Le déménagement
Récit érotique écrit par Aperto libro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le déménagement
J'ai reçu un mail 48h avant la rentrée qui me faisait savoir que j'étais nommé à Valence. Cela voulait dire trouver un logement et déménager. Ma sœur Sandrine se proposa de demander à son ex qui avait un fourgon s'il pouvait m' aider. Cela m'ennuyait; leur rupture ne s'était pas bien passée.
Le principal du collège de Valence me trouva une maison à 3 km. Il se chargea de joindre la propriétaire qui accepta que j'emménage avant même d'avoir signé le bail.
Erwan arriva en retard et de pas très bonne humeur, mais en deux heures nous réussîmes à tout charger, mon voisin proposa de descendre la machine à laver avec Erwan.
Nous avons mangé ce que je suis allée acheter chez le traiteur, juste en face.
Il ne restait plus qu'à faire 208 km sur l'autoroute.
Il tombe des trombes d'eau et les essuies glaces sont fatigués, on voit à peine les véhicules qui nous précèdent. J'ai eu très peur pendant tout le voyage. Quand le fourgon fut enfin immobilisé devant le portail du garage, j'ai d'abord eu envie de pleurer et dès que je suis descendue du fourgon j'ai senti une chaleur dans mon ventre, je connais bien cette sensation qui annonce une envie qui va suivre quelques minutes après.
J'étais tellement contente que j'ai dit merci à Erwan en lui donnant un bise très rapide au coin de la bouche. Nous avons déchargé la totalité des cartons et des meubles dans le garage. J'aurais aimé lui offrir quelque chose à boire, je n'avais rien, je lui ai demandé s'il voulait qu'on aille mangé à Valence, il a dit qu'il achèterai un sandwich sur la route.
J'ai ouvert mon sac pour le payer, je lui tendu un billet de 50 euros en disant que je lui donnerais un chèque quand j'aurais touché mon premier salaire. Il a franchement rit.
L'argent tu en as plus besoin que moi, mais je te fais une proposition ,tu m'offres un câlin et c'est moi qui te devrais peut-être quelque chose. Il a ne m'a pas cru quand j'ai dit, c'est quoi un câlin ? Il a pris un ton enfantin et il a dit à peu près « c'est quand un monsieur et une dame y se mettent tout nus et la dame elle met le zizi du monsieur dans sa foufoune et quand le zizi il est gros la dame elle est contente ».
J'étais assez tentée, ma sœur disait regretter Erwan pour une seule chose. Quand je lui avais demandé quelle était cette chose, elle avait répondu tu veux que je te fasse un dessin ? Et je lui avais dit oui! Et en riant elle m'avait foutu une baffe.
J'ai du avouer à Erwan que la place était occupée par un tampon, et il m'a dit « tu mets ces nouveaux tampons qu'on garde une semaine ; ils sont auto nettoyants, c'est cher mais c'est pratique. » j'ai rit.
Je n'avais jamais fait l'amour pendant mes règles. Et pourtant c'est dans cette période que j'ai le plus envie « de sexe ». Mais là tout semblait se dresser contre ce câlin ; il n'y avait pas d'eau chaude pour se laver , pas de lit ...
J'ai fait un brin de toilette à l'eau froide, Erwan est passé à la salle bain, je ne sais pas ce qu'il a fait. Je n'avais pas peur et pourtant Erwan serait mon quatrième partenaire.
Je n'avais qu'un grand tee-shirt rose qui m'arrivait à mi-fesses. Au sol il y avait du carrelage, j'étais rassurée, je pourrais nettoyer... Erwan est allé dans le fourgon, il est revenu avec une boîte de préservatifs. J'ai fermé les volets. La pluie tombait à nouveau mais il faisait chaud.
Erwan s'est déshabillé, j'ai eu une crise de fou-rire en le voyant nu, il bandait, son sexe ne correspondait pas à mes canons esthétiques, une queue plutôt courte et large à la peau presque noire. Je suis allée chercher la toile qui enveloppait mon bureau et je l'ai mise sur le sol. Erwan s'est allongé.
J'entends encore sa voix qui me dit « Viens, j'ai une sacrée envie de bouffer cette petite chatte ».
il m'a fait accroupir au dessus de sa bouche, mais pas face à lui, mon visage tourné vers ses pieds ou plutôt vers son sexe. La gêne de mon sexe sanguinolent s'estompa très vite comme la honte qui me figea un moment quand Erwan après avoir insinué un doigt dans mon vagin, massa l'orifice entre mes fesses.
Le premier plaisir que sa langue me procura était plus abouti que tous ceux que j'avais eu jusqu'à ce jour. Erwan appuya sur mes épaules me faisant comprendre qu'il désirait que je me couche sur lui et ce faisant son sexe se retrouva sous mon nez. Je le léchais comme on suce une glace, mais bien vite il me demanda de le prendre dans ma bouche.
J'eus vite une crampe à la mâchoire qui m'empêcha d'apprécier le baiser que me donnait Erwan, le mien n'a pas du faire l'affaire car bien vite il m'a donné un préservatif, quand il fut en place, il m'a fait rouler sous lui, il avait du sang plein la figure.
Il entra en moi avec une infinie délicatesse, il se coucha sur moi, et resta un long moment sans bouger, j'ai aimé le poids de son corps sur le mien, il caressait mon visage, mes cheveux, il se mit à décrire des petits cercles avec son bassin et son sexe tournait comme pour se frayer un passage, il soupira et dit d'une voix étouffée « ah c'est génial », il appuyait habilement son sexe contre mon clitoris, je n'ai pas osé crier, j'ai pris ses fesses à pleines mains, et il s'est glisser en moi, ressortant entièrement et entrant à nouveau, puis il est resté en moi son ventre en sueur claquait contre le mien, il s'est mis à crier son plaisir, comme je le sentais ralentir ses mouvements je lui dis de continuer il s'est remis à donné des coups appuyés et pour la première fois j'ai crié des « ah oui,ah oui ».
Il a roulé sur ma gauche. J'ai retiré le préservatif, j'ai fait un noeud, on avait tous les deux du sang jusqu'au nombril. Je lui ai dit que c'était bien. Il a caressé mes seins et m'a dit que j'avais un trésor entre les cuisses. j'ai été flattée, sans vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.
Nous nous sommes douchés à l'eau froide. Il s'est habillé. Il m'a donné un long baiser sur la bouche et sans un mot il est parti.
Le principal du collège de Valence me trouva une maison à 3 km. Il se chargea de joindre la propriétaire qui accepta que j'emménage avant même d'avoir signé le bail.
Erwan arriva en retard et de pas très bonne humeur, mais en deux heures nous réussîmes à tout charger, mon voisin proposa de descendre la machine à laver avec Erwan.
Nous avons mangé ce que je suis allée acheter chez le traiteur, juste en face.
Il ne restait plus qu'à faire 208 km sur l'autoroute.
Il tombe des trombes d'eau et les essuies glaces sont fatigués, on voit à peine les véhicules qui nous précèdent. J'ai eu très peur pendant tout le voyage. Quand le fourgon fut enfin immobilisé devant le portail du garage, j'ai d'abord eu envie de pleurer et dès que je suis descendue du fourgon j'ai senti une chaleur dans mon ventre, je connais bien cette sensation qui annonce une envie qui va suivre quelques minutes après.
J'étais tellement contente que j'ai dit merci à Erwan en lui donnant un bise très rapide au coin de la bouche. Nous avons déchargé la totalité des cartons et des meubles dans le garage. J'aurais aimé lui offrir quelque chose à boire, je n'avais rien, je lui ai demandé s'il voulait qu'on aille mangé à Valence, il a dit qu'il achèterai un sandwich sur la route.
J'ai ouvert mon sac pour le payer, je lui tendu un billet de 50 euros en disant que je lui donnerais un chèque quand j'aurais touché mon premier salaire. Il a franchement rit.
L'argent tu en as plus besoin que moi, mais je te fais une proposition ,tu m'offres un câlin et c'est moi qui te devrais peut-être quelque chose. Il a ne m'a pas cru quand j'ai dit, c'est quoi un câlin ? Il a pris un ton enfantin et il a dit à peu près « c'est quand un monsieur et une dame y se mettent tout nus et la dame elle met le zizi du monsieur dans sa foufoune et quand le zizi il est gros la dame elle est contente ».
J'étais assez tentée, ma sœur disait regretter Erwan pour une seule chose. Quand je lui avais demandé quelle était cette chose, elle avait répondu tu veux que je te fasse un dessin ? Et je lui avais dit oui! Et en riant elle m'avait foutu une baffe.
J'ai du avouer à Erwan que la place était occupée par un tampon, et il m'a dit « tu mets ces nouveaux tampons qu'on garde une semaine ; ils sont auto nettoyants, c'est cher mais c'est pratique. » j'ai rit.
Je n'avais jamais fait l'amour pendant mes règles. Et pourtant c'est dans cette période que j'ai le plus envie « de sexe ». Mais là tout semblait se dresser contre ce câlin ; il n'y avait pas d'eau chaude pour se laver , pas de lit ...
J'ai fait un brin de toilette à l'eau froide, Erwan est passé à la salle bain, je ne sais pas ce qu'il a fait. Je n'avais pas peur et pourtant Erwan serait mon quatrième partenaire.
Je n'avais qu'un grand tee-shirt rose qui m'arrivait à mi-fesses. Au sol il y avait du carrelage, j'étais rassurée, je pourrais nettoyer... Erwan est allé dans le fourgon, il est revenu avec une boîte de préservatifs. J'ai fermé les volets. La pluie tombait à nouveau mais il faisait chaud.
Erwan s'est déshabillé, j'ai eu une crise de fou-rire en le voyant nu, il bandait, son sexe ne correspondait pas à mes canons esthétiques, une queue plutôt courte et large à la peau presque noire. Je suis allée chercher la toile qui enveloppait mon bureau et je l'ai mise sur le sol. Erwan s'est allongé.
J'entends encore sa voix qui me dit « Viens, j'ai une sacrée envie de bouffer cette petite chatte ».
il m'a fait accroupir au dessus de sa bouche, mais pas face à lui, mon visage tourné vers ses pieds ou plutôt vers son sexe. La gêne de mon sexe sanguinolent s'estompa très vite comme la honte qui me figea un moment quand Erwan après avoir insinué un doigt dans mon vagin, massa l'orifice entre mes fesses.
Le premier plaisir que sa langue me procura était plus abouti que tous ceux que j'avais eu jusqu'à ce jour. Erwan appuya sur mes épaules me faisant comprendre qu'il désirait que je me couche sur lui et ce faisant son sexe se retrouva sous mon nez. Je le léchais comme on suce une glace, mais bien vite il me demanda de le prendre dans ma bouche.
J'eus vite une crampe à la mâchoire qui m'empêcha d'apprécier le baiser que me donnait Erwan, le mien n'a pas du faire l'affaire car bien vite il m'a donné un préservatif, quand il fut en place, il m'a fait rouler sous lui, il avait du sang plein la figure.
Il entra en moi avec une infinie délicatesse, il se coucha sur moi, et resta un long moment sans bouger, j'ai aimé le poids de son corps sur le mien, il caressait mon visage, mes cheveux, il se mit à décrire des petits cercles avec son bassin et son sexe tournait comme pour se frayer un passage, il soupira et dit d'une voix étouffée « ah c'est génial », il appuyait habilement son sexe contre mon clitoris, je n'ai pas osé crier, j'ai pris ses fesses à pleines mains, et il s'est glisser en moi, ressortant entièrement et entrant à nouveau, puis il est resté en moi son ventre en sueur claquait contre le mien, il s'est mis à crier son plaisir, comme je le sentais ralentir ses mouvements je lui dis de continuer il s'est remis à donné des coups appuyés et pour la première fois j'ai crié des « ah oui,ah oui ».
Il a roulé sur ma gauche. J'ai retiré le préservatif, j'ai fait un noeud, on avait tous les deux du sang jusqu'au nombril. Je lui ai dit que c'était bien. Il a caressé mes seins et m'a dit que j'avais un trésor entre les cuisses. j'ai été flattée, sans vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.
Nous nous sommes douchés à l'eau froide. Il s'est habillé. Il m'a donné un long baiser sur la bouche et sans un mot il est parti.
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