Le menhir

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le menhir Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le menhir
Eliane a remarqué la planchette dont la pointe désignait un chemin de terre. "Mégalithe" disait l'inscription.

- "On y va ?"Depuis un quart d'heure nous explorons la clairière, étonnés de découvrir en pleine Creuse un menhir de presque quatre mètres de haut, entre un cratère réceptacle d'eau à sa gauche et, perché sur une élévation du terrain, sur la droite un dolmen imposant. Un panneau d'affichage présente les mégalithes vieux de 4 ou 5000 ans.

L'étendue circulaire est fermée par une haie sauvage et des arbres. Au delà c'est la forêt inconnue Nous prenons des photos sous tous les angles de la pierre quadrangulaire dressée au centre de l'espace. Eliane prend des poses sur la grande table plate que portent quatre piliers de pierre brute de tailles inégales.Le silence de cet ancien lieu de culte est impressionnant; seul le bruissement des feuilles révèle un vent léger.

Tout à coup, venues du chemin s'élèvent des voix joyeuses. Un ordre sec interrompt les discussions:
- Stop, posez vos vélos, nous sommes arrivés. Le temple est devant nous. Je vous recommande une attitude correcte. Les divinités qui habitent ces lieux béniront notre pèlerinage si nous les vénérons avec respect.
Revêtez votre tenue de cérémonie.
Suit un silence. Le maître reprend :
-Formez le cortège derrière moi, les témoins confirmés en premier par couples. Avançons. Ensuite la postulante et son futur compagnon nous rejoindront et nous procéderons au sacrifice prévu.

Que c’est bizarre ! Eliane et moi avons prudemment gagné le bosquet d'où nous suivons l'entrée de la courte procession. Le défilé est ouvert à l'avant par une sorte de druide, enfin par un barbu à la chevelure blanche, revêtu d'une aube blanche, qui correspond à l'image que je me suis toujours faite des prêtres de la Gaule antique, cueillant le gui. Notre homme cependant n'a pas de serpe d'or. A distance suivent cinq couples, jeunes filles en tunique jaune, jeunes hommes en tunique verte. Le druide s'arrête face au menhir et se courbe profondément, pour saluer le symbole phallique, puis des deux bras déployés en arc de cercle, il fait signes aux accompagnateurs d'encercler le rocher.

Nous suivons le mouvement des tuniques vertes alors que les jaunes disparaissent à l'opposé. Quand le célébrant claque des mains, commence une danse autour du monument. Les tuniques se sont mélangées et forment un cercle où alternent les deux couleurs ; une fille donne la main à deux garçons et chaque garçon est entre deux filles. Ils paraissent en transes, secouent leurs têtes, leurs fesses, tapent du pied, s’inclinent et reprennent leur course étrange.

Au signal, le mouvement autour du menhir s'inverse, le cercle tourne dans le sens des aiguilles d’une montre puis à l'envers sur commande de l'officiant en blanc. Les participants, toujours tenus par les mains lèvent les bras puis les baissent en chantant en rythme une mélopée étrange, incompréhensible, entrecoupée de cris de joie. Un nouvel ordre les aligne sur une seule ligne face au barbu à la chevelure blanche. Les mains se défont et tombent le long des corps. Le druide déclame ;
-Que les impétrants entrent et viennent se poster l’une à ma droite, l’autre à ma gauche et que le spectacle de leurs aînés les initie enfin et utilement aux gestes de l’amour tels que les dieux nous les ont enseignés.

Deux silhouettes apparaissent côte à côte, une fille toute de blanc vêtue accompagnée d’un jeune homme habillé d’une tunique rouge. Un chant salue leur arrivée, dans une langue inconnue de moi.

-« Toutes les tuniques s’arrêtent au-dessus des genoux » me fait remarquer Eliane. « Seule l’aube du druide frôle le sol. Il faut qu’il se distingue des croyants »Les nouveaux arrivants prennent place comme indiqué. Un ordre fuse :
-Mesdames, en position.

Les tuniques vertes ne bougent pas, le dos tourné vers la pierre géante. Les jaunes leur font face et s’agenouillent devant les hommes. Ceux-ci relèvent le bas de leur habit vert, assez pour qu’on voie leur main droite s’emparer de leur membre viril et le présenter à leur voisine. Le druide dirige l’opération :
-Touchez…prenez en main…posez vos lèvres sur le gland. Allons Lucienne, repousse le prépuce. As-tu oublié ?... C’est mieux. Léchez, prenez en bouche, juste le gland, pas plus. Et maintenant, exécutez des mouvements d’aller et retour, très courts mais rapides sur l’extrémité de la verge. Ne vous arrêtez pas.

Cinq minutes plus tard, il remercie les exécutants et interpelle les deux nouveaux d’une voix forte qui s’adresse aussi à tous les présents :
-Je vous rappelle que nous célébrons aujourd’hui le dix-huitième anniversaire de notre amie Cindy. C’est l’occasion de la faire passer du statut de vierge à celui de femme, comme vous l’avez tous fait ici-même au cours des années écoulées. Cindy, approche-toi de ces jeunes dames et observe attentivement le jeu de leurs lèvres sur l’extrémité des sexes. Quand tu auras bien étudié ce doux travail des bouches tu viendras l’imiter sur Olivier.

La vierge devenue majeure va d’un couple à l’autre, se penche pour bien voir les mouvements qui ont repris. Elle revient près du maître et demande pourquoi chaque fille entoure la base du membre d' une main.

-C’est pour limiter la pénétration de la queue dans la bouche avant de pouvoir en recevoir davantage quand je l’autoriserai. Il faut une progression.

-Et pourquoi les unes utilisent-elles la main gauche et les autres la droite ?

-C’est sans importance, d’ailleurs tu les verras changer de main plus tard. As-tu bien regardé ? Eh bien, imite ces amies bénévoles. Olivier présente ton vit à cette charmante enfant et accepte son hommage.

Cindy est douée. Son imitation est parfaite et son compagnon tend son ventre, voudrait-il brûler les étapes ?

-Bravo, ma fille, c’est parfait. Veux-tu un nouveau temps d’examen ou te sens-tu prête à recevoir le membre entier dès à présent ?

-Oh ! oui, tout, tout de suite.

-Patience, chère Cindy. Tous à vos postes pour une fellation collective. Je vous rappelle que les garçons doivent opérer un glissement vers la gauche et changent de partenaire. Comme toujours, chaque étape donne lieu à ce mouvement. Le dernier du rang devient le premier. Ainsi vous réaffirmez votre souci de goûter à chacune des femmes. Seul Olivier ne change pas aujourd’hui. A lui la tâche de déflorer notre vierge avant qu’elle se livre aux ébats amoureux de notre clan.

Après cette fellation et un nouveau changement de partenaire, nous assistons à une démonstration de cunnilingus. Olivier suce et doigte Cindy. Vient le moment des pénétrations. Les femmes appuient leurs mains contre le menhir, à hauteur de hanches, creusent le dos et présentent ainsi leur fente. Nous sommes émus par le chœur de voix féminines au moment où, dans un même élan, les jeunes mâles introduisent leur pieu dans les vagins. La suite des exercices a lubrifié l’intérieur des moules et dès l’assaut tous se retrouvent ventre collé aux grandes lèvres. Le druide a annoncé que chacun peut posséder désormais agir à sa guise, adopter le rythme qui lui convient. Aussi les gémissements sont décalés et les orgasmes éclatent en désordre. Cindy se cache les yeux. Elle voit ensuite les hommes s’allonger pour que les filles viennent s’asseoir sur les verges, certaines tournées vers la pierre d’autres vers le couple fêté. Toutes montent et descendent autour du pieu masculin.

Soudain le druide relève son aube et brandit un sceptre énorme. Il réclame de la novice une fellation. Elle courbe le dos, suçote le gland, se démet la mâchoire en avalant le monstre. De l’index L’homme invite Olivier à placer son sexe au bon endroit.

Vas-y, écarte les lèvres avec tes doigts, pousse. Recule puis revient plusieurs fois. N’aie pas peur de forcer en avançant, il le faut, c’est ton devoir. Tu n’as pas le droit d’abandonner, tu fâcherais les divinités de ces lieux. Recommence, vois comme elle engloutit mon chibre. Elle en veut, défonce son hymen; quand ta verge passera, elle se couvrira du sang. Tu recueilleras des gouttes de ce sang et tu iras l’appliquer sur la pierre.

Cindy a crié, Olivier se retire, trempe son doigt dans le vagin ensanglanté puis court rougir le menhir. Le sacrifice est réalisé. Il n’y a plus d’anciens ou de nouveaux ; tous se mélangent. Cindy s’efforce d’accueillir en elle tous les mâles présents. Olivier passe de vagin en vagin.

Eliane éternue fort. Le druide cherche la source de l’éternuement, tend le bras dans notre direction, hurle au sacrilège, lance ses troupes dans notre direction. Eliane est rattrapée par les filles, des garçons me tombent dessus. On nous jette sur le plateau du dolmen, on arrache nos vêtements. Les garçons m’abandonnent à la demi-douzaine de femmes nues, en sueur, et se jettent sur ma femme. Je suis entouré, maintenu couché, sucé, embrassé, chevauché. Une vulve écrase ma bouche. Les cris de ma femme laissent supposer qu’on la caresse et qu’on la pénètre. J’éjacule dans un vagin, Eliane hurle :
-« Non, pas mon cul… aie ! Oh. »
J’entends des rires, des cris sauvages. J’éjacule encore et je sens une bouche qui s’acharne à raidir ma bite agitée par deux mains fines. J’étouffe sous une croupe gluante, j’avale un liquide qui coule des chairs tendues. Eliane rit, pleure, jouit, se plaint. Je ne la vois pas. J’entends ses râles. On me trait. Je perds conscience. Quand je reviens à moi, entre les bras de ma femme, le silence est revenu. Ils ont disparu.

-Le druide m’a prise, m’a défoncée. Sa massue m'a détruit le sexe ; j’étais tenue par des bras nombreux.On me palpait, on me pinçait les tétins. J’ai eu mal, très mal, mais j’ai joui, beaucoup joui, comme jamais, j’ai honte. Ils m’ont tous envoyé une charge de sperme dans le ventre, sur la figure, les jeunes salauds. J'ai eu droit à une double pénétration, ma première. Le grand brun était sous moi, me fouillait le vagin, cherchait mon point G tandis qu'un autre fouraillait entre mes fesses. Il crachait son jus , se retirait et était aussitôt remplacé . Je me souviendrai longtemps de cette cérémonie et de sa conclusion. Rentrons vite, je dois me rincer avec ma poire et avaler une pilule du lendemain si je ne veux pas accoucher d’un petit cueilleur de gui dans neuf mois. Et toi, c'était comment. Les petites salopes t'ont fichu à plat, tu auras besoin de repos et d'un reconstituant. Jure que tu n'as pas pris trop de plaisir avec ces garces.

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Texte coquin : Le menhir
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