Le neveu n'est pas revenu seul
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le neveu n'est pas revenu seul
Une semaine plus tard, le neveu de ma femme revint accompagné. Je n’avais jamais vu (à part au cinéma), d’armoire à glace aussi grand et costaud. Il devait mesurer plus de deux mètres et environ cent cinquante kilos. Il se planta devant moi et Carlos(c’est le prénom du neveu) me regarda avec un sourire goguenard. Le mastodonte commença à se déshabiller. Lorsqu’il enleva son slip, il libéra un engin gros comme mon poignet. Carlos me mit à genoux devant lui et me dit à l’oreille :
- Mouilles-le bien, parce que tu vas l’avoir dans le cul !
Puis il se baissa pour m’enlever mes chaussures. Il défit ma ceinture et baissa mon pantalon et mon slip. Il les fit glisser sous mes genoux et me les enleva. Il me prit par le bras et me releva. Pendant ce temps, le balèze s’était allongé sur le sol, la queue dressée. Carlos me retourna vers lui et me fit enjamber le monstrueux engin. Je me retrouvais de nouveau à genoux, mais cette fois, le cul au dessus de la plus grosse bite que j’aie jamais vu. Le géant me saisit par une hanche et prit sa bite dans l’autre main. Il me forçat à m’asseoir sur son gros membre jusqu’à ce que le gland touche mon trou. C’est le moment que choisit Carlos pour fourrer sa bite dans ma bouche. Il s’enfonça le plus loin possible pour m’empêcher de crier. Dans le même temps, le fort des halles, pesa sur mes hanches pour faire entrer son gros engin dans mon cul. Malgré la salive dont il était enduit, le gland ne rentrait pas. Le costaud poussa plus fort.
J’étais sûr que le liquide qui coula était du sang. J’ai failli hurler, mais la bite de Carlos faisait un bâillon. Quand l’énorme gland franchit le sphincter, avec la force de la poussée, le reste du membre s’enfonça d’un seul coup et je me suis retrouvé assis sur les cuisses de mon agresseur, embroché comme un poulet. Carlos se pencha en arrière et commença à s’allonger. Mon enculeur, me poussa dans le dos pour que je garde la bouche pleine. Quand Carlos fut à l’horizontale, le mec dans mon cul s’était relevé,
Me poussant à quatre pattes. Une lueur de lucidité me fit comprendre qu’il allait me limer. J’ai essayé de me débattre mais l’autre me tenait fermement par les hanches. Quand il commença à bouger, j’ai eu le cul en feu mais, au bout de quelques secondes, j’ai éjaculé probablement tout ce que j’avais dans les couilles. J’ai souffert comme jamais, mais j’ai pris le plus beau pied de mon existence.
- Mouilles-le bien, parce que tu vas l’avoir dans le cul !
Puis il se baissa pour m’enlever mes chaussures. Il défit ma ceinture et baissa mon pantalon et mon slip. Il les fit glisser sous mes genoux et me les enleva. Il me prit par le bras et me releva. Pendant ce temps, le balèze s’était allongé sur le sol, la queue dressée. Carlos me retourna vers lui et me fit enjamber le monstrueux engin. Je me retrouvais de nouveau à genoux, mais cette fois, le cul au dessus de la plus grosse bite que j’aie jamais vu. Le géant me saisit par une hanche et prit sa bite dans l’autre main. Il me forçat à m’asseoir sur son gros membre jusqu’à ce que le gland touche mon trou. C’est le moment que choisit Carlos pour fourrer sa bite dans ma bouche. Il s’enfonça le plus loin possible pour m’empêcher de crier. Dans le même temps, le fort des halles, pesa sur mes hanches pour faire entrer son gros engin dans mon cul. Malgré la salive dont il était enduit, le gland ne rentrait pas. Le costaud poussa plus fort.
J’étais sûr que le liquide qui coula était du sang. J’ai failli hurler, mais la bite de Carlos faisait un bâillon. Quand l’énorme gland franchit le sphincter, avec la force de la poussée, le reste du membre s’enfonça d’un seul coup et je me suis retrouvé assis sur les cuisses de mon agresseur, embroché comme un poulet. Carlos se pencha en arrière et commença à s’allonger. Mon enculeur, me poussa dans le dos pour que je garde la bouche pleine. Quand Carlos fut à l’horizontale, le mec dans mon cul s’était relevé,
Me poussant à quatre pattes. Une lueur de lucidité me fit comprendre qu’il allait me limer. J’ai essayé de me débattre mais l’autre me tenait fermement par les hanches. Quand il commença à bouger, j’ai eu le cul en feu mais, au bout de quelques secondes, j’ai éjaculé probablement tout ce que j’avais dans les couilles. J’ai souffert comme jamais, mais j’ai pris le plus beau pied de mon existence.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai bien aimé.j'aime les gros morceaux
super récit
j'aimerais rencontrer ce genre de mec
je suis très passif
j'aimerais rencontrer ce genre de mec
je suis très passif
UN PEU BRUTAL, MAIS LE PIED