Le Club - 2 - Examen de passage

- Par l'auteur HDS James -
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Récit libertin : Le Club - 2 - Examen de passage Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Club - 2 - Examen de passage
Il était environ 14h45 le lendemain quand je pressais le bouton en laiton.
Je me réjouissais de revenir voir Mathilde et avait réussi à décaler les quelques rendez-vous prévus pour me dégager toute l’après-midi.
Mais après trois appuis brefs cette dernière n’était toujours pas venue m’ouvrir la porte.
Elle m’avait dit de passer à partir de 15h00, moi qui pensais bénéficier d’un quart de plus, je me résignais à patienter sur le trottoir d’en face.
A peine cinq minutes plus tard, je vis un homme sortir de l’immeuble d’un pas pressé.
Pensant qu’il pouvait s’agir d’un membre s’étant attardé lors de sa pause déjeuner, je décidais de retenter ma chance en allant, à nouveau, presser brièvement la sonnette.
La gâche électrique émis le bruit caractéristique de son déverrouillage. Je me précipitais alors sur la lourde porte et pénétrais dans l’entrée.
La voix de Mathilde m’accueilli, me priant de l’attendre dans le bureau.
Je m’exécutais et profitait d’être un instant seul pour observer cette pièce dont je n’avais, finalement vu que le bureau, et, en étend objectif, plus particulièrement les entrailles du meuble.
Je remarquais ainsi, dans le coin opposé à la porte, un canapé de cuir noir et deux fauteuils assortis.
J’étais debout au milieu de la pièce quand Mathilde entra, vêtue de son déshabillé en soie dorée et retirant un loup de dentelle qui, s’il cachait les traits fins de son visage, lui conférerait un charme mystérieux on ne peut plus attirant et chargé de promesses.

- Contente que tu reviennes me tenir compagnie. Me lança-t-elle. Je craignais de t’avoir fait fuir avec notre aventure d’hier.
C’est toi qui as sonné il y a une dizaine de minutes ?
- Oui j’étais en avance mais j’imagine que tu étais occupée…
- Au fait ! M’interrompit-t-elle. J’ai oublié de mentionner hier un petit point qui peut avoir son importance. Si le tutoiement est de mise quand un guide s’adresse à son disciple, le vouvoiement et de rigueur quand c’est le disciple qui s’adresse à son guide. Je sais que pour l’instant tu n’as aucun engagement vis à vis de moi et de notre cercle mais si cela devait arriver, autant prendre tout de suite de bonnes habitudes.
- Je vous prie d’accepter mes excuses Guide Mathilde. Lui répondis-je.

Je vis un sourire traverser son visage mais elle freina mon ardeur me rappelant que pour l’instant nous n’avions entamé aucune relation officielle.

- Comment c’est passée votre journée Mathilde ? lui demandais-je pour relancer le dialogue.
- Très bien ! me répondit-elle, si ce n’est qu’il n’y a pas 5 minutes, un membre se rependait sur ma poitrine, là laissant souillée…
…et je sens déjà sa semence couler sur mon ventre.
- Voulez-vous que je m’en occupe ?
- Tu ferais ça, ce serait vraiment gentil de ta part, approche que je te montre l’étendue des dégâts.

Je m’avançais pour me tenir face à Mathilde alors qu’elle dénouait sa ceinture et écartait les pans de son kimono.
Je pu enfin la voir nue en pied, et pris le temps d’admirer ses formes callipyges. Elle était magnifique, ses jambes dont les mules à talon accentuaient le galbe, ses cuisses charnelles qui avaient enchanté ma journée précédente.
Remontant les yeux, je découvrais les hanches larges d’une femme ayant donné la vie surmonter d’un petit ventre ferme et tendu, sur lequel venait se poser une poitrine naturelle, opulente, et bien ronde. Croisant mon regard et voyant l’effet que son anatomie faisait sur moi, elle poussa le vice et se retourna, tout en remontant le tissu de soie, pour découvrir ses fesses rebondies.
Ni tenant plus, je m’accroupissais, la tête contre sa hanche gauche en y déposant un tendre baiser, puis d’un geste doux mais ferme, j’attrapais sa hanche droite pour la faire pivoter et la remettre face à moi.
Déjà un sillon de sperme atteignait son nombril venant souiller cette douce cavité.
Je m’empressais de tendre ma langue et, d’un geste assuré, la libérais de cette souillure disgracieuse. Le contact, sur ma langue, de sa peau douce et du liquide acre eu sur moi le même effet que la veille et fit grandir instantanément mon excitation. Je fis remonter ma langue sur son ventre ce qui ne sembla pas lui déplaire. Cette dernière accompagna le déplacement de ma langue en contractant sa ceinture abdominale tandis que de ses mains, elle s’emparait de ma tête pour la guider vers sa poitrine. Dans le même temps, elle plia les jambes pour s’accroupir à son tour. Ces mouvements décuplèrent l’efficacité du travail de ma langue et je me retrouvais rapidement la bouche pleine de foutre, et le visage lové entre ses seins doux et chauds. Ayant dès lors effectuer le plus gros du nettoyage, je pu avaler le liquide acre et m’atteler aux dernières traces qui maculaient ses lobes majestueux.
Agrippant mon menton, elle dégagea mon visage pour venir déposer sur mes lèvres un tendre baiser. Dans son geste, elle absorba une goutte de foutre restée sur ma lèvre inférieure. Excitée par cet ultime reliquat de sperme, elle m’embrassa fougueusement, mêlant sa langue à la mienne, pour gouter à ce mélange de fluides aphrodisiaques. Après un long baiser chargé de promesses, elle desserra son étreinte et libera ma bouche, mordant sensuellement la lèvre qui avait éveillé ses sens. Puis, enserrant tendrement mes épaules, nous fit nous relever.
D’un geste rapide elle se retourna et s’éloigna, me demandant de la suivre vers de nouvelles expériences.
Surpris par cet élan, je pris un peu de retard ce qui me permis d’admirer sa démarche chaloupée accentuée par le tissu de soie laisser libre, qui venait souligner sa croupe à chacun de ses déhanchés.

Empruntant une porte que je n’avais pas encore remarquée, nous débouchâmes dans une pièce meublée de plusieurs matelas et coussins de toutes tailles.

- Je pense que tu es prêt pour une nouvelle expérience importante pour moi dans la relation guide disciple. M’annonça-t-elle. Si cette pratique ne te rebute pas, et si tu le souhaites toujours j’aurais sans doute trouvé mon nouveau disciple.

Le sourire et le regard qu’elle me lança à ce moment, mi-ange, mi-démon, déclencha un frisson qui courut de mes reins à ma nuque. Je sentais que cette expérience allait me bousculer, mais j’étais convaincu que je ferais tout pour que cette dernière soit aussi intense que la précédente.
Elle prit le temps de me jauger avant de m’annoncer l’objet de son ultime défit…
…je restais pendu à ses lèvres attendant la sentence qui m’effrayait autant qu’elle m’excitait.

- Un autre engagement du disciple envers son maitre est de lui permettre de se soulager et d’offrir sa bouche pour recueillir sa miction.

Ayant énoncé ces mots, elle semblait attendre ma réaction.
De mon côté, j’étais partagé entre mon désir de lui témoigner mon engagement et ma crainte de ne pas réussir à accepter cette pratique me semblant quand même bien plus extrême que celle à laquelle je venais de m’adonner. Je compris néanmoins que, dans cette nouvelle étape qu’elle me proposait, elle allait me partager son intimité et que cet exercice était un engagement pour le donneur comme pour le receveur.

- Je ferais de mon mieux pour vous satisfaire mon guide. Déclarais-je sans même penser aux mots que je venais d’énoncer.

Puis, dans ce même élan totalement irréfléchi, je venais me mettre à genoux face à elle, tendais mon visage vers le haut, et ouvrais la bouche.

- Merci de ta confiance. Me dit-elle en s’avançant pour venir y coller son sexe. L’enjeux du défi consiste à t’adapter à mon flux afin de n’en perdre aucune goutte. Mais ne t’inquiètes pas, tu n’es pas obligé d’y arriver du premier coup.

Sur ces mots, elle écarta les lèvres de sa chatte d’une main et se mis à contracter puis relâcher son périnée tout en fléchissant les jambes.
Alors que je profitais de cette position pour donner un coup de la langue sur ses lèvres déjà humides d’excitation, je senti son urètre se contracter avant de laisser s’échapper un fin filet d’urine. Contre toute attente, le gout salé du liquide doré, fut loin de me rebuter, et désireux de bien faire, j’ouvrais plus en grand la bouche en la positionnant du mieux que je pu, pour qu’elle se trouve face aux jets plus puissants qui ne seraient tarder.
Interprétant mon geste, Mathilde, se libéra et me gratifia d’un flot puissant qui empli rapidement ma bouche. Je profitais d’une petite pause entre deux jets pour avaler et la sensation que je ressenti fut très semblable à celle ressenti lors de l’expérience précédente. L’urine semblait avoir sur moi un effet aphrodisiaque intense et mon excitation grimpa rapidement faisait gonfler mon sexe qui était à la limite de l’explosion.
Mathilde su alors qu’elle pouvait se relâcher complètement et je du absorber un flux interminable d’urine sous la forme de jets tous plus puissants les uns que les autres, me laissant à peine le temps de déglutir pour satisfaire pleinement mon guide.
Enfin les jets se firent moins importants et plus espacés, ce qui me permit d’accompagner les contractions de Mathilde et de stimuler son urètre par de vigoureux coups de langue. La miction prit fin, et je pus m’atteler à nettoyer la chatte de mon guide de ma langue en insistant sur ces lèvres, et sans oublier les rares gouttes qui s’étaient aventurées sur ses cuisses.
Je relevais alors le visage pour la regarder et attendre son verdict sur ma prestation.
Le sourire qui illuminait son visage répondait de lui-même et c’est avec un regard chaud et langoureux qu’elle dit simplement :

- Bienvenue disciple, je serais heureuse de pouvoir te guider sur le chemin des plaisirs charnels.

C’était une libération, l’impression d’être admis à un examen, un sourire idiot s’installa sur mon visage alors que mon regard restait planté sien. Conscient d’être sous son emprise, je me délectais de cette sensation d’abandon.

- Pour te récompenser, je pense qu’il est temps que toi aussi tu libères la tension qui gonfle ton entre-jambe. Déshabille-toi et couche toi sur les matelas.

Je m’exécutais précipitant quelque peu mes gestes ce qui ne facilita pas l’opération.
J’étais là, nu, allongé, offrant mon corps pour la première fois à son regard. Elle vin se mettre debout au pied du matelas, détaillant mon anatomie. Cette situation entraina une certaine appréhension de ma part et déjà je sentais mon sexe ramollir. Je n’allais pas me montrer sous mon meilleur jour…

- Ne soit donc pas si timide, tu as un corps plutôt racé et des attributs loin d’être ridicules. Voyons voir si la vue par dessous du corps de ta guide te redonne un peu de vigueur.

Sur ces mots elle m’enjamba et vin se tenir debout à l’aplomb de mon visage. Je laissais courir mon regard sur ces jambes magnifiques, m’attardant sur le renflement créer par ses genoux, puis se fut ses cuisses, et enfin ses hanches et ses fesses rebondies. Je remontais ensuite jusqu’à son sexe que ses lèvres gonflées par l’excitation entrouvraient légèrement, et que son piercing clitoridien, qui étincelait au moindre de ces mouvements, sublimait. En arrière-plan je distinguais sa douce poitrine tendue et son visage me regardant, un sourire coquin aux lèvres. Rapidement je senti mon sexe durcir à nouveau, confirmant l’effet que provoquait cette vision d’un érotisme provocant.

- Malheureusement, comme nous ne connaissons pas encore ton statut sérologique, nous ne pouvons pas avoir de rapport avec pénétration. Et crois-moi, j’en suis autant déçue que toi, mais je te propose un petit plaisir oral mutuel.

Sur ce, je la vis fléchir les jambes pour venir positionner ses genoux de chaque côté de mon visage ; mais surtout m’offrir son sexe luisant d’excitation. Je décidais alors de caresser ses cuisses, laissant courir mes mains sur ses hanches et ses fesses. Elle bascula son buste vers l’avant, sa main gauche venant prendre appui sur ma cuisse tandis que de sa main libre elle se mit à caresser mon entre-jambe pour venir empoigner mon sexe qui avait retrouvé toute sa vigueur. Dans cette position, ces hanches s’écartèrent me laissant profiter de ces poignées d’amour et plaquer mes mains sur son fessier bien tendu. Dans le même temps, sa chatte s’était rapprochée de mon visage et j’avais maintenant le nez coincé entre ses lèvres humides. L’odeur de son sexe, mélange de cyprine et d’urine, était une véritable invitation, et je ne pus résister à venir y plaquer ma langue. C’est le moment qu’elle choisit pour gouter mon sexe et laisser courir sa langue sur mon gland.
Qu’elle sensation !
Je sentais ses lèvres aller et venir le long de ma verge alors que du bout de la langue elle titillait alternativement mon frein et mon méat urétral. J’étais au bord de l’extase, il fallait que je pense à autre chose si je souhaitais faire durer se moment de bonheur. Je décidais donc de focaliser mon attention sur son clitoris, venant tantôt le titiller du bout de la langue, tantôt l’aspirer entre mes lèvres n’oubliant pas de jouer avec son piercing. Sa réaction ne se fit pas attendre, elle se cambra, libérant ma verge de l’étreinte de ses lèvres et, la tenant toujours fermement en main, elle commença à effectuer de longs va-et-vient. Elle commença à faire onduler son bassin, frottant son sexe sur mon visage et invitant mon nez, déjà lover entre ses lèvres, à entrouvrir la porte de son vagin. Je redoublais d’effort pour lui procurer le plaisir qu’elle méritait. Ses ondulations devenaient plus amples et plus rapides, sa respiration se transforma en soupirs puis en petits cris, tandis que les mouvements de sa main sur ma bite se firent plus saccadés. Je touchais au but, j’accentuait l’aspiration de son bouton que je sentais gonflé à l’extrême tout augmentant la pression de ma langue. Elle se redressa d’un coup et poussa un cri de plaisir strident. Mes mains qui n’avaient pas quitté ses hanches sentir ses muscles se relâcher alors qu’un jet de cyprine explosait dans ma bouche. Elle était en trans, je sentis l’ensemble de son corps se mettre à trembler, puis vinrent les spasmes dont chacune de contractions m’inondait d’un nouveau jet de cyprine. Je buvais le jus de la jouissance de ma guide et ne pus plus retenir la mienne. J’explosais à mon tour, libérant un torrent de sperme qui gicla sur sa poitrine avant de venir maculer mon torse.
Retrouvant ses esprits, elle reprit mon sexe en bouche et aspira les dernières gouttes de sperme. Puis reculant légèrement elle entreprit de lécher la semence qui recouvrait mon ventre. Nous restâmes un moment immobile, nos corps relâchés, enchevêtrés tête bèche, retrouvant un rythme respiratoire normal et profitant de ce moment d’extase.
Elle se redressa et s’assit en me regardant, les yeux embués de plaisir. Je me redressais à mon tour pour lui faire face. Ses yeux fixèrent les miens, son regard se fit plus mutin ; elle passa son index droit sur sa poitrine pour recueillir le sperme qui s’y trouvait encore et le porta à sa bouche. Elle refit se même geste essuyant la dernière trace qui maculait son sein gauche et me tendit son doigt pour que je le lèche.

- En partant, va faire un dépistage HIV que l’on puisse passer aux choses sérieuses la prochaine fois…
Et il faudra aussi que l’on s’occupe de ton inscription.
- Demain, même heure ?
- Demain, même heure.


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A suivre...

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