grosses lèvres toutes gonflées de désir, prenant tout son temps pour l'affoler encore plus puis, les tenant écartées de ses gros doigts rugueux, il ouvrit sa moule pleine de jus, commençant à la lécher doucement sur les bords d'abords puis de plus en plus profond, à la recherche du clito qu'il entreprit de triturer, aspirant le nectar du trou adoré.
Elle n'aurait jamais pensé que les hommes puissent donner tant de bonheur.
Dans ses rêves elle s'était toujours vue basculée sans façon par un mâle brutal qui lui écartait sans façon les cuisses de ses grosses mains velues, forçant sa petite minette de son énorme queue et, elle se sentait défaillir avec cette tête entre ses cuisses affolées, elle l'avait bien senti lécher l'entrée de ses lèvres en de grands coups de langue gourmande mais jamais elle n'avait pensé qu'il puisse ainsi la sucer avec tant de passion.
Le pire, c'est que le copain n'était pas rester inactif, il l'avait enfourchée et sa queue toute raide se promenait maintenant entre ses deux mamelles, allant et venant entre elles et venant finir sa course contre son nez avant de repartir en arrière. Qu'elle était grosse et belle sa bite et puis, quelle odeur agréable, et quant il pris sa petite main et le referma sur le monstre, elle cru défaillir tant elle était douce à toucher et elle ne pu se retenir de poser un timide petit bisou dessous là ou elle était toute poisseuse du sperme qui gouttait à son bout tout violacé…
Alors, comprenant son désir, le mâle s'empressa de lui promener la bête le long de ses lèvres gourmandes qui ne tardèrent pas à reprendre les bisous mais sur toute la hampe cette fois et dès qu'elle le pu, elle l'avala sans plus attendre la serrant de ses deux mains affolées.
Comme s'était agréable de sentir la queue contre sa langue, si chaude et si glissante. Elle laissa l'homme lui imprimer un mouvement de va et vient, faisant aller et venir la pine dans sa bouche et quant elle le sentie se raidir soudain, elle serra la colonne bouillante de ses deux mains pour la retenir de peur qu'il ne lui la retire et elle reçu son foutre en de longs jets de sperme, remplissant sa petite bouche de la précieuse semence toute chaude qu'elle se garda bien d'avaler, faisant aller et venir sa langue dans le liquide tout gluant.
La place étai enfin libre et maintenant qu'il s'était gorgé de sa cyprine, l'autre homme se hissa sur le doux ventre de Jeanne, se couchant sur elle et la couvrant de son gros corps de mâle, elle sentit le gros mandarin se mettre à battre contre ses cuisses qu'elle avait resserrées, quémandant l'entrée de son antre mais, il l'avait bien trop excitée ces salauds pour qu'elle résiste longtemps, au contraire, elle était maintenant impatiente de devenir femme et elle attendait de se faire effleurer sans le montrer bien sur et les grosses cuisses eurent tôt fait d'écarter les siennes ouvrant la porte à la bite palpitante.
Ce salaud savait bien que c'était la première fois, il l'avait deviné à son comportement maladroit et il ne se pressait pas pour la prendre d'un coup, non, il ouvrait son petit trou de son gland qu'il avait énorme et ressortait aussitôt pour l'affoler encore plus et elle poussait des gémissements à chaque fois qu'il se retirait tant elle en avait envie et quant enfin il eu pitié d'elle, il s'enfonça doucement dans la chatte trempée, l'embrochant jusqu'à la garde.
Cette fois, ça y était elle était enfin remplie, quelle sensation exquise de sentir les allées et venues dans sa chatte toute distendue, et comme il essayait aussi de l'embrasser, elle résista sachant que sa bouche était encore très odorante du foutre de son copain puis, comme il insistait, elle le laissa franchir ses lèvres pour aller baigner dans le sperme de l'autre mâle, après tout c'était son affaire et puis elle aimait être fouillée ainsi de partout, dans la chatte, dans la bouche, et quand elle le sentie se raidir en la serrant comme un damné, le jus chaud se répandit au fond de sa chatte toute tuméfiée la laissant insatisfaite tant cela avait été rapide. Mais, quant elle sentie de nouvelles mains qui l'écartelaient, elle ne se demanda pas si c'était le premier qui revenait ou bien un autre, elle resta les cuisses bien écartées exposant sa chatte poisseuse et insatisfaite à leurs regards attendant une autre queue qui allait enfin l'amener au paradis
C'est fou ce qu'ils pouvaient cracher à chaque fois, elle n'aurait jamais supposé qu'elle allait en recevoir tant, le jus coulait de sa chatte sur son petit cul et le mâle qui la besognait devait en avoir les couilles toutes enduites.
Quant enfin Denise vint la libérer en hurlant, elle pu se relever et elle repassa sa robe mais évidement, elles ne purent retrouver leurs petites culottes qu'ils avaient gardées en trophée et elles durent se contenter d’une serviette éponge qu'un des hommes leur donna.
Cette nuit là, elle ne trouva pas le sommeil réparateur, elle se réveilla sans cesse la tête pleine de membres tendus vers elle en se balançant lourdement.

Ecrivain