Nina et les joies de la frustration.
Récit érotique écrit par Venena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Nina et les joies de la frustration.
<p>Je restais passablement étonnée après l’orgasme que vous m’aviez donné dans le métro.
Jamais encore vous n’aviez été aussi généreux, aussi altruiste. Vous m’aviez accordé un plaisir incroyable, et j’avais senti votre excitation. Je m’étais préparée à ce que vous me demandiez de vous donner du plaisir à mon tour, mais vous étiez parti sans mot dire.
Je surveillais mon téléphone et ma boîte mail, mais vous demeurâtes silencieux.
Le lendemain je vous envoyais des mails au bureau, je m’arrangeais pour vous croiser dans les couloirs, mais je fus ignorée.
Je ne comprenais pas : avais-je mal réagi ?
Je vous vis discuter avec la jeune fille de l’accueil, avec l’assistante des services généraux, avec la responsable de la compta, avec une des filles du marketing, et à chaque fois j’eus un pincement au cœur (non, pas au cœur, en réalité : aux tétons, au ventre, et plus bas aussi). J’avais le sentiment d’être la seule personne au monde que vous ignoriez.
Je rentrais, le soir, déconcertée. Comment faire pour vous intéresser à nouveau à moi ?
Le lendemain, j’arborais une tenue en apparence sage mais dont je savais qu’elle me mettait en valeur : ma jupe enserrait mes jolies fesses rebondies, et mon chemisier semblait caresser ma taille et épousait la forme de mes seins rendus plus excitants par un push-up à dentelles sous lequel une autre surprise attendait. Sous ma jupe, je portais des bas, et un string que l’on devinait à peine sous le tissu moulant.
Ainsi armée je vins au bureau, passais devant vous, relevant discrètement ma jupe pour vous montrer mes bas, défaisant un, puis deux boutons à mon chemisier. Je vous vis vous diriger vers les toilettes. Je pris le risque de vous attendre aux lavabos, la jupe relevée, le string écarté laissant voir mon intimité, le chemisier ouvert, le soutien-gorge descendu, vous montrant mes tétons serrés par de petites pinces.
Haletante, excitée de me trouver en cette position, je cherchais votre regard, bouche ouverte, tout mon corps tendu vers vous.
Mais vous ne m’accordâtes pas un regard.
Je voulus être l’eau qui lavait vos mains, le savon qui glissait contre elles, la serviette qui les essuyait.
Et je crus vous voir sourire en sortant. Je me rhabillais, me traitant de folle de prendre ces risques alors que n’importe qui pouvait entrer !
Mais votre sourire m’avait donné une idée.
Je retournais dans mon bureau. Après quelques manœuvres délicates pendant lesquelles je priais pour que le téléphone ne sonnât pas et que personne n’entrât, je réussi à faire une photo de mes poignets entourés de Chatterton. Puis une autre de mes poignets rougis après l’avoir arraché. Puis, une troisième, d’un bras attaché au radiateur par mon foulard.
Je les lui envoyai par MMS accompagnés de ce texte :
« Je suis liée à vous. Je vous attends et vous attendrais dans la position qui vous conviendra. Votre silence m’autorisera à continuer. »
Vous reçûtes le message. Vous demeurâtes muet.
Le reste de la journée fut une réelle chasse. Je pris l’ascenseur seule avec vous et relevais la jupe sur mes fesses.
Vous fîtes mine de ne pas me voir.
J’entrais dans votre bureau et me mis à genoux dans un coin, relevant mon chemisier, tirant sur mes pinces.
Vous continuâtes, imperturbable, votre conversation téléphonique.
Je glissais un stylo entre mes jambes, sous la jupe, le ressortis tout mouillé et le léchais.
Aucune réaction.
Je relevais ma jupe et me donnais une claque sur les fesses, comme vous aviez aimé le faire.
Vous sortîtes du bureau.
Je retournais à mon ordinateur, me rongeant les ongles, excitée de ma propre attitude.
Je m’apprêtais à rentrer chez moi lorsqu’un message apparut :
« Bonne petite salope. Interdiction de te toucher jusqu’à nouvel ordre. Nouvelles instructions demain. »
La nuit fut une torture, vous m’aviez répondu, et cette réponse réactiva mes envies.
Je passais la nuit à me retourner, en feu, en fusion.
Le lendemain, vendredi, vous m’adressâtes enfin la parole. En privé. Dans mon bureau.
- Alors, petite chaudasse, tu as tenu le coup ?
- Oui.
- Bien ! On a envie de ma queue ?
- Oui !
- Approche.
Je m’approchais. Vous me serrâtes contre vous.
Je sentis votre verge bien dure. Vous me retournâtes.
- Soulève ta jupe. Penche-toi un peu.
Votre membre se frotta contre mes fesses. Glissa entre ma raie.
Je voulus que vous me preniez, que vous la mettiez dans ma chatte ou dans mon cul, fort !
Mais vous restâtes au bord.
Votre sexe se frotta contre moi, se branla entre mes fesses. Entre mes cuisses.
- Branle-moi.
Je me retournais et vous branlais. Ma main entoura votre queue et fit des mouvements de va et vient. Je crachais dessus et branlai votre gland humide.
Elle se tendit.
Un soupir plus fort.
Et votre sperme sur ma main, sur ma cuisse.
En parfait gentleman, vous me donnâtes un mouchoir. Je m’essuyais. Votre main glissa sur mon intimité : la grotte était submergée.
Je fermais les yeux prête à m’abandonner.
- Retourne travailler. Je te veux chaude comme la braise, une vraie chienne.
Je frémis. Encore plus chaude ? Vouliez-vous que je me consume ?
Vous jouâtes avec mes sens toute la journée, me frôlant, pinçant mes seins au passage.
Puis une nouvelle instruction arriva par mail. « Ce soir, 22h05, chez moi. Ne te touche pas avant. »
J’obéis. A 22h05 (je connais votre sens de la ponctualité) je sonnai chez vous. En ébullition.
La porte s’ouvrit.
- Entre. Va dans ma chambre, allonge-toi sur mon lit, nue. Je te rejoins.
J’obéis encore. Je m’allongeais, dans le plus simple appareil. Je sentis votre odeur dans les draps et je perdis pieds. Je vous demande pardon, pardon, pardon.
Je mouillais terriblement, vos draps furent humides sous moi ; je n’y tins plus. Quand vous entrâtes, j’avais une main sur mes seins, et l’autre sur mon bouton de plaisir.
Vos mains saisirent mes poignets. Rudement, ils furent serrés au-dessus de ma tête.
- Pardon !
- Qu’est-ce que je t’ai dit ?
- Pardon !
- Je ne t’ai pas dit pardon. Qu’est-ce que je t’ai dit ?
- De ne pas me toucher.
- Et ?
- J’ai désobéi.
- Tu m’as désobéi auparavant ?
- Non !
Vous étiez furieux. Vous vous dirigeâtes vers le placard et en sortîtes une boîte. En un tournemain mes poignets furent liés par des menottes à la tête du lit.
Vous vous allongeâtes sur moi. Votre queue se frotta à ma grotte secrète. Je me cambrai mais vous me repoussâtes. Je vous sentis à l’entrée de moi sans aller plus loin.
Puis votre queue se branla dans ma bouche. Pendant quelques secondes, pas plus.
Enfin vous fûtes au dessus de moi, à vous branler de fureur, et je dévorais des yeux cette si belle bite que je voulais en moi. En moins d’une minute, je fus recouverte de votre jus, chaud et onctueux.
Pas de mouchoir, pas de serviette. Je restai attachée.
Votre sperme coula le long de mes seins et de mon ventre, ma chatte coulait sur votre lit.
- Tu restes là. Sans te toucher cette fois. Je reviendrais quand j’aurai trouvé une punition adéquate.
Je vous entendis allumer la télé dans le salon.
Je me sentais chaude et humide comme une île tropicale. Jetant un œil autour de moi, j’aperçus la boîte d’où vous aviez sorti les menottes. Je vis dépasser une chaîne, et des plumes. Mon imagination s’emballa : que contenait encore cette boîte ? Quelle délicieuse punition alliez-vous m’infliger ?
Je ne tardai pas à le découvrir.
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Jamais encore vous n’aviez été aussi généreux, aussi altruiste. Vous m’aviez accordé un plaisir incroyable, et j’avais senti votre excitation. Je m’étais préparée à ce que vous me demandiez de vous donner du plaisir à mon tour, mais vous étiez parti sans mot dire.
Je surveillais mon téléphone et ma boîte mail, mais vous demeurâtes silencieux.
Le lendemain je vous envoyais des mails au bureau, je m’arrangeais pour vous croiser dans les couloirs, mais je fus ignorée.
Je ne comprenais pas : avais-je mal réagi ?
Je vous vis discuter avec la jeune fille de l’accueil, avec l’assistante des services généraux, avec la responsable de la compta, avec une des filles du marketing, et à chaque fois j’eus un pincement au cœur (non, pas au cœur, en réalité : aux tétons, au ventre, et plus bas aussi). J’avais le sentiment d’être la seule personne au monde que vous ignoriez.
Je rentrais, le soir, déconcertée. Comment faire pour vous intéresser à nouveau à moi ?
Le lendemain, j’arborais une tenue en apparence sage mais dont je savais qu’elle me mettait en valeur : ma jupe enserrait mes jolies fesses rebondies, et mon chemisier semblait caresser ma taille et épousait la forme de mes seins rendus plus excitants par un push-up à dentelles sous lequel une autre surprise attendait. Sous ma jupe, je portais des bas, et un string que l’on devinait à peine sous le tissu moulant.
Ainsi armée je vins au bureau, passais devant vous, relevant discrètement ma jupe pour vous montrer mes bas, défaisant un, puis deux boutons à mon chemisier. Je vous vis vous diriger vers les toilettes. Je pris le risque de vous attendre aux lavabos, la jupe relevée, le string écarté laissant voir mon intimité, le chemisier ouvert, le soutien-gorge descendu, vous montrant mes tétons serrés par de petites pinces.
Haletante, excitée de me trouver en cette position, je cherchais votre regard, bouche ouverte, tout mon corps tendu vers vous.
Mais vous ne m’accordâtes pas un regard.
Je voulus être l’eau qui lavait vos mains, le savon qui glissait contre elles, la serviette qui les essuyait.
Et je crus vous voir sourire en sortant. Je me rhabillais, me traitant de folle de prendre ces risques alors que n’importe qui pouvait entrer !
Mais votre sourire m’avait donné une idée.
Je retournais dans mon bureau. Après quelques manœuvres délicates pendant lesquelles je priais pour que le téléphone ne sonnât pas et que personne n’entrât, je réussi à faire une photo de mes poignets entourés de Chatterton. Puis une autre de mes poignets rougis après l’avoir arraché. Puis, une troisième, d’un bras attaché au radiateur par mon foulard.
Je les lui envoyai par MMS accompagnés de ce texte :
« Je suis liée à vous. Je vous attends et vous attendrais dans la position qui vous conviendra. Votre silence m’autorisera à continuer. »
Vous reçûtes le message. Vous demeurâtes muet.
Le reste de la journée fut une réelle chasse. Je pris l’ascenseur seule avec vous et relevais la jupe sur mes fesses.
Vous fîtes mine de ne pas me voir.
J’entrais dans votre bureau et me mis à genoux dans un coin, relevant mon chemisier, tirant sur mes pinces.
Vous continuâtes, imperturbable, votre conversation téléphonique.
Je glissais un stylo entre mes jambes, sous la jupe, le ressortis tout mouillé et le léchais.
Aucune réaction.
Je relevais ma jupe et me donnais une claque sur les fesses, comme vous aviez aimé le faire.
Vous sortîtes du bureau.
Je retournais à mon ordinateur, me rongeant les ongles, excitée de ma propre attitude.
Je m’apprêtais à rentrer chez moi lorsqu’un message apparut :
« Bonne petite salope. Interdiction de te toucher jusqu’à nouvel ordre. Nouvelles instructions demain. »
La nuit fut une torture, vous m’aviez répondu, et cette réponse réactiva mes envies.
Je passais la nuit à me retourner, en feu, en fusion.
Le lendemain, vendredi, vous m’adressâtes enfin la parole. En privé. Dans mon bureau.
- Alors, petite chaudasse, tu as tenu le coup ?
- Oui.
- Bien ! On a envie de ma queue ?
- Oui !
- Approche.
Je m’approchais. Vous me serrâtes contre vous.
Je sentis votre verge bien dure. Vous me retournâtes.
- Soulève ta jupe. Penche-toi un peu.
Votre membre se frotta contre mes fesses. Glissa entre ma raie.
Je voulus que vous me preniez, que vous la mettiez dans ma chatte ou dans mon cul, fort !
Mais vous restâtes au bord.
Votre sexe se frotta contre moi, se branla entre mes fesses. Entre mes cuisses.
- Branle-moi.
Je me retournais et vous branlais. Ma main entoura votre queue et fit des mouvements de va et vient. Je crachais dessus et branlai votre gland humide.
Elle se tendit.
Un soupir plus fort.
Et votre sperme sur ma main, sur ma cuisse.
En parfait gentleman, vous me donnâtes un mouchoir. Je m’essuyais. Votre main glissa sur mon intimité : la grotte était submergée.
Je fermais les yeux prête à m’abandonner.
- Retourne travailler. Je te veux chaude comme la braise, une vraie chienne.
Je frémis. Encore plus chaude ? Vouliez-vous que je me consume ?
Vous jouâtes avec mes sens toute la journée, me frôlant, pinçant mes seins au passage.
Puis une nouvelle instruction arriva par mail. « Ce soir, 22h05, chez moi. Ne te touche pas avant. »
J’obéis. A 22h05 (je connais votre sens de la ponctualité) je sonnai chez vous. En ébullition.
La porte s’ouvrit.
- Entre. Va dans ma chambre, allonge-toi sur mon lit, nue. Je te rejoins.
J’obéis encore. Je m’allongeais, dans le plus simple appareil. Je sentis votre odeur dans les draps et je perdis pieds. Je vous demande pardon, pardon, pardon.
Je mouillais terriblement, vos draps furent humides sous moi ; je n’y tins plus. Quand vous entrâtes, j’avais une main sur mes seins, et l’autre sur mon bouton de plaisir.
Vos mains saisirent mes poignets. Rudement, ils furent serrés au-dessus de ma tête.
- Pardon !
- Qu’est-ce que je t’ai dit ?
- Pardon !
- Je ne t’ai pas dit pardon. Qu’est-ce que je t’ai dit ?
- De ne pas me toucher.
- Et ?
- J’ai désobéi.
- Tu m’as désobéi auparavant ?
- Non !
Vous étiez furieux. Vous vous dirigeâtes vers le placard et en sortîtes une boîte. En un tournemain mes poignets furent liés par des menottes à la tête du lit.
Vous vous allongeâtes sur moi. Votre queue se frotta à ma grotte secrète. Je me cambrai mais vous me repoussâtes. Je vous sentis à l’entrée de moi sans aller plus loin.
Puis votre queue se branla dans ma bouche. Pendant quelques secondes, pas plus.
Enfin vous fûtes au dessus de moi, à vous branler de fureur, et je dévorais des yeux cette si belle bite que je voulais en moi. En moins d’une minute, je fus recouverte de votre jus, chaud et onctueux.
Pas de mouchoir, pas de serviette. Je restai attachée.
Votre sperme coula le long de mes seins et de mon ventre, ma chatte coulait sur votre lit.
- Tu restes là. Sans te toucher cette fois. Je reviendrais quand j’aurai trouvé une punition adéquate.
Je vous entendis allumer la télé dans le salon.
Je me sentais chaude et humide comme une île tropicale. Jetant un œil autour de moi, j’aperçus la boîte d’où vous aviez sorti les menottes. Je vis dépasser une chaîne, et des plumes. Mon imagination s’emballa : que contenait encore cette boîte ? Quelle délicieuse punition alliez-vous m’infliger ?
Je ne tardai pas à le découvrir.
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