Les aventures de Sniffeur & Puante / Partie 1 - Chapitre 3

- Par l'auteur HDS InFeetWeTrust -
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Récit libertin : Les aventures de Sniffeur & Puante / Partie 1 - Chapitre 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les aventures de Sniffeur & Puante / Partie 1 - Chapitre 3
Les aventures de Sniffeur & Puante

Pour des raisons de discrétion les noms, ainsi que ceux de certains lieux, ont été modifiés -

Partie 1 : Week-end vicieux en amoureux.

Chapitre 3 – Les chacals de Pigalle (quoi, on dit des chacaux ?!?) !

J'ouvre les yeux avec la sensation que mes couilles vont exploser. Cette fois ma tentative d’érection matinale va plus loin que d'habitude et l'anneau de ma cage appuie sur mes boules jusqu'à l’extrême.
Je me lève pour foncer à la salle d'eau. Ma précipitation due à la douleur se fait puissante, si bien que je peux m’estimer heureux de ne pas avoir réveillée celle qui m'a ordonnée de la laisser pioncer jusqu'à 10h30 et qui, tant qu'elle ne m'aura pas baisé le cul et libéré de ma cage (ce qui est prévu après son réveil) reste en position de Maîtresse donc, bien sûr, est toujours en mesure de me punir à sa guise si son mécontentement l'emporte.
Au bout de 5 minutes à me passer de l'eau froide sur les testicules, et aux travers des trous de ma cage, le début d’érection ne tarit pas. Je douille à un point que je fini par me mettre entièrement dans la cabine de douche et me passer sous l'eau la plus fraîche possible tout en évitant de me rincer le visage, ma Dominatrice de femme m'ayant explicitement demandé de rester souillé de notre plan d'hier.
Cette expérience particulièrement désagréable, surtout au réveil d'une nuit à nouveau trop courte, finit par vaincre le dictât de mon anatomie.

À mon retour sous les draps, aux côtés de ma douce, je découvre sur mon téléphone qu'il me reste à peu près une heure avant de pouvoir réveiller mon amoureuse avec un gros câlin...
Je décide de tuer le temps en fumant un joint à la fenêtre, avec mon casque sur les oreilles me chantant les meilleurs morceaux de La Souris Déglinguée. Avec le soleil qui commence à illuminer la ville, écouter tous ces tubes vantant les vertus des rues parisiennes me met d'une excellente humeur.
J'adore la lumière à cette heure du matin (quand le ciel ne nous tombe pas sur la tête) et je trouve très agréable d’émerger dans ces conditions.

Lorsque je vois mon téléphone indiquer 10h20, j'enfile mon froc et mon t-shirt de la vieille, et je descend chercher deux cafés à la machine dans le hall.
À mon retour, je pose les gobelets sur nos tables de nuit respectives et je me reglisse sous les draps aux côtés de Blanche. Elle dort sur le flanc, dos à moi, quand je passe un bras sous son cou et l'autre par dessus son buste pour aller attraper un sein. Je me blottis contre elle, remplaçant mon habituelle queue bandée le long de ses fesses par la sensation de ma prison phallique en plastique dur.
Son corps reste inerte et sa respiration continue de trahir un sommeil profond. J'entame alors une série de baisers sur son cou, sur sa nuque, sur le haut de son bras. J'en profite pour laisser traîner mon nez au creux de son aisselle afin de savourer le produit de notre soirée de la veille, cumulé à sa transpiration nocturne. Ça y est, elle bouge. Enfin, disons plutôt qu'elle commence à remuer du bassin tout en restant encore bien accrochée dans les lianes de Morphée.
Je descends ma main le long de son ventre. Arrivé au pubis, je joue un instant avec mes doigts dans sa toison hirsute, comme pour entortiller ses poils, puis je vais chercher le clito pour le masser.
La coquine est déjà humide, ses rêves ont dû jouer en ma faveur. Ça m'arrange pour lubrifier mes doigts et mieux glisser mon majeur sur son clito qui commence à réagir en gonflant.
Blanche ouvre doucement les yeux et se tourne vers moi pour se mettre sur le dos, me facilitant l'accès de son bouton.
Nous nous embrassons doucement. Je sens dans le mouvement de ses lèvres que la lutte contre sa nuit n'est pas totalement terminée, ce qui m’amène à lui dire qu'elle a un café sur sa table de nuit. L'info «café» fonctionne à grande vitesse car, dans la seconde, elle se redresse pour s’asseoir sur le lit et attraper son café et sa clope électronique. J'en fais de même, bois mon café en deux gorgées et vais me frayer un chemin sous les draps pour aller laper sa chatte déjà gluante de cyprine.
Moi je ne viens pas de me réveiller, et ces quelques jours de frustration (mêlés à une forte tentation permanente) font que je suis déjà en rut ce matin. C'est pourquoi, sans préambules, je me rue dessus et commence à lécher les grandes lèvres, profitant de leurs goût très prononcé... En même temps, entre les assauts d'hier soir, la lourde quantité de mouille déversée depuis sa dernière douche, la capote (qui n'a quand même pas un parfum neutre ni léger) et la sueur qui a accompagné ce cocktail tout du long, c'est loin d'être anormal que d'y découvrir une odeur de fauve en chaleur. De plus, on ne peut pas dire que je n'aime pas ça car je m'en délecte, partagé entre l'envie de nettoyer en en ayant plein la bouche et la crainte de faire disparaître ces effluves si excitantes.
Alors que je suis en pleine besogne, je sens la main de Blanche se placer sur ma tête et réussir l'exploit d'empoigner mes cheveux dont la longueur est pourtant très courte. Je lève les yeux pour regarder vers elle et, à travers la touffe de poil qui me fait face, je vois le regard de ma cochonne qui semble bien réveillée maintenant. Ses yeux, plissés en amande ce qui leur donne un air très vicieux, pétillent en me confortant sur le bon travail que j'effectue entre ses jambes.
Sans avoir le temps de refermer les yeux pour m'abandonner à ma tâche, la Dominatrice en construction approche ma tête d'elle, en continuant de l’agripper, pour y jeter un gros crachat avant de la repositionner à sa place : face à son intimité débordante de poils et de mouille.
Mon activité linguiste reprend de plus belle, peut-être encore plus enflammée qu'au départ avec cette plus-value d'excitation que m'a procuré ce mollard en pleine gueule.
Aucune idée de combien de temps cela dure, mais ça dure et ça marche. Blanche remue tant elle est bouillante, ses jambes ne cessent de bouger comme si elles devenaient hors de contrôle et sa respiration s'intensifie aussi bien en rythme qu'en volume avant de laisser place à des gémissements ressemblant à des suppliques d'en finir.
Le message est transmis et je me focus sur le clito, accélérant encore le rythme de mes coups de langue pour l’amener à l'orgasme. Quelques secondes de ce traitement de faveur suffisent pour la faire hurler comme une damnée, ne s'inquiétant aucunement de la gêne qu'elle peut susciter pour nos voisins. Car oui, impossible que tout l'étage (au moins) n'en ai pas profité mais tant mieux ... J'aime que les gens sachent quelle putain elle peut être, ça me rend fier que ma chère et tendre soit vue comme la petite nympho - accro au cul - qu'elle est devenue (c'est important d'avoir des points communs dans un couple) !
Une fois son souffle à peu près revenu, Blanche me saisit la nuque pour me faire remonter vers elle. Je capte que c'est, entre autres, pour m'embrasser. J'ai beau, discrètement, essuyer ma joue contre le haut de sa cuisse, je sens bien que mon visage reste trempé mais, loin de la refroidir, un immense sourire pervers se dessine sur sa belle gueule quand elle le découvre. Lorsque nos tête sont à niveau, elle m'essuie comme elle peut avec deux doigts avant de me les enfourner dans la bouche pour que je les suce. J'adore sucer, des queues certes, mais aussi des godes et des doigts. C'est pourquoi j'y mets une attention toute particulière en ne quittant pas le jeu de regard entre ses yeux d'un bleu perçant et les miens, aimant y voir un épanouissement salace s'y dessiner.
Lorsqu'elle estime que ses doigts sont assez propres, elle les retire et nos bouches se jettent littéralement l'une sur l'autre, nos langues se cherchent et se trouvent dans un surplus de salive on ne peut plus excitant. Pendant ce temps, je la sens chercher quelque chose de la main sans y parvenir. Nos têtes finissent donc pas se délier, elle se penche au sol sur son côté de lit et se redresse pour me tendre sa culotte.

« Tiens, renifle ça. Elle doit être intense et pendant ce temps je vais te frustrer un peu, j'ai envie d'en profiter avant de t'enlever la cage. »

Me demandant quelle nouvelle idée sadique lui est passée par la tête, je saisit la culotte verte émeraude sur l'extérieur, mais avec des traces de sécrétions à l'intérieur, pour la porter à mon nez. Je retrouve le parfum qu'arborait sa chatte un peu plus tôt, mêlé à une légère odeur d'urine qui n'est pas pour me déplaire. Bien au contraire. Lorsque Blanche lit dans mes yeux que son sous-vêtement a l'effet escompté, elle se met à quatre pattes, à côté de moi, son cul dans la direction de ma tête. Inévitablement je crois comprendre que ce magnifique œillet orné de poils se doit d'être flatté. Je crache dessus et vais y coller mon majeur pour jouer avec la salive sur l'entrée de ce superbe fion. Je l'étale, fait des petits ronds sur l'anus pour que ça se diffuse aux bons endroits puis je commence à forcer le passage avec tendresse.

Pendant ce temps, Blanche a mis son visage au-dessus de mes couilles. Je l'entend renifler, prendre de grandes inspirations ... Tout comme nombre de nos nouveaux jeux, c'est assez récent pour elle de sniffer des odeurs, jusqu'à son fameux déclic, seul moi jouissait allègrement de ses effluves, sans jamais inverser (hormis mes aisselles, elle aime quand je sens le déménageur en fin de journée estivale !). Les gémissements qui lui échappent après chaque inspirations trahissent que ce nouveau kink est également devenu le sien.
Lorsque ma première phalange pénètre son fondement, elle laisse échapper un petit son de surprise puis commence à chatouiller mes couilles avec le bout de sa langue. En théorie, j'adorerai ça si je pouvais me branler mais là, emprisonné dans une cage qui commence à se faire trop petite, ça me rend fou et me fait monter à un niveau de frustration qui met mes pensées dans tous les sens.
Bien que je ne vois pas son visage avec le point de vue qui est le mien, je m'imagine exactement la scène, comme si je la voyais de face. Sa petite langue pointue essayant de me surprendre en touchant des zones au hasard pour accentuer mon déboussolement face à cette pratique. Comme ma queue ne peut frétiller comme elle le souhaiterai pour lutter contre ce supplice, ce sont des spasmes qui me gagnent, qui me font sursauter tant cette douce torture est une réussite. Je ne tiens plus en place et il se fait de plus en plus dur pour elle d'attaquer du bout de la langue sans risquer de se prendre un coup de bassin inattendu.
Par précaution, plus que par lassitude, elle met fin à ce nouveau jeu et revient se poser à côté de moi, reprendre quelques taffes sur sa vapote avant de me demander d'aller chercher le gode-ceinture et le lubrifiant.
Cette demande à l'effet sur moi d'une décharge. Non seulement elle signifie que je vais me faire péter le cul comme la petite chienne que je suis mais, également, que la fin de mon calvaire de chasteté approche.
Sans me le faire dire deux fois, je vais fouiller dans le sac de toys récupérer ce que Maîtresse demande et lui apporte. Elle enfile la ceinture, place le gode dans l'anneau et me fait mettre allongé sur le dos, la tête rehaussée par un oreiller et m’enjambe pour se mettre à califourchon sur mon buste, le gode juste en face du trou à bites qui me sert parfois de bouche. Elle l'agite sous mon nez en me regardant dans les yeux, si bien que je ne sais plus trop où poser les miens. Le phallus en plastique bleu gagne puisqu'elle me l'approche encore un peu pour que je le prenne dans la bouche. Je commence à le pomper mais mes mouvements sont très limités, ses jambes bloquent mes bras le long de mon corps et elle est trop en avant pour que je puisse avoir de vrais mouvements de nuque. C'est donc elle qui va prendre possession de ma bouche à sa guise.
Ses premiers vas-et-viens se font doux, allant rarement beaucoup plus loin dans ma bouche qu'avec le gland. J'ai beau aimer ce contrôle venant d'elle, ça me semble interminable cette attente avant l'action et je dois dire que c'est extrêmement frustrant de ne pouvoir aller à mon propre rythme …
Je ne peux plus lever assez la tête pour la regarder et c'est bien dommage car elle commence à m'arroser de crachats sur la gueule et j'adorerai la regarder faire. Je ne sais pas combien elle m'en jette, peut-être 10, peut-être 15... Toujours est-il que j'en ai partout sur la gueule, sur les cheveux et j'en ai même un peu qui me rentre dans les yeux... Ce masque gluant accentue mon excitation, ce qui me fait tenter de bouger plus, de prendre plus de gode en bouche.
Entre mes tentatives et la vision de ma gueule recouverte de sa bave, Blanche regagne en énergie et entame une accélération, évolutive mais rapide. Au bout de deux minutes, elle va tellement vite et loin dans ma gorge que je peine à respirer. Rapidement des larmes viennent aider les crachats à garder ma tête dans l'humidité. Cet instant est d'une telle intensité que Blanche commence à perdre le contrôle et opte pour un dialogue solo des plus vulgaires dont je n'entends pas tout.

« C'est bien, c'est ma grosse pute ça... Ma fiotte cocu bien humiliée comme hier... Tu as aimé ça de me voir me faire ramoner par une queue faisant le double de la tienne, hein ? Ça n'est qu'un début crois moi […] ça sera une de tes rares utilités […] en faire ta place naturelle ! Vas-y, bouffe ma queue chienne […] ton cul c'est le miens et pour toujours […] bon qu'à ça petite tapette... »

Bien qu'une bonne partie de cette tirade me manque, je crois avoir bien saisi l'ambiance générale et elle me plaît beaucoup. Elle me plaît presque autant que de voir cette belle jeune femme de nature très timide, qui partage ma vie depuis bientôt 8 ans, se transformer en une démone lubrique incapable de contrôler son vocabulaire !
Après ce déglutissement verbal elle sort de ma bouche, emportant avec elle une bonne quantité d'un mélange de salive et de bile qui, quand ça n'est pas lié au gode par un long filet visqueux, vient se répandre sur mon menton et mon torse.
En reculant de mon buste elle attrape son oreiller avant de me surélever le bassin pour le caler. Elle prend un peu de ce qui coule sur mon torse et en badigeonne ma raie puis verse du lubrifiant sur sa main. Elle l'applique sur son index et son majeur qui, aussitôt, viennent se positionner devant ma rondelle.
Là encore, l'excitation a pris le dessus sur mon côté naturellement étroit du fiak car elle arrive à les rentrer (les deux en même temps) sans la moindre difficulté, pas même un vague ralentissement. Je vois dans ses yeux qui s'écarquillent légèrement qu'elle est aussi surprise que moi et un sourire ravageur, exprimant une haute lubricité, se dessine sur sa gueule d'ange dépravé.
Elle joue avec ses deux doigts en moi. Pas trop de vas-et-viens au début mais elle les tournent en moi, elle les écartent afin de me dilater. Parfois elle les sort et me les met dans la bouche pour m'humilier mais aussi pour les relubrifier, avant de me les recoller dans le fondement.
Quand mon cul est assez élastique à son goût, elle retire ses doigts qu'elle me fait nettoyer dans l'instant, puis se met face à moi en me refoutant sa culotte odorante sur le nez. J'entends le bruit du tube de lub qui s'ouvre et se verse. En jetant un œil je la vois branler le gode pour bien étaler, c'est un spectacle agréable à regarder. Je me suis toujours dit, déjà bien avant qu'elle envisage de dominer, qu'une grosse queue épaisse pendant entre ses jambes s'assortirait très bien à ce joli corps tout fin. Ça restera toujours un fantasme évidemment, mais il est plaisant et tenace celui-là.
Elle s'approche de sa cible et, tout en m'attrapant les couilles (qui sont déjà au bord de l'explosion), elle entre en moi. Elle est y va assez doucement mais le fait que ça se fasse sans la moindre gène, et de manière très fluide, illumine son visage. Ses yeux puent le cul, je ne l'ai jamais vu avec un regard transpirant autant le vice. C'est la troisième fois seulement qu'elle me prend le cul avec un gode, et c'est la première fois que ça se fait de manière aussi facile, ce qui n'est pas sans lui faire effet il semblerait.
Mes jambes se nouent autour de sa taille alors qu'elle se penche vers moi pour m'embrasser à pleine langue, de manière animale, sans pour autant baisser le rythme de ses coups de reins. Elle se relève en me crachant à nouveau dessus. J'ai l'impression d'avoir la gueule recouverte d'un masque de salive épaisse.
Mon excitation est telle que je suis moi-même surpris par les sons qui émanent de moi. Mes gémissements sont saccadés, en accord avec la cadence de cette fausse queue qui entre et sort de moi. Parfois rauques, parfois totalement dépourvus de virilité.
La superbe perverse au fond de mon cul se délecte de cette acoustique et en joue. Parfois en accélérant, parfois en ralentissant, j'ai l’impression qu'elle expérimente pour voir quel bruit va sortir de ma bouche. Nos yeux ne se quittent pas et ce jeu de regard ne cesse de nous stimuler. À tel point que je sens du liquide me couler très doucement sur le haut de la cuisse. Je devine aisément que c'est du pré-cum qui s'échappe par les creux de la cage.
Quand je commence à devenir vraiment très sonore, la belle vicieuse accélère la cadence et me fait frôler un orgasme anal. Je pensais qu'elle insisterait pour l'atteindre mais elle semble avoir finalement d'autres idées en tête puisqu'elle sort de mon cul doucement pour venir se placer sur mon flanc et me présenter le gode à sucer. Je commence à pomper le plastique souillé en la regardant. Je la vois alors, sans s’arrêter d'onduler du bassin, enlever le collier autour du cou pour le garder en main. C'est celui auquel est attaché la clé de ma cage.
Elle me laisse finir de nettoyer son gode avant de me tendre le pendentif.

- Enlève ta cage et va te nettoyer la queue, j'ai envie que tu jouisses dans ma bouche.
- Avec grand plaisir. Tu vas être servie, depuis le temps je n'ai pas joui...

Avant même de finir cette phrase, je suis en route pour la salle de bain.
Ma queue étant toute comprimée dans sa geôle, je prend grand soin de l'enlever sans me blesser. Quand j'y arrive je peux voir sur ma peau la forme des interstices de la cage. Les quelques trous prévus pour uriner créés sur mon prépuce des espèces de petits cercles dont le centre semble en relief.
Je prends bien le temps de rincer, puis de savonner en massant, afin de l'hydrater et lui faire reprendre une forme humaine …

À mon retour dans la chambre, je vois Blanche en train de se branler avec son Wand. Faisant passer la tête du haut en bas de sa chatte trempée.
Je me pose à coté d'elle pour l'embrasser et passer ma main sur son corps, jouant à nouveau avec sa crinière de pubis mais elle ne me laisse pas le temps de l'accompagner vers l'orgasme car, en moins de deux minutes, elle change de place pour venir mettre sa tête près de ma teub. Il reste encore quelques stigmates de la cage mais elle n'en dit rien et la prend en bouche.
Après ces 5 minutes à la laver sous la flotte, ma vigueur est retombée et c'est à peine une demi molle qu'elle ingère et qu'elle se met à téter comme si elle buvait au biberon. La chaleur et l'humidité ont un effet immédiat sur ce sexe frustré depuis plusieurs jours. J'adore grossir au fur et à mesure d'une pipe.
Il ne faudra pas plus de quelques secondes pour que je me déploie contre son palais. Tout comme il ne faudra pas plus de quelques petites minutes de ses talents de suceuse acharnée pour me faire déverser un torrent de foutre au fond de sa gueule. Mon orgasme semble interminable tant il est long et intense.
Dès que ma queue cesse d'envoyer du jus, ma belle petite chienne revient vers moi et me roule un pelle gluante ce qui me permet de me rendre vraiment compte de la quantité de sperme que j'ai lâché. Je ne sais pas si c'est le fait de ne pas avoir joui depuis longtemps mais je trouve le goût beaucoup plus salé que d'habitude et, mon excitation retombant, ça n'est pas sans m'humilier que de devoir le bouffer. Bien que cette pelle torride me redémarre un peu, que l'excitation de sentir nos visage visqueux se coller l'un à l'autre pourrait rapidement me re rendre dur si nous le voulions, nous retombons doucement et, après un petit câlin, nous luttons contre le coup de barre pour aller nous préparer pour cette belle journée exhib qui nous attend...

Le temps des douches et de quelques arrêts de métro et nous voilà à Pigalle, sur la même terrasse où j'étais la veille à la même heure, en train de nous commander deux pintes et une assiette de frites.
Blanche ne sait pas que j'ai déjà quelques idées derrière la tête. En effet, j'ai des coups de fil à certains sex-shop, pour savoir lesquels acceptent un peu d'exhib (voire plus), j'ai eu le temps d’échafauder un plan. Cependant Blanche semble un peu stressée et nous privilégions ce moment agréable au soleil à boire un coup pour qu'elle se détende.

Après deux autres tournées, j’envoie un message au daddy de la veille pour qu'il nous rejoigne sur un des spots (ce qu'il ne fera hélas jamais) puis nous partons pour le premier shop.
Sur le trajet, j'explique à Blanche que sa seule obligation est de se montrer et de laisser tripoter par mes soins. Je lui dis qu'il y aura peut-être plus, mais uniquement si elle le sent et qu'il ne faut pas qu'elle se mette la pression avec ça, ça se fera si ça se fait naturellement. Bien que je la sente encore un peu crispée elle me dit que ça lui va et que ça l'excite de ne pas trop savoir où elle va et ce qu'il va se passer.
Une fois devant la boutique, je lui demande d'attendre deux minutes et j'entre pour m'annoncer auprès du gérant. Lorsque je passe le rideau de ce shop, je reconnais cette boutique (mais qui a pas mal changée en quelques années, comme la majorité du boulevard). Elle regorge d'accessoires, de jouets, de fringues et ne manque pas de quelques gadgets fantasy près du comptoir.
Le long d'un des murs (face à la caisse) il y a deux cabines d'essayages fermant avec des rideaux qui me donnent tout de suite mon idée de démarrage.
J'ai l'impression que pour le moment il n'y a que le gérant. Un grand mec brun d'1m80 environ, assez baraqué et qui, malgré une gueule un peu marquée, est assez beau gosse dans son genre. Je lui donne 45-50 mais je pense qu'il a un peu moins quand même.
Je vais le voir et me présente :

- Bonjour, j'ai appelé il y a quelques jours pour savoir si un peu d'exhib était possible aujourd'hui et on m'a dit que je pouvais venir avec ma soumise.
- Oui, c'est moi que vous avez eu au téléphone. Redites moi ce que vous voulez comme plan exactement ?
- C'est une première pour ma soumise donc on va viser mollo au départ, on verra comment ça évolue, mais pour le moment on part juste sur de l'exhib, devant vous, devant les clients si certains passent. Si je sens qu'elle est à l'aise, je lui demanderais peut-être de me pomper soit, si vous êtes ok, dans le fond de l'allée, soit dans la cabine d'essayage. Comme convenu, on en profite pour faire de vrais essayages et on vous achète quelques trucs pour que tout le monde y trouve son compte.
- Ça me va très bien, je vous laisse vous amuser et, si votre amie est à mon goût, je vais me faire un plaisir de regarder.

Je retourne chercher mon amoureuse et l'invite à rentrer.
Toute intimidée, elle dit bonjour au vendeur en passant devant, en osant à peine lever les yeux vers lui. Il aurait du mal, en voyant ça, à imaginer la perverse Domina qu'elle était ce matin encore et ce depuis quelques jours.
Je l’amène jusqu'à la première cabine d'essayage (que je ferme dans un premier temps) et, après un gros câlin emplit de complicité, je l'aide à se déshabiller (ne gardant que la jupe et la culotte pour le moment) et la fais mettre à genoux. Je prend son collier et la laisse dans notre sac, je lui passe autour du cou et je pose la laisse sur la chaise de la cabine en attendant d'avoir à m'en servir. Je lui passe la main dans le dos tendrement puis, d'un coup, j'ouvre le rideau en grand et part me balader dans les deux allées pour trouver de jolies choses à lui faire mettre.
Je fais exprès de bien prendre mon temps en faisant mine de ne pas la regarder, même si évidemment je guette ses réactions d'un œil furtif. Elle ne bouge pas et regarde au sol.
Je reviens vers elle avec un t-shirt décolleté en résilles larges et une paire de talons à plateformes. Je lui fait mettre le tout. Pendant qu'elle enfile les chaussures, un couple de touristes (américains?) entre dans la boutique. Ils regardent d'abord un peu partout avec l'air subjugué, si bien qu'ils ne se rendront compte de notre présence que lorsqu'ils arrivent au niveau des cabines. Ils s’arrêtent, plus par surprise qu'autre chose je crois, un court instant à notre niveau puis reprennent la « visite ». Je constate quand même que leurs regards sont moins éparpillés et reviennent régulièrement dans notre direction.
Je saisis la main de Blanche pour la relever et la regarde. Ces seins en poire sont beaux à voir dans le filet de résilles qui à l'air de maintenir légèrement tout en permettant de légers rebonds au rythme des mouvements. Par contre, je suis un peu troublé car les plates-formes lui font bien gagner 10 centimètres. Bien que je trouve ça assez sexy, je préfère garder cet effet pour des moments où les rôles seront inversés. Je lui fais donc enlever puis je lui attache la laisse, dont je tiens l'autre extrémité dans la main.
Pour un premier tour dans le shop, je me sens magnanime et l'invite à me suivre en restant sur 2 pattes. Je la mène jusqu'au rayon des godes réalistes. Je saisis un très costaud et je lui demande de fermer les yeux, lui place dans les mains et lui demande d'imaginer que c'est une vraie, une qui va la défoncer et l'écarter comme jamais elle ne l'a été. L'ambiance et le trouble semblent fonctionner car je la vois passer et bouger ses mains autour, comme si elle découvrait vraiment cette queue. Je me glisse derrière elle pour remonter sa jupe et passer ma main sur son cul, entre ses jambes. Sa culotte est déjà bien trempée. Sous ses airs timides, la chienne sait qu'elle est dans son élément.
En reprenant le gode de ses mains, je lui dis d'ouvrir les yeux.
Le couple est au rayon DVD et passe plus de temps à nous épier qu'à lire les jaquettes. Je m'en délecte et susurre cette info dans le creux de l'oreille de Blanche, au cas où avec la distraction tout ceci lui aurait échappé. Ce qui ne semble pas être le cas tant le sourire qu'elle me fait m'annonce que ça lui plaît beaucoup mais n'exprime pas la moindre surprise.
Nous avançons pour lui trouver une nouvelle fringue à essayer. En passant devant le comptoir, je croise le regard du vendeur qui donne l'air d'être assez content de la situation.
Notre choix s’arrête sur une nuisette noire et rouge, à poils synthétiques se fermant comme une robe de chambre, faisant très « pute de luxe hollywoodienne. ». J'aime bien ce mélange de classe et de vulgarité.
Nous retournons dans la cabine et je fais tout enlever à blanche. Culotte comprise. Je veux que sa touffe soit vue et se mêle à celle du vêtement.
Le bruit du carillon à l'entrée me fait espérer de nouveaux arrivants mais je m’aperçois avec regret que ce sont les touristes qui nous quittent. Après leur avoir dit au revoir, le vendeur nous fixe en arborant un sourire assez lubrique.
Après une courte réflexion, je décide de profiter qu'il n'y ait que lui pour pousser le jeu. Je fais mettre ma soumise à quatre pattes cette fois et la traîne hors de la cabine. Je lui fais faire quelques pas sur le côté, afin d'être bien en face du comptoir et pas cachés par les portants de fringues au milieu des allées.
Blanche semble avoir remarqué le regard insistant du vendeur car ses yeux ne cessent d'aller scruter dans sa direction. Je sens qu'elle se demande ce qu'il va se passer et que ça la stresse un brin d'être dans l'ignorance alors, pour mettre fin au suspense, j'ouvre mon jean et sors ma queue déjà à demi molle puis commence à lui mettre des biffles, d'abord doucement mais j’accélère vite la cadence pour finir par avoir la sensation de lui fouetter le visage. Il n'en faut pas plus pour remettre la soumise dans l'instant car, immédiatement, elle tire grand la langue pour que celle-ci puisse bénéficier de coups de bite à la volée.
Rapidement je lui enfourne dans la bouche en regardant le vendeur. Ses mains sont cachées par le comptoir mais je suis prêt à parier qu'il est en train de se caresser derrière. Son regard, doublé de légers mouvements d'épaules, le trahissent.
Je la laisse me pomper un peu comme il lui plaît mais rapidement je saisis son menton pour le tirer vers le bas afin qu'elle comprenne qu'elle a juste à maintenir sa grande gueule de pute ouverte. À partir de ce moment je lui baise la gueule, comme s'il ne s'agissait que d'un vulgaire trou incapable de mouvement. Par instant, quand je suis bien au fond, je m’arrête et je bloque un peu pour lui couper le souffle et faire monter les larmes qui embellissent son regard bleu de chienne.
Je ne sais pas si c'est le contexte, ou pour chauffer le vendeur, mais elle gémit fort et comme une pute affamée, les bruits de bouche et de gorges sont volumineux également.
J'attrape un de ses tétons et commence à le tordre doucement mais fermement. Tout est question de dosage, elle est très peu maso mais si bien amené, ce genre de traitement peut la stimuler. Cela fait son office car elle commence à onduler du bassin naturellement. Au même moment, je croise à nouveau le regard du vendeur, il semble à fond et sa main fait toujours des trucs bizarres sous le comptoir. Si il y avait eu des clients je ne sais pas si j'aurai eu cette audace, par crainte que de devoir poser les limites puisse gâcher le moment, mais comme il est seul je me penche vers ma petite cochonne et lui susurre à l'oreille :

- Ça te dirait une deuxième bite ? Je crois que le gérant serait ravi de se vider les couilles … Réponds moi avec la bouche pleine !

Elle rescrute furtivement le vendeur et lève les yeux vers moi, englobe encore un peu plus ma bite au fond de la bouche et me dit dans un regard de soumission incroyable (avec le maquillage un peu coulé par les larmes) : Vouhi. J'en déduis qu'elle répond à l'affirmatif.
Je prends le poppers dans ma poche, le décapsule et lui fout sous le pif et, pendant qu'elle renifle l'encens des pervers, je fais signe au taulier de nous rejoindre.
Lorsqu'il quitte son comptoir je m'aperçois que j'avais raison. Une queue épaisse et bien dure sort de sa braguette. Il approche de nous, se met sur le côté de Blanche et continue de se branler jusqu’à ce que je saisisse la tête de ma soumise, qui reste reliée à ma queue par un long filet de bave, pour la tourner vers le nouveau membre et l'en approcher.
Son stress habituel semble totalement disparu quand elle se jette dessus pour lui pomper le dard à une vitesse acharnée. D'une main elle continue de me branler, tandis que de l'autre elle essaye d'ouvrir la ceinture de cet amant passager.
Ça sera finalement lui qui l'ouvrira, mettant fin à cette galère et, une fois le sexe à l'air libre dans son ensemble, elle le saisit de la main et commence à le branler à pleine vitesse tout en faisant des mouvements de furie avec sa bouche sur le haut de sa verge. Les sensations sur son bout doivent être divines, elle arrive à faire un truc assez fou avec sa langue qu'elle passe entre le gland et prépuce, dans des moments où elle fait le vide d'air dans sa bouche.
Il la laisse faire longuement, la cochonne est douée, avant lui aussi de se mettre à pilonner sa bouche. Je lis dans les yeux (troubles de larmes) que la belle hotwife est comblée. Je prends grand plaisir à regarder son maquillage se ruiner petit à petit.
Elle repassera sur ma queue par moment mais, ayant bien compris la priorité de l'instant, elle se concentrera surtout sur la nouvelle bite qui lui est offerte.
Lorsque parfois il sort sa queue de ma chienne, en se branlant au-dessus de sa gueule, afin de la frustrer, celle-ci ouvrira grand la bouche en tirant la langue de tout son long. Ce qui lui donne vraiment l'air d'être la plus affamée des traînées. C'est d'ailleurs lors d'un de ces moments qu'il craque et qu'elle reçoit de grande traînées de jus translucide sur le menton et une bonne partie arrive sur la petite nuisette. J'avais déjà pour projet de l'acheter mais ça confirme mon envie.
De lui même, le vendeur capte qu'il faut nous laisser en amoureux. Il repart vers sa caisse en reboutonnant son falzar. Tandis que je me penche vers ma belle amoureuse (encore plus belle avec la gueule souillée au foutre) et lui roule une énorme pelle. Je sens le goût de la bite (celle de qui ?) sur sa langue et j'adore ça, c'est toujours source d'immense satisfaction que de la voir comme un être dépravé et sur-sexualisé !
Sans arrêter notre étreinte buccale, je passe mon pouce sur son visage pour étaler du mieux que possible, j'ai envie qu'elle passe le reste de la journée avec le souvenir de cette rencontre séché sur la gueule.

- C'est bien ma pute, je suis très fier de toi. Rechange toi, mais garde la cabine ouverte tout du long, et passe moi la nuisette je vais aller la payer, car je la kiffe. Par contre, pour le moment, interdiction de la laver, tu la porteras souillée de ce sperme et on continuera de l'honorer avant que tu ne la laves.
- Bien Maître, avec plaisir.
- Tu peux nettoyer un peu ton maquillage coulé mais pas trop, je veux que ça se voit, au moins légèrement, que tu sors d'un plan...
- Ahaha ça marche !

Je la suis dans la cabine et, une fois la nuisette enlevée et confiée, je lui fait un énorme câlin. L'adrénaline, ajoutée à la chaleur de la journée, n'est pas sans produire son effet. Elle sent divinement bon la sueur sucrée, j'adore.

Lorsque j'arrive au comptoir et que je passe l'achat au vendeur, je m'assure qu'il a passé un bon moment. Sa façon de dire oui ne peut être mise en doute tant son regard et son sourire parlent aussi pour lui.
D'ailleurs je m'aperçois qu'il nous fait une remise sur l'achat ce qui, en plus d'être agréable pour mon porte-monnaie, est assez flatteur.
Dès nos petites affaires finies, je rejoins Blanche qui était restée près de la cabine. Je lui dit de me suivre et lui donne une phrase à dire, en guise d'au revoir, comme instruction.
C'est comme ça que le boss du lieu a le droit, en dernier lieu, à un magnifiquement audible :

- Au revoir et merci pour la belle queue ainsi que la dose sur la gueule !

Je ne peux m’empêcher d'arborer un immense sourire satisfait en l'entendant dire ça.

Après m'être assuré qu'elle a passé un bon moment je lui propose de soit se poser boire un verre avant la suite de mon projet soit d’enchaîner direct. Elle me dit être encore bien chaude de cette première partie et que ça serait dommage que ça retombe et ne revienne pas pareil.
Je l'emmène de l'autre côté du boulevard cette fois, cherchant le sex-shop que j'ai repéré pour la suite.
Quand on finit par le trouver, on fait d'abord un petit tour dedans. Il fait très moderne et propose plein de jouets derniers-cris. Une étagère murale présente pleins de Womanizer avec une affichette indiquant « Meilleure vente du moment »... Moi qui ai bien connu Pigalle a une époque où il se faisait rare de croiser une femme en sex-shop, que ces dits sex shop étaient super glauques et sentaient tous un mélange de javel, de poppers et de foutre, arborant des godes beiges / roses veineux dégueulasses à ventouse (et bien loin de l'esthétisme des nouvelles gammes du genre), je suis très agréablement surpris de constater qu'aujourd'hui la meilleure vente est un produit féminin.
Pigalle a changée, pour le pire mais également pour le meilleur.

Une fois le tour fait, nous allons voir le vendeur et je lui dis que je veux deux places pour la partie ciné (se trouvant au sous-sol, en bas d'un escalier presque collé au comptoir). Bienveillant, ce dernier nous prévient qu'il y a un peu de monde mais qu'aujourd'hui la clientèle y est exclusivement masculine (et à la moyenne d'âge plutôt élevée). Après un léger coup d’œil à ma soumise, pour voir l'effet que lui fait cette annonce, je valide notre volonté d'y aller, disant que le but était uniquement de se montrer et de lui faire découvrir ce type de salle pour la première fois (du genre de salles où moi, par contre, j'ai passé presque toutes les aprèm d'une partie de mon adolescence). Il nous dit gentiment de ne pas hésiter à venir le voir si quelqu'un se montre trop insistant.
Nous le remercions et nous dirigeons vers les escaliers. Lorsque nous y arrivons, nous voyons un homme d'une soixantaine d'années les remonter pour partir. On ne peut pas le louper car il a une sacrée dégaine : veste en daim, chaussures de cuir pointues, petites lunettes toutes rondes, une raie grisonnantes très bien dessinée sur la tête, une moustache (de la même couleur) en tournicotée avec un bouc taillé et pointu. On dirait un personnage sorti de Tintin.
Lorsque nous le dépassons, je le sens ralentir et se retourner dans notre direction. J'aime sentir l'effet que Blanche lui fait. Il faut lui reconnaître qu'elle pue particulièrement le cul aujourd'hui !
Nous passons la porte et découvrons une salle de taille assez modeste, tout en longueur, avec des banquettes pour deux (voire trois en se serrant bien) le long de chaque côté des murs, avec l'écran au bout de l'allée se dessinant entre elles.
Je regarde autour de nous et découvre qu'il y a pas mal de monde, y compris dans la petite pièce sans portes, devant sûrement être la partie chiottes, se trouvant au début du mur gauche de la salle. Beaucoup de vieux certes, mais pas que, et tous ont des gueules incroyables. Parmi eux, un vieux à casquette avec bandage sur la main branlant sa petite bite sortant de son jogging. Un couple trentenaire avec l'air bourré sur une banquette en train de commencer à peloter deux mecs derrière eux (trop lookés cailleras pour en être vraiment). Ce ne sont pas les seules, beaucoup arborent ce look hip hop ultra sur-joué et fétichisé. Quelques vieux à droite à gauche avec des gueules de papys pervers...
Je dis à Blanche d'avancer vers la banquette la plus au bout, afin qu'on soit vus de tous, tout en lui demandant de prêter attention aux gens qui nous entourent. C'est rare que le public soit si fidèle au cliché du genre, ça serait dommage de ne pas en profiter...

Une fois installés, que ma queue est sortie et que la jupe de Blanche est relevée, je sors le wand du sac, l'allume et le colle contre sa chatte déjà (encore ?) très humide. Nous nous caressons quelques minutes avant que je n'attrape la bouffeuse de queues par la nuque et l'amène à mon sexe. Je me penche vers elle pour lui susurrer de faire du bruit en me pompant. La cochonne, bien que timide, apprécie toujours le manque de discrétion sonore...
Elle reprend donc la tâche qu'elle a déjà commencée un peu plus tôt en me suçant à pleine bouche, faisant de ma teub un gourdin brillant de salive. Elle enchaîne les gorges-profondes, remontant jusqu'en haut du gland entre deux, ce qui fait un barouf dans toute la salle. Elle couvre presque les cris émanant de la meuf à l'écran, se faisant démonter par un mec et une femme transe.
J'ai envie de profiter de cette pipe en regardant à nouveau cette ambiance de public très particulière et, quand je me retourne, je vois non seulement que tous les regards (hormis le couple qui est dos à nous puisqu'en train de pomper les deux fakes lascards derrière leur banquette) sont tournés vers nous mais que, en plus, le mec avec sa moustache entortillée est revenu (ce à quoi je m'attendais) et est debout en train de se branler au milieu de l'allée entre les banquettes, à moins de deux mètres derrière nous.
Il ne manquait plus que lui, avec son look, pour donner un air de carte postale à mon spectacle. Ce mélange des genres me rappelle les BD de Manara, ou celles du grand Bruce Morgan.
J'ai envie que Blanche en profite aussi. Je la lève et la retourne pour qu'elle soit à genoux sur la banquette, dos à l'écran et face à cette drôle d'assemblée. Je me met à genoux derrière elle et la lèche très brièvement avant de l'enfourner.
Le gémissement qu'elle lâche, alors que je rentre d'un coup et à fond en elle, aura scellé l'attention qu'on nous portait déjà.
Je ne prends aucun préambule et je la baise vite et fort d'entrée de jeu. De toute façon, vu comme sa chatte est littéralement trempée, je ne suis pas sûr qu'elle aurait senti grand-chose si j'avais voulu y aller doucement. À chaque coup de bite, elle lâche un petit cri ressemblant à de la surprise, ce qui a le don de m'exciter et me donner envie d'appuyer encore plus mes coups de bassin.
Nous sommes surexcités. Je ne cesse de regarder les différents mecs s'astiquer sur notre « performance », celui à la moustache arrondie, tout près de nous, fait une tête de dément tant sa branlette semble intense.
Je commence à avoir peur de venir avant elle à tel point je suis excité mais, au moment où cette crainte me gagne, les cris de ma soumise s'intensifient et se rapprochent. Elle est proche de l'orgasme. Je prend sur moi pour tenir jusque là, j'accentue la cadence encore un peu (si c'est vraiment possible) et, au moment où je la sens s'abandonner à la jouissance, mes couilles se vident au plus profond d'elle.

N'ayant pas envie de nous attarder dans ce décorum une fois nos ébats finis, je me hâte de chopper la nuisette fraîchement achetée et la file à Blanche pour qu'elle s'essuie (en attendant de pouvoir aller sereinement dans les chiottes d'un café). J'apprécie l'idée de lui faire souiller encore plus.
À la va-vite, elle s'éponge avec et se dépêche de se réajuster avant de partir rapidement. Elle n'a pas envie de traîner ici plus que de raison non plus et ça se sent. Nous remontons l'allée, les pervers nous faisant des regards reconnaissants, et quittons les lieux après avoir remercié le vendeur.

Le chemin du retour semble très long pour Blanche qui se plaint que mon sperme essaye de se faire la malle. Vu ce qu'elle mouille, je suis surpris qu'elle puisse s'en rendre compte mais je reconnais que sa gêne flatte mon sadisme psychique.

Après un petit tour aux toilettes pour elle, on débriefe sur ces deux moments « sex shop ». À mon grand plaisir, elle a beaucoup aimé les deux parties et, à ma grande surprise, elle dit qu'elle était très excitée par le spectacle du vieux salace moustachu se branlant juste à côté d'elle. Tout ceci ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.

Après cette aprem chargée, nous rejoignons nos potes pour la soirée. Un bon entre-deux, festif et distrayant, avant d'attaquer le plan du lendemain !

À suivre...

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