Ma rencontre avec Sylvain, le jeune fils de ma voisine de palier

Récit érotique écrit par Madame Edwarda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Madame Edwarda ont reçu un total de 758 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 758 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ma rencontre avec Sylvain, le jeune fils de ma voisine de palier
Ce récit raconte ma rencontre avec Sylvain, le jeune fils de ma voisine de palier ; la porte de son appartement est située juste en face de la notre (je dis « la notre » car je vis seule avec Vesna ; voir à sujet mes autres récits). J'ai environ 45 ans. Je souligne déjà que mon voisinage me permet d'avoir des ébats sexuels réguliers avec au minimum deux coïts journaliers avec mon « sexfriend » Patrice et la jouissance qui va avec. Cela ne m'empêche pas d'aller voir ailleurs. Ma voisine de palier Nicole, une amie intime que je vois souvent, m'invite pour fêter l'anniversaire de son fils Sylvain. Après avoir consulté cette amie concernant la taille et les goûts de son fils je décide de lui offrir un shorty en latex noir. Concernant Sylvain, c'est un beau gars blond, plutôt grand, quand il est vêtu, en plus il a un corps de sportif. Je me dis déjà que je le verrais bien tout nu pour en faire mon quatre heures comme on dit.
Je suis dans un état fébrile à l'attendre chez nous. J'ai revêtu ma jupe en cuir rouge (voir la photo de mon profil) ultra courte avec un « crop top » très court, sans manches, nombril dégagé en satin brillant. Sous ma jupe, bien sûr, je suis nue ; de plus, sous mon crop top je suis seins nus parce que sans soutien gorge. On sonne à la porte. Je pense toute de suite « c'est lui ». Vesna dans sa tenue d'intérieur habituelle (tablier blanc « serveuse de bar » topless et talons vernis noirs) le fait entrer. Il entre, je me dirige vers lui pour l'embrasser. Il vient me faire la bise et louche en même temps sur ma poitrine dont une partie est visible avec mon crop top très échancré surtout quand je me penche, dans le cas présent je suis assise et lui debout donc au dessus de moi il profite de la vue. Mon baiser est un « bisou français », c'est-à-ire « pleine bouche », lèvres contre lèvres, la bouche est bien ouverte permettant le mélange des langues. Pendant ce temps il a passé ses bras autour ma taille et ses mains pelotent mes fesses. Pendant que nous parlons entre nous, je vois ses regards insistants qui se portent sur mes cuisses. Comme d'habitude quand je suis assise ma jupe remonte très haut le long de mes cuisses, dévoilant ce qu'elle est censée cacher. Pendant ce temps, Vesna est debout au téléphone, elle a un geste de sa main gauche à travers son tablier se grattant l'entrecuisses comme pour se calmer d'une démangeaison. Vu comment est placé Sylvain je m'aperçois vite que ses yeux sont rivés sur mon entre-jambes. Je suis habituée quand je suis assise dans un fauteuil chez moi à ne pas faire attention aux poses que je prends. Ce qui fait qu'il est fréquent que l'on puisse voir jusqu'à mon sexe entièrement lisse puisque je suis complètement glabre. J'offre à Sylvain un verre de jus de fruit et m'assois sur un fauteuil en face de lui pour parler un peu, il est en formation dans une école hôtelière ou quelque chose d'approchant. En cet instant, je me rends compte qu'il a une superbe vue sur mon entrecuisses, comme mes cuisses ne sont pas vilaines à voir et que j'ai tendance à les écarter il n'y a pas de raisons pour qu'il se gêne. Je ne cherche pas à le priver du spectacle, bien au contraire, j'ai très envie de me faire salope pour lui.
Sylvain rougit quand nos regards se croisent et qu'il se sait découvert. Je lui souris en disant « - j'espère que ce que tu vois est assez joli, te plaît bien, qu'en penses-tu ? Interloqué il met un long moment avant de répondre « non Madame, vous êtes jolie pour votre âge, bien plus jolie que beaucoup de femmes que je connais ». Dans les circonstances présentes, je trouve que son vouvoiement pour me parler est particulièrement délicieux. Je prends mon crop top pour le faire passer par ma tête, me voici « seins nus » devant lui. Je me saisis d'un tablier modèle « tablier bavoir chasuble », donc deux pans, un devant et un derrière noué sur les côtés par deux lanières. Il est en vinyl, matière plastifiée, froide, lisse, extrêmement érotique. Je passe les mains par dessous et je fais descendre la fermeture éclair de ma jupe pour l'enlever. Me voici donc toute nue sous mon « tablier bavoir chasuble ». Je l'invite à « se mettre à l'aise », c'est-à-dire en caleçon. Debout devant lui, j'ai un accès direct à son pénis. Je viens le prendre à pleine main de ma main gauche, je fais coulisser son sexe, en deux ou trois glissements Sylvain se décharge dans main, je dirige son sexe vers mon tablier, son foutre l'envahit, mon tablier en est maculé. Pendant cette éjaculation, je lui fais la bise en effleurant comme par inadvertance la commissure de ses lèvres et en me collant un peu trop contre lui, le contact de mes seins contre son torse à travers le vinyl le refait rougir. Son sexe se tend instantanément comme pour transpercer mon tablier. Je demande à Vesna de m'apporter une éponge pour le nettoyer. Le vinyl se nettoie très facilement d'un coup d'éponge. Nous nous asseyons côte à côte sur le canapé du séjour. Je lui propose une boisson. Pas dupe et jouant le jeu de la bouteille qui doit se trouver en bas dans le placard, je me penche en avant puis je me baisse sans plier les genoux pour regarder en prenant soin de me positionner pour que mon tablier se retroussant il ne rate pas la vue sur mes fesses et mon cul. Finalement, cette boisson qui se trouve sur l'étagère du bas est juste un prétexte fallacieux pour lui offrir une vue intéressante. Je lui sers un verre et je m'assois à côté de lui sur le canapé. Tout en parlant je caresse sa cuisse la plus proche de moi. Ma main se dirige par l'ouverture de son caleçon. Il rougit et n'arrive plus à sortir une phrase correcte. Je lui souris et lui pose une question directe qui le décontenance « t'es-tu masturbé ce matin avant de venir ici ? ». À ma question il rougit et je lui dis « - mon pauvre Sylvain, je peux peut-être faire quelque chose pour toi si tu es intéressé », suivi de « - expliquez moi madame, je ne vois pas où vous voulez en venir », à quoi je réponds « - si ! tu comprends très bien que tu n'es pas venu pour faire une partie de cartes » (je note le « madame » qui me plaît beaucoup), à quoi j'ajoute « - il va falloir remédier à ça, tu es en âge de commencer à profiter des bonnes choses de la vie » et « j'espère ne pas avoir à jouer les jeunes filles dévergondées pour aller plus loin qu'un flirt. Avec toi j'aimerais faire de belles choses ». Voilà que je me colle bien contre lui, je passe un bras autour de son cou, je pose mes lèvres sur les siennes et ma langue force l'entrée de sa bouche. Après un moment d'hésitation sa langue vient à la rencontre de la mienne et nous échangeons un long baiser ou je mets beaucoup d'ardeur pendant que nos langues se livrent à un duel acharné. Même s'il est maladroit il met de la bonne volonté pendant les embrassades. Pendant ce temps je pétris son sexe à travers son caleçon. A la palpation je constate que je ne le laisse pas indifférent. Voilà qu'il se lance dans une réflexion moralisante, « - Madame ce n'est pas bien, on n'a pas le même âge, je suis trop jeune pour vous ». Nous poursuivons cette discussion : « - je pourrais être ta mère. Vu mon âge j'ai besoin de chair fraîche, juvénile et la tienne m'intéresse. Quand tu louches sur ma poitrine, mes seins, mes fesses, mon cul est-ce que je te fais envie ? », « - oui, vous êtes bien foutue mais ça me fait drôle et ma mère va trouver bizarre que je reste longtemps chez vous surtout qu'habitant dans l'appartement juste en face elle risque fort de me voir sortir ou entrer chez vous » puis j'ajoute « - pour aujourd'hui on va faire vite ensuite je vais trouver un prétexte pour te faire venir ici. Tout en parlant je m'escrime pour écarter l'ouverture de son caleçon en faisant passer mes doigts et ma main puis à ma demande il se soulève et je baisse son caleçon. Il est décontenancé par la tournure des évènements et ne sait pas quelle attitude adopter. Je caresse son magnifique sexe d'une main et de l'autre je délace les lanières de mon tablier pour libérer complètement mes seins et je mets mes seins à l'air en soulevant les pans. Je prends une de ses mains et la place sur un sein en disant « - comme ça tu les vois en entier et tu peuxles caresser ». Timidement et les joues toujours empourprées il m'obéit. Je me penche. J'embrasse puis je lèche partout son pénis bien gonflé en insistant sur le gland que je suçote et aspire pour finir par ses testicules. Il frémit quand je fourre son membre dans ma bouche et lui fais une fellation avec des aller-retour lents au début puis de plus en plus rapides. Sylvain ne tient pas longtemps. Son corps se tend, sa queue est agitée de soubresauts et envoie des jets de sperme dans ma gorge, j'avale une quantité importante de semence et continue un peu à sucer pour lui rendre une verge propre Je lui fais ce commentaire « - le trop plein n'était pas loin, tu m'en a mis beaucoup dans la bouche mon petit cochon ». « - c'est venu vite, je n'ai pas eu le temps de vous prévenir », « - ce n'était pas nécessaire Sylvain, ce n'est pas la première fois que j'avale du sperme et le goût me plaît beaucoup », « - vous aimez ça Madame ? » « oui, cela fait partie de ce qui se fait au cours d'ébats sexuels »
Sylvain se rhabille. Il est dans un état second. Il a beaucoup de mal à réaliser ce qui lui arrive. Au moment de se quitter je lui demande qu'il revienne au plus tôt, je connais très bien sa maman avec qui je peux arranger un rendez-vous entre moi et son fils Sylvain sans qu'elle ne pense à des ébats sexuels entre moi et son fils qui en a vingt-quatre de moins. Je vais voir sa mère avec un prétexte futile pour qu'il revienne bientôt et alors nous ferons l'amour correctement. Il est d'accord et part en souriant aux anges. En s'approchant de moi pour un bisou français, je remarque qu'il laisse traîner sa main sur mon tablier de façon un peu insistante, j'en profite pour lui dire que c'est un objet de désir sexuel pour lui, il pique un fard, je lui dis que pour la prochaine fois j'y penserai.
La fois suivante, je lui ouvre la porte vêtue de mon tablier en vinyl, modèle « tablier bavoir chasuble », sans rien d'autre que des talons aiguilles vertigineux. Mon tablier est tellement court qu'il ne couvre pas plus que mon sexe par devant et tout juste mes fesses par derrière. Il est relativement lâche de sorte qu'en me déplaçant il se détache de lui-même de mon corps en particulier lorsque je me penche en avant ; surtout, en me déplaçant, mes talons aiguilles produisent un déhanchement tel qu'à chaque pas comme à chaque mouvement le tablier se détache de mon corps laissant apparaître sur les côtés ma chair douce et fraîche. En faisant entrer Sylvain j'ai un mouvement furtif très suggestif : je passe ma main par devant au niveau de mon sexe et j'enfonce bien mes doigts dans le creux de mon entrecuisses à travers mon tablier comme pour me calmer d'une démangeaison. Maintenant, avec Sylvain je suis bien décidée à ne pas perdre de temps ; « - bonjour Madame », « bonjour Sylvain, je suis très contente que tu sois là, tu ne vas pas regretter car tu vas passer un bon moment ». J'enlace immédiatement Sylvain, je colle mes lèvres aux siennes. Tout de suite sa langue est dans ma bouche et cherche la mienne qui n'évite pas la confrontation et notre baiser dure longtemps. Ma « chasuble » avec comme de grandes ouvertures sur les côtés et les pans très lâches permettent un accès quasiment total sur mon corps. Je fais lentement un tour complet sur moi-même pour faire virevolter mon tablier. Il me regarde bouche bée, je lui dis « regarde mon corps je te l'offre ». Je profite de la situation pour déboutonner sa chemise, je lui retire le vêtement et le jette sur le sol, j'embrasse et caresse pendant un bon moment son torse pendant qu'à ma demande il caresse ma poitrine et triture délicatement mes tétons. Je lui dis « - ils ne sont pas si fragiles que tu le penses, tu peux être plus ferme avec mes nichons mon chéri ». Il se met à martyriser mes tétons sans ménagement, je dois serrer les dents pour ne pas gémir. Je déboutonne son jean et le fais glisser en même temps que son caleçon le long de ses jambes, à ma demande il lève les pieds pour que je retire les vêtements. Il est allongé sur le dos dans le canapé, nu avec son beau membre qui bande et se dresse fièrement, il ne sait comment se comporter.
Je viens m'installer sur lui tête-bêche, je m'accroupis à cheval sur lui, mon sexe est juste au dessus de sa bouche et ma bouche est au niveau de son pénis. J'adopte donc la position 69 du Kamasutra, consistant de manière très parlante pour Sylvain et moi, à s'unir, la bouche de l'un contre le sexe de l'autre.sans être une position de pénétration, vaginale ou anale. J'explique à Sylvain que même si elle n’implique pas de pénétration, cette position est très excitante grâce aux caresses des sexes avec la langue et la bouche. Elle est généralement pratiquée par les couples qui se connaissent bien et qui ne sont pas pudiques. Le 69 demande de la concentration mais aussi un peu d’abandon de soi. J'explique à Sylvain ce qu'est le coït buccal en l'occurence (cunnilingus, anulingus ou fellation). Sylvain est allongé sur le dos et moi sur lui, Sylvain est confortablement installé. Quant moi, à quatre pattes au-dessus de Sylvain, je me laisse passivement embrasser et caresser des lèvres et de la langue. Par moments je cherche à varier le contact ou à le rendre plus fort en bougeant mon bassin de droite à gauche. Mes mouvements intensifient le frottement de mon sexe contre la langue et la bouche de Sylvain. En ces moments, il a les mains libres pour caresser mes fesses ou mes reins, pour guider mes hanches afin de multiplier mes sensations. Ensuite, dans cette position, je caresse son ventre, ses cuisses puis son sexe et ses testicules. J'embrasse et lèche son pénis sans oublier une parcelle de peau et en insistant sur les parties sensibles. Ses mains sont agrippées à mes épaules et ses ongles ont tendance à pénétrer dans mon épiderme. Après avoir sucé son gland je fais pénétrer sa queue dans ma bouche jusqu'à ce que mon nez touche son ventre puis je la fais coulisser avec des aller-retour plus ou moins rapides afin de faire durer la fellation. Mes ongles s'incrustent de plus en plus dans la peau de Sylvain, il émet un son rauque et son sexe pris de tremblements se dilate encore dans ma bouche dans laquelle il déverse son sperme que j'avale. Il bande toujours, je m'allonge sur la moquette et lui demande de s'allonger sur moi. Je dirige sa queue à l'entrée de mon vagin et quand il se couche sur moi elle pénètre dans mon intimité et vient butter dans le fond. Il fait coulisser son pénis en remuant avec application, j'accompagne ses va-et-vient en donnant des coups de reins. En même temps je caresse son corps, je l'embrasse, il a un mouvement de recul au souvenir du sperme qu'il a mis dans ma bouche mais comme je persiste à coller mes lèvres aux siennes il mêle sa langue à la mienne dans un long baiser fougueux. Il résiste un peu puis son corps se tend et les tremblements de sa verge annoncent qu'il éjacule dans mon ventre. Il est allongé sur le dos, je me positionne à genoux à côté de lui afin qu'il puisse atteindre mes seins et mon intimité. Je prends sa main et la dirige vers mon clitoris puis je lui montre les mouvements à faire avec ses doigts pour me masturber. Je masturbe sa queue ramollie, comme il est jeune il commence à bander assez vite. Je lui refais une fellation. Je me mets à genoux au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps et je m'empale sur sa verge. Je donne des grands coups de reins pendant qu'à ma demande une de ses mains caresse ma poitrine et que l'autre masturbe mon clitoris. Je manœuvre un bon moment et il se vide dans mon ventre sans que je jouisse. Je recommence une longue fellation vigoureuse jusqu'à ce qu'il finisse par rebander correctement. Cette mission remplie je me mets à genoux courbée la tête dans mes bras appuyés sur la moquette. Il se positionne à genoux derrière moi et me prend en levrette après avoir introduit sa queue dans mon vagin. Pendant qu'il me défonce ses bourses tapent contre mes fesses, un bruit de clapotis accompagne ses mouvements car je mouille de plus en plus et enhardi il me masturbe énergiquement. Notre accouplement dure un bon moment et prise de spasmes je jouis arrosant son ventre de la cyprine qui s'échappe de mon vagin. Quelques minutes plus tard il s'oublie encore dans mon ventre.
C'est la fin. J'accompagne Sylvain à la salle de bain et lui donne un gant de toilette pour qu'il se nettoie. Je reste intentionnellement nue et nous bavardons avant qu'il ne me quitte. Il aimerait beaucoup que je lui apprenne à bien faire l'amour. Je lui promets de l'éduquer dans ce sens la prochaine fois que l'on se verra.
Je suis dans un état fébrile à l'attendre chez nous. J'ai revêtu ma jupe en cuir rouge (voir la photo de mon profil) ultra courte avec un « crop top » très court, sans manches, nombril dégagé en satin brillant. Sous ma jupe, bien sûr, je suis nue ; de plus, sous mon crop top je suis seins nus parce que sans soutien gorge. On sonne à la porte. Je pense toute de suite « c'est lui ». Vesna dans sa tenue d'intérieur habituelle (tablier blanc « serveuse de bar » topless et talons vernis noirs) le fait entrer. Il entre, je me dirige vers lui pour l'embrasser. Il vient me faire la bise et louche en même temps sur ma poitrine dont une partie est visible avec mon crop top très échancré surtout quand je me penche, dans le cas présent je suis assise et lui debout donc au dessus de moi il profite de la vue. Mon baiser est un « bisou français », c'est-à-ire « pleine bouche », lèvres contre lèvres, la bouche est bien ouverte permettant le mélange des langues. Pendant ce temps il a passé ses bras autour ma taille et ses mains pelotent mes fesses. Pendant que nous parlons entre nous, je vois ses regards insistants qui se portent sur mes cuisses. Comme d'habitude quand je suis assise ma jupe remonte très haut le long de mes cuisses, dévoilant ce qu'elle est censée cacher. Pendant ce temps, Vesna est debout au téléphone, elle a un geste de sa main gauche à travers son tablier se grattant l'entrecuisses comme pour se calmer d'une démangeaison. Vu comment est placé Sylvain je m'aperçois vite que ses yeux sont rivés sur mon entre-jambes. Je suis habituée quand je suis assise dans un fauteuil chez moi à ne pas faire attention aux poses que je prends. Ce qui fait qu'il est fréquent que l'on puisse voir jusqu'à mon sexe entièrement lisse puisque je suis complètement glabre. J'offre à Sylvain un verre de jus de fruit et m'assois sur un fauteuil en face de lui pour parler un peu, il est en formation dans une école hôtelière ou quelque chose d'approchant. En cet instant, je me rends compte qu'il a une superbe vue sur mon entrecuisses, comme mes cuisses ne sont pas vilaines à voir et que j'ai tendance à les écarter il n'y a pas de raisons pour qu'il se gêne. Je ne cherche pas à le priver du spectacle, bien au contraire, j'ai très envie de me faire salope pour lui.
Sylvain rougit quand nos regards se croisent et qu'il se sait découvert. Je lui souris en disant « - j'espère que ce que tu vois est assez joli, te plaît bien, qu'en penses-tu ? Interloqué il met un long moment avant de répondre « non Madame, vous êtes jolie pour votre âge, bien plus jolie que beaucoup de femmes que je connais ». Dans les circonstances présentes, je trouve que son vouvoiement pour me parler est particulièrement délicieux. Je prends mon crop top pour le faire passer par ma tête, me voici « seins nus » devant lui. Je me saisis d'un tablier modèle « tablier bavoir chasuble », donc deux pans, un devant et un derrière noué sur les côtés par deux lanières. Il est en vinyl, matière plastifiée, froide, lisse, extrêmement érotique. Je passe les mains par dessous et je fais descendre la fermeture éclair de ma jupe pour l'enlever. Me voici donc toute nue sous mon « tablier bavoir chasuble ». Je l'invite à « se mettre à l'aise », c'est-à-dire en caleçon. Debout devant lui, j'ai un accès direct à son pénis. Je viens le prendre à pleine main de ma main gauche, je fais coulisser son sexe, en deux ou trois glissements Sylvain se décharge dans main, je dirige son sexe vers mon tablier, son foutre l'envahit, mon tablier en est maculé. Pendant cette éjaculation, je lui fais la bise en effleurant comme par inadvertance la commissure de ses lèvres et en me collant un peu trop contre lui, le contact de mes seins contre son torse à travers le vinyl le refait rougir. Son sexe se tend instantanément comme pour transpercer mon tablier. Je demande à Vesna de m'apporter une éponge pour le nettoyer. Le vinyl se nettoie très facilement d'un coup d'éponge. Nous nous asseyons côte à côte sur le canapé du séjour. Je lui propose une boisson. Pas dupe et jouant le jeu de la bouteille qui doit se trouver en bas dans le placard, je me penche en avant puis je me baisse sans plier les genoux pour regarder en prenant soin de me positionner pour que mon tablier se retroussant il ne rate pas la vue sur mes fesses et mon cul. Finalement, cette boisson qui se trouve sur l'étagère du bas est juste un prétexte fallacieux pour lui offrir une vue intéressante. Je lui sers un verre et je m'assois à côté de lui sur le canapé. Tout en parlant je caresse sa cuisse la plus proche de moi. Ma main se dirige par l'ouverture de son caleçon. Il rougit et n'arrive plus à sortir une phrase correcte. Je lui souris et lui pose une question directe qui le décontenance « t'es-tu masturbé ce matin avant de venir ici ? ». À ma question il rougit et je lui dis « - mon pauvre Sylvain, je peux peut-être faire quelque chose pour toi si tu es intéressé », suivi de « - expliquez moi madame, je ne vois pas où vous voulez en venir », à quoi je réponds « - si ! tu comprends très bien que tu n'es pas venu pour faire une partie de cartes » (je note le « madame » qui me plaît beaucoup), à quoi j'ajoute « - il va falloir remédier à ça, tu es en âge de commencer à profiter des bonnes choses de la vie » et « j'espère ne pas avoir à jouer les jeunes filles dévergondées pour aller plus loin qu'un flirt. Avec toi j'aimerais faire de belles choses ». Voilà que je me colle bien contre lui, je passe un bras autour de son cou, je pose mes lèvres sur les siennes et ma langue force l'entrée de sa bouche. Après un moment d'hésitation sa langue vient à la rencontre de la mienne et nous échangeons un long baiser ou je mets beaucoup d'ardeur pendant que nos langues se livrent à un duel acharné. Même s'il est maladroit il met de la bonne volonté pendant les embrassades. Pendant ce temps je pétris son sexe à travers son caleçon. A la palpation je constate que je ne le laisse pas indifférent. Voilà qu'il se lance dans une réflexion moralisante, « - Madame ce n'est pas bien, on n'a pas le même âge, je suis trop jeune pour vous ». Nous poursuivons cette discussion : « - je pourrais être ta mère. Vu mon âge j'ai besoin de chair fraîche, juvénile et la tienne m'intéresse. Quand tu louches sur ma poitrine, mes seins, mes fesses, mon cul est-ce que je te fais envie ? », « - oui, vous êtes bien foutue mais ça me fait drôle et ma mère va trouver bizarre que je reste longtemps chez vous surtout qu'habitant dans l'appartement juste en face elle risque fort de me voir sortir ou entrer chez vous » puis j'ajoute « - pour aujourd'hui on va faire vite ensuite je vais trouver un prétexte pour te faire venir ici. Tout en parlant je m'escrime pour écarter l'ouverture de son caleçon en faisant passer mes doigts et ma main puis à ma demande il se soulève et je baisse son caleçon. Il est décontenancé par la tournure des évènements et ne sait pas quelle attitude adopter. Je caresse son magnifique sexe d'une main et de l'autre je délace les lanières de mon tablier pour libérer complètement mes seins et je mets mes seins à l'air en soulevant les pans. Je prends une de ses mains et la place sur un sein en disant « - comme ça tu les vois en entier et tu peuxles caresser ». Timidement et les joues toujours empourprées il m'obéit. Je me penche. J'embrasse puis je lèche partout son pénis bien gonflé en insistant sur le gland que je suçote et aspire pour finir par ses testicules. Il frémit quand je fourre son membre dans ma bouche et lui fais une fellation avec des aller-retour lents au début puis de plus en plus rapides. Sylvain ne tient pas longtemps. Son corps se tend, sa queue est agitée de soubresauts et envoie des jets de sperme dans ma gorge, j'avale une quantité importante de semence et continue un peu à sucer pour lui rendre une verge propre Je lui fais ce commentaire « - le trop plein n'était pas loin, tu m'en a mis beaucoup dans la bouche mon petit cochon ». « - c'est venu vite, je n'ai pas eu le temps de vous prévenir », « - ce n'était pas nécessaire Sylvain, ce n'est pas la première fois que j'avale du sperme et le goût me plaît beaucoup », « - vous aimez ça Madame ? » « oui, cela fait partie de ce qui se fait au cours d'ébats sexuels »
Sylvain se rhabille. Il est dans un état second. Il a beaucoup de mal à réaliser ce qui lui arrive. Au moment de se quitter je lui demande qu'il revienne au plus tôt, je connais très bien sa maman avec qui je peux arranger un rendez-vous entre moi et son fils Sylvain sans qu'elle ne pense à des ébats sexuels entre moi et son fils qui en a vingt-quatre de moins. Je vais voir sa mère avec un prétexte futile pour qu'il revienne bientôt et alors nous ferons l'amour correctement. Il est d'accord et part en souriant aux anges. En s'approchant de moi pour un bisou français, je remarque qu'il laisse traîner sa main sur mon tablier de façon un peu insistante, j'en profite pour lui dire que c'est un objet de désir sexuel pour lui, il pique un fard, je lui dis que pour la prochaine fois j'y penserai.
La fois suivante, je lui ouvre la porte vêtue de mon tablier en vinyl, modèle « tablier bavoir chasuble », sans rien d'autre que des talons aiguilles vertigineux. Mon tablier est tellement court qu'il ne couvre pas plus que mon sexe par devant et tout juste mes fesses par derrière. Il est relativement lâche de sorte qu'en me déplaçant il se détache de lui-même de mon corps en particulier lorsque je me penche en avant ; surtout, en me déplaçant, mes talons aiguilles produisent un déhanchement tel qu'à chaque pas comme à chaque mouvement le tablier se détache de mon corps laissant apparaître sur les côtés ma chair douce et fraîche. En faisant entrer Sylvain j'ai un mouvement furtif très suggestif : je passe ma main par devant au niveau de mon sexe et j'enfonce bien mes doigts dans le creux de mon entrecuisses à travers mon tablier comme pour me calmer d'une démangeaison. Maintenant, avec Sylvain je suis bien décidée à ne pas perdre de temps ; « - bonjour Madame », « bonjour Sylvain, je suis très contente que tu sois là, tu ne vas pas regretter car tu vas passer un bon moment ». J'enlace immédiatement Sylvain, je colle mes lèvres aux siennes. Tout de suite sa langue est dans ma bouche et cherche la mienne qui n'évite pas la confrontation et notre baiser dure longtemps. Ma « chasuble » avec comme de grandes ouvertures sur les côtés et les pans très lâches permettent un accès quasiment total sur mon corps. Je fais lentement un tour complet sur moi-même pour faire virevolter mon tablier. Il me regarde bouche bée, je lui dis « regarde mon corps je te l'offre ». Je profite de la situation pour déboutonner sa chemise, je lui retire le vêtement et le jette sur le sol, j'embrasse et caresse pendant un bon moment son torse pendant qu'à ma demande il caresse ma poitrine et triture délicatement mes tétons. Je lui dis « - ils ne sont pas si fragiles que tu le penses, tu peux être plus ferme avec mes nichons mon chéri ». Il se met à martyriser mes tétons sans ménagement, je dois serrer les dents pour ne pas gémir. Je déboutonne son jean et le fais glisser en même temps que son caleçon le long de ses jambes, à ma demande il lève les pieds pour que je retire les vêtements. Il est allongé sur le dos dans le canapé, nu avec son beau membre qui bande et se dresse fièrement, il ne sait comment se comporter.
Je viens m'installer sur lui tête-bêche, je m'accroupis à cheval sur lui, mon sexe est juste au dessus de sa bouche et ma bouche est au niveau de son pénis. J'adopte donc la position 69 du Kamasutra, consistant de manière très parlante pour Sylvain et moi, à s'unir, la bouche de l'un contre le sexe de l'autre.sans être une position de pénétration, vaginale ou anale. J'explique à Sylvain que même si elle n’implique pas de pénétration, cette position est très excitante grâce aux caresses des sexes avec la langue et la bouche. Elle est généralement pratiquée par les couples qui se connaissent bien et qui ne sont pas pudiques. Le 69 demande de la concentration mais aussi un peu d’abandon de soi. J'explique à Sylvain ce qu'est le coït buccal en l'occurence (cunnilingus, anulingus ou fellation). Sylvain est allongé sur le dos et moi sur lui, Sylvain est confortablement installé. Quant moi, à quatre pattes au-dessus de Sylvain, je me laisse passivement embrasser et caresser des lèvres et de la langue. Par moments je cherche à varier le contact ou à le rendre plus fort en bougeant mon bassin de droite à gauche. Mes mouvements intensifient le frottement de mon sexe contre la langue et la bouche de Sylvain. En ces moments, il a les mains libres pour caresser mes fesses ou mes reins, pour guider mes hanches afin de multiplier mes sensations. Ensuite, dans cette position, je caresse son ventre, ses cuisses puis son sexe et ses testicules. J'embrasse et lèche son pénis sans oublier une parcelle de peau et en insistant sur les parties sensibles. Ses mains sont agrippées à mes épaules et ses ongles ont tendance à pénétrer dans mon épiderme. Après avoir sucé son gland je fais pénétrer sa queue dans ma bouche jusqu'à ce que mon nez touche son ventre puis je la fais coulisser avec des aller-retour plus ou moins rapides afin de faire durer la fellation. Mes ongles s'incrustent de plus en plus dans la peau de Sylvain, il émet un son rauque et son sexe pris de tremblements se dilate encore dans ma bouche dans laquelle il déverse son sperme que j'avale. Il bande toujours, je m'allonge sur la moquette et lui demande de s'allonger sur moi. Je dirige sa queue à l'entrée de mon vagin et quand il se couche sur moi elle pénètre dans mon intimité et vient butter dans le fond. Il fait coulisser son pénis en remuant avec application, j'accompagne ses va-et-vient en donnant des coups de reins. En même temps je caresse son corps, je l'embrasse, il a un mouvement de recul au souvenir du sperme qu'il a mis dans ma bouche mais comme je persiste à coller mes lèvres aux siennes il mêle sa langue à la mienne dans un long baiser fougueux. Il résiste un peu puis son corps se tend et les tremblements de sa verge annoncent qu'il éjacule dans mon ventre. Il est allongé sur le dos, je me positionne à genoux à côté de lui afin qu'il puisse atteindre mes seins et mon intimité. Je prends sa main et la dirige vers mon clitoris puis je lui montre les mouvements à faire avec ses doigts pour me masturber. Je masturbe sa queue ramollie, comme il est jeune il commence à bander assez vite. Je lui refais une fellation. Je me mets à genoux au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps et je m'empale sur sa verge. Je donne des grands coups de reins pendant qu'à ma demande une de ses mains caresse ma poitrine et que l'autre masturbe mon clitoris. Je manœuvre un bon moment et il se vide dans mon ventre sans que je jouisse. Je recommence une longue fellation vigoureuse jusqu'à ce qu'il finisse par rebander correctement. Cette mission remplie je me mets à genoux courbée la tête dans mes bras appuyés sur la moquette. Il se positionne à genoux derrière moi et me prend en levrette après avoir introduit sa queue dans mon vagin. Pendant qu'il me défonce ses bourses tapent contre mes fesses, un bruit de clapotis accompagne ses mouvements car je mouille de plus en plus et enhardi il me masturbe énergiquement. Notre accouplement dure un bon moment et prise de spasmes je jouis arrosant son ventre de la cyprine qui s'échappe de mon vagin. Quelques minutes plus tard il s'oublie encore dans mon ventre.
C'est la fin. J'accompagne Sylvain à la salle de bain et lui donne un gant de toilette pour qu'il se nettoie. Je reste intentionnellement nue et nous bavardons avant qu'il ne me quitte. Il aimerait beaucoup que je lui apprenne à bien faire l'amour. Je lui promets de l'éduquer dans ce sens la prochaine fois que l'on se verra.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Madame Edwarda
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

