Le lapin à la carotte
Récit érotique écrit par Pepito38 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le lapin à la carotte
Deux ans que je connais Antoine et sa passion pour les légumes. Si j'ai bonne mémoire cela fait tout autant de temps, que je me demande quand va-t-il franchir le pas de la simple discussion en fin d’après-midi. Je le guette lorsqu'il sort de son travail, Il est groom à l’hôtel qui se trouve juste en face de chez moi. Son costume lui va à ravir. Il est 15h c'est l'heure ou il rend sa tunique.
- Coucou Antoine !
- Comment vas-tu Stéphane ?
- Très bien et toi ?
- Heu hé bien çà ira encore mieux si tu accepte mon invitation pour ce soir, je t'invite au cinéma.
Quelle ne fut pas ma surprise moi qui avait tant espéré ce moment j’étais aux anges.
Rendez-vous pris à 20h devant le Pathé Gaumont du quartier, je m'en retourne gaiement chez moi des étoiles plein les yeux et toute une multitude de scénarios et des rêves me remplissent la tête. Cependant j'étais loin de la réalité qui m'attendait ce soir là !
Il est 20h je suis devant le cinéma et l’aperçois, il est beau et à tiré à quatre épingles pour notre première soirée.
Ma première désillusion arrive quand il m'annonce que nous allons voir un film du genre « L'attaque des tomates géantes ». Passe encore pour ce film d'horreur de mauvais goût, mais le navet que l'on s'apprette à voir « Le lapin à la carotte » est à peine mangeable. Assis à ses côtés je me retrouve face à l'histoire insipide d'un lapin fou qui lassé des exactions du genre humain à l’égard de sa race, décide de leur faire payer à coup de carottes mijotées à toutes les sauces qu'il leur fait avaler jusqu’à ce que mort s'en suive. Le film se termine, les carottes sont cuites, le lapin meurt et l'honneur des humains est sauf . Je suis écœuré.
Antoine me demande comment j'ai trouvé. Je n'ose lui répondre que c'était à vomir. Un petit hochement de tête et un sourire dont il se satisfait et il enchaîne pour me dire je t'invite à manger c'est un restaurant bio tu verras tu vas aimer ; deuxième déconfiture
A coup de plat tous plus ou moins insolites les uns que les autres Antoine fini de me mette le radis en ébullition avec sa passion des légumes . Mon seul désir à ce moment ayant la goutte au poireau, était de lui dégorger le sien. J’aurai aimé qu'il m'en farcisse l'oignon au lieu de ça il m'a assaisonné en me disant quasiment toute la soirée mon chou par ci mon chou par là ! Vous comprenez, il m'aurai dis : « donne moi ton chou fleur » j'aurai compris pour un amoureux de légumes. N'en pouvant plus, la citrouille au bord de l'explosion je lui dis qu'il est tant que je rentre car demain est une journée assez gratinée pour moi. Mais mon Antoine loin de se sentir grillé, me demande de finir la soirée chez lui. Tout de même.
Malgré la mauvaise ratatouille servie depuis le début je me laisse bien malgré moi emporter dans sa marmite pour qu'il me cuisine enfin.
Allongé nu sur son lit et presque cuit à point il me demande de l'attendre quelques minutes . Quand il revient c'est le coup de grâce. Ne voilà pas Antoine en costume de banane la queue à l'air et criant à tue tête « c'est le dessert ». Son sexe un cornichon tout fripé sans vie et dans sa main un gode ayant la forme et l’apparence d'un énorme concombre. Trop c'est trop. Je me relève, me rhabille, lui disant qu'en matière de jardinage il n'y connaît décidément rien.
Je rendre chez moi désabusé. En guise de consolation je me résigne à regarder la télé. Un film commence, le titre s'affiche à peine : « Beignets de tomates verte ». J'en ai marre des légumes .
- Coucou Antoine !
- Comment vas-tu Stéphane ?
- Très bien et toi ?
- Heu hé bien çà ira encore mieux si tu accepte mon invitation pour ce soir, je t'invite au cinéma.
Quelle ne fut pas ma surprise moi qui avait tant espéré ce moment j’étais aux anges.
Rendez-vous pris à 20h devant le Pathé Gaumont du quartier, je m'en retourne gaiement chez moi des étoiles plein les yeux et toute une multitude de scénarios et des rêves me remplissent la tête. Cependant j'étais loin de la réalité qui m'attendait ce soir là !
Il est 20h je suis devant le cinéma et l’aperçois, il est beau et à tiré à quatre épingles pour notre première soirée.
Ma première désillusion arrive quand il m'annonce que nous allons voir un film du genre « L'attaque des tomates géantes ». Passe encore pour ce film d'horreur de mauvais goût, mais le navet que l'on s'apprette à voir « Le lapin à la carotte » est à peine mangeable. Assis à ses côtés je me retrouve face à l'histoire insipide d'un lapin fou qui lassé des exactions du genre humain à l’égard de sa race, décide de leur faire payer à coup de carottes mijotées à toutes les sauces qu'il leur fait avaler jusqu’à ce que mort s'en suive. Le film se termine, les carottes sont cuites, le lapin meurt et l'honneur des humains est sauf . Je suis écœuré.
Antoine me demande comment j'ai trouvé. Je n'ose lui répondre que c'était à vomir. Un petit hochement de tête et un sourire dont il se satisfait et il enchaîne pour me dire je t'invite à manger c'est un restaurant bio tu verras tu vas aimer ; deuxième déconfiture
A coup de plat tous plus ou moins insolites les uns que les autres Antoine fini de me mette le radis en ébullition avec sa passion des légumes . Mon seul désir à ce moment ayant la goutte au poireau, était de lui dégorger le sien. J’aurai aimé qu'il m'en farcisse l'oignon au lieu de ça il m'a assaisonné en me disant quasiment toute la soirée mon chou par ci mon chou par là ! Vous comprenez, il m'aurai dis : « donne moi ton chou fleur » j'aurai compris pour un amoureux de légumes. N'en pouvant plus, la citrouille au bord de l'explosion je lui dis qu'il est tant que je rentre car demain est une journée assez gratinée pour moi. Mais mon Antoine loin de se sentir grillé, me demande de finir la soirée chez lui. Tout de même.
Malgré la mauvaise ratatouille servie depuis le début je me laisse bien malgré moi emporter dans sa marmite pour qu'il me cuisine enfin.
Allongé nu sur son lit et presque cuit à point il me demande de l'attendre quelques minutes . Quand il revient c'est le coup de grâce. Ne voilà pas Antoine en costume de banane la queue à l'air et criant à tue tête « c'est le dessert ». Son sexe un cornichon tout fripé sans vie et dans sa main un gode ayant la forme et l’apparence d'un énorme concombre. Trop c'est trop. Je me relève, me rhabille, lui disant qu'en matière de jardinage il n'y connaît décidément rien.
Je rendre chez moi désabusé. En guise de consolation je me résigne à regarder la télé. Un film commence, le titre s'affiche à peine : « Beignets de tomates verte ». J'en ai marre des légumes .
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