Un gîte en Savoie

- Par l'auteur HDS Aperto libro -
Auteur femme.
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Récit libertin : Un gîte en Savoie Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

Couleur du fond :
Un gîte en Savoie
Les charmes de la posture de la balançoire ,je les ai découverts avec le propriétaire du gîte, Yvan.

Sous un immense tilleul, il avait construit une balancelle. Elle n'était pas frêle comme celles qu'on peut voir dans les villas des pays ensoleillés. Elle était bâtie avec de gros rondins de bois et l'assise mesurait plus de trois mètres. Les clients venaient s'y reposer. Il n'était pas rare d'y voir à la nuit tombée des jeunes gens très enlacés.

Yvan, était grand, genre bûcheron canadien un peu frustre, mais très attentionné. Mon ami Vincent avait loué ce gîte pour participer à une manifestation nationale de golf. Je suis toujours contente de l'accompagner, mais quand il va jouer, je ne le suis pas sur le green, d'ailleurs il n'aimerait pas.

Un après midi, je m'étais allongée sur la balancelle. Je suis restée à lire environ deux heures. A cinq heures, Yvan est arrivé avec un grand plateau. Il l'a posé sur l'herbe. Je me souviens que je me suis sentie bête ; ma jambe gauche qui se trouvait du côté de l'assise était allongée et l'autre repliée et appuyée sur le dossier. Mes cuisses étaient ainsi complètement découvertes et je pensai que ma culotte devait se voir.

Je guettai l'instant où Yvan détournerait le regard pour changer de position. Bien sûr, j'aurais pu le faire sans attendre, mais je ne voulais pas qu'il se dise que j'avais compris qu'il voyait ma culotte.

Sur le plateau,il avait apporté une bouteille de jus de pamplemousse, du thé glacé au citron fait maison et une petite bouteille de Champagne. Il m'a demandé ce que je désirais.

" Je ne sais pas", Et j'ai ajouté :

" Et vous ?"

Il s'est agenouillé, et sans détour, il a embrassé mon pied gauche ou plutôt, il a passé la langue sur mes orteils, puis sans un mot, il a ouvert la bouteille de Champagne, rempli deux verres et m'en a tendu un. Il a dit, avec une voix grave comme je les aime :

"N'ayez pas peur, je ne vous ferai rien que vous ne désiriez"

J'ai rigolé, cet homme parlait d'une façon qui ne correspondait pas à son physique.

Il s'est relevé, je me suis assise. Je me souviens que j'ai regardé sa braguette, j'ai nettement vu la forme de son sexe qui partait vers le droite, son pantalon en coton beige était tout propre, il venait sûrement de le changer.

Nous avons bu le verre de champagne,puis un deuxième. Il s'est à nouveau agenouillé, il a embrassé mes genoux et délicatement, sa tête s'avançait, obligeant mes jambes à s'ouvrir. Puis, relevant la tête, il a posé ses deux mains sur mes reins et m'a fait glisser jusqu'à ce que je me retrouve assise tout au bord de la balancelle. Alors, il a mis ses mains sous mes cuisses et les a reposées sur ses épaules.

J'ai regardé autour de nous. Du bout des doigts il a tiré l'élastique de la jambe de ma culotte, découvrant mes poils. J'ai pensé à cet instant que j'avais lavé mon sexe après le départ de Vincent.

C'est presque un rituel : Avant un challenge important, Vincent veut toujours un petit câlin. Je me livre à quelques lècheries, succions, j'absorbe son pénis. Lorsque je sens l’érection imminente, je m'appuie contre un meuble, généralement la table, et Vincent pénètre mon sexe et glisse en moi pendent quatre ou cinq minutes puis se dégage, prenant soin de ne pas aller jusqu'à l'éjaculation. Dès qu'il est parti, je prends une douche, et, neuf fois sur dix, je termine ce que Vincent a commencé en aspergeant mon clitoris avec le jet de la douche. J'arrête après le premier orgasme, car les jours où Vincent revient content de ses résultats, il va manifester son plaisir en me baisant. Et j'accepte ses débordements. Une fois sur deux, il réalise de véritables prouesses. Ce qui n'est pas le cas les autres jours. C'est un amant... Disons... Moyen.

Je suis bien incapable de décrire ce qu'Yvan a fait avec sa langue. Il a commencé par écarter mes grandes lèvres, je me rappelle parfaitement du frisson qui m'a parcouru quand il a posé sa bouche sur mon clitoris, et après, je me suis laisser voguer.

Quand Yvan à décollé sa bouche, j'ai ouvert les yeux. Je tenais ses cheveux à pleines mains. Il s'est redressé, son visage était trempé et pourpre. Il a fouillé dans sa poche droite et en a sorti un préservatif. Il me l'a tendu, s'est levé, son sexe était hors de la braguette et en érection. J'ai ouvert le petit étui et dégagé le préservatif, j'ai caressé ses testicules, ça m'effrayait moins que ce pénis dressé, il n'était pas comme celui de Vincent, il était vraiment en l'air, sa peau était foncée et une énorme veine le parcourait entièrement.

J'ai soigneusement déroulé le préservatif sur son pénis. A partir de cet instant, j'ai osé le prendre dans ma main. Il était franchement dur et il était assez difficile de le ramener à l'horizontale. J'avais envie de poser mes lèvres sur le bout du gland. Finalement, ne sachant pas trop comment m'y prendre, je l'ai fait entrer dans ma bouche.

Pour une fois j'ai été contente qu'Yvan entre et sorte lui-même son pénis de ma bouche. J'ai malaxé soigneusement ses boules. Ses poils sentaient le santal ou le cèdre. Comme ses va-et-vient devenaient de plus en plus amples, et que je n'aime pas quand le pénis glisse trop profondément, sans hésiter, je lui ai dit :

"Viens dans mon sexe ou dans mon ventre, je ne sais plus"

Il s'est assis sans retirer son pantalon, a fait descendre lentement ma culotte, m'a attrapée sous les aisselles et je me suis retrouvée les genoux de part et d'autre de ses cuisses.

Il a craché sur ses doigts et s'est mis à frôler mon clitoris, j'ai émis un petit son pour lui faire comprendre que j'appréciais. J'ai serré son sexe entre mes doigts et ses frôlements sont devenus de vigoureuses pressions très efficaces. Je ne sais pas où il en était, mais moi j'avais atteint un haut degré d’excitation.

A l'oreille, je lui dis et là, je m'en souviens :

"Viens avec ton sexe !"

Il a glissé ses fesses tout au bord, a jeté sa tête en arrière et j'ai pris son pénis pour l'amener à l'entrée de mon vagin. Son sexe avait une taille normale mais son gland était nettement plus large que le reste de son sexe, contrairement à celui de Vincent, qui a un gland fin et jamais aussi dur que le cylindre dessous. Le gland d'Yvan non seulement était gros mais très ferme.

Je dus m'y reprendre plusieurs fois avant de parvenir à le faire pénétrer. A peine fut-il en moi, je n'avais pas encore fait le moindre mouvement, que le passage du gland à l'entrée de mon vagin déclencha un orgasme. J'ai mordu ma lèvre pour ne pas crier, je ne voulais pas qu'Yvan se rende compte que j'avais eu du plaisir aussi vite.

Combien de temps sommes-nous restés unis, je ne sais pas, j'étais dans un autre monde. Je ne sais même pas si j'ai eu d'autres orgasmes, mon corps entier était pénétré. C'était comme si des mains massaient mon corps de l'intérieur.

Yvan m'a arrachée à cette volupté, je l'ai regardé ôter le préservatif, j'ai tendu la main, il s'est approché et j'ai fait coulisser son sexe encore gros et tout mouillé de sperme dans ma main.

Alors qu'il redevenait dur, il a repoussé ma main et il a dit :

"C'était tellement irréel, il faut que ça reste entre nous comme un trésor"

Il a ramassé ma culotte, me l'a remise, puis il m'a serrée dans ses bras. Il a embrassé mes cheveux et dit à mon oreille, me vouvoyant à nouveau :

" N'ayez aucune crainte, cela ne se reproduira plus, l'Elfe est repartie dans ses bois"

J'ai regagné ma chambre, je sentais mes jambes flageoler. J'ai pris une douche à contrecœur,j'aurais voulu garder mon corps sensible encore quelques heures. J'ai savonné mon sexe plusieurs fois, pour faire disparaître l'odeur du préservatif. Mes grandes lèvres étaient gonflées, mon clitoris tellement sensible que je pouvais le toucher.

Vincent est rentré de bonne humeur. Il m'a embrassée sur les lèvres et a passé sa main sous ma jupe pour me caresser les fesses. Je ne voulais pas faire l'amour. Je me suis fait cajoleuse, j'ai poussé Vincent sur le lit, je suis venue m'allonger entre ses jambes, de manière à prendre son pénis dans ma bouche, sans qu'il puisse toucher mon sexe. Je me suis appliquée à le retenir dans ma bouche, suffisamment longtemps pour qu'il n'ait plus envie d'autre chose..

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mieux que ça. Pas mal me semble insuffisant. Je dirai ... BIEN !

Histoire Erotique
très jolie histoire !!
Vous avez l'air bien excitante ... :)

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Pas mal. Bonne idée la comparaison entre Yvan et Vincent. La suite...



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