Le garçon boucher 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le garçon boucher 5
Émilie jette un regard désespéré vers l’armoire, se console de savoir que nous quitterons la maison et que son héros pourra en profiter pour s’en aller. Je sors, laisse la porte ouverte.
- Allez, habille-toi et file, ma chérie ! Viens, j’agrafe ton soutien-gorge. N’oublie pas ta petite culotte et imagine notre soirée, je me sens en grande forme après ce hors d’œuvre en matinale. Sa voiture démarre. Faisons le point, nous avons encore un après-midi chargé.
J’ai surpris ma femme collée à un inconnu dans la rue. Ils se donnent rendez-vous à mon adresse pour le lendemain. Laure, une ex retrouvée en suivant l’inconnu, le présente, sous le nom de Marcel. Il est le compagnon brutal de Laure, jaloux mais infidèle et amant de sa patronne bouchère qui lui a attribué le titre de maître désosseur. Caché chez moi, j’assiste au rendez-vous rapide faute de temps, mais au cours duquel a lieu une relation sexuelle insuffisante pour les amants, très instructive pour moi. Ils se fixent un nouveau rendez-vous, à midi le lendemain au même endroit. Marcel remettra du bromure à ma femme Émilie pour tuer ma libido et se donner plus de chance de profiter de la belle longtemps.
En réaction je fais des achats dans un sex-shop , j’use des droits d’un mari pour passer après Marcel dans le vagin d’une épouse sans arguments pour se refuser, je la fatigue sexuellement et j’ajoute les effets destructeurs d’un vibromasseur à mes assauts enragés. Enfin, accompagné d’un compagnon de travail, dès le début du rapport sexuel de Marcel et de ma femme, le lendemain, Henri et moi annonçons bruyamment notre arrivée rendue possible par une ardeur au travail. Marcel se cache dans la penderie de l’armoire de notre chambre. Émilie invente une fatigue pour justifier sa présence en ce lieu à cette heure. Sachant ce qu’elle avait l’intention de faire avec son amant, je prends la place de Marcel et je fais l’amour à ma légitime.
Henri garde la porte de la chambre et Marcel est bien placé pour ne rien manquer des bruits de l’union charnelle de deux époux. Il peut constater que le bromure n’a pas de prise sur moi. Comment saurait-il que je n’ai pas touché à la gamelle préparée par ma femme ? Sous prétexte d’avoir un rendez-vous urgent avec une cliente de son salon de coiffure et constatant que nous avons l’intention de nous installer dans la maison jusqu’à dix-sept heures, Émilie s’en va mais ignore que nous ne sommes pas venus par hasard interrompre sa partie de cul. Elle ne pourra pas se plaindre d’être en manque après mon intervention musclée et l’usage du jouet sexuel.
Nous sommes trois hommes dans la chambre. Henri le malabar armé d’une massette garde la porte pendant que je me munis du nécessaire pour la suite. L’autre tapi dans son refuge attend notre départ. Quand j’ouvre brusquement la porte de sa cachette, il apparaît cassé en deux et ouvre de grands yeux face à mon caméscope.
- Marcel, sors de là.
Il tombe des nues : je connais son nom et si j’ouvre l’armoire pour filmer l’amant de ma femme, affligé de douleurs dorsales, ce ne peut pas être le fait du hasard. Il comprend vite, surtout lorsqu’il aperçoit Henri et sa massette Je lui laisse le temps de se déplier péniblement et je lui fais signe de s’allonger sur mon lit.
- C’est bien là que tu comptais t’installer. Vas-y, je ne coucherai plus sur ce matelas , profite de ma bonté.
Il n’a pas eu beaucoup de temps pour étaler ses talents de baiseur. Il se soumet à la loi des deux vainqueurs.
- Vous n’allez pas montrer des photos de moi tout nu !
- Pourquoi pas ? T’avons-nous forcé à te mettre à poil dans cette chambre ? Il ne fallait pas te faire coincer.
Quelques tours d’un ruban collant de toile forte autour des chevilles et des poignets le privent de sa liberté de mouvements. Une pince à linge sur le nez lui ouvre la bouche, car il faut respirer. Entre les lèvres ouvertes je lui fais avaler la tambouille au bromure qui m’était destinée. Ça ne devait pas me tuer, mais calmer mes pulsions. Cela ne peut pas lui faire plus de mal qu’à moi et comme il n’a pas pris de repas de midi pour être à l’heure ici, avec sa Dulcinée, il avale la dernière invention culinaire de sa maîtresse. Sans méfiance !
- Attends, tu dois avoir soif. Tu as droit à une bière. Quoi, c’est de la faute de ma femme ? Elle t’a forcé à venir ? Elle est vraiment si forte ? Tu ne l’as pas pénétrée ? Vraiment ? Tu mens ! Je l’ai entendue se plaindre de ta maladresse, comme je vous ai vus et entendus hier. Tu boirais volontiers ? Je reviens.
A mon retour j’ai une canette décapsulée et un flacon en main.
- Marcel, je verse combien de dosettes de ta poudre dans ta bière ?
- Ah ! Non, pas ça. Pas de poudre, je ne la supporte pas, ça me fout des boutons.
- Mais non, tu viens d’avaler mon repas de midi chargé de bromure et tu n’as pas de boutons.
- Salaud. Non , je n’ai plus soif.
Il respire un grand coup et ferme la bouche. Il sera vite forcé de l’ouvrir et je lui planterai un entonnoir entre les dents.
- Bois, tu n’emmerderas aucune femme ce soir. C’est-ce que tu voulais pour moi. Généreusement je te rends la monnaie de ta pièce. Meurt-on avec deux dosettes ? Trois ?
Il est blême. Cela vaut la photo.
- Pour garantir la tranquillité des femmes de la ville, j’ajoute à la chimie dont tu es friand cet objet. Tu connais ? Non ? C’est une cage de chasteté en acier inoxydable livrée avec deux clés. Je n’ai pas rechigné sur le prix. Je l’installe à la base de ta verge et je garde les clés. Désormais quand tu retrouveras des forces et l’envie de tromper Laure avec une bourgeoise autre que la mienne, tu viendras me demander de te libérer?
- Oh ! Tu es dingue. Enlève-moi ça tout de suite. Je te ferai la peau, cocu!
- Tu profères des menaces devant témoin ? Ce n’est pas raisonnable. Réfléchis à ta situation. Nous perdons notre temps. La suite.
Henri et moi transportons la momie au garage, l’attachons à la conduite d’eau principale. Je m’assure de son silence en collant un scotch large sur sa bouche et autour de sa tête sur ses cheveux. Retirer le bâillon sera douloureux . Et maintenant vite. Allons déménager les affaires de Laure. Ce sera facile et je ne tiens pas à m’encombrer des affaires de Marcel.
Nous voilà revenus, Marcel est allongé dans mon lit une nouvelle fois, mains et pieds toujours entravés, verge rabougrie dans la cage. Il a hurlé quand j’ai décollé le scotch qui scellait sa bouche. Quelques touffes de cheveux sont restées collées à la bande d’excellente qualité que nous utilisons sur nos chantiers pour colmater momentanément des petites fuites de fluide.
- Alors; tu as mesuré ton malheur ? Tu es apaisé ? Je peux te parler ?Regarde ces deux bibines. Cette deuxième canette, j’y verse le contenu de deux dosettes de ta poudre magique. Je t’offre un marché. Tu obéis et tu étancheras ta soif avec la première ou tu ne te soumets pas et tu boiras l’autre.
- Qu’est-ce que je dois faire ?
- J’appelle le salon de coiffure au téléphone. Tu demandes à parler à la patronne. Enfin tu lui fixes un nouveau rendez-vous ici, demain à onze heures 45. Tu as compris ? Si tu dis un mot de travers , je te fais avaler le contenu du flacon et je jette les clés de la cage de chasteté dans le canal.
- Elle va me demander comment je m’en suis sorti.
- Tu réponds que tu as attendu notre départ, que tu as dû passer par le garage et qu‘elle devra le fermer à clé. C’est tout.
La trouille des effets de sa poudre de Perlin Pimpin fait du lion un agneau. Au téléphone Émilie espère pour demain plus de succès et de plaisir que lors des précédentes tentatives amoureuses. Pourvu qu’elle puisse enfin connaître le bonheur par Marcel. Voilà qui conforte mon désir de vengeance. Je l’abandonnerai à son don Juan après un divorce en règle.
Je coupe les liens, relâche Marcel. Il n’a as subi de gros dommage en dehors de l’obligation de soigner son priapisme ave son bromure. Je n’ai pas une âme de bourreau, j’ai horreur de la maltraitance et des coups. Des menaces et la peur de perdre de sa superbe devant ses conquêtes ont entamé sérieusement sa résistance.
Il aimerait que je délivre l’oiseau en cage de sa prison d‘acier. Moi, je n’aime pas. Qu’il attende demain, à onze heures trente ici, un quart d’heure avant l’amante obsédée. Il aura plusieurs options : il ne vient pas et restera dans sa coquille; il vient en retard et subit la même punition; il avertit ma femme et devra chercher un artisan pour scier l’acier, mais je lui ferai avaler un violent contrepoison, à la première occasion.
- Ça n’existe pas, il faut laisser passer le temps. Le bromure n’a pas d’effets prolongés.
- Je te ferai bouffer des pilules de viagra avant la nuit, tu enfleras du zizi et tu te sentiras à l’étroit , trop serré. Ça peut faire très mal. Tu veux essayer ?
- Oh, non, pas ça, pitié. Que va dire ma femme ?
- Laquelle ? Émilie ou Laure ou la bouchère? Ça ne m’intéresse pas. Fous lui la paix ce soir, de toute façon tu n’es plus en état de tirer un coup avec n’importe quelle femme. Ne ramène pas ta fraise, fais profil bas si une femme te veut du bien. Dis-toi très fatigué. Pour demain retiens ceci. Quand je t’aurai libéré, tu resteras sous surveillance. Un petit faux pas te vaudra la rossée de ta vie. Enfin, tu te doutes que je me séparerai de ma femme infidèle. Je ne veux plus d’un sac à foutre qui se conduit comme une putain avec toi dans la rue.
Il t’appartiendra de contenter celle que tu as séduite, elle sera à toi si tu sais la sauter comme un chef. Je te la livre, ne remets pas à plus tard, profite de ses bonnes dispositions du moment. Démerde toi . Si tu es correct, si tu suis mes ordres, elle est à toi, fais en ton esclave, sans te soucier de notre présence dans la maison Tu la veux, gagne la. N’oublie pas le gros bouquet de fleurs.
- Allez, habille-toi et file, ma chérie ! Viens, j’agrafe ton soutien-gorge. N’oublie pas ta petite culotte et imagine notre soirée, je me sens en grande forme après ce hors d’œuvre en matinale. Sa voiture démarre. Faisons le point, nous avons encore un après-midi chargé.
J’ai surpris ma femme collée à un inconnu dans la rue. Ils se donnent rendez-vous à mon adresse pour le lendemain. Laure, une ex retrouvée en suivant l’inconnu, le présente, sous le nom de Marcel. Il est le compagnon brutal de Laure, jaloux mais infidèle et amant de sa patronne bouchère qui lui a attribué le titre de maître désosseur. Caché chez moi, j’assiste au rendez-vous rapide faute de temps, mais au cours duquel a lieu une relation sexuelle insuffisante pour les amants, très instructive pour moi. Ils se fixent un nouveau rendez-vous, à midi le lendemain au même endroit. Marcel remettra du bromure à ma femme Émilie pour tuer ma libido et se donner plus de chance de profiter de la belle longtemps.
En réaction je fais des achats dans un sex-shop , j’use des droits d’un mari pour passer après Marcel dans le vagin d’une épouse sans arguments pour se refuser, je la fatigue sexuellement et j’ajoute les effets destructeurs d’un vibromasseur à mes assauts enragés. Enfin, accompagné d’un compagnon de travail, dès le début du rapport sexuel de Marcel et de ma femme, le lendemain, Henri et moi annonçons bruyamment notre arrivée rendue possible par une ardeur au travail. Marcel se cache dans la penderie de l’armoire de notre chambre. Émilie invente une fatigue pour justifier sa présence en ce lieu à cette heure. Sachant ce qu’elle avait l’intention de faire avec son amant, je prends la place de Marcel et je fais l’amour à ma légitime.
Henri garde la porte de la chambre et Marcel est bien placé pour ne rien manquer des bruits de l’union charnelle de deux époux. Il peut constater que le bromure n’a pas de prise sur moi. Comment saurait-il que je n’ai pas touché à la gamelle préparée par ma femme ? Sous prétexte d’avoir un rendez-vous urgent avec une cliente de son salon de coiffure et constatant que nous avons l’intention de nous installer dans la maison jusqu’à dix-sept heures, Émilie s’en va mais ignore que nous ne sommes pas venus par hasard interrompre sa partie de cul. Elle ne pourra pas se plaindre d’être en manque après mon intervention musclée et l’usage du jouet sexuel.
Nous sommes trois hommes dans la chambre. Henri le malabar armé d’une massette garde la porte pendant que je me munis du nécessaire pour la suite. L’autre tapi dans son refuge attend notre départ. Quand j’ouvre brusquement la porte de sa cachette, il apparaît cassé en deux et ouvre de grands yeux face à mon caméscope.
- Marcel, sors de là.
Il tombe des nues : je connais son nom et si j’ouvre l’armoire pour filmer l’amant de ma femme, affligé de douleurs dorsales, ce ne peut pas être le fait du hasard. Il comprend vite, surtout lorsqu’il aperçoit Henri et sa massette Je lui laisse le temps de se déplier péniblement et je lui fais signe de s’allonger sur mon lit.
- C’est bien là que tu comptais t’installer. Vas-y, je ne coucherai plus sur ce matelas , profite de ma bonté.
Il n’a pas eu beaucoup de temps pour étaler ses talents de baiseur. Il se soumet à la loi des deux vainqueurs.
- Vous n’allez pas montrer des photos de moi tout nu !
- Pourquoi pas ? T’avons-nous forcé à te mettre à poil dans cette chambre ? Il ne fallait pas te faire coincer.
Quelques tours d’un ruban collant de toile forte autour des chevilles et des poignets le privent de sa liberté de mouvements. Une pince à linge sur le nez lui ouvre la bouche, car il faut respirer. Entre les lèvres ouvertes je lui fais avaler la tambouille au bromure qui m’était destinée. Ça ne devait pas me tuer, mais calmer mes pulsions. Cela ne peut pas lui faire plus de mal qu’à moi et comme il n’a pas pris de repas de midi pour être à l’heure ici, avec sa Dulcinée, il avale la dernière invention culinaire de sa maîtresse. Sans méfiance !
- Attends, tu dois avoir soif. Tu as droit à une bière. Quoi, c’est de la faute de ma femme ? Elle t’a forcé à venir ? Elle est vraiment si forte ? Tu ne l’as pas pénétrée ? Vraiment ? Tu mens ! Je l’ai entendue se plaindre de ta maladresse, comme je vous ai vus et entendus hier. Tu boirais volontiers ? Je reviens.
A mon retour j’ai une canette décapsulée et un flacon en main.
- Marcel, je verse combien de dosettes de ta poudre dans ta bière ?
- Ah ! Non, pas ça. Pas de poudre, je ne la supporte pas, ça me fout des boutons.
- Mais non, tu viens d’avaler mon repas de midi chargé de bromure et tu n’as pas de boutons.
- Salaud. Non , je n’ai plus soif.
Il respire un grand coup et ferme la bouche. Il sera vite forcé de l’ouvrir et je lui planterai un entonnoir entre les dents.
- Bois, tu n’emmerderas aucune femme ce soir. C’est-ce que tu voulais pour moi. Généreusement je te rends la monnaie de ta pièce. Meurt-on avec deux dosettes ? Trois ?
Il est blême. Cela vaut la photo.
- Pour garantir la tranquillité des femmes de la ville, j’ajoute à la chimie dont tu es friand cet objet. Tu connais ? Non ? C’est une cage de chasteté en acier inoxydable livrée avec deux clés. Je n’ai pas rechigné sur le prix. Je l’installe à la base de ta verge et je garde les clés. Désormais quand tu retrouveras des forces et l’envie de tromper Laure avec une bourgeoise autre que la mienne, tu viendras me demander de te libérer?
- Oh ! Tu es dingue. Enlève-moi ça tout de suite. Je te ferai la peau, cocu!
- Tu profères des menaces devant témoin ? Ce n’est pas raisonnable. Réfléchis à ta situation. Nous perdons notre temps. La suite.
Henri et moi transportons la momie au garage, l’attachons à la conduite d’eau principale. Je m’assure de son silence en collant un scotch large sur sa bouche et autour de sa tête sur ses cheveux. Retirer le bâillon sera douloureux . Et maintenant vite. Allons déménager les affaires de Laure. Ce sera facile et je ne tiens pas à m’encombrer des affaires de Marcel.
Nous voilà revenus, Marcel est allongé dans mon lit une nouvelle fois, mains et pieds toujours entravés, verge rabougrie dans la cage. Il a hurlé quand j’ai décollé le scotch qui scellait sa bouche. Quelques touffes de cheveux sont restées collées à la bande d’excellente qualité que nous utilisons sur nos chantiers pour colmater momentanément des petites fuites de fluide.
- Alors; tu as mesuré ton malheur ? Tu es apaisé ? Je peux te parler ?Regarde ces deux bibines. Cette deuxième canette, j’y verse le contenu de deux dosettes de ta poudre magique. Je t’offre un marché. Tu obéis et tu étancheras ta soif avec la première ou tu ne te soumets pas et tu boiras l’autre.
- Qu’est-ce que je dois faire ?
- J’appelle le salon de coiffure au téléphone. Tu demandes à parler à la patronne. Enfin tu lui fixes un nouveau rendez-vous ici, demain à onze heures 45. Tu as compris ? Si tu dis un mot de travers , je te fais avaler le contenu du flacon et je jette les clés de la cage de chasteté dans le canal.
- Elle va me demander comment je m’en suis sorti.
- Tu réponds que tu as attendu notre départ, que tu as dû passer par le garage et qu‘elle devra le fermer à clé. C’est tout.
La trouille des effets de sa poudre de Perlin Pimpin fait du lion un agneau. Au téléphone Émilie espère pour demain plus de succès et de plaisir que lors des précédentes tentatives amoureuses. Pourvu qu’elle puisse enfin connaître le bonheur par Marcel. Voilà qui conforte mon désir de vengeance. Je l’abandonnerai à son don Juan après un divorce en règle.
Je coupe les liens, relâche Marcel. Il n’a as subi de gros dommage en dehors de l’obligation de soigner son priapisme ave son bromure. Je n’ai pas une âme de bourreau, j’ai horreur de la maltraitance et des coups. Des menaces et la peur de perdre de sa superbe devant ses conquêtes ont entamé sérieusement sa résistance.
Il aimerait que je délivre l’oiseau en cage de sa prison d‘acier. Moi, je n’aime pas. Qu’il attende demain, à onze heures trente ici, un quart d’heure avant l’amante obsédée. Il aura plusieurs options : il ne vient pas et restera dans sa coquille; il vient en retard et subit la même punition; il avertit ma femme et devra chercher un artisan pour scier l’acier, mais je lui ferai avaler un violent contrepoison, à la première occasion.
- Ça n’existe pas, il faut laisser passer le temps. Le bromure n’a pas d’effets prolongés.
- Je te ferai bouffer des pilules de viagra avant la nuit, tu enfleras du zizi et tu te sentiras à l’étroit , trop serré. Ça peut faire très mal. Tu veux essayer ?
- Oh, non, pas ça, pitié. Que va dire ma femme ?
- Laquelle ? Émilie ou Laure ou la bouchère? Ça ne m’intéresse pas. Fous lui la paix ce soir, de toute façon tu n’es plus en état de tirer un coup avec n’importe quelle femme. Ne ramène pas ta fraise, fais profil bas si une femme te veut du bien. Dis-toi très fatigué. Pour demain retiens ceci. Quand je t’aurai libéré, tu resteras sous surveillance. Un petit faux pas te vaudra la rossée de ta vie. Enfin, tu te doutes que je me séparerai de ma femme infidèle. Je ne veux plus d’un sac à foutre qui se conduit comme une putain avec toi dans la rue.
Il t’appartiendra de contenter celle que tu as séduite, elle sera à toi si tu sais la sauter comme un chef. Je te la livre, ne remets pas à plus tard, profite de ses bonnes dispositions du moment. Démerde toi . Si tu es correct, si tu suis mes ordres, elle est à toi, fais en ton esclave, sans te soucier de notre présence dans la maison Tu la veux, gagne la. N’oublie pas le gros bouquet de fleurs.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dur, dur: l'oiseau est en cage. Tout y passe. A quand la bombe atomique pour dissuader ?
Elle l'a trompé, il s'en débarrasse au profit de l'amant. Pour lui, elle est devenue un objet d'échange. Bien fait pour elle, qui deviendra la troisième femme du boucher !
J'adore. La suite.
Accent s'endurcit. Il exerce une première vengeance contre l'amant. Le bromure retourne à l'expéditeur. Marcel tremble et se soumet aux ordres. Un nouveau piège devrait compléter la vengeance. La femme doit payer aussi