Le mâle olfactif

- Par l'auteur HDS InFeetWeTrust -
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Récit libertin : Le mâle olfactif Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le mâle olfactif
Je ferme la porte d'entrée du type pour partir et je me rend compte que j'en ai plein le cul de trouver des plans à la va vite sur mon appli gay de référence...
Presque à chaque fois c'est la même chose, les mecs se disent dominateurs, alphas, avec de l'expérience, bla bla bla... La plupart du temps se sont juste des actifs qui ne demandent qu'à se faire pomper en faisant les pachas tout en usant d'un vocabulaire tellement cliché qu'il me rappelle les heures les plus sombres de l'histoire du porno. Que faut-il faire pour enfin trouver un vrai mâle qui n'a pas peur de bousculer et d'humilier ?!?
Pourtant ma présentation sur le site me paraît plutôt explicite « Jeune mec de 32 ans, aimant la pisse, les crachats, les odeurs de queues puissantes et être durement humilié par des mecs virils et très dominateurs », je pense ne pas pouvoir faire mieux !

Le temps de retourner à l'arrêt de bus, je vois que le mec m'a écrit. « Repasse quand tu veux, ma bite a aimé ta bouche ». Comment n'a t-il pas pu voir que je me suis fait chier ?!? Je lui ai vidé les couilles car j'avais quand même envie d'avoir une bonne dose de foutre à m'étaler sur la gueule avant de partir mais je suis presque sûr que mon ennui était largement assez visible pour qu'il s'en rende compte.
Bon, le côté positif c'est que même en m'emmerdant au plus haut point, je reste un vide couilles de qualité et, ça, je reconnais que ça flatte mon ego et me rehausse un peu l'humeur.

12 minutes avant le prochain bus. Je me sors une clope et me décale de l'arrêt pour l'allumer. Je profite de cette exposition au soleil pour savourer le plaisir de sentir sécher la pellicule de foutre restante sur ma gueule, ce qui tend encore un peu plus les pores de ma peau.

Quand je monte enfin dans le bus, je trace direct vers la seule place assise que je vois. Elle est dans le fond, dans les carrés avec quatre sièges face à face. Je ne vois pas encore les personnes sur les fauteuils opposés à celui dispo mais à peine ai-je vu celui qui sera sur mon coté que je me sens déjà mouiller un peu du cul.
Le mec a une de ses prestances... 60-65 ans je dirais, gueule de loubard, mal rasée et bien marquée par la vie avec un air des plus sévères, t-shirt Motorhead et jean troué aux genoux qui tombe sur des bottes de moto... Tout à fait ma came.
En passant devant lui, pour atteindre la place entre ce beau bad boy et la fenêtre, une très puissante odeur de sueur masculine me vient au nez et commence à fortement me troubler. Une fois assis je fais quelques mouvements, m'approchant un peu du couple en face de moi puis un peu de lui pour m'assurer que c'est bien ce dernier qui sent si fort le mâle alpha. Au moment où je m’aperçoit que ce parfum si attractif émane bien de lui, nos regards se croisent. Je me sens percé à jour, j'ai l'impression qu'il a deviné ce que je faisais. Peut-être mes aspirations nasales étaient-elles trop bruyantes ?!
Je fais mine de rien malgré le fait de me sentir extrêmement émoustillé. Allant moi-même à l'autre bout de la ligne, je me surprend à espérer qu'il ne descende pas trop tôt afin de pouvoir m'enivrer le plus longtemps possible.
Pour éviter de me faire griller, je laisse passer une ou deux minutes avant de me rapprocher à nouveau un peu. L'arôme musqué qu'il dégage est vraiment très intense, le mec a clairement sauté une ou deux douches au moins. Moi, j'adore mais je suis surpris de ne pas voir nos autres voisins jouer les dégoûtés comme j'ai déjà vu faire pour moins que ça.
Plein d'images me passent par la tête, toutes plus trash les unes que les autres, mais une est plus tenace tout de même : Celle où je lui sniff le gland pour profiter de ses effluves salaces. Vu le niveau du corps, celui de sa queue doit être totalement dingue. Je l'imagine énorme et dissimulée sous un prépuce colossal... Mon esprit me voit en train de le décalotter pour découvrir son gros bout violacé tout près de mon nez et ma bouche ...
Ces images ne sont pas sans conséquences. Rapidement ma bite commence à devenir bien dure et commence à former une bosse importante sous mon short. J'ai envie de me coller à lui, d'ailleurs inconsciemment je me rapproche de plus en plus...

Au moment où je réalise que je respire de plus en plus vite et fort, nos regards se croisent brièvement (il sait !) puis je vois son énorme main velue et pleine de bagues se poser sur ma cuisse. La femme du couple en face de moi écarquille les yeux avant de vite détourner son regard vers la fenêtre comme si de rien était.
D'un coup, tout se bouscule dans ma tête. Avec sa dégaine de vieux biker urbain je ne l'aurai pas imaginé branché mec. À la limite j'aurai pu même le soupçonner à tort de ne pas être méga gay-friendly.
Je suis presque tétanisé alors qu'il y a pas une minute j'étais prêt à me jeter dessus pour le sucer devant tout le monde...
Avec une poigne ferme, il tire ma jambe vers lui pour que je me rapproche. J'ose enfin le regarder en face et je peux lire dans ces yeux une détermination sans faille qui à l'air de dire « Toi la petite chienne, je ne vais faire qu'une bouchée de toi ».
Je sens que je suis entre de bonnes mains, autoritaires et perverses, je commence donc à me détendre et approche ma tête de son épaule pour le sentir sans vraiment prendre la peine d'être discret... Diantre, que j'aime les canicules quand elles me font de si beaux cadeaux odorants.
Le vieux rocker se penche un petit peu, attrape son sac en cuir à ses pieds puis le pose sur ses jambes. Il me lance un regard qui semble demander ce que j'attends. Le temps que l'information monte au cerveau, je me met à faufiler ma main entre sa besace et sa cuisse pour aller à l'essentiel et lui palper le paquet. Tout semble parfaitement comme je l'avais imaginé, il à l'air monté comme un cheval. Je sens la salive me monter en bouche et je suis littéralement en train de brûler d'envie de savoir quelle va être la suite …
À peine ai-je commencé à le palper que je sens le tissu de son jean en train de se tendre et sa queue en train de gonfler à un niveau gigantesque et à une vitesse incroyable en plus. Putain ... Il me la faut absolument dans la bouche !
Tout en palpant le fruit de mes désirs les plus fous à ce moment, je m'aperçois que des gens commencent à être gênés autour de nous. Mon regard cherche le sien pour lui faire comprendre que je suis assez peu à l'aise vis à vis d'eux. Il se penche vers mon oreille et me susurre « On descend dans deux arrêts, tu vas tenir ?
- Oui, de toutes façon j'ai pas le choix si je vous veux en moi... Et j'en crève d'envie ! ».

Le temps me semble interminable. Seule l'énorme membre que je tiens dans la main me permet de tenir cette gêne durable.
Lorsqu'il appuie sur le bouton, il se lève et je le suis tel un enfant qui suit son daron. Sauf que tous les regards sont braqués sur moi et ça n'est pas comme ça qu'on me le fait ressentir. J'ai plutôt l'impression d'être vu comme le minet qui va se faire démonter, casser en deux, et putain que ça m'excite !

Une fois dehors, il me choppe par le cul dans sa main de géant et me dit que nous sommes à deux minutes.
Inconsciemment j'imagine que nous allons chez lui. Sauf qu'au bout d'un moment il me fait rentrer dans une impasse entre deux brasserie. La rue semble à l'abandon. Il y a des poubelles partout, c'est crade et ça pue la pisse... Je devine que c'est là que je vais finir en pâture. J'adore ! On dirait que ce mec lit en moi.
On va au fond, près d'un angle. À n'en point douter, c'est ici qu'est la source de ce parfum vicieux ambiant. Le coin de rue est encore humide de la veille au soir. Sûrement le coin à pisse des mecs des bars qui ne veulent pas faire la queue aux chiottes.
Il s'adosse à une poubelle, me regarde et me dit « A genoux petite pute ! », sur un ton qui ne laisse aucune place pour l'hésitation. Ce mec me fait vraiment bander. J'obéis. Une fois dans la position demandée, il ajoute « Les mains dans le dos maintenant ! ». Bien évidemment je m’exécute sans me faire prier.
C'est à ce moment qu'il rapproche ma tête de son entre-jambe et qu'il commence à déboutonner sa braguette.
J’attends avec impatience de voir ce qui va en sortir. Le coté crade et l'odeur de pisse de cette rue me rend encore plus bouillant. Comme dirait la grande Ariaxx « la fange est le sofa des truies... ».
Lorsqu'il sort son gourdin, je vois que malgré une taille conséquente il a pas mal ramolli. Une demi molle, mais bien compacte, que je sens déjà bien alors qu'elle est à 15cm de mon nez. J'étais sûr que ça allait être un régal olfactif !
Je prend des grandes bouffées nasales, sans m'en cacher le moins du monde. C'est alors qu'il commence à me biffler en commençant à dégueuler un flot de paroles bestiales qui a l'air hors de son contrôle « C'est ça ton truc petite traînée ? Sniffer les vieux messieurs à l'hygiène douteuse ? J'ai tout de suite vu que tu étais une grosse chienne, en plus tu puais le foutre quand tu t'es assis à coté de moi ! Tu veux des odeurs, tu vas voir, tu vas pas être déçu la pute ! ».
Au fur et à mesure de ses mots, les coups de chibre en pleine gueule sont devenus de plus en plus forts. De plus en plus durs aussi, en adéquation avec l'état de son membre.
Chaque fois que sa queue approche de mon visage pour le fouetter, j'en profite pour en chopper un max l'odeur.
Il finit par m'immobiliser la tête, la tirer un peu vers l'arrière avant d'approcher son gland de mon nez. Il ne me touche pas mais je sens la chaleur qui en dégage. J'en sens aussi le parfum qui est copieusement épicé. Heureusement que je suis sûr-excité car sinon ça pourrait même être trop mais, il faut me l'avouer, là c'est pile ce dont j'ai besoin... J'arrive à distinguer précisément les différentes odeurs qui s'en dégage. Il y a de la pisse bien sûr, de la transpiration, du vieux foutre et un léger parfum de capote - il a dû prendre un cul ou une chatte il y a peu - le tout étant bien relevé après avoir macéré sous son prépuce épais ...
« Prend bien le temps de la sniffer, profite de son parfum, une fois que tu l'auras dans la bouche ça va la laver, il ne te restera que l'odeur de pisse de la rue pour bander ... ».
Il a raison, j'adore les bites odorantes mais c'est un plaisir à court terme car inévitablement quand je les pompes elles perdent une immense partie de leurs saveurs dans l’immédiat.
Sur ses conseils, je me concentre pour bien en profiter tout en me retenant de me jeter dessus tant elle me fait envie.
Au bout de presque une minute (même si le temps m'est bien abstrait là tout de suite), il me demande d'ouvrir la bouche, ce que je fais. Il se penche vers moi, racle sa gorge et me crache un énorme mollard dans la gueule. «Avale salope !», je ne me fais pas prier et, sitôt j'ai dégluti, sitôt il me colle sa grosse teub dans la bouche.
Il m'attrape par les oreilles, me bloque la tête, puis commence à mettre des immenses coups de boutoir à son rythme et jusqu'au fond. Les larmes me montent et j'ai régulièrement des hauts le cœur, j'ai l'habitude de me faire baiser la bouche mais là entre la durée du truc et la taille de sa queue, je suis à deux doigts d'avoir des renvois. Notamment un que je freine mais qui se fait remarquer par le macho. Aussi tôt le renvoi ravalé, il se retire et me colle une immense mandale dans la gueule. Non seulement sa force est à deux doigts de me dévisser la tête mais en plus ses bagues me défoncent la pommette. J'ai honte de ne pouvoir mieux répondre à ses attentes.
Il reprends ses vas-et-viens plus doucement cette fois, attrape mes mains derrière mon dos pour me signifier que je peux m'en servir. Je ne manque pas l'occasion de prendre cette magnifique queue dans la main, sans couches de tissu entre nous cette fois. Je le branle doucement tout en passant ma langue entre son prépuce et son gland. Le goût est à la hauteur de son odeur. Je ressens bien dans la moiteur du gland les différents parfums que j'ai deviné tout à l'heure. Je prends le temps de jouer avec ma langue et son gland. J'adore quand ils sont si volumineux, j'ai l'impression d'avoir une tétine pour adulte.
Plus j'entends ses gémissements devenir rapides et sonores, plus je fais en sorte que ma langue lui procure des effets de surprise. Je veux être sur que cette pipe restera longtemps dans sa mémoire.
Au bout de quelques minutes, je le sens défaillir. Je m'attends à me faire arroser la gueule et la bouche à tous moments.
Finalement, alors que je sens les veines de sa queue palpiter dans ma bouche comme pour annoncer l'arrivée du foutre tant attendu, il me dit de me retourner et me mettre à 4 pattes. En faisant volte-face, je me rend immédiatement compte que je vais devoir poser mes mains dans les restes de pisse de la veille. À la guerre comme à la guerre, d'autant que je dois reconnaître que lorsque mes mains s'y posent, ça m'excite autant que ça me dégoutte !
Il baisse mon short en tirant d'un coup dessus. Si fort que je me sens rassuré de ne pas entendre le bruit d'un déchirement. Je l'entends cracher dans sa main avant de le sentir venir me tartiner le fion avec sa bave visqueuse. Il insert la première phalange d'un doigt, sans la moindre délicatesse, puis une phalange d'un deuxième. Je dois dire que ce traitement ne m'est pas des plus agréables. J'ai beau être fortement excité, ça fait un moment que je ne me suis pas fait péter le cul et son manque de préparation m'est un peu douloureux.
Je le sens essayer de décoller ses deux doigts l'un de l'autre dans mon fondement pour m'élargir au plus vite.
Il ressort, recrache (directement sur mon cul cette fois), puis me les remet.
Je sens la douleur se transformer en plaisir ! Puis, plus rien.
Pendant un instant je me demande ce qu'il fait. C'est quand j’entends le bruit d'un emballage de capote en train de se faire déchirer que je comprend que l'on arrive enfin au moment où son énorme lance va m’empaler.
Il recrache puis rentre en moi, doucement mais sans pause jusqu'à s'enfoncer jusqu'au fond. Une fois à destination, je me décrispe un peu, prend une grande respiration pour me préparer à encaisser.
Je pense qu'il a prit ça pour le signal de départ car, à ce moment, il me choppe par la gorge pour me tirer vers lui ainsi que pour m'étrangler un peu et commence à me défoncer comme si mon cul était une chatte des plus mouillées.
Je le sens s'exciter dans mon dos. Il devient de plus en plus rapide et sa respiration, elle, se fait très sonore. Lorsqu'il se met à ralentir, c'est pour me dire « Tu voulais des odeurs petite fiotte ? Tu aimes quand ça pue ? Alors tiens, kiff ça et dis moi merci ! ». Il joint le geste à la parole en appuyant sur ma nuque pour que mon buste tombe au sol puis me plaque le coté de la tête dans le reste de flaque de pisse.
L'odeur d’ammoniac est à la limite du supportable mais ça m'excite tellement que ce mec n'en ai rien à foutre de mon confort. L'idée d'avoir la gueule maintenue dans un mélange d'urines de parfaits inconnus, le tout accompagné de coups de grosse teub jusqu'au fond de ma boite à foutre, commence à me faire gémir sans retenue. Je me fous de savoir si je vais alerter les voisins. Mieux, ça m'exciterai que ça soit le cas et de me faire mater dans ces conditions les plus vicieuses.
Je lui hurle « merci Monsieur » tant bien que mal avec sa main qui me compresse sur le sol humide.
Les allers et venues dans mon cul s'accélère au rythme grandissant des sons bestiaux émanant de ma bouche. Il se retire et arrache la capote d'un coup en me tirant par le col du t-shirt pour me ramener au niveau de son sexe. Il s'enfonce dans ma bouche et, avant même d'avoir atteint ma glotte, me déverse un torrent de foutre chaud, épais et délicieusement salé.
Commençant à m'habituer au niveau de vice de ce beau mâle, je prend sur moi de ne pas avaler tout de suite, en gardant la bouche assez entrouverte pour que son précieux nectar lui soit visible.
«Ahaha c'est bien, t'es vraiment une super chienne, tu peux avaler maintenant et je te conseil de sourire une fois que c'est fait si tu ne veux pas en reprendre une !».
Je soutiens son regard de vieux pervers en avalant tout d'une grande et unique lampée pendant qu'il frotte sa queue, déjà en train de ramollir, sur mes joues pour essuyer les derniers gouttes de jus.
Il me dit, juste après me cracher dessus, « Regarde toi putain, tu avais déjà une gueule de pissotière et maintenant tu en portes l'odeur... Demande moi d'en devenir une vraie !».
«S'il vous plaît Monsieur, pourriez vous me faire l'honneur de m'offrir votre pisse s'il vous plaît ?».
J'ouvre la bouche en grand et il pose son gland humide sur ma lèvre inférieure. Je le vois se concentrer mais, à part une gouttelette par-ci par-là, rien ne se passe. Il fini par lever la tête vers le ciel ensoleillé, comme pour ne pas être distrait par mes yeux de truie affamée qui sait qu'on va la nourrir. Quelques secondes se passent puis les gouttelettes se transforme en source, puis en jet.
Sa pisse est encore plus corsée que son jus. Je reconnais le goût de l'urine des gros buveurs de café. J'aime quand ça n'est pas trop facile à boire. L'image que cela me renvoie de ma condition n'en est que plus excitante. Une grosse pute prête à tout pour se sentir souillée.
Comme si une idée fulgurante lui traversait la tête dans l'immédiat, il stoppe l'arrosage, recule d'un pas et se met à repisser sur ma gueule et mon t-shirt.
J'en ai partout, c'est chaud et collant comme j'aime.
Une fois qu'il a fini, il me colle sa bite dans la bouche pour que j'en absorbe les dernières gouttes avant de commencer à se rhabiller. En finissant de se reboutonner il me dit, sur un ton tout ce qu'il y a de plus sérieux, « Et bah, on peut dire que t'es un vorace toi. Je pense que t'en as au moins pour une petite demi heure à sécher ici avant de pouvoir te barrer discrètement. Du coup, j'ai envie de te tester. Je vais faire un tour et si dans une heure, quand je reviens, je te trouve encore ici avec le cul dans la pisse alors que le haut est redevenu sec, je saurais que tu veux que je fasse de toi ma pute et si c'est le cas, sache que je vais avoir de grands projets pour toi. Tu as toutes les cartes en mains.», puis il se casse sans même se retourner vers moi.
Ses mots ont réussis à accentuer mon excitation que je pensais pourtant à son paroxysme. Il n'est pas encore sorti de la rue que je sais déjà que je serais encore là dans une heure, en espérant même trouver un moyen pour qu'il me voit encore plus dépravé qu'à son départ.
Si tous les mecs étaient aussi pervers et compétents, je ne sais pas si je me ferais chier à attendre mais, là, l'occasion est trop rare et trop belle pour la laisser passer.
Je suis excité comme un dingue à tel point que je vais direct poser mon cul, sûrement encore fumant, dans la flaque de pisse pour patienter en attendant le retour de celui qui sera mon futur Maître je l'espère ...

InFeetWeTrust

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super et chaud j adore

J'ai joui avant la fin de l'histoire.

Histoire Erotique
C'est trop fleur bleue !!!...

Chacun ses trips et ses fantasmes, je ne juge vraiment pas.
Mais attention : HIV VHB VHC rôdent encore sournoisement...

Prends ton pied avec prudence...



Texte coquin : Le mâle olfactif
Histoire sexe : Une rose rouge
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