Le chapon et le coq 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le chapon et le coq 1
Les deux hommes viennent de s'affronter. Chacun veut, chacun pose ses conditions. Il s'agit de disposer de moi physiquement, il s'agit de me posséder sexuellement de façon à me garantir une vie sexuelle normale. L'un m'offre à l'autre, l'autre veut bien de moi. Je devrais sauter de joie.
Le premier a consulté le second avant de m'avertir de ses intentions. C'est dire à quel point mon avis a de l'importance pour lui. Le second a fait le difficile, a demandé à réfléchir, mais je le comprends, car c'est mon premier mari, celui que j'ai trompé, une fois seulement, mais une fois de trop pour lui. Je me suis rabattue sur le premier, l'homme avec lequel j'avais trahi mon aimé.Après le divorce, Il m'a épousée comme il l'avait promis au moment de me séduire. Je n'avais pas l'intention de récidiver avec lui. Hélas mon mari numéro un, dont je restais folle amoureuse, n"avait pas voulu pardonner ma faute, m'avait rejetée et j'étais devenue l'épouse d'un homme beaucoup plus âgé que moi.
Hélas, ce second époux, père de ma fille de cinq ans maintenant, quinquagénaire qui approche de la soixantaine, a connu des difficultés de santé telles que les médecins l'ont mis en garde contre des relations sexuelles impétueuses, trop ardentes; " pas d'excès"m'ont-ils répété avec un air entendu, accusant sans le dire notre différence d'âges.. Les excès pouvaient lui coûter la vie. De là son idée de chercher l'homme capable de me combler. Donc ils avaient combiné et me mettaient en position de femme objet pour laquelle les hommes décident. Cela, l'année même où on célèbre la journée des droits de la femme ! Mise au courant du plan de Greg, mon homme désormais réduit aux jeux amoureux calmes, j'ai consulté celui qu'il avait choisi pour moi, sans moi.
Contrairement au refus auquel je m'attendais, Jean a fini par reconnaître qu'il regrette le divorce. Et puisque Greg nous offre l'occasion inespérée de renouer de la plus belle manière, Jean consent à me faire l'amour, malgré le souhait émis par Greg d'assister à nos ébats. Or Greg, comme vous avez pu le lire dans les deux chapitres précédents, a voulu trop contrôler et Jean l'a mis au pied du mûr, dans ce que je compare à un combat verbal de coqs, l'un hardi, monté sur des ergots de trente-six ans, l'autre humilié par ses défaillances plus ressemblant à un chapon.
.
La poule dans cette basse-cour, c'est moi, Elvire. Mes deux coqs sans plumes et à poil comme je le suis moi-même m'ont énervée avec leur prétention à me prescrire le remède qui me convient. Eux sauraient et moi je n'aurais qu'à exécuter quand ils veulent, comme ils veulent. Le canapé ou le lit, les accouplements à deux ou à trois, eux choisiraient, moi je prendrais leur position préférée de manière à leur plaire en tout. Ils sont là, queue à l'horizontale, Greg à son tour se soumet, Jean prend ma main pour m'entraîner vers le lit plus spacieux que le fameux divan. Il semble ne pas aimer l'idée de me posséder au salon. Maintenant que j'ai lu son récit ( voir "mais oui, c'est elle 1 et 2 et "mais oui, c'était moi" 1), je comprends pourquoi. Il n'est jamais agréable de remuer ce genre de passé ou de chercher à le revivre.
Je le retiens et à mon tour je parle avec un peu de colère :
- Eh! Vous deux, les mâles, avez-vous pensé que je pourrais avoir un avis? Il serait temps de m'écouter. Dans ma profession je ne passe pas pour du beurre. Ici je veux q'on m'entende et qu'on tienne compte de mes envies autant que des vôtres. Je n'ai pas initié cette situation bien étrange, il faut en convenir. Voici deux hommes que tout doit opposer, soudain ils s'entendent en secret pour faire mon bonheur. C'est surprenant et touchant. N'est-ce pas aussi un peu fou ? Qui mieux que moi peut savoir ce qu'est mon bonheur ? Sans m'avoir consultée vous fixez la ligne à suivre pour obtenir ce que vous prenez pour mon bonheur. Nous voilà donc nus tous trois à disputer de l'événement proche. L'un nous attire ici au salon, l'autre préfère le lit conjugal. Et moi , ai-je une préférence, en ai-je le droit ? Oui, donc je propose et vous avez intérêt à ne plus me contrarier.
Voilà, j'essaie de satisfaire en partie chacun de vous. A toi Greg en premier je concède l'utilisation du canapé. Non, Jean, ce n'est pas inconfortable et, pour te consoler, j"accorde en contrepartie d'éloigner aujourd'hui le voyeur. Mon cher mari, tu dois reconnaître que les retrouvailles de deux divorcés peuvent rencontrer des difficultés dues au passé. Jean et moi devons nous redécouvrir, nous réaclimater; tellement de choses se sont passées depuis notre séparation. Il me semble que pour nous redécouvrir nous aurons besoin d'avoir l'impression d'être seuls, de pouvoir échanger des consignes comme " pousse" ou "retire-toi" nécessaires à des ajustements mais que personne ne doit entendre. C'est pourquoi je te demande d'aller dans la cuisine, d'installer une chaise derrière la porte.Ce sera aujourd'hui ton poste d'observation
Tiens, Jean retrouve le sourire. Greg tire la gueule. Les deux se regardent, haussent les épaules, l'un avec dépit, l'autre avec une lueur d'ironie dans le regard. Ceux qui ont lu le début du récit de Jean s'amuseront de constater la une forte ressemblance entre la situation de Jean dans la cuisine jadis et ce qui est prévu pour Greg. ( Note d'Elvire : je n'avais pas lu à cet instant l'histoire racontée par Jean ). Je trouve simplement le procédé intéressant, je n'y mets aucune malice à ce moment là. Jr me serre contre mon mari, il bande contre mon ventre. Je le conduis vers la porte de la cuisine et je lui précise à voix basse :
- Mon chéri, ta chaise avancera lors de chaque rencontre de sorte qu'à la quatrième tu pourras me toucher comme tule souhaites. Laisse-moi le temps d'amadouer Jean et de le préparer à ta participation active. Nous en reparlerons quand nous serons seuls. Bien, est-ce que nous continuons ou mets-tu fin à cette séance.
- On continue, je le veux, je ne suis pas homme à changer facilement d'avis. Tout cela a été longuement réfléchi et je te fais confiance. Merci , j'apprécie ce que tu viens de me dire. Va et jouis, mon amour.
- Embrasse-moi pour m'encourager. Et ne l'oublie pas, je t'aime et je t'obéis par amour.
Le baiser est ardent, nous sommes excités en pensant à la suite. Je me détache, Greg s'assied, je me dirige vers l'exécuteur chargé de me posséder. Il me tend les bras, je m'y blottis tendrement. Nous sommes debout, l'une contre la chaleur de l'autre, nos yeux se fixent, pleins d'envie. Comme je me sens bien aussi contre l'homme que Greg m'offre. Là, sous ma main, enfle la verge dressée déjà dure et raide. J'entretiens cette érection prometteuse d'un mouvement vertical, mes doigts montent et descendent le long de la tige excitée. Greg peut observer la réponse de la gauche de Jean qui s'insinue entre mes cuisses.
Je pourrais m'agenouiller pour une fellation classique mais je préfère attirer mon compagnon sur le canapé, je m'allonge sur le dos, j'invite Jean à la reprise du soixante-neuf que nous avions dû interrompre chez lui. Notre entente est parfaite; avec émotion je m'empare du sexe exposé au-dessus de mon visage. Autrefois j'adorais porter le gland dénudé à mes lèvres avant de laisser à ma langue la liberté d"en faire le tour à plusieurs reprises. Aujourd'hui je prends le même plaisir à reproduire les mêmes caresses avant d'engloutir la verge entière dans ma bouche. Je revis ma nuit de noces, ma lune de miel et les découvertes des premiers mois de mariage. A l'affût de mes plaintes Greg ne peut pas imaginer le trouble qui m'envahit. mais les sons gutturaux de mes gémissements doivent satisfaire son besoin de me savoir heureuse.
Le plus simplement du monde, quand mon ventre se contracte et sursaute sous l'action conjuguée de la bouche et des doigts de Jean, il change de position, vient se coucher sur moi, m'ouvre. Je sens le contact du gland contre les grandes lèvres de ma vulve généreusement lubrifiées. Quelques mouvements de la verge fraient un passage vers mes nymphes en feu, puis se réalise la lente progression douce du sexe dans mon vaQuand le passage ne cède pas assez vite Jean prend un léger recul et appuie davantage contre les parois en secousses gagnantes. Que c'est fameux, que c'est excitant. Mon souffle devient haletant, je n'ai pas à forcer pour faire savoir à Greg que l'exercice est formidable.
Alors, quand mon amant se met en branle, qu'il accélère et s'engage en une longue suite d'allers et retours en moi, quand sa hampe frotte mon clitoris affolé, quand la tête de son noeud vient heurter régulièrement mon col d'utérus, j'entre dans un délire délicieux que scandent les " han" "han" du mâle aimé. Voilà c'est fait, j'explose, en moi gicle le sperme chaud. Là-bas, dans la cuisine Greg applaudit et crie "bravo". Je reviens sur terre, comblée mais vaguement inquiète. Ces applaudissements sont-ils sincères ou cachent-ils l'amertume du mari qui s'est cru trop sûr de lui, qui ne peut que se reprocher de m'avoir tentée ?
Jean se pose certainement la même question. L'occasion ne se reproduira peut-être plus. Il se redresse, s'assied sur le siège du canapé, se prend en main, reprend vite forme et m'invite à m'installer à califourchon sur son pivot de la joie. J'enjambe ses cuisses et me pose au sommet de son membre. Cette fois je descends d'un trait et mon sexe coiffe le sien jusqu'à la rencontre de mon pubis et de son pelvis. Mon bassin reste immobile, Mes bras encerclent son cou, je l'embrasse amoureusement sans me demander ce que mon mari peut penser de ce geste si intime. Nos bouches se dévorent encore, deux mains soulèvent mes hanches et lancent la chevauchée qui aboutira aux nouveaux halètements, aux expressives plaintes d'amour et à un nouvel orgasme bruyant, trempé de mouille et de foutre.
Cette fois Jean juge prudent de prendre du repos. Nous sommes assis côte à côte pour récupérer et entendons avec stupéfaction la voix de mon mari :
- Quoi, c'est déjà fini ? Oh Jean, tu ne peux pas plus? Elvire sera déçue. Fais un effort, que diable, j'attends mieux de vous.
NB vous aurez remarqué que ce récit est une suite de nombreux chapitres. On peut cependant le lire sans tout revoirA suivre
Le premier a consulté le second avant de m'avertir de ses intentions. C'est dire à quel point mon avis a de l'importance pour lui. Le second a fait le difficile, a demandé à réfléchir, mais je le comprends, car c'est mon premier mari, celui que j'ai trompé, une fois seulement, mais une fois de trop pour lui. Je me suis rabattue sur le premier, l'homme avec lequel j'avais trahi mon aimé.Après le divorce, Il m'a épousée comme il l'avait promis au moment de me séduire. Je n'avais pas l'intention de récidiver avec lui. Hélas mon mari numéro un, dont je restais folle amoureuse, n"avait pas voulu pardonner ma faute, m'avait rejetée et j'étais devenue l'épouse d'un homme beaucoup plus âgé que moi.
Hélas, ce second époux, père de ma fille de cinq ans maintenant, quinquagénaire qui approche de la soixantaine, a connu des difficultés de santé telles que les médecins l'ont mis en garde contre des relations sexuelles impétueuses, trop ardentes; " pas d'excès"m'ont-ils répété avec un air entendu, accusant sans le dire notre différence d'âges.. Les excès pouvaient lui coûter la vie. De là son idée de chercher l'homme capable de me combler. Donc ils avaient combiné et me mettaient en position de femme objet pour laquelle les hommes décident. Cela, l'année même où on célèbre la journée des droits de la femme ! Mise au courant du plan de Greg, mon homme désormais réduit aux jeux amoureux calmes, j'ai consulté celui qu'il avait choisi pour moi, sans moi.
Contrairement au refus auquel je m'attendais, Jean a fini par reconnaître qu'il regrette le divorce. Et puisque Greg nous offre l'occasion inespérée de renouer de la plus belle manière, Jean consent à me faire l'amour, malgré le souhait émis par Greg d'assister à nos ébats. Or Greg, comme vous avez pu le lire dans les deux chapitres précédents, a voulu trop contrôler et Jean l'a mis au pied du mûr, dans ce que je compare à un combat verbal de coqs, l'un hardi, monté sur des ergots de trente-six ans, l'autre humilié par ses défaillances plus ressemblant à un chapon.
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La poule dans cette basse-cour, c'est moi, Elvire. Mes deux coqs sans plumes et à poil comme je le suis moi-même m'ont énervée avec leur prétention à me prescrire le remède qui me convient. Eux sauraient et moi je n'aurais qu'à exécuter quand ils veulent, comme ils veulent. Le canapé ou le lit, les accouplements à deux ou à trois, eux choisiraient, moi je prendrais leur position préférée de manière à leur plaire en tout. Ils sont là, queue à l'horizontale, Greg à son tour se soumet, Jean prend ma main pour m'entraîner vers le lit plus spacieux que le fameux divan. Il semble ne pas aimer l'idée de me posséder au salon. Maintenant que j'ai lu son récit ( voir "mais oui, c'est elle 1 et 2 et "mais oui, c'était moi" 1), je comprends pourquoi. Il n'est jamais agréable de remuer ce genre de passé ou de chercher à le revivre.
Je le retiens et à mon tour je parle avec un peu de colère :
- Eh! Vous deux, les mâles, avez-vous pensé que je pourrais avoir un avis? Il serait temps de m'écouter. Dans ma profession je ne passe pas pour du beurre. Ici je veux q'on m'entende et qu'on tienne compte de mes envies autant que des vôtres. Je n'ai pas initié cette situation bien étrange, il faut en convenir. Voici deux hommes que tout doit opposer, soudain ils s'entendent en secret pour faire mon bonheur. C'est surprenant et touchant. N'est-ce pas aussi un peu fou ? Qui mieux que moi peut savoir ce qu'est mon bonheur ? Sans m'avoir consultée vous fixez la ligne à suivre pour obtenir ce que vous prenez pour mon bonheur. Nous voilà donc nus tous trois à disputer de l'événement proche. L'un nous attire ici au salon, l'autre préfère le lit conjugal. Et moi , ai-je une préférence, en ai-je le droit ? Oui, donc je propose et vous avez intérêt à ne plus me contrarier.
Voilà, j'essaie de satisfaire en partie chacun de vous. A toi Greg en premier je concède l'utilisation du canapé. Non, Jean, ce n'est pas inconfortable et, pour te consoler, j"accorde en contrepartie d'éloigner aujourd'hui le voyeur. Mon cher mari, tu dois reconnaître que les retrouvailles de deux divorcés peuvent rencontrer des difficultés dues au passé. Jean et moi devons nous redécouvrir, nous réaclimater; tellement de choses se sont passées depuis notre séparation. Il me semble que pour nous redécouvrir nous aurons besoin d'avoir l'impression d'être seuls, de pouvoir échanger des consignes comme " pousse" ou "retire-toi" nécessaires à des ajustements mais que personne ne doit entendre. C'est pourquoi je te demande d'aller dans la cuisine, d'installer une chaise derrière la porte.Ce sera aujourd'hui ton poste d'observation
Tiens, Jean retrouve le sourire. Greg tire la gueule. Les deux se regardent, haussent les épaules, l'un avec dépit, l'autre avec une lueur d'ironie dans le regard. Ceux qui ont lu le début du récit de Jean s'amuseront de constater la une forte ressemblance entre la situation de Jean dans la cuisine jadis et ce qui est prévu pour Greg. ( Note d'Elvire : je n'avais pas lu à cet instant l'histoire racontée par Jean ). Je trouve simplement le procédé intéressant, je n'y mets aucune malice à ce moment là. Jr me serre contre mon mari, il bande contre mon ventre. Je le conduis vers la porte de la cuisine et je lui précise à voix basse :
- Mon chéri, ta chaise avancera lors de chaque rencontre de sorte qu'à la quatrième tu pourras me toucher comme tule souhaites. Laisse-moi le temps d'amadouer Jean et de le préparer à ta participation active. Nous en reparlerons quand nous serons seuls. Bien, est-ce que nous continuons ou mets-tu fin à cette séance.
- On continue, je le veux, je ne suis pas homme à changer facilement d'avis. Tout cela a été longuement réfléchi et je te fais confiance. Merci , j'apprécie ce que tu viens de me dire. Va et jouis, mon amour.
- Embrasse-moi pour m'encourager. Et ne l'oublie pas, je t'aime et je t'obéis par amour.
Le baiser est ardent, nous sommes excités en pensant à la suite. Je me détache, Greg s'assied, je me dirige vers l'exécuteur chargé de me posséder. Il me tend les bras, je m'y blottis tendrement. Nous sommes debout, l'une contre la chaleur de l'autre, nos yeux se fixent, pleins d'envie. Comme je me sens bien aussi contre l'homme que Greg m'offre. Là, sous ma main, enfle la verge dressée déjà dure et raide. J'entretiens cette érection prometteuse d'un mouvement vertical, mes doigts montent et descendent le long de la tige excitée. Greg peut observer la réponse de la gauche de Jean qui s'insinue entre mes cuisses.
Je pourrais m'agenouiller pour une fellation classique mais je préfère attirer mon compagnon sur le canapé, je m'allonge sur le dos, j'invite Jean à la reprise du soixante-neuf que nous avions dû interrompre chez lui. Notre entente est parfaite; avec émotion je m'empare du sexe exposé au-dessus de mon visage. Autrefois j'adorais porter le gland dénudé à mes lèvres avant de laisser à ma langue la liberté d"en faire le tour à plusieurs reprises. Aujourd'hui je prends le même plaisir à reproduire les mêmes caresses avant d'engloutir la verge entière dans ma bouche. Je revis ma nuit de noces, ma lune de miel et les découvertes des premiers mois de mariage. A l'affût de mes plaintes Greg ne peut pas imaginer le trouble qui m'envahit. mais les sons gutturaux de mes gémissements doivent satisfaire son besoin de me savoir heureuse.
Le plus simplement du monde, quand mon ventre se contracte et sursaute sous l'action conjuguée de la bouche et des doigts de Jean, il change de position, vient se coucher sur moi, m'ouvre. Je sens le contact du gland contre les grandes lèvres de ma vulve généreusement lubrifiées. Quelques mouvements de la verge fraient un passage vers mes nymphes en feu, puis se réalise la lente progression douce du sexe dans mon vaQuand le passage ne cède pas assez vite Jean prend un léger recul et appuie davantage contre les parois en secousses gagnantes. Que c'est fameux, que c'est excitant. Mon souffle devient haletant, je n'ai pas à forcer pour faire savoir à Greg que l'exercice est formidable.
Alors, quand mon amant se met en branle, qu'il accélère et s'engage en une longue suite d'allers et retours en moi, quand sa hampe frotte mon clitoris affolé, quand la tête de son noeud vient heurter régulièrement mon col d'utérus, j'entre dans un délire délicieux que scandent les " han" "han" du mâle aimé. Voilà c'est fait, j'explose, en moi gicle le sperme chaud. Là-bas, dans la cuisine Greg applaudit et crie "bravo". Je reviens sur terre, comblée mais vaguement inquiète. Ces applaudissements sont-ils sincères ou cachent-ils l'amertume du mari qui s'est cru trop sûr de lui, qui ne peut que se reprocher de m'avoir tentée ?
Jean se pose certainement la même question. L'occasion ne se reproduira peut-être plus. Il se redresse, s'assied sur le siège du canapé, se prend en main, reprend vite forme et m'invite à m'installer à califourchon sur son pivot de la joie. J'enjambe ses cuisses et me pose au sommet de son membre. Cette fois je descends d'un trait et mon sexe coiffe le sien jusqu'à la rencontre de mon pubis et de son pelvis. Mon bassin reste immobile, Mes bras encerclent son cou, je l'embrasse amoureusement sans me demander ce que mon mari peut penser de ce geste si intime. Nos bouches se dévorent encore, deux mains soulèvent mes hanches et lancent la chevauchée qui aboutira aux nouveaux halètements, aux expressives plaintes d'amour et à un nouvel orgasme bruyant, trempé de mouille et de foutre.
Cette fois Jean juge prudent de prendre du repos. Nous sommes assis côte à côte pour récupérer et entendons avec stupéfaction la voix de mon mari :
- Quoi, c'est déjà fini ? Oh Jean, tu ne peux pas plus? Elvire sera déçue. Fais un effort, que diable, j'attends mieux de vous.
NB vous aurez remarqué que ce récit est une suite de nombreux chapitres. On peut cependant le lire sans tout revoirA suivre
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