Le Nouveau Stagiaire (Sylvain au salon Voyage Éternel)

- Par l'auteur HDS Madame Edwarda -
Auteur femme.
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Récit libertin : Le Nouveau Stagiaire (Sylvain au salon Voyage Éternel) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Nouveau Stagiaire (Sylvain au salon Voyage Éternel)
Sylvain dont j'ai parlé dans mon récit « Ma rencontre avec Sylvain, le jeune fils de ma voisine de palier », jeune homme bien fait, aux cheveux blonds et aux yeux marrons, vient ce matin à mon salon pour sa première journée en tant que stagiaire. Quand on entre dans mon salon, ce qui frappe c'est le mobilier et l'agencement. On entre dans la partie « accueil » particulièrement étriquée, un comptoir à hauteur d'homme (comme dans un café) est en plexiglas entièrement transparent de sorte qu'on voit tout ce qu'il y a de l'autre côté. C'est Vesna (voir description dans mon profil) qui se tient au comptoir. Elle lui dit « bonjour », je fais les présentations : « - Voici Sylvain, notre nouveau stagiaire que je connais déjà, c'est le fils de notre voisine de palier, -Voici Vesna, apprentie esthéticienne ». Ce qui frappe, c'est la tenue de Vesna, elle porte une blouse blanche en nylon fin, col officier, boutonnage entièrement dans le dos. Sa blouse est très courte, juste en dessous des fesses par derrière et au dessous de son sexe par devant. Pour les présentations, elle se hisse sur le tabouret haut de l'accueil. Ce redressement a pour effet de retrousser sa blouse jusqu'à découvrir la naissance de son sexe, complètement lisse, Vesna étant nue sous sa blouse. Elle se met debout pour recueillir les renseignements concernant Sylvain. Le nylon électrique fait que sa blouse n'est pas redescendue, son sexe est bien dégagé, Vesna ne se rend pas compte qu'à travers le comptoir en plexiglas Sylvain a une vue imprenable sur son entrecuisses découvert. Au moment où je viens faire un baiser « pleine bouche » à Sylvain, Vesna tire sa blouse vers le bas pour la réajuster, cacher aussi ce qu'elle peut. Elle se saisit d'un tablier en toile cirée très souple, matière utilisée pour les nappes de table de cuisine, forme « tablier de cuisine », jaune uni, à bavette qu'elle passe par la tête autour du cou et noue dans le dos. Elle s'apprête à monter l'escalier en colimaçon métallique en me disant « je vais terminer ton client ». Cette expression reste quelque peu étrange pour Sylvain qui ne relève rien de spécial. Il se tient à l'accueil pour l'instant. Cinq minutes se passent, Vesna redescend l'escalier. Une chose ne doit pas échapper à Sylvain : le tablier de Vesna est complètement maculé d'une sorte de colle blanchâtre épaisse et consistante comme des grumeaux. Elle dégouline lentement sur son tablier.

Sylvain devient quelque peu nerveux en voyant Vesna qui s'essuie la bouche à l'aide de la manche de sa blouse. Bien qu'il soit encore puceau, il devient habité par des fantasmes sexuels intenses et curieux d'explorer sa sexualité. Il me découvre, en tant que gestionnaire du salon Voyage Éternel, sous un autre jour, celui d'une patronne d'une beauté exceptionnelle, belle blonde d'environ 55 ans, féminine et très sexy, avec une bouche pulpeuse. Je suis imposante par ma prestance, je dégage une assurance remarquable. Il a pour tache d'abord de recevoir les clientes. Je vois son cœur qui s'emballe lorsqu'il s'avance pour accueillir sa première cliente, d'une voix légèrement tremblante : « Bonjour Madame, je m'appelle Sylvain, je suis ici pour mon stage. C'est un plaisir de vous recevoir », Je le félicite en ajoutant aussitôt : « - tu vas beaucoup travailler ici, mais je suis convaincue que tu apprendras énormément. Si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à me le demander ». Sylvain acquiesce, trop timide pour ajouter quoi que ce soit. Je lui demande de me suivre jusqu'à l'arrière boutique afin de passer la blouse de travail. Je lui demande de se déshabiller. Il retire son pantalon et sa chemise, je fais une moue désapprobatrice, il comprend tout de suite qu'il faut aussi qu'il retire son shorty de façon à être nu sous la blouse. Celle-ci est comme la mienne et celle de Vesna : en nylon blanc très fin, col officier strict, boutonnage sur le côté donnant une allure stricte, bouclée, voire « camisolée ». Je lui dis que c'est moi qui vais la fermer. Une fois en blouse blanche du salon, je fais à Sylvain un sourire chaleureux. Je conduis Sylvain à son premier poste de travail : nous montons par l'escalier en colimaçon, je me doute que dans cet escalier, derrière moi il doit avoir une vue magnifique vers mon entrefesses par dessous ma blouse. En haut de l'escalier il y a un couloir sombre et très étroit, le long duquel on a une succession de rideaux plastifiés translucides montés sur une tringle, style « rideau de douche ». En s'avançant dans le couloir on peut apercevoir et deviner des formes à travers les rideaux. Clairement on aperçoit des massages en cours sur des clientes. Je dis à Sylvain qu'il s'occupera de nos clientes de 55/60 ans.

Sylvain parcourt du regard les postes de travail que sont les cabines successives. Il est Impressionné par l'environnement de travail, il se sent privilégié d'avoir été choisi pour ce stage. J'entre avec lui dans une cabine où une cliente est seule, donc en attente. Sylvain commence un massage de façon très classique comme il a appris dans ses cours d'esthétique du B.E.P. La cliente est allongée sur le ventre par terre sur un futon. Alors qu'il travaille, je remarque que Sylvain sent une sensation étrange sous sa blouse. Je réalise qu'il est en train de bander et qu'il se sent confus. Il espère que personne ne remarque rien, mais il ne peut s'empêcher de me fixer du regard et à ma bouche pulpeuse. J'imagine qu'il se demande ce que ça ferait de l'embrasser, de sentir mes lèvres sur son sexe. Sylvain secoue la tête vraisemblablement pour chasser ces pensées de son esprit. Il devait se concentrer sur son travail et ne pas laisser ses hormones prendre le dessus. Mais il sait que ce n'est pas aisé, et encore ! Pour l'instant on en est au début, il faudra bien qu'il en arrive à la technique du « doigtage » !. Après avoir travaillé toute la matinée, j'invite Sylvain au restaurant pour le repas. Je quitte ma blouse pour mettre un chemisier blanc translucide dont je laisse les boutons du haut défaits, exposant ma poitrine généreuse avec ma jupe en cuir rouge moulante et très courte (voir la photo de mon profil). qui met en valeur mon cul ferme et rebondi. En se dirigeant vers le restaurant, côte à côte, je sens son bras enlacer discrètement ma taille, sa main descend le long de ma jupe dans un geste caressant. J'ose à peine imaginer ce que pensent les gens derrière nous à la vue de ce couple d'un jeune avec une femme de la cinquantaine. Arrivés au restaurant, je commande l'apéro. A table, je commande les portos, je regarde la carte et je choisis le plat du jour. Sylvain fait de même. En buvant l'apéro, je demande à Sylvain de parler un peu plus de sa vie. Il est timide, mais possédant une personnalité attachante qui le rend facile à aimer. Je l'écoute attentivement, les yeux brillants de curiosité. Je pose des questions sur sa famille, ses études, ses passions. Sylvain se sent à l'aise avec moi, comme s'il pouvait me parler de tout. Il se sent de plus en plus attiré par moi, par ma beauté, sa confiance en moi, ma personnalité forte et séduisante. Il me parle de sa passion pour les soins esthétiques, qu'il a toujours été passionné par les soins aux femmes. « -je comprends ta passion pour l'esthétique. Quant à moi, j'ai une fille Vesna,. J'aime la musique, le cinéma et les voyages ». Le repas se passe dans une atmosphère détendue et agréable. Sylvain et moi, nous rions et plaisantons ensemble, comme si on se connaissaient depuis longtemps. Sylvain se sent de plus en plus à l'aise avec moi, il commence même à se sentir excité. Il ne peut s'empêcher de contempler mes seins, ma bouche, mes cuisses. Il a envie de me toucher, de m'embrasser, de me prendre, ça se voit. De retour au salon, chacun reprit son travail. C'est presque la fin de la journée. Je dis à Sylvain que nous devons tout ranger : échantillons, flacons, etc. Je dois monter sur un trépied et tendre les bras vers le haut, je m'aperçois dans la glace que ma blouse est relevée tellement haut qu'elle découvre mon sexe par devant et mes fesses de dos. Sylvain s'aperçoit de la situation, ce qui lui déclenche une énorme érection. Son pénis pointe sous sa blouse. Pour cacher cette érection, Sylvain redouble les rangements et passe devant moi pour m'aider à rassembler tous les flacons qui sont répandus sur le comptoir. Sylvain ne peut plus quitter des yeux cette vue de mes seins qui gonflent ma blouse. Quant à moi, je remarque le regard indiscret de Sylvain sur ma poitrine. Je suis dans un premier temps choquée, puis heureuse de voir que je peux encore être si attirante pour un garçon de 18 ans. Les flacons étant tous rassemblés, je descends de mon trépied, je remercie Sylvain pour son aide. Ce dernier est obligé de se relever également, malgré l'énorme bosse qui déforme sa blouse. Je fais comme si je n'avais rien vu pour ne pas le mettre mal à l'aise, je me retourne et me dirige vers la sortie du salon, « - A demain Sylvain, bonne fin de journée », lui dis-je. Sylvain répond d'une voix tremblante « A demain Madame Sabine et merci pour tout ».
Je traverse les couloirs de mon salon en me remémorant ce qui vient de se passer. Visiblement, je plais beaucoup à Sylvain et sans aucun doute, Sylvain doit avoir une sacrée queue. Je souris à ces pensées vicieuses, mais sent mon entrecuisses libre sous ma blouse qui s'humidifie. Je me dis à moi-même d'arrêter de penser à ça, car il n'a que 18 ans. Sylvain était complètement obnubilé par mon physique. Il a passé toute la nuit à penser à moi et à ma poitrine généreuse, et il s'est branlé trois fois en imaginant toutes les choses cochonnes qu'il voulait me faire, c'est sûr. Le matin, il est encore excité et a du mal à cacher son érection.

Nous voici le lendemain du premier jour de stage de Sylvain. Je suis dans mon bain, Je ne peux pas m'empêcher de penser à la bosse de la blouse de Sylvain. Je me dis qu'il est impossible que ce soit un simple effet de mon imagination, c'est sûrement un gourdin qu'il a entre les jambes. Je ressens des picotements au niveau de mon minou et je décide de me soulager en me branlant avec mon gode. Je commence à me caresser la chatte avec énergie, je me gode avec beaucoup de plaisir, me remémorant la forme de la bosse de Sylvain. Je jouis rapidement, secouée par des contorsions de plaisir. Cela fait très longtemps que je n'ai pas eu de relations sexuelles, et mon gode est mon seul compagnon de jeu. Mais ce garçon me rend dingue, je ne peux m'empêcher de penser à lui et à sa grosse queue. Je me sens troublée d'avoir de telles pensées, mais en même temps, ça m'excite énormément. Je me sens redevenir une femme mûre en chaleur. Je me dis que je pourrais oublier de mettre un soutien-gorge aujourd'hui, juste pour voir la réaction de Sylvain. J'imagine la scène, et ressens de nouveau mon string me mouiller. C'est décidé : aujourd'hui c'est sans soutien-gorge, sans slip, sans culotte, sans tanga. Je me dis qu'après tout, il est majeur, et que j'ai le droit de me faire plaisir. Je décide donc de ne pas mettre de soutien-gorge, et choisis une tenue légère pour mettre en valeur ma poitrine. Lorsque j'arrive au travail, je remarque immédiatement que Sylvain me regarde avec insistance. Je lui souris et lui dis bonjour en l'embrassant sur la bouche longuement, d'un baiser bien baveux, il a les yeux rivés sur ma jupe en cuir rouge moulante et très courte (voir la photo de mon profil). Je sens son parfum masculin et me dis qu'il est encore plus attirant que la veille. Je me dirige vers le comptoir de l'accueil, suivie de près par Sylvain, qui ne peut s'empêcher de mater mes fesses. Je me dis que j'ai bien fait de ne pas mettre de soutien-gorge, car je sens déjà mes tétons pointer à travers mon chemisier. La journée se déroule sans problème, alors que Sylvain commence à déboutonner sa blouse pour partir, je m'approche de lui et me penche plus que je ne le devrais pour l'aider à défaire sa blouse. Sylvain a une vue imprenable sur ma poitrine, à cause de ma blouse grande ouverte et je sens mon sexe s'humidifier. J'attends avec impatience sa réaction, et lorsque je vois son sexe se tendre, je me dis que c'est gagné. Je sens ma chatte couler, et me dis que je vais profiter de cette situation pour me faire plaisir. « - que dirais tu de venir boire un coup ? ». Sylvain rougit et répond « - Avec plaisir »

Sylvain a l'air d'attendre que sa queue reprenne une taille normale, il rentre rapidement dans le vestiaire du salon, pour se préparer, me rejoindre et aller jusqu'à la brasserie voisine. J'en fais autant en retirant ma blouse pour mettre ma jupe en cuir rouge moulante et très courte, qui me rend sublime, dont j'ai déjà parlé. Nous arrivons à la brasserie, je l'emmène jusqu'au comptoir pour l'apéritif. Au comptoir, je me hisse à l'aide de mes avant bras sur un tabouret haut. Ceci a pour effet de retrousser ma jupe complètement de sorte que la naissance de mon sexe devient visible. Sylvain remarque immédiatement que mes tétons tendent le satin de mon chemisier, Sylvain est heureux que je n'aie pas remis de soutien-gorge, il a peut-être avoir l'occasion de revoir ma superbe poitrine. « - Encore merci pour l'invitation Madame », dit-il. « - On est plus au boulot, alors stop avec les “Madame”, moi c'est Sabine », répondis-je.
Nous nous mettons à table et mangeons en parlant de tout et de rien. À la fin du repas, je lui dis « Je peux être indiscrète Sylvain ? ». Pas sûr de lui, il répond « Oui, bien sûr Sabine », « Tu as une petite amie ? », tout penaud, Sylvain répond « non » en baissant la tête. « Tu as déjà fait l'amour à une femme ? », continuai-je. Penchée, devant Sylvain, les boutons du haut de mon chemisier défaits, celui-ci dévoile ma superbe poitrine libre de toute contrainte. Sylvain était rouge de honte, il bafouilla : « Ben oui, enfin non, pas encore » sur un air malheureux. « Tu n'as pas à avoir honte de ça », lui dis-je en ajoutant « tu es mignon, tu trouveras facilement une jeune et jolie jeune fille comme notre prochaine stagiaire esthéticienne par exemple ». « Merci », finit-il par dire, et continua : « Vous me trouvez mignon? », « Oui, tu as un très beau visage, un corps très musclé et je pense ne pas me tromper en disant que tu dois être monté comme un cheval », lui dis-je en avec un sourire malicieux. Dans une attitude semi-rêveuse, Sylvain fait pencher son verre qui commença à se renverser sur la table, ce qui provoqua un fou-rire de ma part : « C'est ce que je viens de te dire qui a provoqué cela ? ». Sylvain a tout compris, je voyais la bosse qui déforme son pantalon, en rangeant les produits du salon. Sylvain murmura, « Vous avez remarqué l'effet que vous m'avez fait en rangeant le salon ? », « pas seulement Sylvain, tu oublies que tes yeux se sont perdus dans les plis de ma blouse cette après-midi et que ta queue a vite réagi. En particulier le moment où j'ai voulu attraper un ustensile dans le placard du haut, te souviens-tu ? Mon entrecuisses au niveau de mon sexe se trouvait à la hauteur du coin du plan de travail qui s'enfonçait en moi à la façon d'un gode à travers ma blouse dans un plissement très érotique », dis-je en souriant. Sylvain était scotché, j'avais vu, je savais, il avait honte. La voix tremblante, il dit : « Vraiment désolé Sabine, ça ne se reproduira plus. » Je me lève pour venir m'installer à côté de lui et je lui dis : « Ça m'étonnerait beaucoup. ». Je le regarde dans les yeux, je pose ma main sur sa cuisse. Sylvain sent son cœur s'accélérer. Je remonte lentement ma main sur sa cuisse, jusqu'à atteindre son entrejambe. Je sens sa queue qui commence à se durcir. « - Tu vois, tu n'as pas à avoir honte », lui dis-je en souriant. « Tu es un jeune homme en pleine forme, et moi, je suis une femme qui a besoin de se sentir désirée. » Je baisse la fermeture de sa braguette, je passe la main dans sa braguette et je l'embrasse sur la bouche. Sylvain répond à mon baiser avec passion. Deux tables plus loin dans la brasserie, deux garçons discutaient dont l'un me matait avec insistance. Il se lève pour se diriger vers les toilettes, en passant il dit à Sylvain « elle suce bien ? ». Sylvain était complètement excité. Sa queue, que je tripotais dans ma main était maintenant dure comme de la pierre et il ne pouvait pas croire qu'il était en train de vivre ce moment. Je le regarde d'un air tendrement espiègle et lui dis « Tu vois que j'avais raison, tu rebandes déjà comme un taureau. » Je lui disais ça tout en caressant sa queue, ce qui le fit gémir de plaisir. Tout à coup, alors que serre son pénis son liquide commence à s'écouler dans la paume de main. Avec ma main libre, je défais les boutons de mon chemisier, qui s'ouvre. J'étais entièrement nue sous mon chemisier, et ma chatte coulait déjà. Sylvain vint enfoncer index et majeur dans mon sexe avec exaltation et désir. « - Vous êtes belle », marmonna-t-il. Voilà que j'enlève ma main de la queue de Sylvain en lui disant : « Viens suis-moi, j'ai envie de ton sexe ». Je l'entraîne avec moi vers les toilettes de la brasserie. J'enlève ma jupe, je défais les boutons de la chemise de Sylvain, je l'enlève et la laisse tomber sur le sol. Je me mets à genoux devant lui, je retire rapidement son pantalon et son slip, j'ai enfin sa grosse queue devant mes yeux. « Ta queue coule, ça sent le sexe, tu as un sacré engin, je vais me régaler », lui dis-je. Une de ses mains vient caresser les couilles de Sylvain, qui gémit longuement. De son autre main, je viens étaler le liquide séminal sur son gland et le parcours avec mes doigts. Sylvain pousse des petits cris de plaisir. « Oh oui c'est bon, continuez, vous êtes fantastique », dit-il. J'enlève la main sur la bite de Sylvain et la déplace jusque vers ma chatte. Elle est trempée, et mes deux doigts n'ont aucune difficulté à la pénétrer. Je me mets à couiner sans discontinuer pendant de longues minutes, jusqu'à ce que j'explose de plaisir, en poussant des cris stridents. Ces cris sortaient de ma bouche grande ouverte, et je me calme en engloutissant la moitié de la bite de Sylvain.
Sylvain avait des spasmes, il tremblait, ma langue faisait des dégâts. Ses couilles étaient en fusion, sa bite se tendit encore plus et finit par exploser, une quantité phénoménale remplit ma bouche. Je continuai à sucer sa bite, en lui pelotant les couilles, le trop-plein de sperme sortait de ma bouche, coulait sur mon menton et finissait par recouvrir ma poitrine. Sylvain criait fort, il râlait de plaisir, il titubait, ses jambes pouvaient difficilement le maintenir debout. J'aspirais les dernières gouttes de sperme puis lui nettoyais la bite comme l'aurait pu faire une actrice porno, je lui caressais toujours les couilles. Alors qu'il avait éjaculé depuis plusieurs minutes, il ne débandait toujours pas. Sa queue était juste un peu moins raide, mais aurait convenu telle quelle à de nombreuses femmes. Je tentais une gorge profonde, j'engloutissais un trois quarts de sa bite, mais au prix de haut-le-cœur. La bave mélangée au sperme qui restait dans ma bouche coulait sur mon cou et mon torse. Avec ma main libre, j'étalais ce mélange sur mes seins, Sylvain m'observait les yeux prêts à lui sortir des orbites. « C'est une sacrée cochonne », devait-il se dire. La bite de Sylvain était redevenue bien dure, je la sortis de ma bouche, je me relevais, m'avançais, j'écartais les jambes et lui dit : « C'est à ton tour de venir goûter mon jus. ». Sylvain s'approche de moi, se met entre mes jambes et commence à lécher ma chatte, « Oui, c'est ça, lèche-moi bien... Utilise ta langue pour explorer tous mes recoins... » lui dis-je. Sylvain écoute attentivement les consignes que je lui donne, il suit mes instructions à la lettre. Il apprend très vite : « C'est bien, mon chéri... Maintenant, insère deux doigts en moi et continue de lécher mon clitoris... ». Sylvain obéit et insère deux doigts en moi, tout en continuant à lécher mon clitoris. Je me cambre de plus en plus, je halète et gémis de plus en plus fort. De l'autre côté de la porte des toilettes on doit m'entendre. Je dis à Sylvain « Oh oui, c'est bon... Continue comme ça... Je vais jouir... ». Sylvain sent que je suis prête à jouir, il accélère le mouvement de ses doigts et de sa langue. Il continue de me lécher et de me doigter jusqu'à ce que je jouisse, mon corps se tend et je jouis dans un râle de plaisir intense. Sylvain continue à lécher doucement ma chatte, savourant le goût de son jus : « Oh putain. Tu as un vrai talent, mon chéri... ». Je me relève, j'embrasse Sylvain à pleine bouche, goûtant mon propre jus sur ses lèvres. « Tu es incroyable », lui dis-je, « ça fait longtemps que je n'ai pas joui comme ça. ». Sylvain sourit, fier de lui, « Je suis content que ça vous ai plu », me dit-il.

Après quelques minutes, je me cambrais mon cul arcbouté contre le lavabo et ma chatte en l'air. « Prends-moi maintenant », lui dis-je,. « Je veux sentir ta grosse queue en moi. ». Je me mords la lèvre en pressentant la grosse bite de Sylvain se rapprocher de mon entrée. « Oui, comme ça, baise-moi, je veux sentir chaque centimètre de ta queue en moi, » criais-je d'une voix excitée. Je ferme les yeux et me cambre encore plus, et lorsque Sylvain me pénétra d'un coup sec, je criais de plaisir. « Putain, oui, c'est tellement bon, » gémissais-je en sentant sa bite me remplir complètement. Sylvain commençait à me baiser, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, suivant le rythme de mes hanches. Je passais ma langue sur ses lèvres, savourant chaque coup de rein. « Oh putain, oui, encore, plus vite, plus fort, » criai-je, encouragée par les plaintes de plaisir de Sylvain. Nos corps se heurtaient l'un à l'autre, nos cris de plaisir remplissaient la pièce des toilettes. Sylvain sentit qu'il allait jouir, il accéléra encore le mouvement, se tendit et jouit dans un râle de plaisir. De mon côté, jouis en même temps que lui, mon corps se tordit et tout en hurlant de plaisir, sentant la chaleur du sperme se répandre en moi. « Putain, oui » murmurai-je, essoufflée, puis sentant la bite de Sylvain se retirer lentement de moi. Sylvain sourit, heureux et fier. Il venait de vivre sa première expérience sexuelle, et avec une maitresse très experte dans le sexe.

En quittant les toilettes, nous passons devant le comptoir, Sylvain me précède, le serveur lui dit « ça va ? Elle suce bien ? Dans le même temps derrière Sylvain, je passe devant le patron qui me demande « il baise correctement ce nouvel employé ? »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quelle chance à ce jeune homme, je peux prendre rdv pour des soins complets bien sûr?

Histoire Libertine
Verbiage difficile à lire, les retours à la ligne sont indispensables...



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