Le cul d’enfer de Nicole (suite et fin)

- Par l'auteur HDS Loickque -
Récit érotique écrit par Loickque [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le cul d’enfer de Nicole (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le cul d’enfer de Nicole (suite et fin)
<p>Le cul d’enfer de Nicole (suite et fin)

Aujourd’hui il fait beau et nous prenons un rafraichissement à la terrasse du bistrot, Yannick et Laurent me presse de raconter mon aventure avec Nicole, auparavant nous regardons de nouveau les photos de nus de la belle, quel cul, un corps de rêve, pas étonnant que tellement d’hommes ont craqués pour elle, bon elle n’est pas la seule jolie femme qui se donne sans retenue mais tous trois et surement beaucoup d’autres somment du même avis pour dire que souvent les jolies femmes hésitent, minaudent, ont beaucoup de retenue dans leur geste, rien de tout cela avec Nicole, elle se donnait sans tabous aucun et n’avait pas son pareil pour que même une fois rassasié de son corps, surtout de son cul d’enfer, on ne pense qu’à une chose, lui faire de nouveau l’amour, encore et encore, je suis certain que même ceux qui aujourd’hui s’aide du viagra pourraient y renoncer tellement elle est bandante, bon ne nous fait pas languir raconte comment tu l’a connue, ok je me lance, ah au fait avant de commencer Nicole ne demeurait plus au même endroit où vous l’avez connu, elle avait regagné le centre ville dans une jolie maison pas loin de la plage, d’ailleurs peu de temps après avoir fait sa connaissance elle m’a dit vouloir revendre sa maison, et bien dit Laurent elle change de maison presque aussi souvent que d’hommes, on rit, heureusement pour ses finances pas quand même ;
La première fois que le prénom Nicole me fit tendre l’oreille ce fut à mon travail, pendant une pose café deux collègues se félicitaient de leur nuit d’amour avec une belle brune prénommée Nicole, entre deux bâillements ils se plaignaient de n’avoir pas beaucoup dormis, je les ai entendus commenter la courbure de hanches, la cambrure de ses reins, la douceur de sa peau, et sa fougue exceptionnelle, tous deux semblaient comme éblouis par cette amante hors norme, je m’approche et en souriant l’un me dit, oh Loïck avec le monstre que tu as dans le pantalon la Nicole elle te ferait ta fête tu devrai faire sa connaissance, je leur dit que je n’ai rien contre, mais vous avez fait l’amour avec elle ensemble, oui bien sur si tu l’avais vu coincée entre nous braillant de bonheur, ah bon elle aime les doubles pénétrations, non elle les adorent, oh au début on a un peu douté, ses orifices sont ceux d’une toute jeune fille et pour la sodomie on avait l’impression qu’elle ne l’avait jamais subie, que seul le thermomètre avait eut le droit d’entrer, ils rient, mais si tu avais pus te rendre compte de sa capacité d’absorption de nos queues, l’un deux met sa main sur son pantalon et me fait montre que rien d’en parler il a de nouveau une érection, alors Loïck tu es intéressé, et bien si elle est jolie je n’ai rien contre, ah oui une belle femme et avec un cul d’enfer, tu verras quand elle va se positionner cul relevé, fesses offertes comme une offrande, tu aura l’impression que ta queue va exploser avant même de commencer, et bien je suis impatient de faire sa connaissance ;
Le soir convenu, plusieurs jours plus tard pour que son mari soit de nuit, nous roulons jusque chez elle, mes collègues me confient qu’ils ont connus Nicole par l’intermédiaire d’un commercial réputé pour la taille de ses attributs virils et son appétit sexuel, lui ne voit plus Nicole parce que son épouse se doute qu’elle soit sa maitresse, ah dit je une bonne raison pour rompre avec la maitresse, ce sera moins couteux qu’avec sa femme, en se garant j’ai une petite appréhension, je demande c’est ici, non juste à coté pourquoi, et bien j’ai eu une aventure avec sa voisine, belle blonde bien en chair, une bonne aussi, et bien disent ils, à charge de revanche, sans problèmes je lui parlerais de vous ;
Les présentations sont faites, belle brune surement d’à peine quarante ans, fine mais c’est vrai très bien fichue, elle m’a dévisagée et nous prenons un verre en échangeant des sottises, les mains des compères se font baladeuses et je me penche pour me rapprocher des lèvres de Nicole, elle me roule un patin, échanges de langues, de salive, je caresse ses seins bien rebondis, elle m’échappe un peu la tête d’un des zigotos a disparus entre ses cuisses, il lui lèche goulument son minou, tiens c’est vrai elle n’a rien sous sa robe, je sens ses mains s’activer sur mon zip de pantalon et ma queue se trouve sortis et doucement caresser par Nicole, elle soupire et à l’oreille me dit, ouah elle est énorme, super c’est comme çà que je les aime on va bien s’entendre je te sens bien, les deux autres sont un peu rapides et manque de puissance, faisons comme ci ils n’étaient pas là, je sens Nicole être retournée et basculée en avant, de fait elle est pénétrée en levrette et pendant qu’elle lèche comme un esquimau ma verge les deux autres se relaient pour la pénétrer avec vigueur, Nicole s’attarde sur mes couilles et masturbe à deux mains ma queue, je sens monter en moi le désir de la pénétrer, je me penche et à l’oreille je lui dit j’ai envie de toi et de ton cul d’enfer, oui moi aussi je ne tiens plus viens prends moi fort, aussitôt elle éjecte le gugusse qui était en elle, se retourne, relève ses cuisses et me dit, vas y mais doucement elle est longue, moi je trouvais que ma queue est surtout très grosse mais comme Nicole me l’a fait remarqué les gros calibres c’est son truc, j’aime regarder le visage d’une femme lorsque mon engin les pénètre, celui de Nicole se crispa puis elle gémit lorsque ses chairs furent écartées, repoussée par mon monstre, doucement je commence à bouger en elle, je suis bien au fond, les mains de Nicole enserrent mes fesses et accompagnent mes mouvements puis elle dit : vas y maintenant je suis bien fait moi jouir, tout jeune j’ai appris que les femmes se méfiait d’un pénis trop long, le vagin n’est pas si profond que çà et il m’est arrivé une fois surement trop pressé de faire souffrir une toute jeune fille, évidemment ce n’était pas le but recherché et cela a gâché notre expérience, depuis je vais doucement, calmement le temps que le vagin se fasse plus souple, plus accueillant, oh pour Nicole même si le sien me semble bien petit elle mouille tellement que lorsque j’en ressors ma queue, elle est luisante de son incroyable pouvoir de lubrification, je tape fortement ma verge sur son cul d’enfer, je ne sais pourquoi j’aime faire çà, ma main peut constater que ses cuisses sont inondées de foutre, une vrai femme fontaine, son corps tremble de désir et elle commence a feuler, allez prend moi fort je jouis ne t’arrête plus, partis pour un long moment je n’hésite plus et mon piston ne se ménage pas, je commence a faiblir et Nicole sens que je vais venir, elle me repousse pour m’allonger sur le lit puis s’empale sur ma verge et ses fesses viennent cogner sur mon pubis, elle monte et descend très vite, le long de ma verge, nous nous embrassons goulument et je l’entend dire, oh mais qu’est ce vous faites, en fait je m’aperçois qu’un des deux compères vient de sodomiser Nicole et j’ai les cuisses de l’autre au dessus de ma tête, sa queue est aspirée par la bouche de Nicole qui le pompe goulument, on les avait un peu oublié mais eux surement excités d’entendre Nicole jouir se sont décidés à passer à l’action, maintenant je sens la queue de l’autre à travers la fine membrane qui nous sépare, il nous est difficile de nous coordonner il n’y pas beaucoup de place mais l’élasticité du vagin de Nicole nous permet de bouger quand même, les feulements, petits cris se font maintenant plus fort, j’espère que les murs sont épais sinon les voisins doivent se régaler, ne pouvant trop bouger, c’est le type qui dans les fesses de la belle s’excite brutalement accélère les mouvements et à son cri rauque je devine qu’il se lâche, Nicole n’a pas le temps de dire ouf que le deuxième prend sa place et la sodomise sans retenue, elle a tout de même un petit rictus, bien que le passage soit fait son pénis est d’un diamètre plus important, de nouveau Nicole feule et me dit à l’oreille, qu’est ce que c’est bon mais tu devras prendre ton temps pour me prendre les fesses sinon tu va me déchirer, oh moins pas d’équivoque malgré la taille de ma queue elle se sens prête à la recevoir, avec ce partenaire nous pouvons mieux nous coordonner et Nicole jouis comme une folle, elle prononce des mots crus et manque de respiration, j’espère que son cœur ne va pas lâcher, non c’est le zigoto qui se lâche et moi bénéficiant de plus de place j’accélère brutalement et en deux minutes tout excité que je suis j’explose à mon tour ;
Avec ses caresses et ses ondulations de bassin Nicole nous ragaillardis et ils ne nous faut pas longtemps pour récupérer, Nicole s’est chargée de nous mettre d’autres préservatifs, enfin même si le mien est extra large elle a un peu de mal a l’enfiler, il faut dire qu’elle est en levrette et tour à tour les deux compères ne la ménage pas, à grand coups de boutoirs ils se relaient pour la baiser, elle est secouée comme un prunier, elle y a réussi et sa langue me lèche bien les couilles, trop bon, je bande comme un cerf, Nicole me regarde et je comprends qu’elle souhaite que je prenne la place, je pousse les deux autres qui prennent place pour se faire sucer tour à tour, moi je contemple ce cul d’enfer qui s’offre à moi, j’enserre bien ses hanches et je pousse ma verge doucement au fond du minou de la belle, j’entends : oh oui Loïck prends moi comme un homme fait moi jouir, je suis partis pour une longue chevauchée, Nicole hurle son bonheur, elle ne peut même plus sucer les deux types et se contente de s’accrocher de ses mains à leurs queues dressées, sa chatte plutôt étroite est complètement dilatée et bave de plaisir, moi je redouble d’efforts et elle est projetée en avant, ses mains toujours accrochées aux sexes des deux compères, elle fait ce qu’elle peut pour les piper chacun leur tour, d’un seul coup elle s’est raidis et a criée fortement, oui viens maintenant je jouis, je me suis détendu et rapidement ma queue enfoncée jusqu’à la garde, mes mains cramponnant ses seins je me suis laissé aller à prendre un plaisir fou, doucement je continu de la limer puis sentant ma verge ramollir je m’écroule sur le lit, je contemple Nicole qui les fesses toujours relevées a bien du mal à reprendre sa respiration, elle s’approche de moi et nous échangeons des baisers, l’un des deux compères la pénètre sauvagement, juste quelques allers retour il nous fait signe que la chatte de Nicole est plus large qu’une avenue ou que sa queue n’est pas assez large, qu’à ne cela tienne le deuxième compère me pousse et se glisse sous Nicole et ils la prennent en double, c’est nettement mieux pour eux et Nicole, Nicole et moi nous nous embrassons goulument, elle me dit sans que les autres entendent : ces deux là ne sont pas terribles je ne les révérais plus, par contre reviens quand tu veux ta queue est trop bonne mais tu n’en a pas fini pour cette nuit je compte bien que tu donnes encore du plaisir les deux autres je ne les sens pas vraiment, deux queues elle devait les sentir mais ils ne se coordonnent pas bien et Nicole s’impatiente, je l’observe elle se relève légèrement, d’une main elle tient la queue de celui qui est sous lui et essai de se l’introduire dans l’anus, celui qui est derrière a compris le désir de Nicole et enserre les deux queues dans sa main et pousse, elle grimace un peu mais les deux compères sont dans les entrailles de la belle, à ses yeux fermés et aux gémissements poussés elle apprécie, ah oui là je les sens bien, trop bon continuer, déjà plus qu’excités par les prouesses de Nicole ils ne tiennent pas longtemps et presque simultanément jouissent en se cramponnant au cul d’enfer de Nicole, de sa main libre elle avait entrepris une douce masturbation sur ma queue et à son regard je compris que malgré l’imposant diamètre de mon gland elle souhaite que je vienne dans son cul, je ne me fait pas prié et même si les deux autres queues sont nettement moins épaisses que la mienne, les deux réunies ont dégagée une ouverture impressionnante, néanmoins je prends mon temps pour entrer, comme pour la faire languir, elle gémit oui vas y j’ai envie dit elle, je prends toujours mon temps seul mon gland est entré, d’un seul coup Nicole bascule son bassin en arrière et ma verge se retrouve enfoncée jusqu’à la garde, donnant de nouveau de petits coups de bassin elle fait le travail seule et ainsi pendant de longues minutes je ne bouge pas c’est elle qui manœuvre seule, une vrai pro du pot, les deux compères la regarde médusés, puis sentant qu’elle commence à faiblir je saisis ses hanches au galbe parfais et je bourre le cul de Nicole sans retenue, je ne serais comment le décrire mais je vous assure qu’elle a pris un pied d’enfer, le fougue passée la soirée va se terminer avec plus de douceur, Nicole fut caressée, embrassée, doucement pénétrée tour à tour par nous trois puis sentant qu’elle avait son compte et le désir d’être seule nous la laissons dans les bras de Morphée ;
Le lendemain au travail nous commentons largement nos exploits et me demande ce que je pense de Nicole, disons que si j’étais son mari je me ferai du soucis mais puisque elle me fait l’honneur d’être son amant alors ce sera 20 sur 20 avec mention, mes camarades approuvent et font l’éloge de mon membre viril, beau joueur ils reconnaissent n’être pas tout à fait à la hauteur des désirs de Nicole qui fut qualifiée de coup du siècle à l’unanimité, les jours suivant je revis Nicole et nos rapports furent tous aussi passionnés, je crois que je lui plaisais, enfin disons physiquement et surtout qu’elle adorait mon monstre et faisait ce qu’il faut pour lui redonner vie ;
Un matin au travail j’eu au téléphone ma belle blonde, celle citée au début du récit, la voisine de Nicole : alors qu’est ce que tu deviens me dit elle je ne te vois plus, non en ce moment j’ai beaucoup de travail, elle rit, là je me doute, baiser ma voisine ce ne doit pas être une sinécure, je suis sur qu’elle est un bon coup, je ne sais que répondre, elle viens à mon secours et me raconte que souvent elle l’observe par sa fenêtre le soir, de nombreux hommes venant rendre visite à Nicole quand son mari travaille la nuit, elle m’a vu entrer hier soir, elle ajoute je sais qu’elle trouble les hommes parce que l’année dernière mon amant m’a quitté pour elle, oh je ne lui en veux pas cela m’a permis de changer, mais j’espère que tu n’est pas jaloux parce qu’elle ne laisse pas ses bras au vestiaire et elle a ce qu’il faut comme troubadours, de plus en ce moment elle doit se sentir vieillir car elle les prends au berceau, je me demande s’ils ont vingt ans, bon ils compensent leur inexpérience en venant en groupe, l’autre après midi ils étaient quatre ou cinq et si tu l’avais entendue brailler ta Nicole, ah bon parce que tu entends de chez toi, bien sur le mur est mitoyen et on entend tout, le soir ou je t’es aperçu j’ai clairement entendu la chatte en chaleur, d’ailleurs l’été avec les fenêtres ouvertes on l’entend de la rue, une vrai mante religieuse ta Nicole, je ne sais quoi lui répondre et j’abrège, je constate que les femmes sans en avoir l’air sont bien garces, elle débine Nicole alors qu’elle fait exactement la même chose, ah la jalousie féminine, bon surement elle avait raison parce que le mois suivant Nicole avec une certaine délicatesse m’avait fait comprendre qu’il était préférable de ne plus se revoir, je me souviens très bien de ce qu’elle m’avait dit : si on doit continuer notre liaison on risque de s’attacher et cela finit toujours mal, moi je ne veut pas tomber amoureuse et il faut rompre tant qu’il est encore temps j’espère que tu me comprends, j’avais acquiescé mais avec une certaine amertume, surement je commençais à devenir accro à la belle Nicole ;
Plus d’une année que je n’avais revu Nicole et c’est par pur hasard sur le parking d’un hyper marché que je la rencontre, on parle du bon vieux temps et lorsque j’aborde le sujet amour elle me dit qu’à part un ou deux troubadours elle préfère soigner ses rosiers que la tige des hommes, et bien tu es apparemment assagie ma belle mais peut être est parce que leur tige manquait de diamètre et de virilité, elle rit et je constate que son regard a changé, nous montons à l’arrière du véhicule et sans attendre échangeons des baisers passionnés, nous flirtons sans retenue, je caresse son corps et sa main n’a pas perdue le sens de l’orientation elle a prestement sortis ma queue, elle soupire et me dit tu as sans doute raison j’avais oublié qu’il pouvais y avoir d’aussi belle bête, elle me masturbe et regarde à l’extérieur, j’espère qu’elle n’a pas idée de faire l’amour sur un parking de super marché, trop de monde me dit elle dommage j’en tremble rien que d’y penser, mes doigts fouillant son intimité le confirme, elle inonde, est tu libre ce soir mon mari travaille, si c’est pour caresser ton joli corps bien sur, oui et je crois que je manque de massage bien profond alors soit en forme, elle me communique sa nouvelle adresse, bon un peu loin mais elle vaut le déplacement, le soir venu on s’est mutuellement déshabillés et sans retenue avons baisés comme des êtres affamés, ce fut rude, viril et deux heures plus tard, épuisés en sueur, il faisait très chaud cette nuit là, on compris que nous ne dormirions pas, Nicole n’avait rien perdue de son appétit et de son comportement de femme désirable sachant mieux que quiconque provoquer le désir de ses partenaires, pendant une courte pose elle me demande si j’ai séduit beaucoup de filles depuis notre dernière rencontre, je suis modeste et ne révèle pas grand-chose, est ce qu’elles faisaient mieux l’amour que moi demande t’elle, ah là non je peux te le garantir je n’ai jamais connu auparavant une maitresse aussi talentueuse, et toi as-tu aimé beaucoup d’hommes, non je ne suis plus autant motivée, je me suis laissée séduire par quelques jeunes, surtout un je le reconnait il avait beaucoup de talent et l’outil qui convient, en fait une très belle queue et de plus il ne débandais pratiquement pas, tu ne me croira peut être pas mais il me prenais jusqu’ onze fois de suite, il a presque réussi à m’épuiser, je lui réponds qu’on appelle cela un hyper actif sexuel, oui et comme j’ai toujours envie de faire l’amour je crois que j’ai du être conçue dans le même moule que lui, mais bon au bout de plusieurs semaines surement un peu lasse je l’ai renvoyé chez sa mère, dommage de plus il était super beau, ah bon il était si jeune que çà, disons que lui devait avoir moins de vingt cinq ans, à mon âge je ne comprends pas qu’il me préférait à des jeunes femmes, et bien comme je ne sais pas ton âge, disons je pense que tu as moins de quarante ans sans doute et les jeunes aiment séduire les femmes d’âge mur pour leur expérience ce que tu ne manque pas, elle rit, et bien heureusement que je n’ai pas révélé ma date de naissance, ne mens pas tu me donne vraiment quarante ans, oui et ton corps vaut largement celui d’une jeune femme de 25 ans, bien j’ai pris cinquante ans l’hiver dernier, surement pour cela que ma libido commence à baisser, là je suis sur le cul elle fait vraiment dix ans de moins, et bien lui dit je, avec la fougue avec laquelle tu viens de te donner tu est plus proche d’une jeune femme qui vient de découvrir l’amour physique avec bonheur, oui et j’ai encore envie, aussitôt elle plaque ses fesses sur mon visage, trop bon je me délecte de son foutre, elle mouille toujours autant malgré son apparente libido en berne, de la nuit on ne dormis pas beaucoup, le temps orageux et notre désir mutuel nous fis nous aimer de nombreuses fois, au petit matin par contre on s’étaient assoupis et il fallu faire fissa jusque sous la douche ou tout en savonnant la belle je pu à l’érection que j’ai eu comprendre combien Nicole me faisait bander, il me fallu faire vite pour ne pas être en retard au travail, dans sa cour juste avant de monter dans ma voiture je flirtais longuement Nicole, il faisait déjà chaud ce matin là et elle était uniquement vêtue d’un peignoir de bain, elle me donnait envie de rester, pas possible mon mari sera là dans une heure dit elle, par-dessus son épaule je regardais son cul d’enfer, j’avais relevé son peignoir et mes mains caressais ses fesses rebondies, mes doigts masturbais le minou de la belle, arrête si mon voisin passe dans l’allée il va faire une crise cardiaque, il n’y a personne il est trop tôt, tu es fou oh tu me fais du bien continu, Nicole me sortis mon monstre et me dit : oui un braquemard comme le tiens il faut le mettre bien au chaud, oui mais sur le capot de la voiture ce ne sera pas pratique et l’herbe est trempée de la rosée du matin, à ce moment une voiture passa dans la rue et la gourmande de Nicole redevint une femme honnête, elle me rangea ma queue et me dit vite pars avant que je ne regrette tu reviendra la semaine prochaine me faire jouir avec ta baguette magique, je monte dans ma voiture lui fit un petit coucou de la main, je l’observe dans mon rétroviseur, pour me narguer elle ouvrit son peignoir, je la vis complètement nue plus que désirable, instinctivement je regarde dans mon rétroviseur de droite et j’aperçois un type derrière les buissons de l’allée qui séparent les propriétés, surement son voisin il tient un pulvérisateur d’une main, plutôt matinal le gugusse, il me semble deviné un petit sourire complice, en tout cas il a pu contempler le cul d’enfer de Nicole et même le coté face, de plus il ne peux que avoir entendu notre conversation, et bien une chose est sure je ne dirais rien à Nicole je la laisse se débrouiller et je pars au travail épuisé mais heureux de mon escapade nocturne ;
Je suis revenu plusieurs fois les semaines suivantes et j’y ai trouvé une Nicole de fort bonne humeur elle m’avoua que d’être aimé de temps en temps par un homme suffisamment bien pourvu lui donnait le moral, elle ne m’a pas reparler du voisin, quel idiot moi j’aurai essayé de profiter de la situation et puis comme çà sans que je m’y attende elle m’a dit, euh non cette nuit je ne peux pas et puis peut être vaut il mieux en rester là, je fus surpris mais j’acceptais sa volonté, sans doute m’avait elle trouvé un remplaçant, je ne peux croire qu’une femme aussi aimante se soit tranquillement rangée pour cultiver des légumes, et si c’était le cas je suis sur qu’elle choisirais de bonnes grosses courgettes, bon je n’ai jamais revu Nicole ;
Un long moment Yannick, Laurent et moi ne disons rien, disons que nous faisons durer le plaisir, les récits sont terminés et il ne nous restera que des souvenirs, je suis certain que comme moi lorsqu’ils ferment les yeux c’est pour revoir ce cul si bandant et bien sur pas que le cul mais nous ne le répéterons jamais assez, Nicole et son cul d’enfer fut vraiment le coup du siècle.


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