Mon Amant Pervers
Récit érotique écrit par ANNE64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon Amant Pervers
Je travaillais alors dans un lycée d’enseignement professionnel . En cours d’année nous fîmes la connaissance de notre nouveau conseiller d’éducation , Alain . Il habitait à 20 km de chez moi , et c’est ainsi que tout naturellement, nous fumes amenés à faire du covoiturage. Nous avions une trentaine de Km par l’autoroute. Tantôt c’était moi qui prenait ma voiture , tantôt c’était lui, nous nous retrouvions sur un parking à l’entrée d’un péage.
Alain était un homme assez séduisant , discret . Néanmoins je compris très vite qu’il n’était pas insensible à mes charmes, par ses réflexions sur mon parfum ou ma tenue vestimentaire J’avais alors 52 ans , en pleine possession de mes capacités de séduction , d’allure sportive, libérée. Nous faisions avec mon mari de l’échangisme et du triolisme depuis 15 ans, et nous étions un couple très complice, pour ne pas dire fusionnel. Je lui parlais bien sur des avances que semblait me faire Alain . Mon mari , Paul , m’encouragea à poursuivre « Séduit le , mais tu me racontes tout » me dit-il alors.
Un jour que nous rentrions après notre journée , c’est moi qui conduisait , je sentis une des mains d’Alain se posait sur ma cuisse droite , nous étions en été, je portais une jupe légère sur moi. Bientôt je sentis sa main qui remontait le long de ma cuisse. Je sentis sa surprise lorsqu’il compris que je n’avais pas de culotte . « Tu te promènes ainsi devant tes élèves , je suis sur que beaucoup de garçons bandent quand tu es de dos » dit il « tu as un cul d’enfer tu le sais ça » continua t il. « Tu mouilles » dit il c’était vrai. Alors que nous passions devant une aire de repos , je m’engageais sur la voie d’accés et me garais dans un coin tranquille . Alain continua alors a me caresser , puis il me pris la tête et m’obligea à me pencher sur son entrejambe. Je le débraguettai et sortis de son slip une hampe rouge et turgescente. Je l’engloutis, tandis qu’Alain me forçait à faire des va et vient de plus en plus rapide . Au bout de quelques minutes , je sentis au fond de ma gorge sa semence chaude et visqueuse , il eut plusieurs soubresauts éjaculant à chaque fois un jet important , je crois avoir failli m’étouffer à ce moment-là. C’est ainsi que commença notre relation . Alain je m’en aperçu au fil du temps était plutôt égoïste , pensant d’abord à son plaisir , le mien étant un peu secondaire pour lui. Bien sûr, j’informai mon mari de l’avancement de ma relation avec Alain. J’étais aminée d’ un sentiment très excitant et curieux à la fois. J’avais l’impression que l’homme trompé c’était surtout mon amant.
Un jour que mon mari , Paul , était en déplacement , mes enfants au lycée , je l’amenai chez moi .Nous habitions au premier étage d’une maison qui en comportait deux . Au second étage nous avions une pièce que j’utilisais comme bureau . C’est là que nous fîmes véritablement l’amour pour la première fois. Alain me fit assoir sur un fauteuil, les cuisses en appui sur les accoudoirs, et me pris violemment dans cette position. . Je l’entends encore haleté en disant , « tiens je vais t’en mettre salope ». Nous primes l’habitude de venir dans cette pièce. Un jour Alain me dit « J’ai envie de te baiser dans ton lit conjugal ». Pour moi c’était un sanctuaire, il n’en était pas question, même si j’avais dérogé à cette règle une fois déjà. Alain insista à plusieurs reprises, finalement je cédais à sa demande. Alors que Paul était de nouveau absent pour quelques jours et que les enfants étaient partis chez des copains, une fin d’après midi je le fis entrer dans notre chambre. Il me prit ainsi dans ma position préférée à quatre pattes sur le bord du lit. Ce jour là il était particulièrement en forme. Après s’être soulagé une première fois , il m’étendis sur le dos et me repris ainsi les cuisses relevées , tenues par ses bras.
« Regarde-moi » dit-il en me mettant une petite gifle , ce que je n’ai pas apprécié sur le moment. « Tu es à moi maintenant, tu es ma chose, tu m’appartiens » dit-il « Répète je veux te l’entendre dire ».Je m’exécutai en pensant que si il avait su que mon mari était au courant , probablement aurait il débandé tout de suite !
La fin de l’année scolaire arrivait. Je fus convoquer une fin d’après-midi par le proviseur du Lycée. « Vous savez que c’est le moment des notations, Alain le conseiller d’éducation m’a dit que vous êtes un professeur remarquable sur bien des plans » c’est ainsi qu’il commença la réunion. « J’ai l’intention de vous attribuer une excellente note , néanmoins avant j’aimerai vérifier certaines de vos qualités , vous voyez » poursuivit-il. Il insista plusieurs fois sur le « vous voyez » Oui je voyais très bien ou il voulait en venir , mais sur le moment j’étais furieuse contre Alain qui je n’en doutais pas , avait du lui raconter des choses qui nous étaient personnelles. « Revenez demain soir à la sortie des cours à 18h, entendu » « Bien je viendrai » répondis je.
Sur le chemin du retour , je fis part à Alain, de l’entretien que j’avais eu avec le proviseur , et surtout je marquai ma colère à son égard, car j’étais sur que tout venais de lui. Un peu faux cul , Alain m’assura bien sur qu’il n’y était pour rien , peut être avait il évoqué avec lui que nous avions une liaison. « Que vas-tu faire » me demanda til . Pour le faire enrager je lui répondis « Je compte bien y aller et obtenir la mention très bien ». Cela lui apprendrait à tenir sa langue à l’avenir.
Le lendemain j’étais à 6 h dans le bureau du proviseur. A peine rentrée, il verrouilla la porte derrière moi. Il s’installa le dos en appui contre son bureau, en écartant ostensiblement les jambes. « Viens « dit il . Je m’approchai vers lui. « Mets toi à genoux » « Regarde ce que j’ai entre les jambes » ajouta t il.Je le débraguettai pour faire apparaître son membre tumescent. Je l’avais à peine décalotté , qu’il pris ma tête est me força à l’avaler tout entier. S’en suivi alors une longue série de va et vient , ponctués de « C’est bon ma salope , tu suces bien ». Au bout de quelques minutes au cours desquelles je faillis à plusieurs reprises m’étouffer, il éjacula avec de longs jets saccadés, me maintenant la tête sur sa verge pour que j’avale tout. « C’est bien »dit il , « je te donne 19/20 pour cette prestation ». « Reviens lundi prochain à la même heure on poursuivra les épreuves, si tu es aussi douée pour le reste, je te promets une belle note ». « Tu sais rajouta t il , je suis golfeur , et il me semble que ton trois trous mérite d’être pratiqué ».
Lors d’un de covoiturage je parlai à Alain de cette entrevue. Il était cela se voyait fou de rage ou plutôt fou de jalousie. Je lui fis remarquer une nouvelle fois qu’il en était le principal responsable, si il avait su tenir sa langue , le proviseur n’aurait jamais osé m’aborder ce cette façon.
Le lundi suivant je me rendis de nouveau chez le proviseur. Ce fut le même scénario , mais cette fois ce fut ma chatte qui en pris de partout. « Je garde le meilleur pour la fin » dit il en remontant son pantalon « Virginie je vous met de nouveau 19/20 ». « Je veux vous revoir vendredi soir même heure, vous aurez votre note finale, venez en pantalon » dit il.
Le vendredi je me retrouvais à 18h dans son bureau . Il ferma de nouveau sa porte à clé , et me fit mettre les bras en appui sur son bureau, les jambes écartées. « Quel cul tu as » dit il. Doucement il me fit rapprocher les jambes puis doucement baissa mon pantalon. Il fit de même avec mon string.
Je sentis alors sa verge à l’entrée de mon anus . « Je veux mon troisième trou » dit il « Tu es d’accord , de toute façon tu n’as pas le choix si tu veux ta note »ajouta t il. Bientôt je sentis sa verge visqueuse qui doucement venait prendre possession de mon intimité. Il des mit alors à faire des va et viens de plus en plus rapide . Au début j’avais mal , mais bientôt mon anus sembla se libérer. Je l’entends encore dire « Putain tu aimes ça , je vais t’en donner salope ». Il devenait de plus en plus grossier , haletant , éructant , me claquant les fesses de ses deux mains . Soudain il émit un cri de bête en rut, et se répandit dans mon anus. Alors qu’il s’était retiré je l’entends encore me dire « reste comme cela et pousse je veux voir ton cul ruisseler »Je m’exécutais , rouge de honte.
« Je t’accorde 20/20 pour ton cul , il est parfait, je le veux rien qu’à moi »ajouta t il « Ne le donne pas à Alain » . « Vas y tu aura la meilleure note administrative de ta carrière, on se retrouve à la rentrée » . C’est ainsi que ce termina l’année scolaire pour moi.
Alain était un homme assez séduisant , discret . Néanmoins je compris très vite qu’il n’était pas insensible à mes charmes, par ses réflexions sur mon parfum ou ma tenue vestimentaire J’avais alors 52 ans , en pleine possession de mes capacités de séduction , d’allure sportive, libérée. Nous faisions avec mon mari de l’échangisme et du triolisme depuis 15 ans, et nous étions un couple très complice, pour ne pas dire fusionnel. Je lui parlais bien sur des avances que semblait me faire Alain . Mon mari , Paul , m’encouragea à poursuivre « Séduit le , mais tu me racontes tout » me dit-il alors.
Un jour que nous rentrions après notre journée , c’est moi qui conduisait , je sentis une des mains d’Alain se posait sur ma cuisse droite , nous étions en été, je portais une jupe légère sur moi. Bientôt je sentis sa main qui remontait le long de ma cuisse. Je sentis sa surprise lorsqu’il compris que je n’avais pas de culotte . « Tu te promènes ainsi devant tes élèves , je suis sur que beaucoup de garçons bandent quand tu es de dos » dit il « tu as un cul d’enfer tu le sais ça » continua t il. « Tu mouilles » dit il c’était vrai. Alors que nous passions devant une aire de repos , je m’engageais sur la voie d’accés et me garais dans un coin tranquille . Alain continua alors a me caresser , puis il me pris la tête et m’obligea à me pencher sur son entrejambe. Je le débraguettai et sortis de son slip une hampe rouge et turgescente. Je l’engloutis, tandis qu’Alain me forçait à faire des va et vient de plus en plus rapide . Au bout de quelques minutes , je sentis au fond de ma gorge sa semence chaude et visqueuse , il eut plusieurs soubresauts éjaculant à chaque fois un jet important , je crois avoir failli m’étouffer à ce moment-là. C’est ainsi que commença notre relation . Alain je m’en aperçu au fil du temps était plutôt égoïste , pensant d’abord à son plaisir , le mien étant un peu secondaire pour lui. Bien sûr, j’informai mon mari de l’avancement de ma relation avec Alain. J’étais aminée d’ un sentiment très excitant et curieux à la fois. J’avais l’impression que l’homme trompé c’était surtout mon amant.
Un jour que mon mari , Paul , était en déplacement , mes enfants au lycée , je l’amenai chez moi .Nous habitions au premier étage d’une maison qui en comportait deux . Au second étage nous avions une pièce que j’utilisais comme bureau . C’est là que nous fîmes véritablement l’amour pour la première fois. Alain me fit assoir sur un fauteuil, les cuisses en appui sur les accoudoirs, et me pris violemment dans cette position. . Je l’entends encore haleté en disant , « tiens je vais t’en mettre salope ». Nous primes l’habitude de venir dans cette pièce. Un jour Alain me dit « J’ai envie de te baiser dans ton lit conjugal ». Pour moi c’était un sanctuaire, il n’en était pas question, même si j’avais dérogé à cette règle une fois déjà. Alain insista à plusieurs reprises, finalement je cédais à sa demande. Alors que Paul était de nouveau absent pour quelques jours et que les enfants étaient partis chez des copains, une fin d’après midi je le fis entrer dans notre chambre. Il me prit ainsi dans ma position préférée à quatre pattes sur le bord du lit. Ce jour là il était particulièrement en forme. Après s’être soulagé une première fois , il m’étendis sur le dos et me repris ainsi les cuisses relevées , tenues par ses bras.
« Regarde-moi » dit-il en me mettant une petite gifle , ce que je n’ai pas apprécié sur le moment. « Tu es à moi maintenant, tu es ma chose, tu m’appartiens » dit-il « Répète je veux te l’entendre dire ».Je m’exécutai en pensant que si il avait su que mon mari était au courant , probablement aurait il débandé tout de suite !
La fin de l’année scolaire arrivait. Je fus convoquer une fin d’après-midi par le proviseur du Lycée. « Vous savez que c’est le moment des notations, Alain le conseiller d’éducation m’a dit que vous êtes un professeur remarquable sur bien des plans » c’est ainsi qu’il commença la réunion. « J’ai l’intention de vous attribuer une excellente note , néanmoins avant j’aimerai vérifier certaines de vos qualités , vous voyez » poursuivit-il. Il insista plusieurs fois sur le « vous voyez » Oui je voyais très bien ou il voulait en venir , mais sur le moment j’étais furieuse contre Alain qui je n’en doutais pas , avait du lui raconter des choses qui nous étaient personnelles. « Revenez demain soir à la sortie des cours à 18h, entendu » « Bien je viendrai » répondis je.
Sur le chemin du retour , je fis part à Alain, de l’entretien que j’avais eu avec le proviseur , et surtout je marquai ma colère à son égard, car j’étais sur que tout venais de lui. Un peu faux cul , Alain m’assura bien sur qu’il n’y était pour rien , peut être avait il évoqué avec lui que nous avions une liaison. « Que vas-tu faire » me demanda til . Pour le faire enrager je lui répondis « Je compte bien y aller et obtenir la mention très bien ». Cela lui apprendrait à tenir sa langue à l’avenir.
Le lendemain j’étais à 6 h dans le bureau du proviseur. A peine rentrée, il verrouilla la porte derrière moi. Il s’installa le dos en appui contre son bureau, en écartant ostensiblement les jambes. « Viens « dit il . Je m’approchai vers lui. « Mets toi à genoux » « Regarde ce que j’ai entre les jambes » ajouta t il.Je le débraguettai pour faire apparaître son membre tumescent. Je l’avais à peine décalotté , qu’il pris ma tête est me força à l’avaler tout entier. S’en suivi alors une longue série de va et vient , ponctués de « C’est bon ma salope , tu suces bien ». Au bout de quelques minutes au cours desquelles je faillis à plusieurs reprises m’étouffer, il éjacula avec de longs jets saccadés, me maintenant la tête sur sa verge pour que j’avale tout. « C’est bien »dit il , « je te donne 19/20 pour cette prestation ». « Reviens lundi prochain à la même heure on poursuivra les épreuves, si tu es aussi douée pour le reste, je te promets une belle note ». « Tu sais rajouta t il , je suis golfeur , et il me semble que ton trois trous mérite d’être pratiqué ».
Lors d’un de covoiturage je parlai à Alain de cette entrevue. Il était cela se voyait fou de rage ou plutôt fou de jalousie. Je lui fis remarquer une nouvelle fois qu’il en était le principal responsable, si il avait su tenir sa langue , le proviseur n’aurait jamais osé m’aborder ce cette façon.
Le lundi suivant je me rendis de nouveau chez le proviseur. Ce fut le même scénario , mais cette fois ce fut ma chatte qui en pris de partout. « Je garde le meilleur pour la fin » dit il en remontant son pantalon « Virginie je vous met de nouveau 19/20 ». « Je veux vous revoir vendredi soir même heure, vous aurez votre note finale, venez en pantalon » dit il.
Le vendredi je me retrouvais à 18h dans son bureau . Il ferma de nouveau sa porte à clé , et me fit mettre les bras en appui sur son bureau, les jambes écartées. « Quel cul tu as » dit il. Doucement il me fit rapprocher les jambes puis doucement baissa mon pantalon. Il fit de même avec mon string.
Je sentis alors sa verge à l’entrée de mon anus . « Je veux mon troisième trou » dit il « Tu es d’accord , de toute façon tu n’as pas le choix si tu veux ta note »ajouta t il. Bientôt je sentis sa verge visqueuse qui doucement venait prendre possession de mon intimité. Il des mit alors à faire des va et viens de plus en plus rapide . Au début j’avais mal , mais bientôt mon anus sembla se libérer. Je l’entends encore dire « Putain tu aimes ça , je vais t’en donner salope ». Il devenait de plus en plus grossier , haletant , éructant , me claquant les fesses de ses deux mains . Soudain il émit un cri de bête en rut, et se répandit dans mon anus. Alors qu’il s’était retiré je l’entends encore me dire « reste comme cela et pousse je veux voir ton cul ruisseler »Je m’exécutais , rouge de honte.
« Je t’accorde 20/20 pour ton cul , il est parfait, je le veux rien qu’à moi »ajouta t il « Ne le donne pas à Alain » . « Vas y tu aura la meilleure note administrative de ta carrière, on se retrouve à la rentrée » . C’est ainsi que ce termina l’année scolaire pour moi.
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