Le gourdin arabe 2/2 - histoire érotique

Comme il aimait le faire Craig s'est laissé faire par Jawad le Jordanien.

Jamais il n'avait été embrassé autant par un mec que Jawad, il avait l'habitude que les choses aillent vite dans les chiottes de la boîte... pantalon, boxer de baissés, penché en avant et les queues entraient en lui pour le niquer avec plus ou moins de force. Il aimait gueuler sous les coups de reins, sentir les grosses queues le ramoner, se faire branler avec une queue dans le cul... tout allait vite.
Il avait rarement baisé dans un lit, dans son lit ce qu'il préférait c'était se branler un gode fourré bien profond pour se remémorer ses baises et se faire juter toujours en beauté.

Là, tout changeait avec ce diable de Jawad. Il avait l'impression qu'il avait une multitude de mains, plusieurs bouches qui passaient sur tout son corps. Pas un coin d'inexploité par le beau mec qui le regardait en souriant.

Après lui avoir martyrisé les tétons, l'un avec ses doigts, l'autre avec ses dents, les pincer, les serrer, le mordre à le faire hurler, son corps était caressé et sa bouche s'est à nouveau emparée de ses 23 cm, lui sa queue ne s'allongeait pas plus!
Sa langue était passée dans tous les recoins, jouant avec le prépuce remonté, se langue se frayait un passage et déposait la salive avant de la décalotter et de la sucer, l'aspirer comme un morfale gourmand.

Pas un mot n'était échangé, que des coups d'œil, des regards qui voulaient dire plein de choses... et dans les yeux de Jawad il voyait le contentement, l'admiration.

Craig était prêt à lever ses jambes pour lui donner accès à son beau petit cul bien ouvert, mais ce diable de Jawad en décide autrement. Il se recule un peu, et prend ses pieds pour les poser sur sa poitrine, se caresser avec le torse... Craig s'amusait à bouger les orteils sur la peau douce et chaude.
Un pied dans chaque main, il vient entourer son gourdin et se masturbe lentement.
Craig relève la tête et observe ce monstre énorme, dur, brûlant qui allait bientôt le visiter en profondeur. Il n'appréhendait pas car il était sûr que Jawad était un tendre!

Ses jambes sont finalement repliées sur son torse, qu'il bloque aux genoux. Il sait que son cul imberbe est bien ouvert, que son petit trou souple palpite, impatient de recevoir de la visite et il voit l'étonnement sur le visage du Jordanien.
Peu de rebeus lui bouffaient le cul, le doigtaient avec leur salive mais rarement mettre leur langue.
Là il a cru qu'il allait juter tellement la langue lui procurait déjà un plaisir extrême.
D'abord ses fesses ont reçu plus de mille baisers avant que la langue, enfin la pointe vienne toucher l'anus et les faire gémir tous les deux. Comme une petite bite elle est entrée pour toucher la paroi et déposer sa salive qu'il aspirait.

Sa langue passait dans la raie et remontait jusqu'aux couilles.
Il doigte le cul directement avec son majeur, s'enfonçant au plus profond qu'il peut, tournant à l'intérieur, son doigt râclant la paroi et Craig gémit de plus en plus, les yeux fermés se léchant les lèvres.

Il sent les mains de Jawad se poser sur ses cuisses, il ouvre les yeux pour constater qu'il le regarde en souriant.
-mon zob va enfin te connaître Craig, mon beau Craig.
Ses yeux étincellent de mille étoiles, un sourire magnifique aux lèvres... Il pose son gland sur l'entrée.
Craig sent le gland commencer à forcer l'entrée, il pousse, il sait que son sphincter est très souple avec l'entraînement qu'il a...

Les regards ne se quittent pas, se fixent.
Le gland commence à ouvrir lentement le sphincter qui glisse doucement dessus pour l'envelopper, lui donnant sa chaleur, sa moiteur... il avance doucement, Craig sent les doigts de Jawad serrer ses cuisses. Comme la chaleur qui commence à l'envahir car l'intruse glisse rapidement dans son conduit et le gland est avalé, le sphincter se referme et le serre comme un étau.
Ils crient tous les deux, et Craig se mord la lèvre.

Putain le mec s'il nique avec force il détruit un cul! pense Craig.

Mais ce n'est pas ce que veux Jawad, il veut donner du plaisir et il sait que ce n'est pas facile avec ce qu'il a entre les jambes, beaucoup ne prenne pas son gourdin en entier et gueule comme des fennecs des sables en voulant s'enfuir. Il force et son gland commence le voyage entraînant sa grosse queue...

Craig serre des mâchoires. Ce n'est vraiment pas la même sensation que son gode le plus gros. Là c'est vivant et ça glisse bien dans son conduit. Il a chaud, une légère douleur se fait sentir car la base de ce gourdin est encore plus épaisse. Il se sent comme cloué sur le lit avec un Jawad tout sourire, la sueur coulant doucement de son front à travers ses frisettes. Il est beau mon Jordanien pense Craig.

Ils ont fait un boucan d'enfer quand Jawad a commencé ses va-et-vient. Ils avaient beaux être lents et le plus doux possible Craig se sentait comme écartelé et s'est mis à gueuler, pas pour dire d'arrêter, mais de continuer.
Jawad soufflait comme un bûcheron, Craig gueulait son plaisir... et quand Jawad le fait changer de positions, le plaisir est décuplé, toutes les positions prises ouvrent encore mieux son cul et il a comme l'impression que le gourdin lui remonte dans l'estomac.
A quatre pattes il ne sent plus son cul tellement les va-et-vient sont rapides, que le pubis claque sur ses fesses très sèchement.

Il est relevé contre Jawad qui vient lui offrir sa langue, lui lécher les oreilles, lui mordre le lobe et lui dire plein de choses gentilles, que son zob est heureux de le visiter, qu'il va bientôt déposer son offrande au plus profond pour qu'il la garde précieusement. Sa main prend sa grosse queue et la branle doucement en le serrant contre lui, son gourdin au fond de son cul, et Craig est statufié quand il entend à son oreille :
-je t'aime Craig!
Il n'a pas le temps de réagir qu'il est projeté en avant et que les coups de reins recommencent. Il le fait reprendre la position initiale pour pouvoir lire dans ses yeux quand il va déposer sa semence.

Un dernier coup de reins, le gourdin se bloque, Craig le sent durcir, presque grossir encore si c'est possible et les vannes sont ouvertes. La première giclée doit déjà l'inonder partout tellement il sent la brûlure se répandre en lui et quand le tsunami arrive, c'est avec force et toujours aussi brûlant, Craig crie de surprise et Jawad n'arrête pas de gémir à chaque giclée et pousse de charmants petits cris en fermant rapidement les yeux pour les rouvrir et chercher de suite ceux de Craig.

Craig sent sa queue éjaculer brusquement et le sperme se répand partout sur sa poitrine sous le regard envieux de Jawad.
Il tombe haletant dans les bras de Craig, qui se referment autour de lui, caressant son dos, ses fesses. Il reprend des forces doucement, Craig sent son gourdin palpiter encore dans son cul, il referme ses jambes sur les fesses le faisant prisonnier complètement.

Jawad le regarde étonné.
-t'es mon prisonnier Jawad dit Craig en souriant de malices.
-je l'accepte mon ami, être en toi et pouvoir t'embrasser en te disant que tu es un amour, que mon cœur s'est emballé quand il t'a vu dans la boîte. J'ai su que tu étais mon élu, qu'on allait faire de grandes choses ensemble, tu ne le sais pas encore Craig, je le vois dans ton regard, tu es inquiet toi le mec indépendant. Tu ne sais pas encore que tu vas être mon amoureux pour longtemps!

Craig le regarde en souriant.
-qu'est ce qui te fait dire cela Jawad ?
-parce que mon ami ne connait pas le vrai arabe, celui dont la famille vient du désert où les hommes doivent s'entraider, se soutenir, s'aimer devant les difficultés. Mes ancêtres m'ont transmis ce don de savoir reconnaître celui qui me rendra heureux et je sais, pour l'avoir appris comment rendre un homme heureux et toi je sais que tu es celui là quoique tu puisses en penser!

Jawad était au dessus de lui, nez contre nez et souriait malicieusement.
-ce que tu cherches en venant en boîte c'est recevoir du plaisir, mais tu n'en donnes pas et moi je cherchais un garçon comme toi pour que justement il m'en donne! Il faut savoir partager quand on aime Craig!

Il n'a pu répondre car les lèvres de Jawad épousaient les siennes et leurs langues s'emmêlaient tendrement, comme si elles apprenaient à mieux se connaître. Les caresses des langues étaient douces tendres, les salives coulaient abondamment d'un côté comme de l'autre.
La bouche de Jawad glisse le long de la joue de Craig et fait le tour de son visage en déposant de petits bisous.

Craig libère de ses jambes Jawad et le retourne sur le lit pour être au-dessus, libérant son cul du gourdin qui a rétréci... un peu! Il coince la tête de Jawad entre ses mains, ses yeux le fixent, il se lèche la lèvre et il voit bien que Jawad l'écoute.
-tu as l'air bien sûr de toi mon beau Jawad, mon beau Jordanien en me disant tout ça, tu as raison sur une chose c'est que je suis indépendant et que j'aime mon indépendance. Et tout ce que as dit sur moi est vrai, je viens prendre du plaisir et en donne rarement en retour, mais tu vois, ce n'est pas parce que tu m'as dit cela, mais toi j'ai envie de t'en donner du plaisir et comme toi, c'est vrai je dois l'avouer, j'ai été scotché de te voir dans la boîte, de voir ton regard suspicieux en me regardant et content que ta curiosité te fasse venir près de moi, mais tu me dis que c'est ton cœur qui t'a conduit!

Jawad souriait d'un air de dire "c'est tout à fait ça"!
-alors j'ai envie de toi Jawad, envie de te goûter des pieds à la tête mon premier Jordanien dont les ancêtres viennent du désert, ça doit être ça l'odeur qui te différencie d'un rebeu parisien, toi tu as l'odeur du soleil qui frappe le sable du désert et cette odeur est enivrante!
Il voyait dans les yeux de Jawad qu'il appréciait ses paroles!

Quand il a commencé de s'occuper du corps de Jawad, il a trouvé un corps détendu en attente de caresses. Il a goûté chaque parcelle du torse, léché, tété les tétons durs qui pointaient au centre d'aréoles brunes très foncées avec de petits poils.
Lécher le torse était un plaisir, respirant ce jordanien décidément d'un autre goût que les rebeus qu'il connaissait. Combler le gourdin de bisous, de lèches, de le voir grossir sous ses yeux, s'allonger pour atteindre son maximum et penser qu'il l'a pris dans son petit cul sans pratiquement une douleur! Il a bouffé les grosses couilles poilues et Jawad n'arrêtait pas de pousser ses charmants petits cris.

Rarement il n 'avait léché les pieds de son plein gré, souvent quelques rebeus le forçaient, mais là il avait envie et quand sa langue est passée entre les orteils, son regard a croisé celui de Jawad, étonné mais souriant. Il a sucé le gros orteil puis tous les autres et les petits cris ont repris.

Il est remonté en soulevant les jambes pour mettre Jawad dans la même position qu'il était il n'y a pas si longtemps et avoir sous les yeux cette belle paire de fesses, séparée par une raie légèrement poilue.
S'il aimait se faire baiser, il adorait bouffer un cul, surtout ceux des rebeus car il était rare qu'ils l'offrent!

Et il a encore découvert une odeur, certes de cul, mais l'odeur de ce Jordanien était vraiment particulière. Et le goût de son anus également, comme de l'épice dont il ne pouvait trouver l'origine. Mais ce qu'il constate surtout c'est que sa langue entre facilement sous toujours les petits cris. Quand il fore avec son doigt, les cris augmentent. La paroi est lisse, chaude et humide et Jawad gémit très fort. Il doigte de deux doigts, plus ou moins sauvagement, mais le cul s'ouvre bien.
Ma queue va être bien! pense Craig en se redressant, venant poser son gland sur l'entrée et fixe Jawad d'un air de dire : c'est toi qui la veut!

Jawad cligne des yeux et pousse. Les 23 cm commencent leur entrée, s'il sent le cul s'ouvrir il voit également le rictus que commence à faire Jawad au fur et à mesure de l'avancée. Il va lentement, le sphincter s'ouvre, enveloppe son gland, il pousse et ça glisse faisant gueuler Jawad, une larme sort de son œil.
Craig se bloque et le regarde inquiet.
-baise moi comme un arabe du désert Craig!
Là c'est Craig qui est étonné!
Sa queue poursuit son chemin pour combler le petit cul jordanien. Il ne bouge pas pendant quelques instants avant de commencer ses va-et-vient. Lentement et accélère rapidement car c'est Jawad qui insiste :
-plus fort mon amour! nique moi plus fort!

Il gueule pourtant, mais à chaque fois qu'il reprend son souffle, c'est pour lui demander d'aller encore plus vite!
Il le fait changer de position, le fait mettre à quatre pattes et sa queue, sa grosse queue coulisse encore mieux et les charmants couinements reprennent de plus belle!
Il le fait se redresser contre lui et le traite de tous les noms à l'oreille, tout bas.
-ça aime faire la salope un jordanien du désert! t'aimes ça la queue du céfran, t'aimes ça te faire défoncer ton petit cul qui sent le sable chaud et je peux te dire que ma queue est heureuse de le connaître.

Jawad ne disait rien et souriait en fermant les yeux, mais a poussé un petit cri quand Craig s'est saisi de son gourdin qui était en pleine forme et l'a branlé avec force, serrant fortement le membre dont ses doigts ne faisaient pas le tour! Cela n'a pas empêché Jawad d'hurler cette fois quand il a tenté d'écraser la queue de Craig avec ses fesses et qu'il a juté de deux giclées qui sont retombées de l'autre côté du lit. Craig n'a pas vu s'il continuait, car il l'a repoussé en avant et l'a niqué comme un rebeu de Paris.

Et c'est son tour de gueuler quand il a offert son cadeau à ce nouveau cul.
Il l'a rempli comme un chef, ils râlaient tous les deux avant de s'écrouler sur le lit et que Craig morde la nuque de Jawad en disant :
-oui mon Jawad je pense que t'es à moi maintenant!

Le silence s'est installé le temps qu'ils reprennent leur souffle. Craig est sorti délicatement du cul de Jawad, se penchant sur les fesses pour les embrasser et les lécher, et s'allonge une jambe sur Jawad qui le regarde tout sourire :
-maintenant je sais que je t'aime Craig et tout ce que je t'ai dit tout à l'heure va se produire, tu verras.
Craig sourit, mais reste dubitatif.
-dormons maintenant, c'est notre première nuit ensemble mon chéri, dit Jawad en fermant les yeux et colle son nez à celui de Craig, ferme les yeux et c'est le silence.


Le sommeil ne vient pas aussi rapidement chez Craig qui regarde plus attentivement son hôte, en repensant à tout ce qu'il lui a dit. Bon qu'il lui dise qu'il l'aimait, ce n'était pas le premier rebeu, pardon arabe qui lui disait cela mais quelques heures plus tard ils partaient sans laisser leurs numéros de téléphone!

Mais là, il se sentait bien avec Jawad, certes le gourdin qu'il avait entre les jambes y était pour quelque chose, lui le gourmand du cul mais quand il l'avait écouté parler, il lui avait paru plus sincère que les autres et il avait senti un petit pincement dans sa poitrine.
Mais aimer un mec c'est quoi ? pense t-il, j'aime me faire baiser par ce mec, et j'ai aimé le baiser!

Il retrouve les sensations quand sa queue était au fond du petit cul jordanien. Il serre Jawad un peu plus contre lui, il bouge, une jambe vient s'incruster entre les siennes, sa main descend sur sa poitrine et vient se saisir de sa queue, la tenant juste dans sa main et sa queue durcit à la vitesse grand V. Jawad soupire de contentement en soufflant dans le cou de Craig.
Il fait un bisou sur le front de Jawad et s'endort.

C'est le corps de Jawad contre le sien qui le réveille, la main qui tient encore sa queue et tout lui revient en mémoire. Jawad le jordanien, il est chez lui, dans son lit et il dort à côté de lui!
Jawad ouvre les yeux, le regarde de son regard doux, il sourit, lui fait un bisou sur le nez.
-tu bandes bien le matin mon amour! tu as bien dormi ?
-oui très bien et toi ? tu avais peur que je me sauve dans la nuit ? demande Craig en souriant.
-c'est pas souvent que j'ai un garçon dans mon lit, un garçon qui me fait envie, comme je lui fais envie, je le vois dans tes yeux et tu vois je t'aime toujours autant que cette nuit!

Il lâche sa queue pour mieux le serrer contre lui, lèvres contre lèvres :
-est ce que mon bébé français aime prendre du plaisir le matin au réveil ? je suis trop souvent obligé de me le faire tout seul.
-moi aussi souffle Craig.
-on se fait juter en s'embrassant, après on se lève, on prend une douche, puis je te fais le petit déjeuner et comme on est dimanche on pourrait aller au restaurant, puis faire une balade dans Paris, j'ai tellement envie que tu me connaisses plus, je te raconterais tout sur ma vie et j'aimerais en connaître autant sur toi t'en penses quoi mon chéri ?
-que du bien mon bébé jordanien, beau comme un dieu qui sent le sable et le soleil!

Jawad sourit en se saisissant à nouveau de la queue de Craig, qui vient prendre la sienne.
Craig colle son nez à celui de Jawad :
-le premier qui fait jouir l'autre paie le restau!
Ils rigolent en se branlant vite, mais les souffles se mélangent, la branle ralentit, les yeux ne se quittent plus, les lèvres se joignent, les langues se touchent timidement, ça gémit des deux côtés et d'un seul coup les yeux se ferment, et les giclées viennent ensemble se répandant sur le corps de l'autre. Ils lâchent les queues se serrent l'un contre l'autre en s'embrassant comme des malades pendant que les queues continuent de les inonder.
Lorsqu'ils s'arrêtent, ils rigolent tous les deux.
-match nul dit Craig en rigolant.

Le planning de la journée a été tenu, c'est Jawad qui a invité Craig.

Ils se sont baladés tout l'après-midi dans Paris, empruntant que de petites rues, où il n'y avait pas grand monde en ce dimanche, ce qui leur permettait de s'arrêter pour s'embrasser. Ils se sont racontés leur vie, leurs baises, leurs amants, les plaisirs inachevés et c'est Jawad qui a conclu :
-je suis très heureux de t'avoir rencontré, je n'ai jamais tant parlé à quelqu'un que je ne connaissais pas.
-on se reverra alors ? demande Craig.
-c'est ce que j'aimerais Craig, mais je ne veux pas te forcer.
Craig serre fort la main de Jawad.
-on n'est pas loin de chez moi, si tu veux je te montre mon appart, comme ça tu sauras où j'habite.


Cela se passait il y a six mois, tout a évolué et tout ce que Jawad avait dit c'est produit. Craig s'est installé chez Jawad et l'amour est venu les combler. Ils se suffisent à eux-mêmes, ne sortent que pour leurs plaisirs, s'offrant même le luxe de draguer ensemble un mec pour le mettre dans leur lit et s'en servir jusqu'à l'épuisement.

Ce n'est que longtemps après que Craig s'est rendu compte que son indépendance ne lui manquait pas. Il l'avait encore avec Jawad qui le respectait, le vénérait même certains soirs quand ils faisaient l'amour comme des bêtes en rut. Et cela leur plaisait énormément!