Titre de l'histoire érotique : LE CHARPENTIER ET LE RESTAURANT (SUITE) - histoire érotique

LE CHARPENTIER ET LE RESTAURANT (SUITE)


Après notre chaude séance de l’après midi, Marc, le patron du restaurant était bien occupé à préparer les tables et donner des instructions à son personnel pour le repas du soir. Les employés de l’entreprise de charpente, qui devaient participer à cette réunion festive, avec en particulier le responsable de mon stage, le charpentier, un ami de Marc le patron du restaurant.

Je m’étais assis à une table recouverte d’une nappe blanche d’où je pouvais voir tous les clients consommer apéritifs, vins ....

Marc discutait avec un client, un homme mur âgé d’une soixantaine d’année, certainement un de ses amis. J’ai remarqué qu’en discutant, l’homme me regardait toujours avec attention et parfois me souriait.
J’ai alors pensé que Marc devait lui parler de moi et peut être lui raconter nos récentes aventures.
A ma table, je lisais une revue que je fis tomber sous la table par maladresse. Je m’empressais de me mettre à genoux pour la récupérer en écartant largement mes cuisses tournées vers le client. Je portais toujours un bermuda assez large. Je mis un certain temps pour récupérer la revue.
Je m’aperçus que l’homme mur et Marc regardaient mes grosses fesses et mes cuisses écartées. Ils chuchotèrent quelques commentaires et Marc éclata de rire.

Je me relevais après avoir récupéré la revue. J’étais plutôt satisfait d’avoir attiré l’attention de ces deux hommes. Cela m’avait excité et je pensais que mes joues devaient être bien rouges.

Ensuite Marc s’approcha de moi en souriant et il me dit que je plaisais beaucoup à ce client avec qui il avait parlé. L’homme lui avait fait remarquer que franchement j’avais de très belles fesses, bien grosses et appétissantes.
Je m’aperçus que l’homme avait une grosse bosse au niveau de sa braguette et qu’il la touchait en se caressant.

Pris d’une envie de me soulager, je me dirigeais vers les WC et je posais mes fesses sur la lunette après avoir soulagé ma vessie. Soudain, j’entendis que quelqu’un frappait à la porte, je l’ouvris sans attendre et découvris que c’était l’homme mur. Il me demanda s’il pouvait entrer. Déjà bien excité, j’acceptais et je m’assis de nouveau sur la lunette.
L’homme avait ouvert sa braguette et il sortit son sexe déjà bien bandé et qui semblait très dur. Il exposa aussi deux gros testicules.

Il me dit : « j’ai envie que tu me caresses, que tu me branles... »

Alors je pris le sexe dans ma main, je l’ai caressé délicatement. Il était très dur et avait beaucoup grossi. J’ai décalotté son gros gland lentement mais fermement. Il l’avait approché de mon visage, je voyais bien qu’il était tout rouge, luisant, mouillé de ses sécrétions. Je sentais son odeur d’urine très excitante.

L’homme me demanda de bien le sucer. J’ai écarté mes lèvres, j’ai sorti ma grosse langue, et j’ai bien léché son gros gland baveux. Il aimait ce que je faisais....oui continue, salope !!!
Tu me fais du bien !!! Je goûtais son gland qui suintait, j’adorais ce goût d’urine, je faisais tourner ma langue tout autour comme quand on lèche une glace.
L’homme gémissait de plaisir, il adorait ma langue agile....je malaxais ses grosses couilles.
Soudain il fit pénétrer son gros gland tout au fond de ma bouche, fit quelques vas et viens comme s’il me baisait, je sentis son sexe durcir encore, vibrer. L’homme se mis à gémir fort et il cracha de nombreux jets puissants de crème chaude et bien gluante.
Ma bouche était bien remplie, j’avalais tout avec délice. Je me conduisais comme une grosse salope et j’aimais ça, ce bon goût de sperme.
Un peu de sperme s’écoula autour de mes lèvres , sur le côté.
Alors j’ai pensé que Marc devait le voir pour l’exciter. Je décidais de ne pas m’essuyer.

L’homme me dit qu’il était content, que j’avais bien fait comme une bonne salope.
Il me dit qu’il aimerait revenir pour que je recommence mais que la prochaine fois il aimerait bien glisser son sexe entre mes belles fesses, pour prendre son plaisir dans mon cul de salope et aussi me faire du bien en me baisant bien fort et profond.
Je lui fis un beau sourire, il ouvrit la porte des toilettes et s’esquiva vers la salle du restaurant.

J’y retournais un peu plus tard. L’homme n’était plus là. Marc me fit un beau sourire et un clin d’œil. Il s’approcha de moi et examina mes lèvres et vit les traces que l’homme avait laissées.
Marc me dit que j’avais dû me régaler. D’autres hommes qui s’étaient aperçus du manège, me regardaient avec un sourire coquin. Marc me dit que certains clients aimeraient sûrement les belles fesses qu’ils avaient aussi remarquées.

Marc me dit alors que si je reviens souvent au restaurant, je ferais certainement connaissances avec ces hommes murs qui apprécieraient les belles fesses et la bouche d’un jeune homme comme moi. Aujourd’hui plusieurs étaient venus le voir pour se renseigner. Marc leur avait répondu que j’étais très gentil et ouvert.

Je me sentais comme dans un nuage. Je plaisais à ces hommes murs qui ne demandaient qu’à se faire sucer et passer leurs sexes durs entre mes belles fesses pour me baiser. Je bandais en y pensant. D’ailleurs un autre homme très mur me surveillait de loin avec un doux sourire. Je devais lui plaire et il avait dû s’apercevoir de ce qui venait de se passer.

Maintenant il parlait avec Marc, le patron du restaurant. Certainement ce dernier devait vanter ma gentillesse et les qualités de ma bouche et de mes belles fesses.
Je me dirigeais discrètement vers la cabine des WC. Je laissais la porte entre ouverte. Il ne tarda pas à l’ouvrir et à pénétrer dans le WC. Il se caressait son sexe dur qui faisait une grosse bosse. Nous ne parlâmes pas. Je m’asseyais sur la lunette des WC, Il ouvrit sa braguette et sortit un gros sexe bien bandé et déjà dur. Il avait bien envie que je lui fasse du bien. Je lui caressais ses gros testicules bien pleins et puis je décalottais son gros gland, en forçant car il était très gros comme un abricot.
Ce que je découvrais sentais mauvais et fort, une odeur de pisse et de fromage un peu comme le patron du restaurant,
Je voyais des traces blanchâtres sous les replis de son gland. Je tirai fort sur la peau et je fis apparaître tout son gland, il était tout rouge, mouillé par la pisse je pense et aussi il était bien gluant.
L’homme me dit qu’il aimerait que je le suce bien. Il approcha son sexe de ma bouche, de mon nez....l’odeur était très forte, j’hésitais. Mais cela m’avait bien excité, alors je sortis ma grosse langue et la passa tout autour de son gland baveux. L’homme gémissait et moi après ce moment de dégoût au début, je me régalais, je me sentais bien salope....je le nettoyais bien, en lui caressant ses gros testicules.
Puis l’homme se raidit, je le senti grossir encore et puis des secousses.....et je sentais son sperme chaud et très gluant remplir ma bouche de salope. J’avalais tout, un régal, cet homme qui se vidait les couilles dans ma bouche.

Il sortit des toilettes en refermant sa braguette, l’air satisfait. Il me dit « tu fais très bien, j’ai bien joui, j’aimerais revenir te voir. J’en parlerai à Marc pour prendre rendez vous..
Je lui fis un beau sourire coquin.

Plus tard je rencontrais Marc le patron du restaurant. Il me dit qu’il était sûr que j’allais me faire plein d’amis car mes deux dernières connaissances en parleraient certainement aux autres. Je lui répondis que j’étais libre, je n’avais pas de contraintes et que le soir je pouvais passer au restaurant et que ce sera un plaisir pour moi aussi.
Je vous laisse mon No de téléphone, vous me téléphonez quand vous avez envie, vous Marc ou les autres.

Marc me dit que les charpentiers avaient annulé la soirée.
Ce n’est pas grave maintenant que j’ai de la bonne compagnie, des amis ici.
Un jour quand vous avez envie Marc , vous pouvez toujours me demander de venir m’occuper de vous un soir personnellement.