LE CHARPENTIER ET LE RESTAURANT
Récit érotique écrit par VINCENTI [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LE CHARPENTIER ET LE RESTAURANT
LE CHARPENTIER ET LE RESTAURANT
Le charpentier avait organisé un repas dans ce restaurant du centre ville. Il avait invité plusieurs ouvriers de l’entreprise et moi même. Il connaissait très bien Marc le patron du restaurant. Ce repas devait célébrer la promotion du charpentier et se dérouler un samedi dans la soirée.
Je ne voulais surtout pas arriver en retard et c’est avec beaucoup d’avance que je me suis présenté à l’entrée du restaurant.
Marc, le patron du restaurant me reçut chaleureusement et me dit que je devais être le stagiaire dont le charpentier lui avait longuement parlé.
Il me dit qu’il lui avait fait que des compliments à mon encontre, que j’étais très gentil. Il jetait des regards vers mes fesses. Le charpentier avait dû beaucoup parler de mes qualités et je me sentais un peu gêné.
Il m’invita à prendre un apéritif, et plaça deux verres de rhum à l’extrémité du comptoir, un endroit à l’écart, un peu caché des regards des autres clients. Nous les bûmes d’un coup. Plus tard, la tête me tournait un peu et lui rigolait.
Alors Marc s’approcha de moi et je sentis qu’il passait sa grosse main sur mes fesses, en s’attardant sur la raie. Finalement il écarta le haut de mon bermuda et y glissa sa grosse main. Je sentis alors ses gros doigts se glisser dans ma raie, profondément, et il entreprit de faire pénétrer son index dans mon anus.
Je poussais des gémissements car cette caresse me plaisait énormément.
Puis je sentis qu’il appuyait son gros sexe dur sur ma fesse en donnant de petits coups qui m’excitaient énormément. Alors je reculais mon derrière pour mieux le sentir, pour l’exciter. C’est alors que je m’aperçus qu’il ouvrait la braguette de son pantalon, toujours caché par le comptoir. Il sortit son sexe, un gros sexe bien appétissant, pas encore décalotté.
Marc me demanda alors de le toucher, de le caresser.
Alors je le caressais avec douceur puis je décalottais délicatement son gros gland qui était tout mouillé, bien glissant et gluant. Je forçais un peu plus pour le découvrir complètement.
Une forte odeur se dégageait de l’organe qui durcissait, grossissait.
Je touchais ce gland avec mes doigts, tout autour. Je le manipulais dans tous les sens. Marc gémissait discrètement afin de ne pas alerter les autres consommateurs.
Alors, j’approchais mes doigts gluants de mon nez. Je sentis une très forte odeur de pisse et de fromage. Manifestement, Marc ne devait pas prendre soin de son sexe. Non seulement son sentait très mauvais et mais il présentait des traces douteuses tout autour, du sperme séché, je pense, je ne sais pas.
J’étais dégoûté mais curieusement je fus attiré, excité. Alors j’approchais mon nez, respirait à fond. L’envie de faire plaisir à Marc me poussa même à sortir ma grosse langue et à lécher tout autour de son gros gland. je le fis avec plaisir malgré le goût très fort.
La salle s’animait, alors Marc rentra son sexe dans son pantalon et me caressa les fesses très fort en me disant discrètement ………. « on se verra plus tard, ce soir ».
Le charpentier avait organisé un repas dans ce restaurant du centre ville. Il avait invité plusieurs ouvriers de l’entreprise et moi même. Il connaissait très bien Marc le patron du restaurant. Ce repas devait célébrer la promotion du charpentier et se dérouler un samedi dans la soirée.
Je ne voulais surtout pas arriver en retard et c’est avec beaucoup d’avance que je me suis présenté à l’entrée du restaurant.
Marc, le patron du restaurant me reçut chaleureusement et me dit que je devais être le stagiaire dont le charpentier lui avait longuement parlé.
Il me dit qu’il lui avait fait que des compliments à mon encontre, que j’étais très gentil. Il jetait des regards vers mes fesses. Le charpentier avait dû beaucoup parler de mes qualités et je me sentais un peu gêné.
Il m’invita à prendre un apéritif, et plaça deux verres de rhum à l’extrémité du comptoir, un endroit à l’écart, un peu caché des regards des autres clients. Nous les bûmes d’un coup. Plus tard, la tête me tournait un peu et lui rigolait.
Alors Marc s’approcha de moi et je sentis qu’il passait sa grosse main sur mes fesses, en s’attardant sur la raie. Finalement il écarta le haut de mon bermuda et y glissa sa grosse main. Je sentis alors ses gros doigts se glisser dans ma raie, profondément, et il entreprit de faire pénétrer son index dans mon anus.
Je poussais des gémissements car cette caresse me plaisait énormément.
Puis je sentis qu’il appuyait son gros sexe dur sur ma fesse en donnant de petits coups qui m’excitaient énormément. Alors je reculais mon derrière pour mieux le sentir, pour l’exciter. C’est alors que je m’aperçus qu’il ouvrait la braguette de son pantalon, toujours caché par le comptoir. Il sortit son sexe, un gros sexe bien appétissant, pas encore décalotté.
Marc me demanda alors de le toucher, de le caresser.
Alors je le caressais avec douceur puis je décalottais délicatement son gros gland qui était tout mouillé, bien glissant et gluant. Je forçais un peu plus pour le découvrir complètement.
Une forte odeur se dégageait de l’organe qui durcissait, grossissait.
Je touchais ce gland avec mes doigts, tout autour. Je le manipulais dans tous les sens. Marc gémissait discrètement afin de ne pas alerter les autres consommateurs.
Alors, j’approchais mes doigts gluants de mon nez. Je sentis une très forte odeur de pisse et de fromage. Manifestement, Marc ne devait pas prendre soin de son sexe. Non seulement son sentait très mauvais et mais il présentait des traces douteuses tout autour, du sperme séché, je pense, je ne sais pas.
J’étais dégoûté mais curieusement je fus attiré, excité. Alors j’approchais mon nez, respirait à fond. L’envie de faire plaisir à Marc me poussa même à sortir ma grosse langue et à lécher tout autour de son gros gland. je le fis avec plaisir malgré le goût très fort.
La salle s’animait, alors Marc rentra son sexe dans son pantalon et me caressa les fesses très fort en me disant discrètement ………. « on se verra plus tard, ce soir ».
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