Le Chateau des Délices
Récit érotique écrit par ANNE64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Chateau des Délices
LE CHATEAU DES DELICES
Un soir que nous dinions avec Serge dans le Vieux Lyon, il nous proposa de participer à une soirée spéciale dans un château situé dans les Monts du Lyonnais. « J’organise pour les membres du réseau des soirées au Château des Délices, vous devriez venir, toi Virginie tu seras bien sûr une des hôtesses de la soirée et toi Paul, tu pourras profiter de cette soirée en tant que membre du réseau ». Je tentais de poser quelques questions, combien de participants ? En quoi consistaient les jeux de la soirée ? Serge me répondit par un laconique « tu verras le moment voulu Virginie » Quinze jours plus tard Paul reçu une invitation. « Demain soir nous irons au Château des Délices, tu es toujours d’accord ? » « Oui répondis je, on verra bien de quoi il s’agit ». Nous sommes arrivés vers 21h au château. Il était situé en plein Monts du Lyonnais dans une forêt.
A notre arrivée nous fumes accueillis par Madame X, la même qui m’avait prise en main lors de la soirée des enchères à Megève. « Bonsoir dit-elle, veuillez me suivre Virginie, vous Mr Paul vous pouvez monter au deuxième étage, il y a un bar , il y a déjà une vingtaine de ces Messieurs, Serge y est déjà ».
« Vous Virginie, je vais vous expliquer le déroulement de la soirée ». C’est ainsi qu’elle m’expliqua qu’il y avait 10 salles numérotées de 0 à 9, que je devais choisir 5 salles et qu’ensuite il me faudrait passer d’une salle à l’autre dans l’ordre croissant des numéros , le 0 étant toujours le dernier si je venais à le choisir. Elle m’indiqua également que lorsque j’aurai fini de passer dans une salle, il me faudrait me rendre à la suivante sans attendre et qu’elle me donnerait des instructions au fur et à mesure via des hauts parleurs. « Ne choisissez pas le 0 pour cette première fois » me conseilla-t-elle. Je choisis les numéros 2, 4, 5, 7 et 8. « Bien, c’est un bon choix pour une première soirée » me dit-elle. « Ah dernier détail, ajouta-t-elle, vous devez vous déshabiller ici et aller nue à la première salle que vous avez choisie » « N’oubliez pas , vous êtes là pour donner du plaisir à ces Messieurs , plus ils seront satisfaits , plus ils sauront se montrer généreux » « Les salles sont situées au premier étage pour la 1,2, 3, 4 et5 et au sous-sol pour les autres » ajouta t elleC’est ainsi qu’un quart d’heure plus tard je me retrouvais devant la porte de la salle N°2, au fronton de laquelle était inscrit : Exhibition.
J’entrai, la pièce était ronde, les murs étaient recouverts de miroirs, je compris tout de suite , des miroirs sans tain . Au milieu de la pièce il y avait un fauteuil de gynéco, monté sur une plateforme. La voix de Madame X retentit dans un hautparleur « Installez-vous dans le fauteuil, vos cuisses bien écartées » , je m’exécutai.
J’étais installée à peine depuis une minute que le fauteuil se mit alors à tourner sur son socle très lentement. De temps en temps il s’arrêtait et repartait quelques minutes plus tard. Je savais que derrière ces miroirs des hommes devaient se masturber en matant ma vulve béante offerte à leur regard. Le tour complet pris une dizaine de minutes avec les poses. De nouveau la vois de Madame X retentit « Prenez le godemichet placé sous le fauteuil et caressez-vous » Le fauteuil se mit de nouveau à tourner. Je me caressai avec le godemichet vibrant. Au bout de quelques minutes je sentis une chaleur dans mon bas ventre, mon clitoris était érigé comme un petit menhir. Je sentis venir mon plaisir. Le fauteuil s’arrêta au moment où je me mis à jouir, je crois avoir à ce moment gémi et éjaculé ma cyprine par jets saccadés, en bonne femme fontaine que je suis. A l’issu de ce deuxième tour, la voix de Madame X retentit de nouveau pour m’inviter à rejoindre la salle N°4.
La salle N° 4 se trouvait sue le même palier que la salle N°2, à son fronton la mention : Ténèbres.
J’entrai, la pièce était rectangulaire, dans le fond de la salle il y avait un rideau noir. Je crus apercevoir derrière le rideau des mouvements. Une fois de plus la voix de Madame X retentit « Placez-vous au milieu de la pièce Virginie » J’étais à peine arrivé au milieu que les lumières s’éteignirent, le noir absolu, pas la moindre lueur, c’était très impressionnant. J’entendis alors et perçus des mouvements derrière le rideau. Bientôt des corps se frottaient au mien, des corps d’hommes nus. Je sentis des mains qui effleuraient mes fesses, mes seins. Bientôt les gestes se firent plus précis. Des mains qui essayaient d’ouvrir ma chatte, des doigts sur mes lèvres , dans ma bouche. C’était une véritable fête charnelle.
Bientôt je sentis des verges tendues, gonflées, ruisselantes, mouillées de plaisir, se frotter à moi.
Je ne sais pas combien il y avait d’hommes autour de moi, une dizaine au moins. L’atmosphère était électrique, d’un érotisme à la fois violent et inassouvi. Certains des hommes me prenaient la taille pour mieux se coller à moi, d’autres collés à mes fesses me mordillaient la nuque. Je ne savais plus ou j’étais. Je ne sais combien de temps cela a duré. A un instant donné il n’y eu plus personnes autour de moi, la lumière crue est revenue brutalement. Au fond de la pièce le rideau noir, et personne. De nouveau la voix de Madame X a retenti « Allez à votre prochain rendez-vous Virginie ».
Je suis sortie. La salle N°5 se trouvait elle aussi sur le même palier, à son fronton : Fessées.
Je suis entrée dans cette nouvelle pièce. Il y avait au milieu un cheval d’arçon, à une de ses extrémités un petit marche pied. La voix de Madame X a retenti de nouveau « Installez-vous sur le cheval, et allongez-vous sur lui face contre la poutre, bien ,dit-elle , laissez prendre vos jambes et approchez vous un peu plus près du bord ». J’étais ainsi les fesses ouvertes, offertes sans défense.
Une porte s’ouvrit au fond de la salle, en premier homme masqué entra. Il se mit à me fesser violemment. Cela dura plusieurs minutes, j’avais les fesses en feu lorsqu’il quitta la pièce. Puis ce fut un deuxième, un troisième, a la fin je ne sais plus combien d’hommes sont venus me fesser. Certains étaient doux, leurs gestes ressemblaient davantage à des caresses, d’autres violents frappant mes fesses avec vigueur, prenant plaisir à m’entendre crier. Certains ne disaient mots, d’autres à la violence de leur claques ajoutaient des mots crus « Tiens salope ! Je vais le dresser ton cul ! Je te punis putain ! » j’en passe. J’avais perdu la notion du temps lorsque mon calvaire s’est terminé. Je suis sorti de la salle les fesses toutes endolories et en feu. J’ai hésité alors à rejoindre la salle suivante, j’ai même pensé un instant à dire stop j’abandonne ! Ma fierté a été plus forte. Je me suis dirigée alors comme un zombie vers la salle N°7 située au sous-sol.
A son fronton : Glory Hole. Je savais alors ce qui m’y attendait.
La porte d’entrée donnait en fait sur une cabine avec en son centre un tabouret. Sur chacun des trois côtés de la cabine un trou. Cette fois Madame X resta silencieuse, pas d’explications nécessaires, tout était explicite. Bientôt une verge apparut sur le côté droit. Je décalottais doucement le membre et le porta à ma bouche. A l’aide de ma langue je me mis à le titiller, tout en le branlant doucement. Bientôt le membre se mit à grossir, je sentais la place de plus en plus importante qu’il prenait dans ma bouche. Derrière la cloison j’entendais distinctement un halètement rauque, suivi bientôt de petits cris, ponctués de mots crus « Suce salope ; Putain c’est bon ». Bientôt la voix se fit plus pressante, je retirai la verge de ma bouche pour finir de lui donner ce qu’elle attendait. Je me mis à la branler plus vite, à un moment je sentis le plaisir entre mes doigts, saccadé de soubresauts, avant qu’enfin jaillisse la laitance du mâle en rut. L’homme derrière la cloison eut alors des mots curieux « Merci, dit-il, c’était divin » Je ne sais ce qui m’a pris à ce moment là , je lui ai léché la verge , prenant soin de bien la nettoyer jusqu’à la dernière goutte.
Il s’en suivit 2 autres fellations. A chaque fois avec application, je léchai, suçai et branlai ces verges jusqu’à leur faire cracher leur dernière goutte. Je me souviens de la troisième anormalement grosse qui faillit m’étouffer et gicler en moi, me retirant in extrémiste, inondant mon visage. Je dus nettoyer mon visage avec du papier que je trouvai sous le tabouret.
A l’issu de cette troisième fellation la voix de Madame X retentit de nouveau pour m’inviter à rejoindre la salle N°8, ce que je fis sans tarder. La salle se trouvait au fond d’un couloir. A son fronton le chiffre 8 sans aucune autre indication. Je rentrai, un peu lasse , mais heureuse de savoir qu’il s’agissait de ma dernière épreuve , si je pouvais m’exprimer ainsi.
Au milieu de la pièce, il y avait un lit recouvert d’un drap de couleur noir. De nouveau Madame X intervint pour me dire de me coucher sur le dos , cuisses grandement ouvertes. Au moment ou je m’exécutais je vis écrit au dessus de la porte d’entrée à l’intérieur de la pièce : tournante. Je sus alors à quoi je devais m’attendre !
J’attendis ainsi 10 minutes, cela me parut long. Puis la lumière crue qui inondait la salle baissa, pour laisser place à des spots tamisées qui éclairaient le lit et mon corps offert. A ce moment six d’hommes toujours le visage masqué sont entrés. Ils se sont mis face à moi. L’un d’eux a alors demandé « C’est la femme de qui ? » L’un a répondu « La femme à Paul , elle est dans le réseau , je l’ai déjà baisée» Un autre a dit« Allez on se la fait ».
Deux hommes me prirent alors les cuisses pour les relever tout en les maintenant écartées. Ils me rapprochèrent du bord du lit. Un des hommes se présenta entre mes cuisses et sans ménagement me pénétra. « Elle est bien humide la salope, elle mouille déjà » dit-il alors. Tandis qu’il me pénétrait avec force, les deux autres continuaient à me maintenir les cuisses ouvertes. Quant au trois qui restaient, deux me caressaient la poitrine, et le troisième pris possession de ma bouche en disant « avale salope ». Pendant plus d’une demi-heure peut être plus, ayant perdu la notion du temps, ils me pénétrèrent à tour de rôle, chacun prenant la place de l’autre, tantôt m’écartant les cuisses , tantôt la bouche , tantôt me caressant la poitrine. A un moment j’ai joui, ce qui eut pour effet de décupler la vigueur de ces Messieurs , accompagnée de mots toujours plus crus « Elle jouit cette salope » « Elle est bonne cette pute ».
A la fin l’un dit « Allez je la remplis » Il éjacula dans un cri de bête en rut. Ce fut alors au tour de chacun de venir se vider en moi. Un vrai hallali, ils éructaient tout en me donnant des coups de butoirs violents et saccadés.
Ils sont partis comme ils étaient venus sans un bruit.
La voix de Madame X a alors de nouveau retenti « Tu peux venir me rejoindre Virginie » Je suis remontée au rez de chaussée. Madame X m a dit « tu as été parfaite, ces Messieurs semblent très satisfaits de tes prestations ». J’ai pu prendre une douche afin de me laver de toutes ces sueurs et autres humeurs et redevenir moi-même. Je me suis rhabillée, Madame X m’a offert alors une coupe de Champagne en me tendant une enveloppe « Voilà pour toi, reviens quand tu veux ». Paul mon mari est alors entré dans la pièce où nous étions. « Je vous la rends « a dit Madame X.
Nous sommes rentrés chez nous, il était déjà 3 heures du matin. Sur le chemin du retour Paul m’a demandé « Tu as aimé ? » « Oui, mais pas tout » ai-je répondu. « Et toi ou étais tu » lui ai-je demandé « j’étais dans d’autres salles , mais je t’ai vue dans la N°2 , tu étais parfaite » . « Tu as eu ton comptant de bites, j’espère ». « Réponds » ajouta t-il . « Oui » j’ai répondu.
« Tu es vraiment faîte pour ça, donner du plaisir et en prendre, la bite te calme et t’apaise , c’est ta vraie nature » « La prochaine fois il te faudra essayer les autres salles , tu es d’accord » continua-t-il . J’ai dit « Oui si cela te fait plaisir ». « On reviendra dans un mois ou deux » a-t-il rajouté.
Mais c’est une autre histoire.
Un soir que nous dinions avec Serge dans le Vieux Lyon, il nous proposa de participer à une soirée spéciale dans un château situé dans les Monts du Lyonnais. « J’organise pour les membres du réseau des soirées au Château des Délices, vous devriez venir, toi Virginie tu seras bien sûr une des hôtesses de la soirée et toi Paul, tu pourras profiter de cette soirée en tant que membre du réseau ». Je tentais de poser quelques questions, combien de participants ? En quoi consistaient les jeux de la soirée ? Serge me répondit par un laconique « tu verras le moment voulu Virginie » Quinze jours plus tard Paul reçu une invitation. « Demain soir nous irons au Château des Délices, tu es toujours d’accord ? » « Oui répondis je, on verra bien de quoi il s’agit ». Nous sommes arrivés vers 21h au château. Il était situé en plein Monts du Lyonnais dans une forêt.
A notre arrivée nous fumes accueillis par Madame X, la même qui m’avait prise en main lors de la soirée des enchères à Megève. « Bonsoir dit-elle, veuillez me suivre Virginie, vous Mr Paul vous pouvez monter au deuxième étage, il y a un bar , il y a déjà une vingtaine de ces Messieurs, Serge y est déjà ».
« Vous Virginie, je vais vous expliquer le déroulement de la soirée ». C’est ainsi qu’elle m’expliqua qu’il y avait 10 salles numérotées de 0 à 9, que je devais choisir 5 salles et qu’ensuite il me faudrait passer d’une salle à l’autre dans l’ordre croissant des numéros , le 0 étant toujours le dernier si je venais à le choisir. Elle m’indiqua également que lorsque j’aurai fini de passer dans une salle, il me faudrait me rendre à la suivante sans attendre et qu’elle me donnerait des instructions au fur et à mesure via des hauts parleurs. « Ne choisissez pas le 0 pour cette première fois » me conseilla-t-elle. Je choisis les numéros 2, 4, 5, 7 et 8. « Bien, c’est un bon choix pour une première soirée » me dit-elle. « Ah dernier détail, ajouta-t-elle, vous devez vous déshabiller ici et aller nue à la première salle que vous avez choisie » « N’oubliez pas , vous êtes là pour donner du plaisir à ces Messieurs , plus ils seront satisfaits , plus ils sauront se montrer généreux » « Les salles sont situées au premier étage pour la 1,2, 3, 4 et5 et au sous-sol pour les autres » ajouta t elleC’est ainsi qu’un quart d’heure plus tard je me retrouvais devant la porte de la salle N°2, au fronton de laquelle était inscrit : Exhibition.
J’entrai, la pièce était ronde, les murs étaient recouverts de miroirs, je compris tout de suite , des miroirs sans tain . Au milieu de la pièce il y avait un fauteuil de gynéco, monté sur une plateforme. La voix de Madame X retentit dans un hautparleur « Installez-vous dans le fauteuil, vos cuisses bien écartées » , je m’exécutai.
J’étais installée à peine depuis une minute que le fauteuil se mit alors à tourner sur son socle très lentement. De temps en temps il s’arrêtait et repartait quelques minutes plus tard. Je savais que derrière ces miroirs des hommes devaient se masturber en matant ma vulve béante offerte à leur regard. Le tour complet pris une dizaine de minutes avec les poses. De nouveau la vois de Madame X retentit « Prenez le godemichet placé sous le fauteuil et caressez-vous » Le fauteuil se mit de nouveau à tourner. Je me caressai avec le godemichet vibrant. Au bout de quelques minutes je sentis une chaleur dans mon bas ventre, mon clitoris était érigé comme un petit menhir. Je sentis venir mon plaisir. Le fauteuil s’arrêta au moment où je me mis à jouir, je crois avoir à ce moment gémi et éjaculé ma cyprine par jets saccadés, en bonne femme fontaine que je suis. A l’issu de ce deuxième tour, la voix de Madame X retentit de nouveau pour m’inviter à rejoindre la salle N°4.
La salle N° 4 se trouvait sue le même palier que la salle N°2, à son fronton la mention : Ténèbres.
J’entrai, la pièce était rectangulaire, dans le fond de la salle il y avait un rideau noir. Je crus apercevoir derrière le rideau des mouvements. Une fois de plus la voix de Madame X retentit « Placez-vous au milieu de la pièce Virginie » J’étais à peine arrivé au milieu que les lumières s’éteignirent, le noir absolu, pas la moindre lueur, c’était très impressionnant. J’entendis alors et perçus des mouvements derrière le rideau. Bientôt des corps se frottaient au mien, des corps d’hommes nus. Je sentis des mains qui effleuraient mes fesses, mes seins. Bientôt les gestes se firent plus précis. Des mains qui essayaient d’ouvrir ma chatte, des doigts sur mes lèvres , dans ma bouche. C’était une véritable fête charnelle.
Bientôt je sentis des verges tendues, gonflées, ruisselantes, mouillées de plaisir, se frotter à moi.
Je ne sais pas combien il y avait d’hommes autour de moi, une dizaine au moins. L’atmosphère était électrique, d’un érotisme à la fois violent et inassouvi. Certains des hommes me prenaient la taille pour mieux se coller à moi, d’autres collés à mes fesses me mordillaient la nuque. Je ne savais plus ou j’étais. Je ne sais combien de temps cela a duré. A un instant donné il n’y eu plus personnes autour de moi, la lumière crue est revenue brutalement. Au fond de la pièce le rideau noir, et personne. De nouveau la voix de Madame X a retenti « Allez à votre prochain rendez-vous Virginie ».
Je suis sortie. La salle N°5 se trouvait elle aussi sur le même palier, à son fronton : Fessées.
Je suis entrée dans cette nouvelle pièce. Il y avait au milieu un cheval d’arçon, à une de ses extrémités un petit marche pied. La voix de Madame X a retenti de nouveau « Installez-vous sur le cheval, et allongez-vous sur lui face contre la poutre, bien ,dit-elle , laissez prendre vos jambes et approchez vous un peu plus près du bord ». J’étais ainsi les fesses ouvertes, offertes sans défense.
Une porte s’ouvrit au fond de la salle, en premier homme masqué entra. Il se mit à me fesser violemment. Cela dura plusieurs minutes, j’avais les fesses en feu lorsqu’il quitta la pièce. Puis ce fut un deuxième, un troisième, a la fin je ne sais plus combien d’hommes sont venus me fesser. Certains étaient doux, leurs gestes ressemblaient davantage à des caresses, d’autres violents frappant mes fesses avec vigueur, prenant plaisir à m’entendre crier. Certains ne disaient mots, d’autres à la violence de leur claques ajoutaient des mots crus « Tiens salope ! Je vais le dresser ton cul ! Je te punis putain ! » j’en passe. J’avais perdu la notion du temps lorsque mon calvaire s’est terminé. Je suis sorti de la salle les fesses toutes endolories et en feu. J’ai hésité alors à rejoindre la salle suivante, j’ai même pensé un instant à dire stop j’abandonne ! Ma fierté a été plus forte. Je me suis dirigée alors comme un zombie vers la salle N°7 située au sous-sol.
A son fronton : Glory Hole. Je savais alors ce qui m’y attendait.
La porte d’entrée donnait en fait sur une cabine avec en son centre un tabouret. Sur chacun des trois côtés de la cabine un trou. Cette fois Madame X resta silencieuse, pas d’explications nécessaires, tout était explicite. Bientôt une verge apparut sur le côté droit. Je décalottais doucement le membre et le porta à ma bouche. A l’aide de ma langue je me mis à le titiller, tout en le branlant doucement. Bientôt le membre se mit à grossir, je sentais la place de plus en plus importante qu’il prenait dans ma bouche. Derrière la cloison j’entendais distinctement un halètement rauque, suivi bientôt de petits cris, ponctués de mots crus « Suce salope ; Putain c’est bon ». Bientôt la voix se fit plus pressante, je retirai la verge de ma bouche pour finir de lui donner ce qu’elle attendait. Je me mis à la branler plus vite, à un moment je sentis le plaisir entre mes doigts, saccadé de soubresauts, avant qu’enfin jaillisse la laitance du mâle en rut. L’homme derrière la cloison eut alors des mots curieux « Merci, dit-il, c’était divin » Je ne sais ce qui m’a pris à ce moment là , je lui ai léché la verge , prenant soin de bien la nettoyer jusqu’à la dernière goutte.
Il s’en suivit 2 autres fellations. A chaque fois avec application, je léchai, suçai et branlai ces verges jusqu’à leur faire cracher leur dernière goutte. Je me souviens de la troisième anormalement grosse qui faillit m’étouffer et gicler en moi, me retirant in extrémiste, inondant mon visage. Je dus nettoyer mon visage avec du papier que je trouvai sous le tabouret.
A l’issu de cette troisième fellation la voix de Madame X retentit de nouveau pour m’inviter à rejoindre la salle N°8, ce que je fis sans tarder. La salle se trouvait au fond d’un couloir. A son fronton le chiffre 8 sans aucune autre indication. Je rentrai, un peu lasse , mais heureuse de savoir qu’il s’agissait de ma dernière épreuve , si je pouvais m’exprimer ainsi.
Au milieu de la pièce, il y avait un lit recouvert d’un drap de couleur noir. De nouveau Madame X intervint pour me dire de me coucher sur le dos , cuisses grandement ouvertes. Au moment ou je m’exécutais je vis écrit au dessus de la porte d’entrée à l’intérieur de la pièce : tournante. Je sus alors à quoi je devais m’attendre !
J’attendis ainsi 10 minutes, cela me parut long. Puis la lumière crue qui inondait la salle baissa, pour laisser place à des spots tamisées qui éclairaient le lit et mon corps offert. A ce moment six d’hommes toujours le visage masqué sont entrés. Ils se sont mis face à moi. L’un d’eux a alors demandé « C’est la femme de qui ? » L’un a répondu « La femme à Paul , elle est dans le réseau , je l’ai déjà baisée» Un autre a dit« Allez on se la fait ».
Deux hommes me prirent alors les cuisses pour les relever tout en les maintenant écartées. Ils me rapprochèrent du bord du lit. Un des hommes se présenta entre mes cuisses et sans ménagement me pénétra. « Elle est bien humide la salope, elle mouille déjà » dit-il alors. Tandis qu’il me pénétrait avec force, les deux autres continuaient à me maintenir les cuisses ouvertes. Quant au trois qui restaient, deux me caressaient la poitrine, et le troisième pris possession de ma bouche en disant « avale salope ». Pendant plus d’une demi-heure peut être plus, ayant perdu la notion du temps, ils me pénétrèrent à tour de rôle, chacun prenant la place de l’autre, tantôt m’écartant les cuisses , tantôt la bouche , tantôt me caressant la poitrine. A un moment j’ai joui, ce qui eut pour effet de décupler la vigueur de ces Messieurs , accompagnée de mots toujours plus crus « Elle jouit cette salope » « Elle est bonne cette pute ».
A la fin l’un dit « Allez je la remplis » Il éjacula dans un cri de bête en rut. Ce fut alors au tour de chacun de venir se vider en moi. Un vrai hallali, ils éructaient tout en me donnant des coups de butoirs violents et saccadés.
Ils sont partis comme ils étaient venus sans un bruit.
La voix de Madame X a alors de nouveau retenti « Tu peux venir me rejoindre Virginie » Je suis remontée au rez de chaussée. Madame X m a dit « tu as été parfaite, ces Messieurs semblent très satisfaits de tes prestations ». J’ai pu prendre une douche afin de me laver de toutes ces sueurs et autres humeurs et redevenir moi-même. Je me suis rhabillée, Madame X m’a offert alors une coupe de Champagne en me tendant une enveloppe « Voilà pour toi, reviens quand tu veux ». Paul mon mari est alors entré dans la pièce où nous étions. « Je vous la rends « a dit Madame X.
Nous sommes rentrés chez nous, il était déjà 3 heures du matin. Sur le chemin du retour Paul m’a demandé « Tu as aimé ? » « Oui, mais pas tout » ai-je répondu. « Et toi ou étais tu » lui ai-je demandé « j’étais dans d’autres salles , mais je t’ai vue dans la N°2 , tu étais parfaite » . « Tu as eu ton comptant de bites, j’espère ». « Réponds » ajouta t-il . « Oui » j’ai répondu.
« Tu es vraiment faîte pour ça, donner du plaisir et en prendre, la bite te calme et t’apaise , c’est ta vraie nature » « La prochaine fois il te faudra essayer les autres salles , tu es d’accord » continua-t-il . J’ai dit « Oui si cela te fait plaisir ». « On reviendra dans un mois ou deux » a-t-il rajouté.
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