Le chauffeur routier : Les deux salopes des bosquets

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le chauffeur routier : Les deux salopes des bosquets
Vous vous souvenez de Paul le routier, 50 ans maintenant, toujours une belle bedaine et toujours un sexe d'enfer. Toujours également en verve pour raconter ses baises et me faire rire.
C'est vrai que c'est pas mon genre de mec, mais j'aime bien le revoir et partager un moment avec lui. Il est toujours aussi charmant!
-Alors la jeunesse! t'as tiré ton coup cette semaine ?
C'est souvent comme ça qu'il m'accueille quand on se rencontre avant d'aller à son bistrot préféré.
-je t'ai pas parlé du couple de salopes que je voyais sur une aire d'autoroute ? deux vieilles tapettes d'au moins 60 ans, Joseph et Victor, ils sont pacsés, donc vivent ensemble et sont toujours en train de se chamailler comme des gosses. C'est à qui prend une grosse bite dans son cul en premier. Mais attends, je vais te raconter la première fois où je les ai rencontré.
Il baisse le ton, se penche vers moi.
-un soir j'ai eu un coup de fatigue, je me suis arrêté sur un parking d'une aire d'autoroute, près du petit bosquet au fond. Je voulais dormir une heure, mais j'ai eu envie de pisser. Au lieu d'aller au restau à côté, j'ai fait deux pas dans le sous bois, j'ai sorti la bête et j'ai lâché des litres, pétant par la même occasion ah ah ah. Quand j'ai entendu du bruit un peu plus loin. Oh un bruit que je connais bien. Un mec râlait dans le sous bois et c'était pas de la simulation, tu sais que je m'y connais alors je me suis approché doucement et c'est là que j'ai vu les deux salopes au clair de lune. L'un le cul à l'air, penché en avant et l'autre en train de le fister et putain il avait son bras emmanché jusqu'au coude.
-T'exagères Paul!
-non j'exagère pas, bon il est pas aussi musclé que toi, son bras est moins gros mais il devait lui chatouiller l'intérieur, car l'autre gémissait comme une vraie salope, gémissait râlait et disait "encore". Tu penses que cela m'a mis dans tous mes états et que mon Popaul s'est manifesté. Je me suis approché, et naturellement cela a fait un peu de bruit. L'un s'est retourné. J'ai su après que c'était Joseph qui avait son bras dans le cul de Victor.
-et ça l'a pas gêné de te voir ?
-tu sais ce qu'il m'a dit cette vieille guenille ? il m'a dit "si t'as pas une queue digne de rentrer dans le cul de mon pote, tu peux passer ton chemin" j'ai failli éclater de rire en entendant sa voix de fausset, haute. Je me suis demandé s'il n'était pas maquillé d'ailleurs mais j'ai défait mon jean, et sorti la bête qui était en pleine forme!
Faut l'entendre rigoler à l'évocation de la situation.
-si t'avais vu ses yeux quand, dans la pénombre il a aperçu ma bête. J'ai cru qu'il allait s'évanouir. Il a sorti son bras du cul de son pote et a dit "Victor un miracle vient de se produire, on a jamais vu une queue pareille! je la veux en premier" et si t'avais vu la rapidité avec laquelle il a enlevé son pantalon et son vieux slip. Il s'est mis à poil le Joseph, pendant que son pote Victor se redressait, me regardait presque d'un air dédaigneux quand ses yeux se sont posés sur mon sexe. La même réaction que son pote mais en plus ils se sont chamaillés pour être le premier à la prendre. J'ai du les calmer en disant que y'en aurait pour les deux si leur cul était assez profond, ce que je ne doutais pas.
Ils se sont retournés tous les deux, se tenant par la main, se sont penchés en avant et m'ont présenté leur vieux cul. Mais on aurait dit des culs de jeune homme, lisses, fermes, mais putain les anus étaient ouverts de chez ouvert. J'ai touché les deux en même temps et j'aurais pu faire entrer mon poing. J'avais jamais vu des culs si ouverts, moi j'aime bien les ouvrir.
-baise moi en premier m'a dit Joseph il vient d'avoir mon poing dans le cul il peut attendre lui!
Alors j'ai fait plaisir à Joseph enfin surtout à moi, je pensais. Ma queue était à son maximum d'avoir vu ses culs et entendu les paroles. Quand j'ai posé mon gros gland sur l'anus ouvert j'ai vu le cul gourmand se reculer et il est resté bloqué le Joseph en poussant un cri.
-mais qu'est ce qui t'arrive ? a dit Victor.
-mais c'est plus gros que ton bras!
Là j'avais vraiment envie de rire. Ah ça voulait jouer la salope qui savait tout! alors ils allaient voir quand Paul est en forme.
J'ai claqué le cul de Joseph assez fermement pour l'entendre crier de sa voix de fausset et quand je l'ai attrapé aux hanches, oh il est pas épais le Joseph j'ai serré mes mains et, en même temps que je l'attirais à moi, j'ai donné un coup de reins.
Tous les animaux du coin ont dû se sauver, fallait entendre le cri de bête et l'autre, le Victor qui lui disait des mots pour le rassurer... ça va aller! c'est rien! mais l'autre gueulait tout le temps que je rentre la bête au chaud!
-y gueule bien ton pote! mais faudra lui écarter un peu plus le cul car c'est dur à passer!
Je lui ai pas dit de suite, mais qu'est ce qu'on est bien dans son cul car cette vieille fripouille sait serrer la queue avec son conduit. T'as vraiment l'impression d'avoir un massage tout le long. Je l'ai laissé faire un moment pour qu'il s'habitue et je l'ai baisé. Il a gueulé pendant dix bonnes minutes car j'ai pris mon temps.
Son pote Victor, lui tenait toujours la main, mais s'était redressé et regardait ma queue entrer et sortir du cul de Joseph. Il salivait le vieux! se passait la langue sur les lèvres. Ses yeux pétillaient et je me suis déchaîné comme un malade dans ce beau cul de ouf! Victor est même venu mettre sa main entre mes cuisses pour me serrer les couilles et quand j'ai joui la première fois dans le cul de Joseph j'ai hurlé comme lui. Je l'ai rempli son cul et quand je suis sorti, ça coulait de partout pour voir Victor se mettre à genoux, prendre le monstre en main et s'en occuper.
Sa bouche était aussi douce et chaude que le cul de son pote. Ah il savait s'occuper d'une bite le vieux, il m'a d'abord nettoyé la queue me fixant sans arrêt.
Faut dire que son pote, était tombé à genoux, cramponné à un arbre et soufflait comme un phoque asthmatique.
Il m'a léché la hampe, gobé les couilles, enveloppé le gland. Elle a été aux petits soins ma bête je débandais pas.
Il s'est relevé, la tenant toujours d'une main pour s'approcher de moi, me fixer encore.
-t'es capable de m'en faire autant ? je crois que j'ai pas eu une queue aussi grosse dans mon cul.
-tourne toi vieille salope! c'est ton tour.
Comme un gamin à qui on vient d'offrir une friandise, il s'est retourné, s'appuyant sur les épaules de Joseph, toujours à genoux et m'a présenté son cul.
J'ai pris mon temps à le caresser, le fesser, toujours de plus en plus fort et cette vieille canaille ne gueulait pas, mais il gémissait. Un peu comme quand son pote avait son bras dans son cul. Alors je n'y suis pas allé de main morte, plus je frappais ses fesses, plus il les tendait.
Quand il a senti que je passais mon gland dans sa raie, il a encore écarté ses jambes, en soulevant une. J'ai trouvé l'anus bien ouvert. J'ai pris sa jambe levée en main, bloquant son bassin de l'autre et d'un coup de reins ma queue est entrée en lui.
Il faisait son malin depuis le début mais là mon pote il a gueulé encore plus fort que Joseph mais ça n'a pas duré aussi longtemps, jusqu'à que tout soit bien rentré au fond de ce cul aussi merveilleux que celui de Joseph.
J'ai reposé sa jambe à terre, lui faisant serrer contre l'autre et, directement je l'ai baisé comme la salope qu'il est.
Joseph, toujours à genoux, s'était retourné vers lui et lui parlait à voix basse en lui tenant les mains et moi je l'enculais de plus en plus vite et de plus en plus fort.
J'ai jamais vu un mec encaisser autant.
-je te l'ai déjà dit mon pote, je m'en fous du mec, qu'il soit gros, vieux, laid, jeune tout ce qui m'intéresse c'est son cul.
Et là j'étais gâté ce soir là. J'en ai eux deux, deux vieux culs qui avaient dû en voir défilé de la bite! mais putain qu'ils étaient agréables à baiser et quand j'ai juté dans celui de Victor il gémissait vraiment de plaisir. On sentait qu'il était heureux de recevoir mon foutre et il a reçu la dose! ah ah ah!
Quand je suis sorti de son cul j'ai eu droit à un deuxième nettoyage à deux bouches. Je les ai laissé jouer avec mon monstre. Ils m'ont encore fait bander ces vieilles salopes! quel coups de langues si bien qu'il devait rester du jus et qu'ils m'ont vidé en ayant chacun une dose. Ils se pourléchaient les babines les salopes.
Quand j'ai rangé le matériel, une bonne heure s'était passée, il était temps que je reparte. En fin de compte ça valait bien une bonne sieste.
Ils se sont relevés et m'ont demandé si je passais souvent dans le coin.
-normalement tous les vendredis soirs, comme maintenant.
-alors on sera là tous les vendredis pour toi! alors sois en forme!
-j'ai dit normalement c'est pas du cent pour cent.
-t'en fais pas, on est là tous les soirs ici , au même endroit!
-mais! dis je ils ont pas joui ?
-à chaque fois que je les ai rencontré, c'était pour faire honneur à leurs culs. Leurs queues, ils m'ont dit qu'ils s'en occupaient eux-mêmes alors j'ai jamais insisté. Tu sais leurs bouches et leurs culs! ça donne du boulot.
Et il part d'un grand éclat de rire, faisant se retourner des clients du bar.
-tu vas pas te plaindre quand même!
Il continue de rire, content de lui.
-tu reviens bientôt pour que tonton Paul te raconte une nouvelle histoire ?
-si j'ai des enfants un jour c'est sûrement pas toi que j'appellerais pour leur raconter une histoire pour s'endormir.
Mais je reviendrais, bien sûr!
C'est vrai que c'est pas mon genre de mec, mais j'aime bien le revoir et partager un moment avec lui. Il est toujours aussi charmant!
-Alors la jeunesse! t'as tiré ton coup cette semaine ?
C'est souvent comme ça qu'il m'accueille quand on se rencontre avant d'aller à son bistrot préféré.
-je t'ai pas parlé du couple de salopes que je voyais sur une aire d'autoroute ? deux vieilles tapettes d'au moins 60 ans, Joseph et Victor, ils sont pacsés, donc vivent ensemble et sont toujours en train de se chamailler comme des gosses. C'est à qui prend une grosse bite dans son cul en premier. Mais attends, je vais te raconter la première fois où je les ai rencontré.
Il baisse le ton, se penche vers moi.
-un soir j'ai eu un coup de fatigue, je me suis arrêté sur un parking d'une aire d'autoroute, près du petit bosquet au fond. Je voulais dormir une heure, mais j'ai eu envie de pisser. Au lieu d'aller au restau à côté, j'ai fait deux pas dans le sous bois, j'ai sorti la bête et j'ai lâché des litres, pétant par la même occasion ah ah ah. Quand j'ai entendu du bruit un peu plus loin. Oh un bruit que je connais bien. Un mec râlait dans le sous bois et c'était pas de la simulation, tu sais que je m'y connais alors je me suis approché doucement et c'est là que j'ai vu les deux salopes au clair de lune. L'un le cul à l'air, penché en avant et l'autre en train de le fister et putain il avait son bras emmanché jusqu'au coude.
-T'exagères Paul!
-non j'exagère pas, bon il est pas aussi musclé que toi, son bras est moins gros mais il devait lui chatouiller l'intérieur, car l'autre gémissait comme une vraie salope, gémissait râlait et disait "encore". Tu penses que cela m'a mis dans tous mes états et que mon Popaul s'est manifesté. Je me suis approché, et naturellement cela a fait un peu de bruit. L'un s'est retourné. J'ai su après que c'était Joseph qui avait son bras dans le cul de Victor.
-et ça l'a pas gêné de te voir ?
-tu sais ce qu'il m'a dit cette vieille guenille ? il m'a dit "si t'as pas une queue digne de rentrer dans le cul de mon pote, tu peux passer ton chemin" j'ai failli éclater de rire en entendant sa voix de fausset, haute. Je me suis demandé s'il n'était pas maquillé d'ailleurs mais j'ai défait mon jean, et sorti la bête qui était en pleine forme!
Faut l'entendre rigoler à l'évocation de la situation.
-si t'avais vu ses yeux quand, dans la pénombre il a aperçu ma bête. J'ai cru qu'il allait s'évanouir. Il a sorti son bras du cul de son pote et a dit "Victor un miracle vient de se produire, on a jamais vu une queue pareille! je la veux en premier" et si t'avais vu la rapidité avec laquelle il a enlevé son pantalon et son vieux slip. Il s'est mis à poil le Joseph, pendant que son pote Victor se redressait, me regardait presque d'un air dédaigneux quand ses yeux se sont posés sur mon sexe. La même réaction que son pote mais en plus ils se sont chamaillés pour être le premier à la prendre. J'ai du les calmer en disant que y'en aurait pour les deux si leur cul était assez profond, ce que je ne doutais pas.
Ils se sont retournés tous les deux, se tenant par la main, se sont penchés en avant et m'ont présenté leur vieux cul. Mais on aurait dit des culs de jeune homme, lisses, fermes, mais putain les anus étaient ouverts de chez ouvert. J'ai touché les deux en même temps et j'aurais pu faire entrer mon poing. J'avais jamais vu des culs si ouverts, moi j'aime bien les ouvrir.
-baise moi en premier m'a dit Joseph il vient d'avoir mon poing dans le cul il peut attendre lui!
Alors j'ai fait plaisir à Joseph enfin surtout à moi, je pensais. Ma queue était à son maximum d'avoir vu ses culs et entendu les paroles. Quand j'ai posé mon gros gland sur l'anus ouvert j'ai vu le cul gourmand se reculer et il est resté bloqué le Joseph en poussant un cri.
-mais qu'est ce qui t'arrive ? a dit Victor.
-mais c'est plus gros que ton bras!
Là j'avais vraiment envie de rire. Ah ça voulait jouer la salope qui savait tout! alors ils allaient voir quand Paul est en forme.
J'ai claqué le cul de Joseph assez fermement pour l'entendre crier de sa voix de fausset et quand je l'ai attrapé aux hanches, oh il est pas épais le Joseph j'ai serré mes mains et, en même temps que je l'attirais à moi, j'ai donné un coup de reins.
Tous les animaux du coin ont dû se sauver, fallait entendre le cri de bête et l'autre, le Victor qui lui disait des mots pour le rassurer... ça va aller! c'est rien! mais l'autre gueulait tout le temps que je rentre la bête au chaud!
-y gueule bien ton pote! mais faudra lui écarter un peu plus le cul car c'est dur à passer!
Je lui ai pas dit de suite, mais qu'est ce qu'on est bien dans son cul car cette vieille fripouille sait serrer la queue avec son conduit. T'as vraiment l'impression d'avoir un massage tout le long. Je l'ai laissé faire un moment pour qu'il s'habitue et je l'ai baisé. Il a gueulé pendant dix bonnes minutes car j'ai pris mon temps.
Son pote Victor, lui tenait toujours la main, mais s'était redressé et regardait ma queue entrer et sortir du cul de Joseph. Il salivait le vieux! se passait la langue sur les lèvres. Ses yeux pétillaient et je me suis déchaîné comme un malade dans ce beau cul de ouf! Victor est même venu mettre sa main entre mes cuisses pour me serrer les couilles et quand j'ai joui la première fois dans le cul de Joseph j'ai hurlé comme lui. Je l'ai rempli son cul et quand je suis sorti, ça coulait de partout pour voir Victor se mettre à genoux, prendre le monstre en main et s'en occuper.
Sa bouche était aussi douce et chaude que le cul de son pote. Ah il savait s'occuper d'une bite le vieux, il m'a d'abord nettoyé la queue me fixant sans arrêt.
Faut dire que son pote, était tombé à genoux, cramponné à un arbre et soufflait comme un phoque asthmatique.
Il m'a léché la hampe, gobé les couilles, enveloppé le gland. Elle a été aux petits soins ma bête je débandais pas.
Il s'est relevé, la tenant toujours d'une main pour s'approcher de moi, me fixer encore.
-t'es capable de m'en faire autant ? je crois que j'ai pas eu une queue aussi grosse dans mon cul.
-tourne toi vieille salope! c'est ton tour.
Comme un gamin à qui on vient d'offrir une friandise, il s'est retourné, s'appuyant sur les épaules de Joseph, toujours à genoux et m'a présenté son cul.
J'ai pris mon temps à le caresser, le fesser, toujours de plus en plus fort et cette vieille canaille ne gueulait pas, mais il gémissait. Un peu comme quand son pote avait son bras dans son cul. Alors je n'y suis pas allé de main morte, plus je frappais ses fesses, plus il les tendait.
Quand il a senti que je passais mon gland dans sa raie, il a encore écarté ses jambes, en soulevant une. J'ai trouvé l'anus bien ouvert. J'ai pris sa jambe levée en main, bloquant son bassin de l'autre et d'un coup de reins ma queue est entrée en lui.
Il faisait son malin depuis le début mais là mon pote il a gueulé encore plus fort que Joseph mais ça n'a pas duré aussi longtemps, jusqu'à que tout soit bien rentré au fond de ce cul aussi merveilleux que celui de Joseph.
J'ai reposé sa jambe à terre, lui faisant serrer contre l'autre et, directement je l'ai baisé comme la salope qu'il est.
Joseph, toujours à genoux, s'était retourné vers lui et lui parlait à voix basse en lui tenant les mains et moi je l'enculais de plus en plus vite et de plus en plus fort.
J'ai jamais vu un mec encaisser autant.
-je te l'ai déjà dit mon pote, je m'en fous du mec, qu'il soit gros, vieux, laid, jeune tout ce qui m'intéresse c'est son cul.
Et là j'étais gâté ce soir là. J'en ai eux deux, deux vieux culs qui avaient dû en voir défilé de la bite! mais putain qu'ils étaient agréables à baiser et quand j'ai juté dans celui de Victor il gémissait vraiment de plaisir. On sentait qu'il était heureux de recevoir mon foutre et il a reçu la dose! ah ah ah!
Quand je suis sorti de son cul j'ai eu droit à un deuxième nettoyage à deux bouches. Je les ai laissé jouer avec mon monstre. Ils m'ont encore fait bander ces vieilles salopes! quel coups de langues si bien qu'il devait rester du jus et qu'ils m'ont vidé en ayant chacun une dose. Ils se pourléchaient les babines les salopes.
Quand j'ai rangé le matériel, une bonne heure s'était passée, il était temps que je reparte. En fin de compte ça valait bien une bonne sieste.
Ils se sont relevés et m'ont demandé si je passais souvent dans le coin.
-normalement tous les vendredis soirs, comme maintenant.
-alors on sera là tous les vendredis pour toi! alors sois en forme!
-j'ai dit normalement c'est pas du cent pour cent.
-t'en fais pas, on est là tous les soirs ici , au même endroit!
-mais! dis je ils ont pas joui ?
-à chaque fois que je les ai rencontré, c'était pour faire honneur à leurs culs. Leurs queues, ils m'ont dit qu'ils s'en occupaient eux-mêmes alors j'ai jamais insisté. Tu sais leurs bouches et leurs culs! ça donne du boulot.
Et il part d'un grand éclat de rire, faisant se retourner des clients du bar.
-tu vas pas te plaindre quand même!
Il continue de rire, content de lui.
-tu reviens bientôt pour que tonton Paul te raconte une nouvelle histoire ?
-si j'ai des enfants un jour c'est sûrement pas toi que j'appellerais pour leur raconter une histoire pour s'endormir.
Mais je reviendrais, bien sûr!
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