Le collègue de travail de mon mari.

Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le collègue de travail de mon mari.
Il y a six mois environ, mon mari tient à tout prix à me présenter Thierry, son nouveau collaborateur. Il est marié, et a deux enfant. Ils sont à peu près de nôtre âge. Le samedi, Sylvain s’active pour recevoir Thierry, et sa petite famille. Il a prévu apéro, grillades, et des jeux pour les enfants.
A l’heure prévue, on sonne à la porte. C’est eux.
Mon mari ouvre, les reçoit comme il se doit, nous présente. Thierry présentent femmes et enfants.
- Carole, mon épouse, Luc et Lisa, nos enfants
- Enchantés. Voici ma femme, Sandrine, et nos enfants Dany, Et Mia.
Lorsque mon regard croise celui de Thierry, je reçois un choc, et un trouble m’envahit. Son regard est chaud, l’œil pétillant, un visage qui inspire le pêché.
Nous passons sur la terrasse, et les conversations vont bon train. La famille à Thierry est très sympathique, et les enfants se sont vite adaptés. A plusieurs reprises, mon regard croise celui de Thierry. Une petit voix en moi me dit. « Attention, danger ».
J’aime mon mari, nous sommes un couple uni, je ne comprends pas pourquoi j’ai une soudaine attirance pour cet homme, que je connais pas. Parce que c’est ça, j’ai une attirance...physique. Je ne connais pas cette envie, elle m’intrigue, m’inquiète, et m’attire curieusement . Alors, il faut que je me calme, de ne surtout pas franchir la ligne.
Quand on mari me demande ce que je pense de son collègue de travail, je lui réponds que je le trouve charmant, très séduisant.
- Oh là, me dit-il...dois-je m’inquiéter ?
- Pas du tout, mon chéri, certainement pas.
La vie reprend son cours, mais ne peux effacer le visage de Thierry. J’ai analysé mon trouble pour cet homme, et la conclusion est simple. J’aime mon mari, n’éprouve aucun sentiment pour son copain, juste une attirance sexuelle. N’est-ce pas plus dangereux ?
Bien sûr, je ne l’ai vu qu’une fois, dès la deuxième rencontre, je me dirais que j’étais en manque ce jour là, et réagirais différemment. Du reste, je ne vais pas tarder à le savoir, puisque nous devions nous revoir dans cinq jours, lors d’une soirée organisée par un autre pote de mon mari.
Ce vendredi, nous avons rendu visite chez mes parent, et en avons profité pour faire garder nos enfants pour le week-end. Nous rentrons vers minuit, et allons profiter d’être seul pour pour faire l’amour. A peine la porte franchie, Sylvain me plaque contre le mur.
Il me déshabille, me caresse partout. Est-ce la peur que je succombe aux charmes insolent de Thierry. Toujours est-il que Sylvain se trouve très aimant. Il m’entraîne sur le canapé, nous baisons sans retenue. Ce qui est grave, c’est que j’ai l’impression que c’est la queue de Thierry qui laboure ma chatte. Nous nous retrouvons sous la douche, ou l’instinct animal de Sylvain, me déclenche un ultime orgasme.
Le lendemain matin, nous prenons le petit déjeuner en amoureux, sans un mot, le regard ailleurs. Sylvain lirait-il dans mes pensées ? Alors que je suis dans la chambre en nuisette, Sylvain me rejoint. Je suis devant la glace, me demandant ce que je pouvais me mettre. Ce matin, mon mari est d’humeur taquine. Il se colle derrière moi, m’embrasse dans le cou, je le laisse faire, ses baisers sont si doux.
Il fait glisser une bretelle, puis une deuxième. La nuisette tombe au sol, et me retrouve entièrement nue. Toujours derrière moi à me couvrir de baisers.
Ses mains empoignent mes seins, les caressent, fait rouler les bouts chargés de désir entre ses doigts. Le plaisir est immense, mon corps ondule, se frotte à lui. Je me retourne, colle mon corps nu contre le sien, et nos bouches se rejoignent. Nos langues s’entremêlent, sa queue durcit. Je tombe à genoux, le prends en bouche. Il m’attire sur le lit. Nos mains caressent nos corps, jusqu’à ce qu’ils s’unissent. Sylvain s’avère être très innovant. Sa queue fait des va et vient incessant en moi, avant de sortir taquiner mon petit orifice. Sylvain ne m’a jamais sodomisée, c’est une première pour lui, la peur qu’un autre le fasse peut-être.
Du coup, on s’est mis en retard. Il est douze heures trente quand nous arrivons chez nos amis. La famille est déjà là. On se dit bonjour. Au moment ou je me dirige vers Thierry, je ressens encore ce trouble. Je ne peux pas mettre ça sur le compte de manque de sexe, depuis hier soir, je n’ai pas arrêté de me faire baiser par Sylvain. « Que m’arrive-t-il ».
Nous somme une trentaine, et décide d’éviter Thierry le plus possible, mais c’est plus fort que moi, dès que je le peux, je vais discuter avec lui. Lorsque nous passons à table, je me trouve face à lui, Sylvain est près de moi, Carole à côté de Thierry. La bonne humeur est là, et mon attirance pour Thierry aussi. Je me fais violence pour chasser toutes images de lui et moi, en train de baiser. Car oui, dès que je le regarde, je ne peux m’empêcher de le voir sa queue enfiler ma chatte. Les yeux fermés, je l’imagine me chevaucher, me prendre en levrette, m’offrir le goût de sa semence.
Le repas terminé, je quitte la table pour aller fumer une cigarette. Un couple sort avec moi, parlons, puis Thierry se joint à nous. Nous avons un peu bu, ce qui explique le laisser aller de chacun. Thierry est très tactile, ce qui n’arrange pas ma vision de ce qu’on pourrait faire ensemble dans un lit. Je n’ai jamais trompé mon mari, et n’en est jamais eu envie. Alors pourquoi, à cet instant précis, si Thierry m’entraînait sur le chemin de l’adultère, je le suivrais avec plaisir, sans aucun remord. Sylvain nous retrouve, passe un bras autour de ma taille, sous le nez de son pote. Je ne sais pas ce qu’il ressent, ce qu’il pense, je m’en fou, le plus important, c’est de chasser de mon esprit, la vision de nos corps enlacés.
Nos hôtes mettent de la musique, et transforme la terrasse en piste de danse. Les homme prennent plaisir à changer de cavalière, les faire tourner sur place. Thierry danse avec la femme d’un ami. Je l’observe du coin de l’œil, voir comment il se comporte avec elle. Je rentre dans mon crâne, que cet homme est chaleureux avec tout le monde, que son regard de braise, c’est juste dans ma tête, que son côté séduisant, il ne l’a pas qu’avec moi. Je ne voulais pas danser avec lui, la peur de ne pouvoir me contrôler. Mais il me trouva, à demi-cachée derrière un arbuste. Il me prit la main, me tira sur la piste. Je croisais le regard de mon mari. Il était serein, ne se doutant pas de l’attirance que sa femme avait pour son ami..
La nuit est fraîche, je sors chercher un gilet à la voiture, quand j’entends des pas derrière moi alors que j’ouvre la portière...c’est Thierry.
- Tu t’en vas, me demande-t-il.
- Non, je prends juste un gilet...j’ai un peu froid.
- On fume une clope ensemble avant de rentrer, dit-il m’aidant à enfiler mon gilet..
- Si tu veux, répondis-je tremblante.
Ses mains s’attardant sur mes épaules, déclenchant un frisson en moi.
Puis m’offre une cigarette. Il s’approche de moi pour l’allumer, mes mains frôlent les siennes, et ne peux que constater que cet homme m’attire. Je sais au fond de moi, que tant que je n’aurai pas couché avec lui, je ne serai pas en paix. Je ne me reconnais pas, ce n’est pas moi...Sandrine.
Nôtre cigarette est finie depuis longtemps, mais ne rentrons pas. Nous sommes bien tout les deux, à l’écart des autres. Rien dans son attitude ne montre qu’il a le même désir que moi. Nous allumons une autre cigarette, adossés à la voiture, nos regard se fixent, nos bras se touchent, mon corps est en ébullition. Il n’a qu’un geste à faire, et je me perds avec lui. Il faut que je rentre avant de commettre l’irréparable. Nous voyons la porte s’ouvrir, et apparaître mon mari. Je sens de la suspicion dans le son de sa voix.
- Je suis venu chercher un gilet. Thierry qui fumait, m’a proposé une cigarette.
Je décide de laisser les deux hommes dehors, discuter entre eux, espérant que Sylvain n’a pas remarqué mon trouble. Carole m’accueille, me demande si j’ai vu son mari, Je lui dit qu’il discute dehors avec Sylvain.
J’en suis à me demandé si elle aussi à perçu un changement dans mon comportement vis à vis de son mari. J’ai quand même un sacré toupet de penser ça, alors que depuis quelques jours, je fantasme sur lui, et qu’au fond de moi, je n’aurai aucun remord de tromper mon mari, et de faire d’elle une femme trompée.
Le lendemain, nous nous levons vers onze heures, épuisés par une nuit torride à baiser. Les ébats ont été sulfureux, même si mes pensées érotiques allaient vers Thierry. C’est lui que j’aurai aimé qui me baise. A peine sorti de la douche, qu’on sonne à la porte. C’est Thierry qui apporte des croissants. Mon peignoir s’ouvre juste assez pour qu’il voit ma superbe poitrine. Tout en me faisant la bise, il me murmure à l’oreille.
- La vue est très agréable.
Je ne réponds pas, file à la cuisine préparer le café, et réajuster mon peignoir. Je croise le regard froid de mon mari. Puis les deux hommes s’installent en terrasse.
- T’étais pas en train de reluquer les seins de ma femme, demande mon mari.
- Et, mon pote...jaloux.
Pour couper court sur le sujet, j’apporte vite le café, et déjeunons ensemble. Le regard de Thierry s’attarde régulièrement sur mon décolleté, lequel est moins ouvert. Sylvain ne s’en aperçoit même pas. La situation devient plus tendue, quand il se lève pour aller chercher la cafetière. Le nez plongé dans ma tasse, je sens le regard de Thierry sur moi.
Je relève la tête, et me perds dans se yeux. Je n’arrive pas à m’en détacher. Mon envie tourne à l’obsession. Je l’invite du regard à rentrer avec moi, dans un monde totalement inconnu, et qui risque de faire du mal à nos familles, et à nous même.
La voix de Sylvain brise ce moment intime, ou Thierry et moi, avons eu des idées pas très catholique. Je les laisses reprendre un café, et vais calmer mes ardeurs sous une énième douche. Je les rejoins vêtue d’une courte jupe, qui visiblement ne plaît pas à Sylvain. Devant cette attitude, Thierry nous souhaite un bon dimanche, et quitte la villa.
- Tu cherches quoi, demande mon mari...attention Sandrine...
- C’est à dire...tu ne penses tout même pas que j’ai une attirance pour ton copain ?
Sylvain ne répond pas, mais je devine à son regard que le doute s’installe en lui.
Un soir de semaine, en rentrant su travail, je trouve Thierry en train de boire une bière avec mon mari. Sylvain remarque qu’il vient de plus en plus souvent à la maison, seul.
Nous sommes en été, et nous partons quinze jours en vacances.
Je vais peut-être retrouver mes esprit d’épouse mariée pendant ces congés. Une semaine avant mon départ, je profite de ces quelques jours pour m’occuper des enfants. Sylvain travaille, préférant garder sa troisième semaine, à son retour.
Ce mercredi, je patauge dans la piscine avec mes deux garnements, quand on sonne. Mon mari ne rentre pas avant une bonne heure, qui cela peut-il être. Je m’enroule dans une serviette, vais ouvrir. Thierry est là, en train de me dévisager.
- Je ne te dérange pas ? Dit-il
- Non...je me baignais avec les enfants...entre, Sylvain ne va pas tarder.
Je l’invite à me suivre dans le jardin, afin de surveiller les enfants. Je retire ma serviette, et il me découvre en maillot de bains. Son regard en dit long sur ses pensées. Je lui demande de surveiller les gosses, le temps de me changer.
- Tu peux rester ainsi...ça ne me dérange pas.
- Moi si, lui dis-je…
Et de courir à ma chambre, de peur de lui sauter dessus. Je le rejoins cinq minutes plus tard, lui offre une bière. Je lui demande des nouvelles de Carole et des enfants. Puis la conversation prit une autre tournure, lorsqu’il me dit.
- Sylvain a vraiment beaucoup de chance d’avoir un femme aussi belle que toi.
- Merci...mais tu sais, j’ai également beaucoup de chance de l’avoir comme mari.
D’un ton franc et sec, il poursuit.
- Tu m’attires énormément Sandrine...je pense souvent à toi, je ne l’explique pas.
Au moment ou j’ai envie de lui répondre, « moi aussi », mon fils m’interpelle. Je profite de la situation, pour m’esquiver. Je ne veux pas me laisser embarquer dans une double vie, ou le mensonge serait le principal atout. Je crois que je préfère encore fantasmer sur lui, plutôt que tromper mon mari. De plus, je sais que je fauterais avec un homme pour qui je n’ai aucun sentiment. Thierry et moi, ce serait sexuel. Je ne me vois pas foutre ma vie en l’air, pour un instant de plaisir, et deux ou trois orgasmes, que mon mari m’offre spontanément.
Je me raisonne comme je peux, pour ne pas répondre à l’appel de ma chatte, attirée par la queue de Thierry. Il m’aide à sortir les enfants de la piscine. Je suis si près de lui, que nos lèvres pourraient se retrouvaient dans un baiser. Je sens son souffle, je me perds dans ses yeux, lis son désir, comme il lit le mien. Ma conscience tire la sonnette d’alarme, et je reprends le contrôle. Je m’éloigne, essaie d’être naturelle.
Mon mari nous trouve sur la terrasse à discuter avec les enfants. Je profite de sa présence pour aller les doucher, et ne plus être aussi proche de mon fantasme.
- Thierry reste à dîner, dit Sylvain.
Mais pourquoi l’invite-t-il, est-ce un piège ? Veut-il me tester ?
N’empêche que, plus je vois Thierry, moins je suis persuadée qu’il ne restera qu’une envie non consommée. La soirée reste simple et conviviale. Thierry nous quitte vers vingt trois heures. Sylvain va se coucher pendant que je range la cuisine.
Je pense à Thierry, fantasme à nouveau sur lui. Comment peut-on aimer quelqu’un, et désirer un autre homme pour qui on a aucun sentiment, aucun amour ?
Je suis contente de partir en vacances, et espère en revenir l’esprit plus serein.
Elles furent un pur bonheur. Si les premiers jours, Thierry occupait mon esprit, il n’en fut rie, ensuite, Sylvain parvenant par ses intenses nuit, à me détourner de son pote.
Nous rentrons heureux, et en ce qui me concerne, comblée.
A l’heure prévue, on sonne à la porte. C’est eux.
Mon mari ouvre, les reçoit comme il se doit, nous présente. Thierry présentent femmes et enfants.
- Carole, mon épouse, Luc et Lisa, nos enfants
- Enchantés. Voici ma femme, Sandrine, et nos enfants Dany, Et Mia.
Lorsque mon regard croise celui de Thierry, je reçois un choc, et un trouble m’envahit. Son regard est chaud, l’œil pétillant, un visage qui inspire le pêché.
Nous passons sur la terrasse, et les conversations vont bon train. La famille à Thierry est très sympathique, et les enfants se sont vite adaptés. A plusieurs reprises, mon regard croise celui de Thierry. Une petit voix en moi me dit. « Attention, danger ».
J’aime mon mari, nous sommes un couple uni, je ne comprends pas pourquoi j’ai une soudaine attirance pour cet homme, que je connais pas. Parce que c’est ça, j’ai une attirance...physique. Je ne connais pas cette envie, elle m’intrigue, m’inquiète, et m’attire curieusement . Alors, il faut que je me calme, de ne surtout pas franchir la ligne.
Quand on mari me demande ce que je pense de son collègue de travail, je lui réponds que je le trouve charmant, très séduisant.
- Oh là, me dit-il...dois-je m’inquiéter ?
- Pas du tout, mon chéri, certainement pas.
La vie reprend son cours, mais ne peux effacer le visage de Thierry. J’ai analysé mon trouble pour cet homme, et la conclusion est simple. J’aime mon mari, n’éprouve aucun sentiment pour son copain, juste une attirance sexuelle. N’est-ce pas plus dangereux ?
Bien sûr, je ne l’ai vu qu’une fois, dès la deuxième rencontre, je me dirais que j’étais en manque ce jour là, et réagirais différemment. Du reste, je ne vais pas tarder à le savoir, puisque nous devions nous revoir dans cinq jours, lors d’une soirée organisée par un autre pote de mon mari.
Ce vendredi, nous avons rendu visite chez mes parent, et en avons profité pour faire garder nos enfants pour le week-end. Nous rentrons vers minuit, et allons profiter d’être seul pour pour faire l’amour. A peine la porte franchie, Sylvain me plaque contre le mur.
Il me déshabille, me caresse partout. Est-ce la peur que je succombe aux charmes insolent de Thierry. Toujours est-il que Sylvain se trouve très aimant. Il m’entraîne sur le canapé, nous baisons sans retenue. Ce qui est grave, c’est que j’ai l’impression que c’est la queue de Thierry qui laboure ma chatte. Nous nous retrouvons sous la douche, ou l’instinct animal de Sylvain, me déclenche un ultime orgasme.
Le lendemain matin, nous prenons le petit déjeuner en amoureux, sans un mot, le regard ailleurs. Sylvain lirait-il dans mes pensées ? Alors que je suis dans la chambre en nuisette, Sylvain me rejoint. Je suis devant la glace, me demandant ce que je pouvais me mettre. Ce matin, mon mari est d’humeur taquine. Il se colle derrière moi, m’embrasse dans le cou, je le laisse faire, ses baisers sont si doux.
Il fait glisser une bretelle, puis une deuxième. La nuisette tombe au sol, et me retrouve entièrement nue. Toujours derrière moi à me couvrir de baisers.
Ses mains empoignent mes seins, les caressent, fait rouler les bouts chargés de désir entre ses doigts. Le plaisir est immense, mon corps ondule, se frotte à lui. Je me retourne, colle mon corps nu contre le sien, et nos bouches se rejoignent. Nos langues s’entremêlent, sa queue durcit. Je tombe à genoux, le prends en bouche. Il m’attire sur le lit. Nos mains caressent nos corps, jusqu’à ce qu’ils s’unissent. Sylvain s’avère être très innovant. Sa queue fait des va et vient incessant en moi, avant de sortir taquiner mon petit orifice. Sylvain ne m’a jamais sodomisée, c’est une première pour lui, la peur qu’un autre le fasse peut-être.
Du coup, on s’est mis en retard. Il est douze heures trente quand nous arrivons chez nos amis. La famille est déjà là. On se dit bonjour. Au moment ou je me dirige vers Thierry, je ressens encore ce trouble. Je ne peux pas mettre ça sur le compte de manque de sexe, depuis hier soir, je n’ai pas arrêté de me faire baiser par Sylvain. « Que m’arrive-t-il ».
Nous somme une trentaine, et décide d’éviter Thierry le plus possible, mais c’est plus fort que moi, dès que je le peux, je vais discuter avec lui. Lorsque nous passons à table, je me trouve face à lui, Sylvain est près de moi, Carole à côté de Thierry. La bonne humeur est là, et mon attirance pour Thierry aussi. Je me fais violence pour chasser toutes images de lui et moi, en train de baiser. Car oui, dès que je le regarde, je ne peux m’empêcher de le voir sa queue enfiler ma chatte. Les yeux fermés, je l’imagine me chevaucher, me prendre en levrette, m’offrir le goût de sa semence.
Le repas terminé, je quitte la table pour aller fumer une cigarette. Un couple sort avec moi, parlons, puis Thierry se joint à nous. Nous avons un peu bu, ce qui explique le laisser aller de chacun. Thierry est très tactile, ce qui n’arrange pas ma vision de ce qu’on pourrait faire ensemble dans un lit. Je n’ai jamais trompé mon mari, et n’en est jamais eu envie. Alors pourquoi, à cet instant précis, si Thierry m’entraînait sur le chemin de l’adultère, je le suivrais avec plaisir, sans aucun remord. Sylvain nous retrouve, passe un bras autour de ma taille, sous le nez de son pote. Je ne sais pas ce qu’il ressent, ce qu’il pense, je m’en fou, le plus important, c’est de chasser de mon esprit, la vision de nos corps enlacés.
Nos hôtes mettent de la musique, et transforme la terrasse en piste de danse. Les homme prennent plaisir à changer de cavalière, les faire tourner sur place. Thierry danse avec la femme d’un ami. Je l’observe du coin de l’œil, voir comment il se comporte avec elle. Je rentre dans mon crâne, que cet homme est chaleureux avec tout le monde, que son regard de braise, c’est juste dans ma tête, que son côté séduisant, il ne l’a pas qu’avec moi. Je ne voulais pas danser avec lui, la peur de ne pouvoir me contrôler. Mais il me trouva, à demi-cachée derrière un arbuste. Il me prit la main, me tira sur la piste. Je croisais le regard de mon mari. Il était serein, ne se doutant pas de l’attirance que sa femme avait pour son ami..
La nuit est fraîche, je sors chercher un gilet à la voiture, quand j’entends des pas derrière moi alors que j’ouvre la portière...c’est Thierry.
- Tu t’en vas, me demande-t-il.
- Non, je prends juste un gilet...j’ai un peu froid.
- On fume une clope ensemble avant de rentrer, dit-il m’aidant à enfiler mon gilet..
- Si tu veux, répondis-je tremblante.
Ses mains s’attardant sur mes épaules, déclenchant un frisson en moi.
Puis m’offre une cigarette. Il s’approche de moi pour l’allumer, mes mains frôlent les siennes, et ne peux que constater que cet homme m’attire. Je sais au fond de moi, que tant que je n’aurai pas couché avec lui, je ne serai pas en paix. Je ne me reconnais pas, ce n’est pas moi...Sandrine.
Nôtre cigarette est finie depuis longtemps, mais ne rentrons pas. Nous sommes bien tout les deux, à l’écart des autres. Rien dans son attitude ne montre qu’il a le même désir que moi. Nous allumons une autre cigarette, adossés à la voiture, nos regard se fixent, nos bras se touchent, mon corps est en ébullition. Il n’a qu’un geste à faire, et je me perds avec lui. Il faut que je rentre avant de commettre l’irréparable. Nous voyons la porte s’ouvrir, et apparaître mon mari. Je sens de la suspicion dans le son de sa voix.
- Je suis venu chercher un gilet. Thierry qui fumait, m’a proposé une cigarette.
Je décide de laisser les deux hommes dehors, discuter entre eux, espérant que Sylvain n’a pas remarqué mon trouble. Carole m’accueille, me demande si j’ai vu son mari, Je lui dit qu’il discute dehors avec Sylvain.
J’en suis à me demandé si elle aussi à perçu un changement dans mon comportement vis à vis de son mari. J’ai quand même un sacré toupet de penser ça, alors que depuis quelques jours, je fantasme sur lui, et qu’au fond de moi, je n’aurai aucun remord de tromper mon mari, et de faire d’elle une femme trompée.
Le lendemain, nous nous levons vers onze heures, épuisés par une nuit torride à baiser. Les ébats ont été sulfureux, même si mes pensées érotiques allaient vers Thierry. C’est lui que j’aurai aimé qui me baise. A peine sorti de la douche, qu’on sonne à la porte. C’est Thierry qui apporte des croissants. Mon peignoir s’ouvre juste assez pour qu’il voit ma superbe poitrine. Tout en me faisant la bise, il me murmure à l’oreille.
- La vue est très agréable.
Je ne réponds pas, file à la cuisine préparer le café, et réajuster mon peignoir. Je croise le regard froid de mon mari. Puis les deux hommes s’installent en terrasse.
- T’étais pas en train de reluquer les seins de ma femme, demande mon mari.
- Et, mon pote...jaloux.
Pour couper court sur le sujet, j’apporte vite le café, et déjeunons ensemble. Le regard de Thierry s’attarde régulièrement sur mon décolleté, lequel est moins ouvert. Sylvain ne s’en aperçoit même pas. La situation devient plus tendue, quand il se lève pour aller chercher la cafetière. Le nez plongé dans ma tasse, je sens le regard de Thierry sur moi.
Je relève la tête, et me perds dans se yeux. Je n’arrive pas à m’en détacher. Mon envie tourne à l’obsession. Je l’invite du regard à rentrer avec moi, dans un monde totalement inconnu, et qui risque de faire du mal à nos familles, et à nous même.
La voix de Sylvain brise ce moment intime, ou Thierry et moi, avons eu des idées pas très catholique. Je les laisses reprendre un café, et vais calmer mes ardeurs sous une énième douche. Je les rejoins vêtue d’une courte jupe, qui visiblement ne plaît pas à Sylvain. Devant cette attitude, Thierry nous souhaite un bon dimanche, et quitte la villa.
- Tu cherches quoi, demande mon mari...attention Sandrine...
- C’est à dire...tu ne penses tout même pas que j’ai une attirance pour ton copain ?
Sylvain ne répond pas, mais je devine à son regard que le doute s’installe en lui.
Un soir de semaine, en rentrant su travail, je trouve Thierry en train de boire une bière avec mon mari. Sylvain remarque qu’il vient de plus en plus souvent à la maison, seul.
Nous sommes en été, et nous partons quinze jours en vacances.
Je vais peut-être retrouver mes esprit d’épouse mariée pendant ces congés. Une semaine avant mon départ, je profite de ces quelques jours pour m’occuper des enfants. Sylvain travaille, préférant garder sa troisième semaine, à son retour.
Ce mercredi, je patauge dans la piscine avec mes deux garnements, quand on sonne. Mon mari ne rentre pas avant une bonne heure, qui cela peut-il être. Je m’enroule dans une serviette, vais ouvrir. Thierry est là, en train de me dévisager.
- Je ne te dérange pas ? Dit-il
- Non...je me baignais avec les enfants...entre, Sylvain ne va pas tarder.
Je l’invite à me suivre dans le jardin, afin de surveiller les enfants. Je retire ma serviette, et il me découvre en maillot de bains. Son regard en dit long sur ses pensées. Je lui demande de surveiller les gosses, le temps de me changer.
- Tu peux rester ainsi...ça ne me dérange pas.
- Moi si, lui dis-je…
Et de courir à ma chambre, de peur de lui sauter dessus. Je le rejoins cinq minutes plus tard, lui offre une bière. Je lui demande des nouvelles de Carole et des enfants. Puis la conversation prit une autre tournure, lorsqu’il me dit.
- Sylvain a vraiment beaucoup de chance d’avoir un femme aussi belle que toi.
- Merci...mais tu sais, j’ai également beaucoup de chance de l’avoir comme mari.
D’un ton franc et sec, il poursuit.
- Tu m’attires énormément Sandrine...je pense souvent à toi, je ne l’explique pas.
Au moment ou j’ai envie de lui répondre, « moi aussi », mon fils m’interpelle. Je profite de la situation, pour m’esquiver. Je ne veux pas me laisser embarquer dans une double vie, ou le mensonge serait le principal atout. Je crois que je préfère encore fantasmer sur lui, plutôt que tromper mon mari. De plus, je sais que je fauterais avec un homme pour qui je n’ai aucun sentiment. Thierry et moi, ce serait sexuel. Je ne me vois pas foutre ma vie en l’air, pour un instant de plaisir, et deux ou trois orgasmes, que mon mari m’offre spontanément.
Je me raisonne comme je peux, pour ne pas répondre à l’appel de ma chatte, attirée par la queue de Thierry. Il m’aide à sortir les enfants de la piscine. Je suis si près de lui, que nos lèvres pourraient se retrouvaient dans un baiser. Je sens son souffle, je me perds dans ses yeux, lis son désir, comme il lit le mien. Ma conscience tire la sonnette d’alarme, et je reprends le contrôle. Je m’éloigne, essaie d’être naturelle.
Mon mari nous trouve sur la terrasse à discuter avec les enfants. Je profite de sa présence pour aller les doucher, et ne plus être aussi proche de mon fantasme.
- Thierry reste à dîner, dit Sylvain.
Mais pourquoi l’invite-t-il, est-ce un piège ? Veut-il me tester ?
N’empêche que, plus je vois Thierry, moins je suis persuadée qu’il ne restera qu’une envie non consommée. La soirée reste simple et conviviale. Thierry nous quitte vers vingt trois heures. Sylvain va se coucher pendant que je range la cuisine.
Je pense à Thierry, fantasme à nouveau sur lui. Comment peut-on aimer quelqu’un, et désirer un autre homme pour qui on a aucun sentiment, aucun amour ?
Je suis contente de partir en vacances, et espère en revenir l’esprit plus serein.
Elles furent un pur bonheur. Si les premiers jours, Thierry occupait mon esprit, il n’en fut rie, ensuite, Sylvain parvenant par ses intenses nuit, à me détourner de son pote.
Nous rentrons heureux, et en ce qui me concerne, comblée.
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Les avis des lecteurs
Magnifique récits
Cyrille
Cyrille
Bonjour,
J'aime beaucoup ce texte, j'ai juste envie que Sandrine cede a ses envie et qu'elle trompe Sylvain, que Sylvain le découvre et que finalement l'accepte.
J'aime beaucoup ce texte, j'ai juste envie que Sandrine cede a ses envie et qu'elle trompe Sylvain, que Sylvain le découvre et que finalement l'accepte.

