Le complot démasqué

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le complot démasqué Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le complot démasqué
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André m’a dévoilé le projet en cours. Je suis bouleversé, mais il me réserve une nouvelle surprise
- Dans un quart d’heure je reçois une habituée.
- Bien, je me retire. Amuse-toi bien. Bonne soirée.
- Attends, Jean. Tu pourrais me rendre un grand service.
- Bien volontiers, de quoi s’agit-il ?
- C’est un peu délicat à dire. Promets-moi de n’en parler à personne. Voilà, j’aimerais garder des souvenirs de mes aventures et de mes maîtresses. J’ai essayé d’enregistrer des scènes d’amour avec une webcam. C’est plus souvent raté que réussi. Je viens d’acheter un caméscope. Il me manque un opérateur. Accepterais-tu de filmer mes ébats ?
- Dis, tu déconnes. Que dira ta partenaire si elle me voit tourner autour de vous pendant que vous forniquez?
- Mais elle ne saura rien de ta présence. Viens, tu entres dans ce placard, il y a de la place, tu tires la porte coulissante. De là, par des yeux dans les portes tu as vue sur le salon et sur la chambre. Ces yeux sont à la fois une décoration et un système d’aération. Prends l‘appareil, vise le lit, tu le vois ? De l’autre côté vise le canapé ou la table. Tu sais tenir, Je te montre le fonctionnement : démarrage, zoom avant, arrière, pause ? C’est simple à manier. Tu prendras l’habitude.
- Quand même, ça me gêne de surprendre l’intimité d’un couple. Je ne sais pas si…
- Puisque je te le demande… On est potes. Sors de ta coquille. Tu vas te divertir et apprendre une autre vie. La monogamie est triste, tu vaux mieux que ça. Si tu veux je te prêterai des copines. Elles sont folles de moi, mais si je te recommande, pour me faire plaisir, pour augmenter le nombre de leurs amants et pour ta belle gueule, elles se donneront à toi.
- Tu ne diras rien à ma femme ?

- Je ne la connais pas. Donc tu n’as rien à craindre. Nous partagerons nos petits secrets d’alcôve. Le premier qui parlera s’exposera à un retour de bâton. C’est une garantie réciproque.

Ma belle gueule ? Si André savait quel cas Julie fait de ma belle gueule. Or la femme mariée qu’il envoie se faire remodeler ne peut-être que Julie. Celle qui va tomber dans son lit au retour de sa liposuccion, c’est ma femme. Il n’en sait rien, je ne la lui ai pas présentée. Mais Julie correspond absolument à la description de sa future conquête. Elle réunit tous les critères. Il la connaît, il la manipule,mais il ignore que c’est ma femme. Une idée diabolique germe dans mon esprit. Si Julie me trahit avec André, pour une fois le premier averti de sa mésaventure sera le cocu muni d’un caméscope et dissimulé dans le placard. Au diable les scrupules. Un copain qui veut s’envoyer ma femme après lui avoir imposé une transformation physique pour mieux l’asservir m’inspire du dégoût. Il joue avec les sentiments des gens et des femmes, sans respect pour les familles. Je lui prépare un chien de ma chienne. J’accepte le poste.

- A la réflexion, ta proposition m’intéresse. Si je te demande l’une de ces filles, tu me la présenteras, c’est promis ? Je pense en particulier à celle que tu prépares. C’est certainement un cas intéressant. N’es-tu pas trop exigeant avec elle ?
- Pas de problème. Ce qui est à moi, sera à toi, promis, juré ! Et sans l’avoir vue tu devines que Julie mérite d’attirer tout homme. Attention, moi d’abord et quand je me serai servi, tu seras le premier à pouvoir en disposer. C’est une perle rare. En réalité elle a un corps de rêve, comme je te l’ai déjà annoncé.
- Pourquoi exiger la liposuccion ou d’autres opérations ?
- Pour la soumettre complètement. Je veux en faire ma chose. Malgré le coût, malgré les douleurs possibles,malgré une nécessaire convalescence, malgré le risque d’un geste maladroit du chirurgien, malgré la crainte d’être défigurée,malgré l’opposition de son mari, un imbécile radin, je le répète,elle a trouvé un institut où se faire opérer. C’est fou ce qu’une femme est capable d’endurer pour un coup de bite ! Son corps est parfait, mais à ma demande, elle est assez amoureuse pour se laisser transformer. Elle doit payer pour m’avoir à elle. On me gagne ! Après cette épreuve que pourra-t-elle me refuser ? Je t’apprendrai tout ça.
André tend l’oreille :
- Écoute ces pas dans l’escalier. Ma gazelle arrive. Cache-toi et filme tout. Aujourd’hui tu as droit à des ratés, je ne t’en voudrai pas si tout n’est pas parfaitement cadré, car elle reviendra. C’est la plus fidèle de mes complices, bonne pour le cul , mariée, pas jalouse si je lui réserve sa petite fête hebdomadaire et rabatteuse de choix. Elle habite dans l’immeuble, c’est pratique parce que discret et elle sait se libérer pour venir combler un trou dans mon emploi du temps. Pchttt, plus de bruit.
La porte s’ouvre.

- Salut Victoire. Tu as pris du retard. Comment vas-tu ma chérie ?
- Oui, hélas, je suis en retard. Richard a traîné avant de partir au boulot. Il va arriver au bar en retard lui aussi. La patronne va lui sonner les cloches. La prochaine fois il se dégrouillera au lieu de lézarder. J’avais envie de monter, l’imbécile tournait en rond.
- L’essentiel est que tu sois là. Je t’aime tellement. Touche là, je bande.
- Oh ! c’est vrai, tu bandes comme un cerf. Il faut faire vite sinon quand j’irai faire le service au restaurant la patronne se fera un plaisir de m’allumer après avoir houspillé mon mari. Aide-moi à me déshabiller.
- Passons dans la chambre. Il n’y a pas une minute à perdre. J’ai envie de toi.
- Et moi de toi, beau mâle. Richard est nul. Je me demande s’il ne va pas voir ailleurs. Une pétasse lui vide les burnes et il n’a plus d’énergie au plumard avec moi. Mais je t’ai toi, mon amour. S’il me trompe, je le plaque et je t’épouse. Oui, dans le dos, les agrafes.
- Pas si vite, tu es prévenue, je n’épouse pas, je dépanne. Embrasse-moi. Tu n’es pas bien comme ça avec un casse-croûte et un maître à jouir ? Il te nourrit, je te tringle. Veinarde, fais durer et tu seras heureuse. Ou cherche ailleurs ; je ne veux plus entendre parler de mariage.

Richard, le bar, le service de restaurant, et surtout le prénom « Victoire » : Il faut être aveugle pour ne pas comprendre. La salope de femme mariée qui se laisse mettre à poil par André, l’épouse mal baisée qui vient se faire descendre sa culotte rouge puis sauter dans la chambre du sportif, la grande rouquine qui embrasse goulûment mon copain, c’est Victoire, la fameuse cousine de ma Julie. André debout derrière elle l’offre de face à la caméra. Il n’y a pas d’erreur, c’est elle. Je reconnais la pousse-au-crime qui envoie ma Julie en chirurgie réparatrice. André vient de me préciser son rôle de sergent- recruteur, de fournisseur de chair fraîche. Le soutien-gorge est tombé, les mains viriles montent par-dessous les bras, viennent coiffer deux tout petits seins aux aréoles larges et d’un brun foncé qui tranche avec la pâleur de la peau. Victoire, la cousine de ma femme, la grande prêtresse de « la liberté des femmes à disposer de leur corps sans avoir à rendre de compte à leurs maris », Victoire vient ici prendre sa dose de bonheur et tromper son mari. Je lui reconnais un mérite : elle met ses actes en conformité avec son détestable discours. Julie subit sa néfaste influence. Tout va mal.

J’enregistre, plus furieux qu’excité. Victoire se trémousse sous la caresse, les pointes de ses mamelons percent entre les pouces et les index en mouvement. André les roule comme on fait des cigarettes. Contre le fessier agité, le malin pousse son ventre et fait ressortir pour le caméscope au-dessus d’un mont de Vénus plat, le ventre aussi plat de la femme longiligne, nu, sans toison. Victoire au sexe rasé ne se doute pas de la présence de la caméra, ne cherche pas à cacher sa vulve flétrie et ses nymphes hypertrophiées entre des cuisses sèches à la minceur stupéfiante. Entre ces deux colonnes filiformes écartées, éloignées l’une de l’autre, on doit pouvoir placer toute une main à plat.
Ses fesses se frottent contre le sexe qui grandit à son contact. C’est une chienne en chaleur. Je vise plus bas, je filme les genoux noueux comme ceux d’un garçon et les tibias longs et les mollets presque sans muscle. Assurément cette femme-là n’a pas besoin de liposuccion. Comment André peut-il s’intéresser à ce tas d’os ? Je filme, je m’arrête encore sur les os des hanches en saillie, je m’attarde sur le dessin prononcé des côtes ou le creux de l’estomac. Je me félicite d’avoir jadis repoussé les avances de cet échalas peu appétissant. Un trou est un trou. A voir Victoire il est permis d’en douter. Mon copain est peu regardant. Je ne lui disputerai pas la salope.

André décide de présenter l’autre face, fait accomplir un demi-tour à sa partenaire. Je pourrais compter les vertèbres du haut en bas de la colonne, les omoplates saillent de chaque côté d’un creux. Plus bas deux fesses sèches et sans relief sont prises à pleines mains, un peu relevées pendant que les amants s’embrassent. La tête d’André apparaît au dessus d’une épaule, il m’adresse un clin d’œil. Ses phalanges quittent les fesses, flattent les flancs décharnés, vont se poser sur les épaules en pointes. Victoire courbe son dos en forme d’arc, éloigne ses pieds et élargit l’angle entre les jambes. Sa chevelure dégage le tronc d’André, descend encore. André appuie sur les épaules : la tête ne cache plus le nombril.

La grimace de l’homme annonce la capture de sa verge par la bouche de Victoire. Ah, la position de la suceuse expose le creux sombre de l’anus et le bâillement violacé des petites entre les lèvres de la chatte, quasi inexistantes dont la peau fait parchemin. Victoire pompe, pompe encore. Une main d’André vient accentuer l’écartement du sillon des fesses et des grandes lèvres glabres. Il étale le creux, aplatit la raie du cul, ouvre la rose : Décidément il aura dans son caméscope chaque parcelle du corps de Victoire avec une revue détaillée de ses parties intimes.

Toute cette mise en scène me paraît dénuée de sentiment. Et quand André se met à bouger c’est pour me permettre de prendre de profil les deux acteurs engagés dans cette pipe, lui debout, elle courbée en forme de pont. Sa tête avance et recule sur le membre viril tantôt apparent tantôt englouti. Une claque sur une fesse met fin à la fellation. André interpelle Victoire :

-Tu oublies que tu es pressée. Alors ne nous attardons pas en préliminaires. Place tes mains sur le matelas, ouvre tes quilles, encore, baisse ton popotin, tu es trop haute à cause de tes talons. Comme ça, tu es à la bonne hauteur. Prête ?

André se place de façon à montrer à mon objectif le sexe où il va s’introduire. Ses deux pouces tirent sur les lèvres. Il place deux doigts dans la crevasse rose et luisante, exécute un mouvement de vrille pour pénétrer et se met à les enfoncer et retirer à vive allure. Il masturbe, touille brutalement, va, vient, entre, sort, tournicote, fouille, creuse, c’est une charge sans égards, à la limite du sadisme. Et la grande maigre apprécie cette forme de brutalité.

- Oh ! que c’est bon, crie la grande, oui, plus fort ! Mon salaud… oh!

André obéit, les doigts décrivent des cercles, excitent les parois, cherchent à augmenter la mouille. Victoire arrondit son dos ou creuse les reins, remue ses fesses, écrase son crâne sur la literie et pousse des gémissements ininterrompus. Le vagin est prêt, l’amant se redresse, me fait un signe de la main, désigne sa lance, s’approche du minou se pose contre les chairs rosies et entre tranquillement dans la place

- Oh ! oui, j’aime ta bite. Fourre-moi, baise-moi. Oui. Rrhan, mais vas-y !

Le temps presse. Pas pour André, il est en démonstration, n’oublie pas le caméscope. Il entre à fond, recule et extrait toute la hampe à l’exception du bout du gland, puis il repart en avant, revient avec lenteur. Quand il sort trop il me désigne de l’index le trou noir où il va replonger. Victoire s’énerve, bout :

- Mais André, tu traînes. Accélère, prends-moi fort, vite, je veux jouir. Baise, baise !
- Bien, mais d’abord, dis-moi où en est Julie. Hésite-t-elle encore ?
- Non, nous l’avons décidée. Le rendez-vous chez le chirurgien est pris. Malheureusement Jean, son mari, fait encore de l’obstruction. Anaïs et moi l’avons travaillée. Je lui ai dit qu’elle pouvait se passer de l’autorisation de son tyran. La révolte est passée. Il a cédé financièrement. Julie ne reculera plus. Elle doit commander bientôt ses billets d‘avion pour Tunis.
- Ses billets ? Combien lui en faut-il ?
- Oui, elle espère que Jean l’accompagnera. Sinon elle se fera accompagner par une amie ou un ami. Elle ne veut pas partir seule, il lui faut du soutien.
- Ah ! C’est sérieux. Je croyais qu’elle plaisantait. A quoi bon partir à deux ? Pendant un mois elle sera dans l’impossibilité de baiser. J’ai lu que la patiente ne doit pas fournir d’efforts musculaires avant la cicatrisation complète. Voyager avec elle, coucher avec elle et ne pas pouvoir la sauter, où est l’intérêt ?
- Vous, les hommes, vous ne pensez qu’à ça. Nous avons besoin d’amour, de tendresse, d’attention, de sentiment, de soutien moral. Si tu veux te faire Julie un jour, propose lui d’aller avec elle, puisque ce con de Jean s’entête à refuser de porter ses valises. Qui sait, dans les toilettes de l’avion elle voudra peut-être s’envoyer en l’air avec toi avant de passer sur le billard. Hé, une abstinence d‘un mois n‘est pas facile à vivre, autant baiser à fond avant d‘y être contrainte : heureux l‘homme qui saura lui fournir auparavant les frissons et les transes d’orgasmes dont elle sera privée par l‘opération. Ça te plairait, mon cochon ! Allez, bouge, tu t’endors, tu n’es pas en forme. Arrête de penser à une autre quand tu me possèdes. Merde, fonce, crève-moi le vagin, défonce-moi fort. J’adore ta queue. Alors, tu irais avec elle ? Elle sera molle et soumise à qui l’accompagnera. Tu rêves ?

- Non, je réfléchis. La cabine de l’avion serait formidable. Mais j’ai su me retenir pour faire monter la pression. Je ne vais pas gâcher toute ma préparation, je lui ai suggéré de perdre du poids, je ne peux pas lui laisser croire qu’elle est baisable en l’état actuel. Bien que j’aime aussi les filles girondes, je lutte contre mon envie. Combien de fois n’ai-je pas dû résister à la tentation en reluquant sa poitrine ou son petit cul ferme et rebondi. Julie attendra, elle en vaut la peine. Je l’aurai, oui, je l’aurai.

-Hé ! cesse de rêver à elle. Je suis là, moi. Je ne te plais plus ? Baise.

André a marqué une pause, se remet à limer, mais plus vite. Victoire l’encourage. Il veut lui laisser l’initiative et m’offrir un spectacle différent :
- Et si on changeait de position. Puisque tu es pressée, à toi de donner le rythme. Viens sur moi et chevauche-moi à l’envers.

Cette fois, il s‘assied en pied de lit, toujours tourné vers le placard, pieds à terre, verge tendue vers le plafond. Sur ses grandes pattes d’araignée Victoire, à reculons, encadre les jambes d’André, recule, baisse sa croupe vers le pieu tendu, s’enfonce avec précaution sur le pénis, engloutit le tout jusqu’aux couilles, gire, s’assure qu’elle ne peut pas en avaler davantage et aussitôt se lance au trot, s’échauffe et passe au galop. La moule s’ouvre et se resserre selon les mouvements du ventre. Son visage se met de nouveau à rougir, elle souffle puis geint comme lors du barattage précédent.

-Ha ! La bonne queue.

Elle suffoque. André bascule sur le dos, la déséquilibre, attire à lui le tronc de Victoire dont la poitrine s’écrase au point de ressembler à celle d’un garçon. Ses bras l’enserrent, immobilisent la partie supérieure du corps. Je comprends l’intention de mon copain. J’enregistre le grand écart des cuisses de grenouille et surtout, au milieu, l’ouverture maximale du con distendu autour de la verge plantée en biais. Victoire meut sa croupe à coups rapides, mène un train d’enfer. Le coït se raidit. La voix grave couvre les plaintes femelles. Ils ne bougent plus. Un liquide blanchâtre suinte autour de la peau du sexe viril et dans la partie inférieure de la vulve. La tache suit le sillon et s’écoule lentement vers la rose noire dilatée. C’est fini, elle court vers la salle de bain, se nettoie le frifri, enfile en vitesse sa robe, se glisse dans la culotte rouge ramassée sur la moquette, embrasse André. Il lui rappelle la nécessité de bousculer Julie, il compte sur ses loyaux services.

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