Le cul d'enfer de Nicole - histoire érotique

<p>Le cul d’enfer de Nicole ;

Avec des amis rencontrés au club de sport nous prenons un verre à la terrasse d’un bistrot, nous avons pris cette habitude après avoir bien transpirés, Yannick a vingt de plus que moi et Laurent une dizaine d’années, pour passer le temps nous nous racontons nos aventures amoureuses, bien sur Yannick a de nombreuses années derrière lui mais je ne suis pas en reste et séduit les filles facilement, Laurent semble plus réservé et souvent écoute, aujourd’hui Yannick m’a conté son aventure avec Nicole et son cul d’enfer, au prénom prononcé j’ai bien tendu l’oreille et il ne me fallut pas bien longtemps pour comprendre que ce magnifique cul qui m’obsédait depuis de longs mois était le même qui le hantait mais visiblement quinze ans plus tôt pour lui, Laurent et moi le supplions de raconter son histoire, il sourit et commence son récit :
A cette époque dit Yannick j’étais encore étudiant et je travaillais sur mon temps libre, en fait n’importe quel petit boulot me convenait, là j’avais trouvé à entretenir une propriété pour un couple qui travaillait toute la semaine et ne pouvait assuré, leurs voisins venaient d’emménager quelques mois plus tôt et avait aussi fort à faire dans leur terrain, la femme environ 28 ans semblait fort jolie surtout lorsque elle se reposait en se faisant dorer au soleil je pus admirer un corps quasi parfait et lorsqu’elle se trouvait couchée sur le ventre là je compris qu’elle avait un cul hors norme, hanches en amphores et une cambrure à faire pâlir une black, sans rire son postérieur valait celui des belles antillaises, rien que d’y penser je bande encore, souvent on échangeais quelques banalités et mon regard se faisait plus pressant, elle ne se dérobait pas, les jours suivant je fus à la fois rassuré et déçu, en effet observant Nicole le plus possible je compris qu’elle aimait les hommes et pas qu’un peu, surement de nombreux amants si j’en juge par le nombre de personne de sexe masculin lui rendant visite l’après midi et évidemment en absence de son mari, de la propriété ou je me trouvais j’avais vue sur une des chambres de la maison de Nicole, hélas pas la sienne mais en plein été, fenêtres ouvertes j’ai pu constater qu’elle était particulièrement bruyante lorsqu’elle prenait son pied, sans rire je l’entendais feuler comme une chatte en chaleur et pousser de grand cris de femme comblée, rassuré quand même parce que j’étais quasiment certain d’avoir ma chance, elle venue un début d’après midi d’aout, Nicole faisait le tour de son jardin et je me suis lancé, bonjour belle journée, elle a répondu en me souriant, échange de banalités et par-dessus la clôture nos mains se frôlèrent, elle me fixa droit dans les yeux, je me penche doucement, elle ferme les yeux et se rapproche, mes lèvres frôlent les siennes, elles ne se dérobent pas je l’embrasse passionnément, nous flirtons de longues minutes et je lui dit combien elle est belle et il me tarde de lui faire l’amour, elle n’a pas répondue mais sa main s’est glissée derrière ma nuque et son baiser s’est fait plus que profond, je compris que c’était oui, j’escalade le talus en haut de la propriété et nous gagnons sa maison, à peine entrés nous explorons nos corps mutuellement, pas froid aux yeux la belle, ma queue est promptement sortis de mon pantalon et elle la masturbe doucement, elle semble la jauger, oh pas de risque sans être un étalon je suis bien pourvu, le corps de Nicole est vraiment superbe, sa peau est douce, ses seins volumineux mais pas trop gros se tiennent bien droits et je les caressent d’une main pendant que l’autre descend le long de ses fesses, confirmation de ce que je pensais vraiment un cul d’enfer cette Nicole, cambrure exceptionnelle, mes doigts s’aventurent dans son intimité et je découvre qu’elle inonde d’impatience, vraiment trempée de désir la belle, en deux minutes je suis allongé sur son lit et je me délecte de sa mouille, Nicole me suce, lèche ma queue, mes testicules goulument puis autoritairement dit : viens prend moi, j’ai envie, je la bascule et entre au plus profond d’elle, plutôt étroit le minou de Nicole mais vu son haut pouvoir de lubrification je me sens bien et je lime doucement, son bassin bascule à la rencontre du mien et nos pubis se cognent, Nicole me dit plus fort ne fait pas semblant, alors je me suis mis à l’ouvrage et évidemment je sus qu’à ce rythme je ne tiendrais pas longtemps, elle gémissait de plus en plus fort et commençais à jouir, quand je compris que j’allais venir je lui ai soulevé ses fesses pour venir encore plus profond et au dernier moment je me suis retiré, je voulais décharger sur ses seins qui ballotaient dangereusement, je me suis rependu sur ses globes et la dernière giclée fut aspiré par la bouche de Nicole qui me pipa jusqu’à la dernière goutte en me regardant avec des yeux rieurs puis me dit : pas mal, un peu rapide mais on va se rattraper tout de suite, euh il me faut tout de même quelques minutes de répit, elle m’a allonger sur le lit et c’est elle qui me fit l’amour, ses lèvres parcoururent la totalité de mon corps, ses somptueuses fesses vinrent danser devant et sur mon visage, de voir ses fesses rebondis ondulées devant moi je bande de nouveau et Nicole doucement me ranime en me pipant, elle juge ma queue assez raide soulève son cul et s’empale sur ma verge puis doucement monte et descend le long de ma queue , spectacle inoubliable, je me répète mais vraiment son cul ferait bander un mort, maintenant elle va de plus en plus vite et en quelques minutes je l’entends pousser de petits cris, elle jouis c’est une évidence, super je n’ai rien à faire elle se débrouille seule, d’un seul coup son corps se tend comme un arc et elle s’écroule en poussant un grand soupir, oh c’était trop bon dit elle, à toi maintenant elle se place elle-même en levrette, là je crus défaillir de voir son somptueux cul offert, mon sexe est devenu dur comme de l’acier et je l’ai planté dans cette merveille de la nature, cramponné à ses hanches je bourre le plus fort que je peux et en quelques minutes elle jouis et pas qu’un peu, je sens sa mouille couler le long de ses cuisses puis une longue complainte de chatte en chaleur monte dans la pièce, je comprends pourquoi je l’entendais de l’extérieur, vraiment elle se laisse complètement aller quand elle prend son pied la Nicole, j’observe sa collerette très fermée surement pas une adepte de la sodomie je vais repasser pour ce petit plaisir, après un long moment son bassin s’est mis à basculer en arrière très rapidement et elle m’a dit, n’arrête plus je jouis, oui vas y continus, oui j’ai continué mais deux minutes pas plus, trop bon pour durer indéfiniment et j’ai jouis en elle puis je me suis écroulé épuisé pensant que mon cœur allait lâcher, nous sommes restés ainsi de longues minutes à reprendre notre souffle, mes lèvres embrassant son, cou, son dos et presque instinctivement je descendis jusque ce que ma bouche soit comme scotchée à ses fesses, je m’en délecte, doucement nous reprenons nos esprits et je fais un peu plus la connaissance de Nicole, elle est mariée et son mari la trompe, c’est pourquoi elle m’a dit oui sinon elle n’a eut qu’un seul amant avant moi, je me retiens de rire elle semble si sincère, autrement elle bosse à l’hôpital dans un service de réanimation, si elle s’y prends avec ses patients comme avec ses amants je suis sur qu’elle doit les ranimer avec grand succès mais déjà la belle se trémousse, gémit, son regard me fait comprendre qu’elle n’est pas rassasier, de nouveau elle s’empale sur ma verge et doucement se donne seule du plaisir puis elle se relève, saisis ma verge avec sa main et essai de changer d’orifice, elle n’y parviens pas mais ce signe ne trompe pas elle veut que je la sodomise, je bascule Nicole en avant la place en levrette et ce petit orifice s’ouvre comme par magie sous l’action de mes doigts enduit de son abondante mouille, je place ma queue, pousse et hop sans problème je suis enfoncé jusqu'à la garde, elle a un peu couinée, doucement elle est grosse puis après quelques allers retours en douceur elle a de nouveau bougée son bassin comme pour me signifier de ne pas faire semblant, je l’ai prise ainsi jusqu’à ce que mon rythme cardiaque me fasse comprendre que je ne suis pas loin de la syncope, Nicole de nouveau jouissait avec grand bruit et je me suis laissé aller dans le cul d’enfer de Nicole, là j’avais mon compte, nous sommes passés à la douche et de savonner le splendide corps de la belle, ma queue décidait qu’elle remettrait bien le couvert, Nicole a sourit et m’a dit : apparemment je te plais, comment pourrait t’il en être autrement, alors pour la prochaine fois je doit aller chercher mon fils il est grand temps que je me sauve, cinq minutes plus tard je reprenais mes esprits dans le jardin et je regardais la voiture de Nicole s’éloigner, et bien je me souviendrais longtemps de cet après midi de rêve ;
En fait des rencontres il y en eut beaucoup d’autres, toutes aussi passionnées, nous nous connaissions parfaitement et le plaisir s’en trouvais accru, dès que possible je rendais visite à la belle, à l’IUT je partageais ma chambre avec Marc un beau métis membré comme un âne qui séduisait toutes les étudiantes présentes, il fallait le voir agir et les filles hurler leur bonheur, la taille se son pénis était réellement impressionnante et je me sentais un peu petit à coté de lui, il avait pour maitresse attitré Liliane belle femme de 25 ans environ qui prenait beaucoup de plaisir sous les assauts du monstre de Marc et pour ne pas être en reste je pris plaisir a lui raconté mon aventure avec Nicole, une vrai femme, il me dit ouah super tu va me la présenter, j’ai sourit en pensant compte la dessus surement jamais, un mois plus tard un jour ou je me trouvais à l’IUT j’ai eu subitement envie d’elle et j’ai séché les cours, en arrivant en bas du chemin menant chez la belle mon cœur battait la chamade, pourvu qu’elle soit là, mince une voiture qui ne lui appartenait pas était stationnée dans sa propriété, je me suis garé un peu plus bas et j’ai attendu, oh pas longtemps et là je fus surpris de voir Nicole sortir du pavillon avec deux types, tous les trois semblaient rires, surement des membres de sa famille mais ils ont enlacés Nicole en l’a couvrant de baisers, leurs mains caressant ses fesses, je me suis sentis un peu mal, bon je savais qu’elle avait le feu au cul mais pour ce bel été j’étais persuadé être son unique amant, ils sont partis et je suis resté là une dizaine de minutes me demandant si j’allais lui rendre visite quand même, en fermant les yeux je me revoyais aller et venir dans les fesses de la belle et je franchis le pas, surtout pas de scène de jalousie, à ma vue elle fut surprise, oui j’ai pu me libérer lui dit je, ah tant mieux me dit elle j’ai terriblement envie de faire l’amour, j’ai l’impression que cela fait des mois que je n’ai pas eu de caresses, gonflée la Nicole, j’ai mis mes scrupules dans ma poche et fait l’amour à la belle, oh aucun doute sur le fait qu’elle s’était taper les deux zigotos parce que son petit minou avait l’ouverture béante et l’anus tellement dilaté venait visiblement d’être assaillis par de gros engins, en fin d’après midi je me suis risqué à faire une proposition à Nicole puisqu’elle semblait apprécier les sandwichs, elle a rit à ma proposition, sa réponse fut : non mais pour qui me prends tu, je n’ai jamais fait çà je suis déçue que tu me le propose, ah c’était juste parce ce que mon copain Marc rêve de faire ta connaissance et comme il est super beau et possède une queue énorme je pensais que peut être, son visage a changé, oui bien sur pourquoi pas, je pourrais essayé mais cela me coute, bon uniquement si vous êtes doux, sans me brusquer et si je dit non au dernier moment tu ne te vexera pas, gagné la belle va gouter au sandwich, oh surement pas une novice à ce propos mais moi je ne l’ai jamais fait et si elle disait non au dernier moment, a-t-elle dit non, et bien si vous aviez vu à la vitesse qu’elle a sortit le braquemard de marc et elle s’est déchainée dessus, à sa fougue, ses cris de chatte en chaleur j’ai pus constater que comme surement la majorité des femmes elle devenait folle sous les assauts d’une très grosse queue, quand empalée sur Marc elle releva ses fesses et me dit viens, je n’en suis pas revenu, sa petite chatte s’est faite très élastique pour accueillir nos deux queues, oh plus de place du tout et la belle Nicole couinait en disant que c’était trop bon, de continuer aussi longtemps que possible, puis je me suis introduit dans ses fesses et une fois bien coordonnés avec Marc la Nicole fut la plus heureuse des femmes, je me suis demandé si elle accepterai la sodomie du pieux de Marc mais après quelques hésitations son monstre est allé au plus profond des entrailles du cul d’enfer de la belle qui couinât un peu au début et sembla comblée par la suite, je ne vous décrit pas l’ouverture quand il se retira, et elle en redemandera souvent, Marc fut surpris par la vitalité de Nicole et de son désir de l’homme, vite accro à la belle je le vis venir souvent passer son temps libre avec Nicole, j’en fut un peu jaloux, de toute évidence elle le préférait à moi mais elle ne m’a jamais repoussé et ce n’est que lorsque nous avons changé de ville que nos relations s’arrêtèrent, longtemps je suis resté obsédé par le cul d’enfer de Nicole et lorsque je séduisais une fille je ne pouvais m’empêcher de comparer, sauf avec une antillaise je n’ai jamais séduit une femme possédant un aussi beau postérieur, voila mon récit se termine, Laurent sourit et dit à Yannick qu’il est bien chanceux, quand à moi j’ai parfaitement reconnu le comportement de Nicole même si elle avait une quinzaine d’années supplémentaires, je partage son opinion et moi aussi je fus fou dingo d’elle et de ses performances sexuelles, Yannick et Laurent me presse de raconter mon aventure avec Nicole mais il se fait tard et ce sera pour une autre fois et ne la rater pas elle vaut aussi le détour…
À plus Loïck.


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