Le Mariage de la princesse
Récit érotique écrit par Venena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Le Mariage de la princesse
<p>Après la célébration des fiançailles, le jeune roi se lança dans les préparatifs du mariage. Outre les festivités elles-mêmes, il élabora un plan pour se venger de la frustration dans laquelle la princesse sa fiancée l’avait laissé. A chaque fois qu’il repensait aux fiançailles, une rage incontrôlable se mettait à bouillir au fond de lui, mêlée à une étrange excitation. Il sentait peser sur lui les regards des hommes de sa suite qui avaient été présents, à la fois moqueurs, envieux et curieux de voir son attitude lors de la prochaine rencontre.
Souvent, le soir, le roi sortait le portrait de la princesse et scrutait ce visage si régulier, qui ne laissait rien présager de l’ardeur qui habitait la jeune fille. Un premier mouvement de tendresse faisait place à la colère de l’humiliation, sa respiration s’accélérait, il revoyait ses seins d’albâtre, son petit ventre ferme, sa taille souple, ses fesses rebondies, ses cuisses qui s’écartaient, dévoilant un petit bouton de rose qui ne demandait qu’à être caressé, effleuré par des lèvres brûlantes … Et aussitôt, le roi se reprochait cette comparaison. L’innocence d’une fleur non encore éclose n’avait pas de commune mesure avec l’attitude de la princesse, qui, de toute évidence, avait bien plus d’expérience qu’il ne convenait. Il l’imaginait dans ses appartements, découvrant le corps d’une de ses suivantes, sentant le plaisir monter dans le sien. Il imaginait des laquais se prêter à leurs jeux libertins, imaginait la princesse risquer sa virginité. Combien d’hommes avaient posé les mains sur celle qui allait devenir sa femme ? La nuit, la fièvre le prenait et dans un délire il voyait le corps de la princesse étendu sur un lit, tâté par des mains, parcouru de traces humides laissées par des langues, il voyait ce corps frêle retourné, voyait une main s’abattre sur la courbe de ses fesses.
Il bandait comme un cheval, et plusieurs fois, ses propres mains ne parvenant pas à le soulager, il dut faire venir des femmes de chambres qu’il baisait rageusement sans pouvoir chasser de son esprit les visions qui le hantaient.
Il n’aurait jamais pensé que mariage pût rimer avec vengeance.
Le grand jour arriva. Il organisa la réception en petit comité, comme il l’avait fait pour les fiançailles. Les tables étaient installées en U, dans le salon du roi. Derrière les tables, il y avait toujours l’immense lit à baldaquin, mais en face, il avait fait installer un énorme miroir.
La princesse fut amenée au palais. Conformément à la tradition du royaume, ses parents assistèrent à la bénédiction et au vin d’honneur, puis repartirent. Au moment de leur départ, la mariée était à la merci de son nouvel époux.
Le dîner se passa dans une allégresse mêlée d’une agréable tension : tous se souvenaient des fiançailles. La princesse avait encore ce regard franc qu’elle ne baissait jamais, mais elle ne semblait pas intimidée à la perspective de sa nuit de noces. Quant à sa suivante Lisette, elle discutait avec tout le monde le plus naturellement du monde, comme si on n’avait jamais vu son corps nu.
Le roi se plut à ignorer sa jeune épouse ; elle portait sur lui des regards amusés, attribuant son silence à de la timidité. Cependant, au milieu du repas, il se mit à lui lancer des regards glacés. Elle commença à être déconcertée.
On arriva au dessert. Le roi se leva et prit la parole pour souhaiter la bienvenue à la princesse.
« - Il va de soi, Madame, conclut-il, que j’ai pensé à vous ces derniers mois. Ces pensées m’ont donné envie de vous offrir un cadeau. Vous aimez les diamants, je crois ?
- Comme toutes les femmes, Monsieur.
- Eh bien, que ce collier soit le symbole de l’éternité de mes sentiments. »
Il lui tendit un écrin, qu’elle ouvrit précipitamment. Son sourire s’évanouit. C’était certes un collier serti de diamants et de pierres précieuses. Mais c’était surtout un collier pour chien. Le roi le saisit et le passa autour du cou de la princesse, sous les sifflements de l’assemblée.
- Ce cadeau ne vous plaît pas, Madame ? C’est peut-être parce qu’il y manque quelque chose. Mais regardez, j’ai ici une laisse brodée de fil d’or. Vous êtes toujours mécontente ? C’est parce que vous n’avez pas un aussi beau cadeau pour moi ? Levez-vous et ôtez votre robe. Mon plus beau cadeau sera de voir ce que vous portez en-dessous.
La princesse se leva. Ses joues s’étaient empourprées et son regard avait enfin glissé au sol. Elle ne regardait plus personne.
- Madame, en m’épousant vous avez fait de moi votre seigneur. Vous me devez obéissance.
La voix douce du roi ne tolérait aucune réponse. D’une voix tremblante, la princesse appela Lisette. Celle-ci délaça sa robe, qui glissa à terre sous les applaudissements de la suite du roi. La princesse ne portait plus maintenant qu’une courte chemise blanche – presque transparente.
- Lisette, tu peux te déshabiller aussi.
La suivante obéit, et, en sous-vêtements, se plaça dans un coin de la pièce.
Le roi s’adressa à nouveaux à la princesse :
- Madame, je voudrais que tout le monde ici vous admire. Mettez-vous à quatre pattes.
La princesse lui jeta un regard implorant. Il ne se laissa pas fléchir.
- Maintenant.
Elle obéit. Il la mena ainsi d’un bout à l’autre de la table, à quatre pattes et en laisse. Les mains de ses hommes se tendirent, ils lui caressèrent le dos, la taille, les fesses. Certains, plus hardis, les lui pincèrent ou lui assénèrent de petites fessées, ce qui lui arracha des grognements. Le roi fut satisfait de ce spectacle. Il mena la princesse au centre de la pièce, face au miroir.
- Restez comme ça.
Il retourna s’asseoir comme si de rien n’était. La princesse resta dans cette position, les fesses tendues vers l’assemblée, le visage présenté dans le miroir. Sa chemise était très courte et découvrait sa petite chatte, que l’on devinait humide malgré la situation humiliante de la jeune mariée. L’encolure de sa chemise retombait aussi et laissait entrevoir ses seins lisses, dont les tétons évoquaient des baies sauvages. Comme le roi ne paraissait pas s’occuper d’elle, elle s’assit sur ses talons ; immédiatement, le roi fut à ses côtés. Elle reprit la pose, mais il était trop tard : le jeune époux était furieux. Sa voix résonna à travers la pièce :
- Madame, vous m’avez désobéi. Tout le monde ici en est témoin. Que l’assemblée juge : doit-elle être punie ?
- OUI ! crièrent les hommes à l’unanimité.
Le roi releva la chemise de la princesse sur ses reins, découvrant ses fesses douces et blanches, et y abattit violemment sa paume. La princesse gémit de douleur et de surprise.
- Regardez-vous dans le miroir, ordonna le roi.
Une deuxième fois, sa main vint cingler les fesses de la princesse. Une troisième et une quatrième fois, il claqua ce petit cul dont désormais il pouvait faire ce qu’il voulait. Des larmes de honte apparurent dans les yeux de la princesse, ses fesses rougirent sous les coups, mais lorsque le roi passa la main entre ses cuisses, il remarqua que la situation l’excitait. Lui aussi commençait à bander. Il se plaça devant la princesse et lui ordonna de le sucer. Les larmes aux yeux elle approcha la bouche de son sexe tendu et l’avala.
- Mieux que ça !
Elle le suça plus vite, le faisait disparaître entre ses lèvres, tout en jouant de sa langue habile. Toute la rage que le roi ressentait éclata.
- Ah, oui, tu suces bien, tu as bien appris à sucer ! Puisque c’est comme ça je veux en faire profiter qui veut !
Il se retira de sa bouche, et lui asséna encore quelques claques sur les fesses. Un baron de sa suite s’était levé et présenta sa grosse queue à la jeune mariée.
- Va-z-y, suce-le, et avale bien tout son jus.
Il alla attraper Lisette dans le coin où elle se tenait, et la mit à genoux. Il se branla dans sa bouche en regardant sa femme sucer un autre homme. Parmi les convives, une excitation naissait, qui poussa des couples à se former. Le roi se retira de la bouche de Lisette et la renversa sur la table de banquet. Quand la princesse le vit, elle tenta de protester, mais le baron qu’elle avait en bouche maintenait fermement sa tête. Le roi rit :
- Ne vous en faites pas, je m’occuperai de vous bien assez tôt.
Il pénétra Lisette et la baisa, observant toujours la princesse.
Le baron respirait plus fort, et cracha son sperme dans la bouche de la princesse ; celle-ci avala tout, grimaçant à peine.
- C’est bien. Au suivant ! Vous en voulez d’autre, n’est-ce pas, Madame ?
- Oui, Monsieur, je veux d’autres queues.
Un comte arriva vers la princesse. Il la mit debout et plongea la main dans son décolleté, lui pinçant les seins. La princesse ferma les yeux et gémit. Il se mit à genoux à son tour, et lécha le bouton de rose de la princesse. Elle semblait sur le point de défaillir. Il goûta à la rosée qui s’écoulait d’elle et la força à reprendre sa position d’avant. Cette fois, elle n’émit aucune protestation. Elle ouvrit volontiers la bouche pour y accueillir le glaive qu’il venait de dégainer. Le roi, excité par ce spectacle, donnait toujours de grands coups de reins à Lisette, qui gémissait et soupirait de plus en plus fort. Le comte, se plaça derrière la princesse et pressa son gland mouillé de salive contre elle.
- Monsieur ! cria la princesse affolée.
- Laissez-vous faire, Madame. Mes hommes ont reçu des ordres. Ils ne prendront d’assaut que ce que vous avez déjà donné. Vous resterez aussi vierge que vous l’êtes jusqu’à ce que j’en décide autrement.
Le conte poussa, donc pour entrer dans son petit trou. Des perles de sueur apparurent sur le dos de la princesse, tandis qu’un autre homme s’approcha d’elle pour être sucé. La princesse s’accrocha à lui, et fit disparaître son autre main au creux de ses cuisses. Le conte passa l’obstacle et s’enfonça en elle. Elle eût hurlé, si l’autre sexe ne l’avait pas bâillonné. Lisette cria à sa place, et le roi sentit son sexe mouillé se contracter sur lui. Ce contact acheva de l’exciter. Il se pencha sur elle, lui mordit les seins et jouit. Puis il lui glissa à l’oreille :
- Tu es une petite salope, comme ta maîtresse …
Il la jeta vers les autres convives, où elle ne tarda pas à tomber à genoux devant un homme du roi.
Le roi quant à lui s’approcha de sa femme. Les hommes se retirèrent d’elle. Le roi la souleva et lui enleva la chemise. Puis il la mena, toujours en laisse, vers le lit. Elle s’y allongea, et il fixa la laisse à l’un des montants. Puis il s’allongea près d’elle. Elle le regarda droit dans les yeux et fit glisser sa main entre les jambes. Il lui saisit les poignets et les maintint au-dessus de sa tête. Puis il se pencha sur sa poitrine et lécha ses tétons. Elle écarta les cuisses et souleva son bassin. Il serra un téton avec ses dents, lui arrachant un petit cri aigu. Lui entravant toujours les poignets d’une main, il fit signe à Lisette de l’autre. Cette dernière s’approcha. Sa langue rejoignit celle du roi sur la poitrine de la princesse qui respirait fort, soulevant encore le bassin, et montrant à tous sa chatte luisante et ouverte comme une fleur pour accueillir le roi. Les langues du roi et de Lisette tournèrent autour des tétons de la jeune file, puis celle de Lisette descendit le long de son ventre, et recouvrit enfin sa précieuse perle, cet endroit qu’elle avait tant choyé, tant caressé de ses doigts en imaginant son futur époux.
Le roi léchait et mordillait l’un des tétons, et tordait l’autre entre ses doigts. Sa jeune épouse était au supplice, et ses cris de désir attirèrent les regards de toute l’assemblée. Elle se livrait à la langue de Lisette et suppliait le roi de la prendre.
- Alors, vous aimez la luxure, Madame ?
- Oui, oui Monsieur.
- Vous voudriez sentir un homme en vous ?
- Oui, je veux vous sentir me limer, je veux que vous me remplissiez.
- Tu es une belle cochonne. On te fait mouiller là ?
- Oui.
- Qu’est-ce que tu aimes ?
- J’aime qu’on me lèche, j’aime sentir des mains sur mes seins, j’aime qu’on me morde. Je voudrais jouir sur vous.
- Tu as aimé les bites de mes hommes ? Tu aimes ça, avoue.
- Oui, Monsieur, j’aime la bite, mais je ne veux appartenir qu’à vous !
Le roi demanda à Lisette de les laisser. Il porta la main sur l’endroit mouillé de jus d’amour et de salive, et caressa doucement la petite pierre précieuse. Puis il glissa négligemment le long de la fente qu’elle désirait tant lui offrir. Elle se mordit les lèvres jusqu’à faire jaillir une goutte de sang. Il l’embrassa, et fit glisser un doigt en elle. Le souffle lui manqua, elle sentait en elle le doigt de son époux, et contre elle son sexe dur et plein de désir pour elle. Un deuxième doigt s’immisça dans sa grotte secrète, que personne, pas même elle, n’avait encore visitée. Elle le regarda et supplia encore :
- S’il vous plaît !
Il retira ses doigts et les lui fit lécher. Puis il vint sur elle. Elle sentit son gland, doux et lisse chercher le chemin pour entrer en elle. Il n’eut aucun mal à s’enfoncer en elle, et cette proximité leur fit pousser à tous deux un soupir en même temps. Il lâcha ses poignets, passa la main dans son dos et la serra contre son torse pendant qu’il la prenait, doucement et fermement à la fois. Elle mordit son cou, griffa son dos, se cambra, tant la sensation qui l’envahit était violente. Elle sentait le bas de son ventre frotter ce qui avait été jusque-là le centre de son plaisir. Un frisson s’étendit sur tout son corps, et alors qu’il prit encore son téton entre les doigts, elle eut l’impression de perdre connaissance. Elle serra les muscles de sa chatte pour mieux le sentir, et il gémit à son oreille. Il bougea en elle plus rapidement, et, d’une voix rauque, lui dit :
- Petite pute, qu’est-ce que j’ai bandé en pensant à toi et à ton petit cul.
Il accéléra encore la cadence, elle se cramponna à lui. Elle le sentait tellement en elle, elle sentait tellement les regards des autres sur eux, elle se sentait tellement couler sur lui, qu’elle mordit son poignet, répétant qu’elle allait jouir sur se grosse bite. Et lui, ne pouvant plus retenir son excitation, jouit au fond d’elle, tandis qu’elle hurlait de plaisir, tout son corps secoué de spasmes voluptueux.
Après cette explosion parfaitement synchronisée, les convives fascinées ne purent s’empêcher d’applaudir, et ces applaudissement se confondirent l’espace d’un instant avec une légère claque que la princesse administra aux fesses du roi. Ils se regardèrent en riant.
C’est ainsi que le roi trouva une femme à son image, et qu’ils régnèrent en parfaits égaux sur le royaume, préférant l’amour à la guerre et gouvernant à l’image de leurs jeux : se soumettant en désirs de leur peuple, et le soumettant à leurs décisions.
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Souvent, le soir, le roi sortait le portrait de la princesse et scrutait ce visage si régulier, qui ne laissait rien présager de l’ardeur qui habitait la jeune fille. Un premier mouvement de tendresse faisait place à la colère de l’humiliation, sa respiration s’accélérait, il revoyait ses seins d’albâtre, son petit ventre ferme, sa taille souple, ses fesses rebondies, ses cuisses qui s’écartaient, dévoilant un petit bouton de rose qui ne demandait qu’à être caressé, effleuré par des lèvres brûlantes … Et aussitôt, le roi se reprochait cette comparaison. L’innocence d’une fleur non encore éclose n’avait pas de commune mesure avec l’attitude de la princesse, qui, de toute évidence, avait bien plus d’expérience qu’il ne convenait. Il l’imaginait dans ses appartements, découvrant le corps d’une de ses suivantes, sentant le plaisir monter dans le sien. Il imaginait des laquais se prêter à leurs jeux libertins, imaginait la princesse risquer sa virginité. Combien d’hommes avaient posé les mains sur celle qui allait devenir sa femme ? La nuit, la fièvre le prenait et dans un délire il voyait le corps de la princesse étendu sur un lit, tâté par des mains, parcouru de traces humides laissées par des langues, il voyait ce corps frêle retourné, voyait une main s’abattre sur la courbe de ses fesses.
Il bandait comme un cheval, et plusieurs fois, ses propres mains ne parvenant pas à le soulager, il dut faire venir des femmes de chambres qu’il baisait rageusement sans pouvoir chasser de son esprit les visions qui le hantaient.
Il n’aurait jamais pensé que mariage pût rimer avec vengeance.
Le grand jour arriva. Il organisa la réception en petit comité, comme il l’avait fait pour les fiançailles. Les tables étaient installées en U, dans le salon du roi. Derrière les tables, il y avait toujours l’immense lit à baldaquin, mais en face, il avait fait installer un énorme miroir.
La princesse fut amenée au palais. Conformément à la tradition du royaume, ses parents assistèrent à la bénédiction et au vin d’honneur, puis repartirent. Au moment de leur départ, la mariée était à la merci de son nouvel époux.
Le dîner se passa dans une allégresse mêlée d’une agréable tension : tous se souvenaient des fiançailles. La princesse avait encore ce regard franc qu’elle ne baissait jamais, mais elle ne semblait pas intimidée à la perspective de sa nuit de noces. Quant à sa suivante Lisette, elle discutait avec tout le monde le plus naturellement du monde, comme si on n’avait jamais vu son corps nu.
Le roi se plut à ignorer sa jeune épouse ; elle portait sur lui des regards amusés, attribuant son silence à de la timidité. Cependant, au milieu du repas, il se mit à lui lancer des regards glacés. Elle commença à être déconcertée.
On arriva au dessert. Le roi se leva et prit la parole pour souhaiter la bienvenue à la princesse.
« - Il va de soi, Madame, conclut-il, que j’ai pensé à vous ces derniers mois. Ces pensées m’ont donné envie de vous offrir un cadeau. Vous aimez les diamants, je crois ?
- Comme toutes les femmes, Monsieur.
- Eh bien, que ce collier soit le symbole de l’éternité de mes sentiments. »
Il lui tendit un écrin, qu’elle ouvrit précipitamment. Son sourire s’évanouit. C’était certes un collier serti de diamants et de pierres précieuses. Mais c’était surtout un collier pour chien. Le roi le saisit et le passa autour du cou de la princesse, sous les sifflements de l’assemblée.
- Ce cadeau ne vous plaît pas, Madame ? C’est peut-être parce qu’il y manque quelque chose. Mais regardez, j’ai ici une laisse brodée de fil d’or. Vous êtes toujours mécontente ? C’est parce que vous n’avez pas un aussi beau cadeau pour moi ? Levez-vous et ôtez votre robe. Mon plus beau cadeau sera de voir ce que vous portez en-dessous.
La princesse se leva. Ses joues s’étaient empourprées et son regard avait enfin glissé au sol. Elle ne regardait plus personne.
- Madame, en m’épousant vous avez fait de moi votre seigneur. Vous me devez obéissance.
La voix douce du roi ne tolérait aucune réponse. D’une voix tremblante, la princesse appela Lisette. Celle-ci délaça sa robe, qui glissa à terre sous les applaudissements de la suite du roi. La princesse ne portait plus maintenant qu’une courte chemise blanche – presque transparente.
- Lisette, tu peux te déshabiller aussi.
La suivante obéit, et, en sous-vêtements, se plaça dans un coin de la pièce.
Le roi s’adressa à nouveaux à la princesse :
- Madame, je voudrais que tout le monde ici vous admire. Mettez-vous à quatre pattes.
La princesse lui jeta un regard implorant. Il ne se laissa pas fléchir.
- Maintenant.
Elle obéit. Il la mena ainsi d’un bout à l’autre de la table, à quatre pattes et en laisse. Les mains de ses hommes se tendirent, ils lui caressèrent le dos, la taille, les fesses. Certains, plus hardis, les lui pincèrent ou lui assénèrent de petites fessées, ce qui lui arracha des grognements. Le roi fut satisfait de ce spectacle. Il mena la princesse au centre de la pièce, face au miroir.
- Restez comme ça.
Il retourna s’asseoir comme si de rien n’était. La princesse resta dans cette position, les fesses tendues vers l’assemblée, le visage présenté dans le miroir. Sa chemise était très courte et découvrait sa petite chatte, que l’on devinait humide malgré la situation humiliante de la jeune mariée. L’encolure de sa chemise retombait aussi et laissait entrevoir ses seins lisses, dont les tétons évoquaient des baies sauvages. Comme le roi ne paraissait pas s’occuper d’elle, elle s’assit sur ses talons ; immédiatement, le roi fut à ses côtés. Elle reprit la pose, mais il était trop tard : le jeune époux était furieux. Sa voix résonna à travers la pièce :
- Madame, vous m’avez désobéi. Tout le monde ici en est témoin. Que l’assemblée juge : doit-elle être punie ?
- OUI ! crièrent les hommes à l’unanimité.
Le roi releva la chemise de la princesse sur ses reins, découvrant ses fesses douces et blanches, et y abattit violemment sa paume. La princesse gémit de douleur et de surprise.
- Regardez-vous dans le miroir, ordonna le roi.
Une deuxième fois, sa main vint cingler les fesses de la princesse. Une troisième et une quatrième fois, il claqua ce petit cul dont désormais il pouvait faire ce qu’il voulait. Des larmes de honte apparurent dans les yeux de la princesse, ses fesses rougirent sous les coups, mais lorsque le roi passa la main entre ses cuisses, il remarqua que la situation l’excitait. Lui aussi commençait à bander. Il se plaça devant la princesse et lui ordonna de le sucer. Les larmes aux yeux elle approcha la bouche de son sexe tendu et l’avala.
- Mieux que ça !
Elle le suça plus vite, le faisait disparaître entre ses lèvres, tout en jouant de sa langue habile. Toute la rage que le roi ressentait éclata.
- Ah, oui, tu suces bien, tu as bien appris à sucer ! Puisque c’est comme ça je veux en faire profiter qui veut !
Il se retira de sa bouche, et lui asséna encore quelques claques sur les fesses. Un baron de sa suite s’était levé et présenta sa grosse queue à la jeune mariée.
- Va-z-y, suce-le, et avale bien tout son jus.
Il alla attraper Lisette dans le coin où elle se tenait, et la mit à genoux. Il se branla dans sa bouche en regardant sa femme sucer un autre homme. Parmi les convives, une excitation naissait, qui poussa des couples à se former. Le roi se retira de la bouche de Lisette et la renversa sur la table de banquet. Quand la princesse le vit, elle tenta de protester, mais le baron qu’elle avait en bouche maintenait fermement sa tête. Le roi rit :
- Ne vous en faites pas, je m’occuperai de vous bien assez tôt.
Il pénétra Lisette et la baisa, observant toujours la princesse.
Le baron respirait plus fort, et cracha son sperme dans la bouche de la princesse ; celle-ci avala tout, grimaçant à peine.
- C’est bien. Au suivant ! Vous en voulez d’autre, n’est-ce pas, Madame ?
- Oui, Monsieur, je veux d’autres queues.
Un comte arriva vers la princesse. Il la mit debout et plongea la main dans son décolleté, lui pinçant les seins. La princesse ferma les yeux et gémit. Il se mit à genoux à son tour, et lécha le bouton de rose de la princesse. Elle semblait sur le point de défaillir. Il goûta à la rosée qui s’écoulait d’elle et la força à reprendre sa position d’avant. Cette fois, elle n’émit aucune protestation. Elle ouvrit volontiers la bouche pour y accueillir le glaive qu’il venait de dégainer. Le roi, excité par ce spectacle, donnait toujours de grands coups de reins à Lisette, qui gémissait et soupirait de plus en plus fort. Le comte, se plaça derrière la princesse et pressa son gland mouillé de salive contre elle.
- Monsieur ! cria la princesse affolée.
- Laissez-vous faire, Madame. Mes hommes ont reçu des ordres. Ils ne prendront d’assaut que ce que vous avez déjà donné. Vous resterez aussi vierge que vous l’êtes jusqu’à ce que j’en décide autrement.
Le conte poussa, donc pour entrer dans son petit trou. Des perles de sueur apparurent sur le dos de la princesse, tandis qu’un autre homme s’approcha d’elle pour être sucé. La princesse s’accrocha à lui, et fit disparaître son autre main au creux de ses cuisses. Le conte passa l’obstacle et s’enfonça en elle. Elle eût hurlé, si l’autre sexe ne l’avait pas bâillonné. Lisette cria à sa place, et le roi sentit son sexe mouillé se contracter sur lui. Ce contact acheva de l’exciter. Il se pencha sur elle, lui mordit les seins et jouit. Puis il lui glissa à l’oreille :
- Tu es une petite salope, comme ta maîtresse …
Il la jeta vers les autres convives, où elle ne tarda pas à tomber à genoux devant un homme du roi.
Le roi quant à lui s’approcha de sa femme. Les hommes se retirèrent d’elle. Le roi la souleva et lui enleva la chemise. Puis il la mena, toujours en laisse, vers le lit. Elle s’y allongea, et il fixa la laisse à l’un des montants. Puis il s’allongea près d’elle. Elle le regarda droit dans les yeux et fit glisser sa main entre les jambes. Il lui saisit les poignets et les maintint au-dessus de sa tête. Puis il se pencha sur sa poitrine et lécha ses tétons. Elle écarta les cuisses et souleva son bassin. Il serra un téton avec ses dents, lui arrachant un petit cri aigu. Lui entravant toujours les poignets d’une main, il fit signe à Lisette de l’autre. Cette dernière s’approcha. Sa langue rejoignit celle du roi sur la poitrine de la princesse qui respirait fort, soulevant encore le bassin, et montrant à tous sa chatte luisante et ouverte comme une fleur pour accueillir le roi. Les langues du roi et de Lisette tournèrent autour des tétons de la jeune file, puis celle de Lisette descendit le long de son ventre, et recouvrit enfin sa précieuse perle, cet endroit qu’elle avait tant choyé, tant caressé de ses doigts en imaginant son futur époux.
Le roi léchait et mordillait l’un des tétons, et tordait l’autre entre ses doigts. Sa jeune épouse était au supplice, et ses cris de désir attirèrent les regards de toute l’assemblée. Elle se livrait à la langue de Lisette et suppliait le roi de la prendre.
- Alors, vous aimez la luxure, Madame ?
- Oui, oui Monsieur.
- Vous voudriez sentir un homme en vous ?
- Oui, je veux vous sentir me limer, je veux que vous me remplissiez.
- Tu es une belle cochonne. On te fait mouiller là ?
- Oui.
- Qu’est-ce que tu aimes ?
- J’aime qu’on me lèche, j’aime sentir des mains sur mes seins, j’aime qu’on me morde. Je voudrais jouir sur vous.
- Tu as aimé les bites de mes hommes ? Tu aimes ça, avoue.
- Oui, Monsieur, j’aime la bite, mais je ne veux appartenir qu’à vous !
Le roi demanda à Lisette de les laisser. Il porta la main sur l’endroit mouillé de jus d’amour et de salive, et caressa doucement la petite pierre précieuse. Puis il glissa négligemment le long de la fente qu’elle désirait tant lui offrir. Elle se mordit les lèvres jusqu’à faire jaillir une goutte de sang. Il l’embrassa, et fit glisser un doigt en elle. Le souffle lui manqua, elle sentait en elle le doigt de son époux, et contre elle son sexe dur et plein de désir pour elle. Un deuxième doigt s’immisça dans sa grotte secrète, que personne, pas même elle, n’avait encore visitée. Elle le regarda et supplia encore :
- S’il vous plaît !
Il retira ses doigts et les lui fit lécher. Puis il vint sur elle. Elle sentit son gland, doux et lisse chercher le chemin pour entrer en elle. Il n’eut aucun mal à s’enfoncer en elle, et cette proximité leur fit pousser à tous deux un soupir en même temps. Il lâcha ses poignets, passa la main dans son dos et la serra contre son torse pendant qu’il la prenait, doucement et fermement à la fois. Elle mordit son cou, griffa son dos, se cambra, tant la sensation qui l’envahit était violente. Elle sentait le bas de son ventre frotter ce qui avait été jusque-là le centre de son plaisir. Un frisson s’étendit sur tout son corps, et alors qu’il prit encore son téton entre les doigts, elle eut l’impression de perdre connaissance. Elle serra les muscles de sa chatte pour mieux le sentir, et il gémit à son oreille. Il bougea en elle plus rapidement, et, d’une voix rauque, lui dit :
- Petite pute, qu’est-ce que j’ai bandé en pensant à toi et à ton petit cul.
Il accéléra encore la cadence, elle se cramponna à lui. Elle le sentait tellement en elle, elle sentait tellement les regards des autres sur eux, elle se sentait tellement couler sur lui, qu’elle mordit son poignet, répétant qu’elle allait jouir sur se grosse bite. Et lui, ne pouvant plus retenir son excitation, jouit au fond d’elle, tandis qu’elle hurlait de plaisir, tout son corps secoué de spasmes voluptueux.
Après cette explosion parfaitement synchronisée, les convives fascinées ne purent s’empêcher d’applaudir, et ces applaudissement se confondirent l’espace d’un instant avec une légère claque que la princesse administra aux fesses du roi. Ils se regardèrent en riant.
C’est ainsi que le roi trouva une femme à son image, et qu’ils régnèrent en parfaits égaux sur le royaume, préférant l’amour à la guerre et gouvernant à l’image de leurs jeux : se soumettant en désirs de leur peuple, et le soumettant à leurs décisions.
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