Lointaine Arabie
Récit érotique écrit par Ecrivain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Lointaine Arabie
J’avais été envoyé par ma société en Arabie sur un gigantesque chantier qui édifiait des hôtels dans le désert. Nous étions logés dans un de ces cubes blancs tout aménagés que je partageais avec 3 ouvriers arabes venus de je ne sais quel pays. Comme j’étais le supérieur, je bénéficiais du privilège d’avoir une espèce de chambre délimitée par un voile de tissu tendu dans un coin dans lequel était logée ma couchette composée d’un matelas posé sur un bat-flanc.
Les premiers jours s’était passés sans rien de trop spécial si ce n’est que le manque de femmes commençait à peser lourdement et rendait les caractères de certain assez agressifs. Pour ma part, n’étant pas trop porté sur la chose, je supportais assez bien la situation mais, ce n’était pas le cas de tout le monde. Il commençait à circuler un tas de revues pornos remplies de photos de femmes nues dans des positions disons assez variées. Aussi, quand regagnant mon coin intime je trouvais un de ces magazines jeté sur mon lit, je me le gardais pour le soir et une fois enfoui dans mon drap, j’en commençais la lecture. Eh bien, les filles avaient disparues dans celui-ci faisant place à des mecs qui s’exhibaient en couple, l’un des deux ayant toujours le membre dressé avantageusement sous le regard admiratif de l’autre homme qui lui rendait hommage d’une bouche attendrie, le suçant avec amour. C’est vrai que les photos des queues étaient superbes remplissant toute la page et je dois avouer qu’elles ne me laissaient pas indifférent me rappelant une histoire de collège avec un copain qui m’avait obligé à le branler un jour m’ayant surpris en plein astiquage. Aussi quand je tombais en arrêt devant une pine en gros plan dégoulinante de sperme, je ne pus retenir ma main de s’emparer de ma queue l’agitant frénétiquement tant j’étais excité.
C’est sans doute Karim mon voisin de table qui avait dû déposer la revue pour m’exciter. Dès le début de notre séjour, je devais subir le frôlement de sa jambes contre la mienne tant nous étions serrés autour de la table et je m’étais habitué à ce contact régulier mais c’est vrai que le lendemain matin, il ne se gêna plus et c’est sa cuisse qui doucement vint au contact de la mienne, il savait que je ne me déroberais pas, il avait deviné que j’étais mûr en me voyant baisser le nez dans mon bol, laissant sa chaleur m’irradier discrètement sous la table.
Maintenant je sentais son regard dominateur toujours fixé sur moi à la dérobé, il savait que j’étais une proie facile et ne manquait jamais une occasion de me frôler à chaque fois qu’il le pouvait. C’est vrai que la promiscuité des autres mâles et cette insistance masculine toujours présente commençait à me travailler et une curieuse envie commençait sournoisement à se développer en moi, et bientôt je me surpris à trainer à table en lisant, pour pouvoir les regarder évoluer discrètement, comparant la grosseur de leur braguette respective, sentant monter en moi un désir jusque-là inconnue qui me faisait bander. Qu’est-ce qu’il m’arrivait donc, l’envie de m’agenouiller devant une queue pour la sucer comme sur les photos me venait maintenant, après tout, j’étais loin de chez moi et une petite expérience, personne ne le saurait jamais Aussi quand quelques jours plus tard je trouvais un petit baigneur d’enfant glissé discrètement dans mes draps je senti la fièvre monter en moi me faisant tremblé d’appréhension. Je savais qu’il allait venir cette nuit et j’essayais de rester éveillé attendant la suite des évènements, mon cœur battant la chamade mais, le sommeil fut plus fort que moi et je sombrais dans les bras de Morphée...
La nuit était déjà avancée quand je me réveillais, je ne rêvais pas, un corps était serré contre le mien, je ne l’avais même pas senti glisser dans ma couche et soulever le drap léger qui nous recouvrait maintenant tous les deux mais sa main bouillante était bien là, posée maintenant sur mes cuisses, les caressant doucement. Je ne voulais pas montrer que j’étais éveillé et, je le laissais continuer ses caresses qui maintenant parcouraient tout mon corps, me faisant frissonner malgré moi, lui montrant que je n’étais pas insensible à sa présence par mon silence coupable, le laissant se serrer contre mon corps, qu’il étreignait maintenant convulsivement m’écrasant à moitié sous lui, sa queue battant sur mon ventre répandant sa forte odeur de sperme qui m’affolait complètement C’est quand il commença à s’introduire entre mes fesses que j’essayant de me débattre un peu mais, coincé comme je l’étais sous son corps musclé, je ne pouvais pas faire grand-chose et d’ailleurs, en avait-je vraiment envie et l’instant d’après, c’est un doigt inquisiteur qui qui se mit à fouiller ma raie à la recherche de ma pastille qu’il écarta sans façon de ses doigts tous graisseux, l’attendrissant à sa façon en la lubrifiant de quelques aller et retour à l’intérieur, la préparant pour la suite des évènements et saisissant mon sexe maintenant tendu de désir au creux de sa main à nouveau huilée, il se mit à le pétrir assez brutalement le décalottant bien à fond pour bien l’enduire de son produit comme il l’avait fait pour mon trou, c’est vrai que c’était agréable de se sentir tout gras serré contre son corps, qu’il ne soit pas une femme m’était totalement indifférent, seul la chaleur de son corps contre le mien comptait mais, j’aurais bien aimé qu’il me finisse en lui faisant cracher son jus pour une fois que je bandais.
Curieusement, il me laissa tomber aussi vite qu’il était arrivé, regagnant sa couche me laissant là pantelant dans mes envies, mon trou bouillant de ses intrusions et c’est quand je senti les picotements augmenter, que je compris soudain son manège. Il m’avait enduit les fesses de piments comme c’est la mode chez eux et maintenant la douleur augmentait me donnant une envie folle de me gratter tant elle était infernale et attrapant une serviette que je nouais autour de mes reins, je me précipitais vers les urinoirs voisins essayant de tenir mes fesses écartées pour de les aérer, la queue pendante sous la brûlure infernale...
J’allais franchir la porte quand j’eu un mouvement de recule : plusieurs hommes étaient déjà là se branlant doucement en attendant un spectacle éventuel. Mais je compris qu’il était déjà trop tard quand le pieu de Karim fouettant mes cuisses me poussa à l’intérieur du baisodrome, m’arrachant ma serviette et m’exposant comme un trophée aux autres, tout fière de ramener une proie blanche. Le piège était refermé, et quand ses mains bouillantes se mirent à frôler mes reins, je me laissais aller lui obéissant, livré en pâture autres mâles avides du spectacle. Je le laissais me tourner vers lui, m’offrant à son désir, le laissais m’écraser contre le mur, malaxant mon corps de ses grosses mains calleuses tout en marmonnant des paroles incompréhensibles. Sa queue bouillante de désir me fouettait les cuisses à chacun de ses mouvements s’entrechoquant avec la mienne au passage et quand enfin il me retourna contre le mur, elle ne tarda pas à trouver son chemin.
Ses mains empoignèrent mes hanches, et, alors que je craignais qu'il ne s'enfonce sauvagement, il le fit lentement, sa queue bouillante écartant mes fesses douloureuses, le gland remontant lentement le long de mon sillon à la recherche de son but en augmentant encore le feu du piment pendant qu’il me penchait en avant. Quand il s’immobilisa enfin contre ma rondelle, je me mis à appréhender la douleur de la déchirure mais, sa pesée se fit toute en douceur, augmentant progressivement, le gland violacé écartant mes chaires doucement, délicatement, sa chaleur m’irradiant au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en moi en me dilatant, la douleur augmentant au fur et à mesure qu’il me défonçait et je serrais les lèvres pour ne pas crier tant je souffrais mais, je ne voulais pas le montrer aux autres salauds qui se branlaient contre moi, frottant leur sexes dans mes cheveux, contre ma bouche... je ne savais plus ou j’en étais, mais je voulais rester un homme malgré tout, même si je n’en étais plus tellement un maintenant... Empalé sous sa queue...
Il me prit longtemps, entrant et ressortant, son torse suant plaqué contre mon dos. La douleur avait laissé la place à la démangeaison infernale, et je me tortillais dans tous les sens empalé sur la queue pour essayer de l’apaiser, enfin son rythme s'accéléra, et brutalement, ses grosses mains qui me tenaient par la taille se crispèrent me coinçant impétueusement collé contre lui, m’écrasant les fesses d’une poussée impétueuse, lançant son dard au plus profond de mes boyaux et je sentis dans mon cul bouillant la pulsation des jets de foutre qui s'échappaient crachant dans la capote. Et quand enfin il se retira m’abandonnant là, je pus me relever écartant les autres d’une poussée, une envie folle de me soulager me vint et voyant le latex tout gluant abandonné par terre, je m’en emparai et le présentant devant mon engin tendu de désir, je l’introduisis doucement dans l’étui plein de foutre et commençais à me branler avec pour apaiser la brûlure. Il était tout gluant de sperme qui se mit à refluer le long de ma queue débordant dans mes poils, les empoissant de foutre à chaque aller et retour de ma pine dans la capote et ne pouvant plus tenir, je me laissais aller dans un grand râle mêlant ma semence au jus crémeux de la pine qui avait crachée dans mon cul, tout en recevant le foutre des lascars qui m’avaient coincé entre eux pour finir de se branler sur moi.
Toute la journée, j’essayais de ne pas montrer ma souffrance, mon anneau me brûlant à chaque pas sous la morsure du piment rendant ma démarche très hésitante je voyais bien qu’ils se foutaient tous de moi lorsqu’ils parlaient entre eux dans la langue de leur pays en me regardant à la dérobée. Le soir alors que nous étions revenus au camp, Kader un autre ouvrier du chantier qui possédait une voiture me proposa de descendre avec lui au village, pour acheter quelques bricoles à manger.
J’acceptais en m’asseyant à son côté pour me changer les idées mais quant au bout de quelques kms il posa sa main sur ma cuisse en engageant la voiture sous un porche tranquille, je compris qu’il devait faire partie de la troupe qui m’avait vu me faire monter dans la nuit car il n’hésita pas une minute ouvrant sa braguette en se tournant vers moi tout en me plaquant la tête sur son slip odorant gonflé de désir. C’est vrai qu’il devait y avoir une sacrée bite là-dedans, elle était tendue, coincée de travers sous le tissu et quand je passais maladroitement ma main sous l’élastique de la cuisse, je rencontrais ses énormes balloches et les écartant doucement, je m’emparant à pleine main de la grosse tige qui se mit à palpiter sous ma caresse pendant que je la dégageais de sa prison en baissant le slip gênant la laissant osciller lourdement tendue de désir.
Son gland était énorme, tout congestionné, et il devait bander depuis un moment déjà car il était tout poisseux de sperme qui avait dû suinter dès que j’étais monté à côté de lui et c’est sans doute pour cela qu’il était si odorant enfin disons même légèrement puant sur les bords...
Sachant que je n’avais pas le choix, Je commençais donc par lui faire sa toilette, léchant doucement le gland du bout de la langue, insistant sous le gland mais les grosses mains calleuses qui se refermèrent autour de ma tête me firent vite comprendre l’urgence de la situation en m’écrasant les lèvres sur le bout de la queue impatiente et comme par jeu je résistais, il me pinça le nez m’empêchant de respirer et comme j’ouvrais la bouche pour reprendre de l’air, la bêbête qui n’attendait que ça s’engouffra entre mes lèvres commençant à se branler dans ma bouche en de grands vas et vient m’obligeant à la saisir rapidement de mes deux mains réunies sur le nerf de bœuf, l’immobilisant tout en pressant le dessous du gland poisseux avec ma langue en le branlant doucement c’est vrai que c’était agréable de le sucer, de le sentir tout glissant dans la bouche, il palpitait contre mon palais, et je ne pus m’empêcher d’accélérer la cadence le suçant de plus en plus vite comme je l’avais vue dans le bouquin porno et quand je le senti se raidir soudain, j’accélérais encore le cadence en écartant ma bouche pour voir le foutre jaillir mais, les deux mains me ramenèrent brutalement à la réalité m’enfournant convulsivement la grosse bite dans la bouche, les jets de sperme chauds giclant entre mes dents, débordant de mes lèvres en coulant sur mon menton tant il y en avait, ce salaud devait être plein à ras bord...
Quelques jours plus tard, posé sur une fesse dans l’avion qui me ramenait au bercail, je songeais au petit bois qui n’était pas très loin de chez moi où rodaient des drôles de types la nuit et je changeais de fesse pour pouvoir aérer un peu mon petit trou, enfin petit, manière de dire...
Les premiers jours s’était passés sans rien de trop spécial si ce n’est que le manque de femmes commençait à peser lourdement et rendait les caractères de certain assez agressifs. Pour ma part, n’étant pas trop porté sur la chose, je supportais assez bien la situation mais, ce n’était pas le cas de tout le monde. Il commençait à circuler un tas de revues pornos remplies de photos de femmes nues dans des positions disons assez variées. Aussi, quand regagnant mon coin intime je trouvais un de ces magazines jeté sur mon lit, je me le gardais pour le soir et une fois enfoui dans mon drap, j’en commençais la lecture. Eh bien, les filles avaient disparues dans celui-ci faisant place à des mecs qui s’exhibaient en couple, l’un des deux ayant toujours le membre dressé avantageusement sous le regard admiratif de l’autre homme qui lui rendait hommage d’une bouche attendrie, le suçant avec amour. C’est vrai que les photos des queues étaient superbes remplissant toute la page et je dois avouer qu’elles ne me laissaient pas indifférent me rappelant une histoire de collège avec un copain qui m’avait obligé à le branler un jour m’ayant surpris en plein astiquage. Aussi quand je tombais en arrêt devant une pine en gros plan dégoulinante de sperme, je ne pus retenir ma main de s’emparer de ma queue l’agitant frénétiquement tant j’étais excité.
C’est sans doute Karim mon voisin de table qui avait dû déposer la revue pour m’exciter. Dès le début de notre séjour, je devais subir le frôlement de sa jambes contre la mienne tant nous étions serrés autour de la table et je m’étais habitué à ce contact régulier mais c’est vrai que le lendemain matin, il ne se gêna plus et c’est sa cuisse qui doucement vint au contact de la mienne, il savait que je ne me déroberais pas, il avait deviné que j’étais mûr en me voyant baisser le nez dans mon bol, laissant sa chaleur m’irradier discrètement sous la table.
Maintenant je sentais son regard dominateur toujours fixé sur moi à la dérobé, il savait que j’étais une proie facile et ne manquait jamais une occasion de me frôler à chaque fois qu’il le pouvait. C’est vrai que la promiscuité des autres mâles et cette insistance masculine toujours présente commençait à me travailler et une curieuse envie commençait sournoisement à se développer en moi, et bientôt je me surpris à trainer à table en lisant, pour pouvoir les regarder évoluer discrètement, comparant la grosseur de leur braguette respective, sentant monter en moi un désir jusque-là inconnue qui me faisait bander. Qu’est-ce qu’il m’arrivait donc, l’envie de m’agenouiller devant une queue pour la sucer comme sur les photos me venait maintenant, après tout, j’étais loin de chez moi et une petite expérience, personne ne le saurait jamais Aussi quand quelques jours plus tard je trouvais un petit baigneur d’enfant glissé discrètement dans mes draps je senti la fièvre monter en moi me faisant tremblé d’appréhension. Je savais qu’il allait venir cette nuit et j’essayais de rester éveillé attendant la suite des évènements, mon cœur battant la chamade mais, le sommeil fut plus fort que moi et je sombrais dans les bras de Morphée...
La nuit était déjà avancée quand je me réveillais, je ne rêvais pas, un corps était serré contre le mien, je ne l’avais même pas senti glisser dans ma couche et soulever le drap léger qui nous recouvrait maintenant tous les deux mais sa main bouillante était bien là, posée maintenant sur mes cuisses, les caressant doucement. Je ne voulais pas montrer que j’étais éveillé et, je le laissais continuer ses caresses qui maintenant parcouraient tout mon corps, me faisant frissonner malgré moi, lui montrant que je n’étais pas insensible à sa présence par mon silence coupable, le laissant se serrer contre mon corps, qu’il étreignait maintenant convulsivement m’écrasant à moitié sous lui, sa queue battant sur mon ventre répandant sa forte odeur de sperme qui m’affolait complètement C’est quand il commença à s’introduire entre mes fesses que j’essayant de me débattre un peu mais, coincé comme je l’étais sous son corps musclé, je ne pouvais pas faire grand-chose et d’ailleurs, en avait-je vraiment envie et l’instant d’après, c’est un doigt inquisiteur qui qui se mit à fouiller ma raie à la recherche de ma pastille qu’il écarta sans façon de ses doigts tous graisseux, l’attendrissant à sa façon en la lubrifiant de quelques aller et retour à l’intérieur, la préparant pour la suite des évènements et saisissant mon sexe maintenant tendu de désir au creux de sa main à nouveau huilée, il se mit à le pétrir assez brutalement le décalottant bien à fond pour bien l’enduire de son produit comme il l’avait fait pour mon trou, c’est vrai que c’était agréable de se sentir tout gras serré contre son corps, qu’il ne soit pas une femme m’était totalement indifférent, seul la chaleur de son corps contre le mien comptait mais, j’aurais bien aimé qu’il me finisse en lui faisant cracher son jus pour une fois que je bandais.
Curieusement, il me laissa tomber aussi vite qu’il était arrivé, regagnant sa couche me laissant là pantelant dans mes envies, mon trou bouillant de ses intrusions et c’est quand je senti les picotements augmenter, que je compris soudain son manège. Il m’avait enduit les fesses de piments comme c’est la mode chez eux et maintenant la douleur augmentait me donnant une envie folle de me gratter tant elle était infernale et attrapant une serviette que je nouais autour de mes reins, je me précipitais vers les urinoirs voisins essayant de tenir mes fesses écartées pour de les aérer, la queue pendante sous la brûlure infernale...
J’allais franchir la porte quand j’eu un mouvement de recule : plusieurs hommes étaient déjà là se branlant doucement en attendant un spectacle éventuel. Mais je compris qu’il était déjà trop tard quand le pieu de Karim fouettant mes cuisses me poussa à l’intérieur du baisodrome, m’arrachant ma serviette et m’exposant comme un trophée aux autres, tout fière de ramener une proie blanche. Le piège était refermé, et quand ses mains bouillantes se mirent à frôler mes reins, je me laissais aller lui obéissant, livré en pâture autres mâles avides du spectacle. Je le laissais me tourner vers lui, m’offrant à son désir, le laissais m’écraser contre le mur, malaxant mon corps de ses grosses mains calleuses tout en marmonnant des paroles incompréhensibles. Sa queue bouillante de désir me fouettait les cuisses à chacun de ses mouvements s’entrechoquant avec la mienne au passage et quand enfin il me retourna contre le mur, elle ne tarda pas à trouver son chemin.
Ses mains empoignèrent mes hanches, et, alors que je craignais qu'il ne s'enfonce sauvagement, il le fit lentement, sa queue bouillante écartant mes fesses douloureuses, le gland remontant lentement le long de mon sillon à la recherche de son but en augmentant encore le feu du piment pendant qu’il me penchait en avant. Quand il s’immobilisa enfin contre ma rondelle, je me mis à appréhender la douleur de la déchirure mais, sa pesée se fit toute en douceur, augmentant progressivement, le gland violacé écartant mes chaires doucement, délicatement, sa chaleur m’irradiant au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en moi en me dilatant, la douleur augmentant au fur et à mesure qu’il me défonçait et je serrais les lèvres pour ne pas crier tant je souffrais mais, je ne voulais pas le montrer aux autres salauds qui se branlaient contre moi, frottant leur sexes dans mes cheveux, contre ma bouche... je ne savais plus ou j’en étais, mais je voulais rester un homme malgré tout, même si je n’en étais plus tellement un maintenant... Empalé sous sa queue...
Il me prit longtemps, entrant et ressortant, son torse suant plaqué contre mon dos. La douleur avait laissé la place à la démangeaison infernale, et je me tortillais dans tous les sens empalé sur la queue pour essayer de l’apaiser, enfin son rythme s'accéléra, et brutalement, ses grosses mains qui me tenaient par la taille se crispèrent me coinçant impétueusement collé contre lui, m’écrasant les fesses d’une poussée impétueuse, lançant son dard au plus profond de mes boyaux et je sentis dans mon cul bouillant la pulsation des jets de foutre qui s'échappaient crachant dans la capote. Et quand enfin il se retira m’abandonnant là, je pus me relever écartant les autres d’une poussée, une envie folle de me soulager me vint et voyant le latex tout gluant abandonné par terre, je m’en emparai et le présentant devant mon engin tendu de désir, je l’introduisis doucement dans l’étui plein de foutre et commençais à me branler avec pour apaiser la brûlure. Il était tout gluant de sperme qui se mit à refluer le long de ma queue débordant dans mes poils, les empoissant de foutre à chaque aller et retour de ma pine dans la capote et ne pouvant plus tenir, je me laissais aller dans un grand râle mêlant ma semence au jus crémeux de la pine qui avait crachée dans mon cul, tout en recevant le foutre des lascars qui m’avaient coincé entre eux pour finir de se branler sur moi.
Toute la journée, j’essayais de ne pas montrer ma souffrance, mon anneau me brûlant à chaque pas sous la morsure du piment rendant ma démarche très hésitante je voyais bien qu’ils se foutaient tous de moi lorsqu’ils parlaient entre eux dans la langue de leur pays en me regardant à la dérobée. Le soir alors que nous étions revenus au camp, Kader un autre ouvrier du chantier qui possédait une voiture me proposa de descendre avec lui au village, pour acheter quelques bricoles à manger.
J’acceptais en m’asseyant à son côté pour me changer les idées mais quant au bout de quelques kms il posa sa main sur ma cuisse en engageant la voiture sous un porche tranquille, je compris qu’il devait faire partie de la troupe qui m’avait vu me faire monter dans la nuit car il n’hésita pas une minute ouvrant sa braguette en se tournant vers moi tout en me plaquant la tête sur son slip odorant gonflé de désir. C’est vrai qu’il devait y avoir une sacrée bite là-dedans, elle était tendue, coincée de travers sous le tissu et quand je passais maladroitement ma main sous l’élastique de la cuisse, je rencontrais ses énormes balloches et les écartant doucement, je m’emparant à pleine main de la grosse tige qui se mit à palpiter sous ma caresse pendant que je la dégageais de sa prison en baissant le slip gênant la laissant osciller lourdement tendue de désir.
Son gland était énorme, tout congestionné, et il devait bander depuis un moment déjà car il était tout poisseux de sperme qui avait dû suinter dès que j’étais monté à côté de lui et c’est sans doute pour cela qu’il était si odorant enfin disons même légèrement puant sur les bords...
Sachant que je n’avais pas le choix, Je commençais donc par lui faire sa toilette, léchant doucement le gland du bout de la langue, insistant sous le gland mais les grosses mains calleuses qui se refermèrent autour de ma tête me firent vite comprendre l’urgence de la situation en m’écrasant les lèvres sur le bout de la queue impatiente et comme par jeu je résistais, il me pinça le nez m’empêchant de respirer et comme j’ouvrais la bouche pour reprendre de l’air, la bêbête qui n’attendait que ça s’engouffra entre mes lèvres commençant à se branler dans ma bouche en de grands vas et vient m’obligeant à la saisir rapidement de mes deux mains réunies sur le nerf de bœuf, l’immobilisant tout en pressant le dessous du gland poisseux avec ma langue en le branlant doucement c’est vrai que c’était agréable de le sucer, de le sentir tout glissant dans la bouche, il palpitait contre mon palais, et je ne pus m’empêcher d’accélérer la cadence le suçant de plus en plus vite comme je l’avais vue dans le bouquin porno et quand je le senti se raidir soudain, j’accélérais encore le cadence en écartant ma bouche pour voir le foutre jaillir mais, les deux mains me ramenèrent brutalement à la réalité m’enfournant convulsivement la grosse bite dans la bouche, les jets de sperme chauds giclant entre mes dents, débordant de mes lèvres en coulant sur mon menton tant il y en avait, ce salaud devait être plein à ras bord...
Quelques jours plus tard, posé sur une fesse dans l’avion qui me ramenait au bercail, je songeais au petit bois qui n’était pas très loin de chez moi où rodaient des drôles de types la nuit et je changeais de fesse pour pouvoir aérer un peu mon petit trou, enfin petit, manière de dire...
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