Le verre de trop
Récit érotique écrit par Pepito38 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le verre de trop
- Vous savez boire ainsi ne vous rendra pas plus heureux ni même ne vous éloignera de vos difficultés.
- Un peu beaucoup éméché je réponds :«waouh et t'as trouvé ça tout seul monsieur Joe la science»! Je ne suis pas ici pour une conversation de comptoir, je veux juste me bourrer la gueule alors change de porte ou bois un coup avec moi mec.
- Je lève mon verre à l'idiot qui n'as pas su apprécier mon amour et qui m'a trompé avec ma meilleur amie.
Ce à quoi il répond en levant son verre avec un grand sourire :
- Je félicite cet idiot, car maintenant vous êtes disponible et qui plus est vous savez que votre amie n'en a jamais été une.
- Je suis ébahi par votre sagesse de mes couilles.
Il s'empresse de me retoquer :
- Encore faut-il en avoir de suffisamment grosse et bien pleine pour assumer les affres de la vie.
- Tu as l'air de t'y connaître toi en matière de testicules.
- Je me défends bien me répond-il !
- Ah ! Je vois, encore un de ces guignols beau parleur qui raclent les bars à la recherche d'une âme en peine et qui pense farcir du poulet à la saucisse de Strasbourg !
- Il rigole et m'empoigne par le bras en me disant qu'il est le patron et qu'il est tant que je rentre chez moi.
- Je vocifère en disant que « c'est un scandale, que l'on ne peut même plus boire en paix » avec mon dernier verre à la main que j'avale rapidement. La bousculade, le tournis et l'effet de l'alcool je n'ai rien compris. Je me retrouve à vomir sur lui tout en trébuchant sur un tabouret de bar .
Black out. Lorsque je reviens à moi le décor à totalement changé et cet homme qui voulait m’évincer de son bar m'éponge le front avec une petite serviette humide.
-Ça va ! Me demande t-il gentiment.
Confus et conscient de mon attitude j’éclate en sanglot et lui réponds : « je suis désolé pour ce que vous avez vu et supporté hier soir ».
Il me prend tendrement dans ses bras et me dit : « cet homme et votre soit disant amie ne vous méritent pas » et puis soudain il m'embrasse passionnément.
Je me souviens tout à coup, qu’après avoir vomis un peu sur lui et trébucher je baignais dans la fange nauséabonde de ma beuverie. Il m'a aidé à me relever et m'a accompagné aux toilettes pour que je me débarbouiller un peu avant de me laisser partir. Je me souvient de bribes clairsemées où je le vois enlever ma chemise, essuyer mon torse, une énorme érection dans mon pantalon et un fameux porté levé me propulsant jusqu’à hauteur du plafond et ce charmant patron honorant copieusement de sa salive mon service trois pièces jusqu’à l'éjaculation.
Je me redresse aussitôt le repoussant rouge de confusion. Il comprends que mes souvenirs sont revenus et enchaîne aussitôt en me disant « tu n’étais pas tout à fait lucide hier. Si tu veux je peux recommencer ».
Cette idée n'as pas mis longtemps à obtenir grâce dans mon esprit et dans mon entrejambe. Cette fois bien conscient, j'en ai apprécie toute l'intensité.
Jérémie est complètement sortie de ma vie en faisant ses valises et Sylvie essaie désespérément de trouver un moyen de se faire pardonner.
Quand à moi je retourne souvent dans ce bar où Marc le patron est un ancien patineur artistique et les toilettes le théâtre de nos ébats animés.
- Un peu beaucoup éméché je réponds :«waouh et t'as trouvé ça tout seul monsieur Joe la science»! Je ne suis pas ici pour une conversation de comptoir, je veux juste me bourrer la gueule alors change de porte ou bois un coup avec moi mec.
- Je lève mon verre à l'idiot qui n'as pas su apprécier mon amour et qui m'a trompé avec ma meilleur amie.
Ce à quoi il répond en levant son verre avec un grand sourire :
- Je félicite cet idiot, car maintenant vous êtes disponible et qui plus est vous savez que votre amie n'en a jamais été une.
- Je suis ébahi par votre sagesse de mes couilles.
Il s'empresse de me retoquer :
- Encore faut-il en avoir de suffisamment grosse et bien pleine pour assumer les affres de la vie.
- Tu as l'air de t'y connaître toi en matière de testicules.
- Je me défends bien me répond-il !
- Ah ! Je vois, encore un de ces guignols beau parleur qui raclent les bars à la recherche d'une âme en peine et qui pense farcir du poulet à la saucisse de Strasbourg !
- Il rigole et m'empoigne par le bras en me disant qu'il est le patron et qu'il est tant que je rentre chez moi.
- Je vocifère en disant que « c'est un scandale, que l'on ne peut même plus boire en paix » avec mon dernier verre à la main que j'avale rapidement. La bousculade, le tournis et l'effet de l'alcool je n'ai rien compris. Je me retrouve à vomir sur lui tout en trébuchant sur un tabouret de bar .
Black out. Lorsque je reviens à moi le décor à totalement changé et cet homme qui voulait m’évincer de son bar m'éponge le front avec une petite serviette humide.
-Ça va ! Me demande t-il gentiment.
Confus et conscient de mon attitude j’éclate en sanglot et lui réponds : « je suis désolé pour ce que vous avez vu et supporté hier soir ».
Il me prend tendrement dans ses bras et me dit : « cet homme et votre soit disant amie ne vous méritent pas » et puis soudain il m'embrasse passionnément.
Je me souviens tout à coup, qu’après avoir vomis un peu sur lui et trébucher je baignais dans la fange nauséabonde de ma beuverie. Il m'a aidé à me relever et m'a accompagné aux toilettes pour que je me débarbouiller un peu avant de me laisser partir. Je me souvient de bribes clairsemées où je le vois enlever ma chemise, essuyer mon torse, une énorme érection dans mon pantalon et un fameux porté levé me propulsant jusqu’à hauteur du plafond et ce charmant patron honorant copieusement de sa salive mon service trois pièces jusqu’à l'éjaculation.
Je me redresse aussitôt le repoussant rouge de confusion. Il comprends que mes souvenirs sont revenus et enchaîne aussitôt en me disant « tu n’étais pas tout à fait lucide hier. Si tu veux je peux recommencer ».
Cette idée n'as pas mis longtemps à obtenir grâce dans mon esprit et dans mon entrejambe. Cette fois bien conscient, j'en ai apprécie toute l'intensité.
Jérémie est complètement sortie de ma vie en faisant ses valises et Sylvie essaie désespérément de trouver un moyen de se faire pardonner.
Quand à moi je retourne souvent dans ce bar où Marc le patron est un ancien patineur artistique et les toilettes le théâtre de nos ébats animés.
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