LE PIEGE SE REFERME – Une infirmière en Beauce 06
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2016 dans la catégorie Plus on est
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LE PIEGE SE REFERME – Une infirmière en Beauce 06
LE PIEGE SE REFERME – Une infirmière en Beauce 06
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Dans l’immense chambre du château de Castelneuf, le soleil filtre par l’entrebâillement d‘un des lourds doubles rideaux qui ferment les deux fenêtres aux vitres à la Française. Un rayon indiscret vient frapper les paupières fermées d’Hervé, qui dort encore, emboité dans une position à la cuillère contre le corps de Valérie. Il ouvre un œil et s’aperçoit que tous deux ont dormi nus, pour la première fois depuis leur mariage il y a vingt-cinq ans. L’érection matinale fait se redresser la verge dans la fourche des cuisses s’infiltrant naturellement dans la fente vaginale. Il tient son épouse à bras-le-corps, sa main gauche enveloppant le sein correspondant. Projetant son bassin en avant, son membre vient doucement s’insinuer progressivement dans l’échancrure du conin. Valérie ouvre un œil à son tour, sentant aussitôt l’organe mâle qui occupe sa matrice. Elle ressent un étonnant bien-être à la queue qui s’agite en elle de plus en plus. Elle se laisse aller à répondre aux coups de ventre de son époux par des va-et-vient de son cul allant au-devant du pieu qui la perfore. Hervé rempli bientôt la matrice de son jus, embrassant sa belle dans le cou.
Le couple après s’être douché et habillé, lui d’un jeans et d’un polo, elle de la jupe corolle et de la blouse paysanne achetée avec Paul, descend sur la terrasse ouverte sur le parc et la piscine pour prendre le petit-déjeuner. Seul, Paul est attablé. Ils bavardent tout en déjeunant, lorsque Cédric apparaît vêtu d’une djellaba marocaine. Après quelques mots échangés, il demande à Paul et à Hervé de le rejoindre dans son bureau, puis, s’adressant à Valérie :
« Ma Chère Valérie, je viens de me faire masser par une aimable asiatique que je fais venir habituellement. Je vous la mets volontiers à disposition, vous verrez, elle vous relaxera divinement »
Valérie, embarrassée, remercie leur hôte et, après le départ de son mari et de Paul, elle se décide à demander au majordome où se trouve la masseuse ? Elle ne peut refuser la proposition du Baron, ce serait lui faire un affront. Conduite par l’homme de confiance de Cédric, Valérie parcourt les couloirs du château, puis ils descendent dans les sous-sols voûtés pour s’arrêter devant une lourde porte en chêne cloutée datant d’un autre siècle. Valérie se retrouve dans une petite pièce, tendue de velours rouge grenat, où quatre fauteuils en cuir noir entourent une table de salon en fer forgé. Quelques secondes à peine et une très jeune asiatique, revêtue d’un sarong noir, vient la chercher et la fait pénétrer dans une pièce aux murs laqués de noir. Un large futon blanc est au sol, des bougies colorées courent le long des murs et autour du futon. Au bout de la pièce se trouve une cloison comportant deux portes. La jeune fille qui lui dit s’appeler Kalong, demande à Valérie de se déshabiller dans le vestiaire dont elle ouvre la porte et de revêtir le kimono qu’elle lui confie. Après s’être mise nue et avoir passé le kimono, elle revient dans la grande pièce. Les seules lumières sont les bougies : dans un angle un récipient en céramique contient certainement de l’encens, car une fumée à l’odeur entêtante s’en dégage. Kalong entraîne sa patiente vers la seconde porte qui est en fait une très grande salle d’eau, avec une douche à l’italienne, deux lavabos, un bidet et des sanitaires.
Kalong dispose un bonnet de la forme d’un turban en tissu éponge sur la tête de Valérie, puis, elle retire délicatement le kimono de ses épaules, et se mettant nue elle aussi, elle la dirige vers la douche. Prenant un gel parfumé à la rose, elle savonne le dos, les bras, les jambes, le torse, les fesses, et même l’intimité totale jusqu’à la raie culière et la rosace rectale, au grand désarroi de Valérie qui n’ose émettre un son. Après l’avoir séchée entièrement avec plusieurs serviettes, Kalong la ramène dans la salle de massage. La température est assez élevée et Valérie n’a pas froid. Après s’être étendue sur le ventre sur le futon à la demande de la jeune asiatique, celle-ci commence à huiler son corps avec un mélange qui sent le gingembre et la cannelle. Les gestes sont doux et continus, Valérie apprécie les doigts, glissés sur le dos, les épaules et les bras, qui courent par des pressions légères ou des effleurements. La masseuse descend le long des fesses puis des jambes afin de masser les cuisses, les mollets et les pieds. C’est à ce moment qu’elle commence à utiliser son propre corps, telle une petite chatte qui voudrait se lover contre les jambes de sa maîtresse, Kalong se cambre et glisse avec sa poitrine et son ventre le long du corps de Valérie réalisant ainsi des va-et-vient fort agréables et sensuels. Cette dernière est stupéfaite de sentir le corps huilé glisser contre son propre corps. Au bout d’un quart d’heure, Kalong se retire et retourne Valérie. Le massage reprend cette fois de face, les seins de Valérie sont malaxés, ainsi que son ventre, l'intérieur de ses cuisses, et même la vulve. Lorsque Kalong s’étend de tout son long sur Valérie, celle-ci, n’ose encore une fois pas protester. Mais elle ressent que son corps est en feu, surtout lorsque seins contre seins et ventre contre ventre, le fruit mur et lisse de la vulve de la jeune femme vient s’emboîter sur son propre abricot. Elle sent la mouille s’écouler abondamment de sa fente largement ouverte, ne pouvant s’empêcher de gémir de bonheur. Ce corps à corps dure une éternité, Valérie se laisse emporter dans une béatitude bienfaisante, flottant dans un rêve irréel et jouissant sans aucune retenue. Après un bon quart d'heure d’activité, la jeune asiatique l’essuie avec une serviette très douce. Reposée, le corps encore plein de bonheur sensuel, elle se laisse guider vers la douche où, de nouveau, Kalong la savonne entièrement et l’aide à se rhabiller.
Elle remonte à l’appartement dans un état second. Ce qui la choque, c’est qu’elle n’éprouve aucune honte, ce qui est diablement inhabituel. Elle se demande si elle va en parler à son mari. Bien qu’elle n’ait fait aucun mal, elle se sent troublée, mais aussi un peu coupable. Pourtant, elle pouvait difficilement faire un esclandre, leur hôte en aurait certainement été vexé et c’est tout de même le patron de son mari. Puis, en femme pratique, elle se dit que c’est une expérience intéressante et que ce fut bien agréable.
Lorsqu’Hervé revient de sa séance de travail, il veut savoir si le massage a été bénéfique. Valérie rougit et quelque peu embarrassée, raconte à son mari les pratiques insolites de la masseuse de son patron. Hervé sourit tout en titillant sa moitié.
« J’espère ma Chérie que tu as apprécié, je suis sûr que tu as mouillé sous les doigts de cette Kalong »
Tout en disant cela, il fourre rapidement sa main sous la jupe de sa femme et ne peut que constater, en touchant sa culotte à la hauteur de la chatte qu’elle est trempée.
« C’est bien ce que je dis mon Amour, tu mouilles beaucoup en ce moment et j’en suis ravi, tu as envie de ton petit mari en apéritif ? »
Valérie se dégage avec peine des bras de son mari, cramoisie et mi furieuse, mi troublée, elle lui lance.
« Tu m’a mise dans un bel état, il faut que je me nettoie et que je change de culotte. Nous allons déjeuner dans dix minutes et si tu continues à me tourmenter, nous allons être en retard »
Le déjeuner auprès de la piscine se révèle on ne peut plus bucolique. Aucune allusion à la séance de massage par Cédric, au grand soulagement de Valérie. Après le café, Paul propose une ballade en VTT dans les bois du Thymerais qui couvrent près de 1 800 hectares. Il explique à Hervé que cette forêt, couvrait au moyen-âge plus de dix fois cette surface et qu’elle contient des chênes de plus de cinq cents ans. Les deux hommes se rendent aux communs pour récupérer des vélos, Cédric a disparu dans ses appartements. Valérie se retrouvant seule, décide de profiter de la piscine. Elle va donc passer l’ensemble de bains qu’elle a acheté à Paris. Pour une fois, c’est un deux-pièces, elle qui ne porte depuis longtemps que des maillots une pièce. Elle songe que dans un autre temps, elle allait se baigner seins nus, et même dans le plus simple appareil. À cette pensée, lui vient une brusque bouffée de chaleur et une moiteur entre les cuisses. Elle songe que décidément, c’est bien la ménopause qui la travaille, elle n’est pas infirmière pour rien.
Après s’être baignée longuement et avoir fait des longueurs, Valérie s’est installée près de l’eau sur un matelas pour se faire bronzer. Elle est allongée sur le ventre, les bretelles de son soutien-gorge détachées pour prendre le maximum de soleil. Soudain, elle sent une présence auprès d’elle. Prenant les bonnets de soutien-gorge entre ses mains, elle se redresse en se retournant. Cédric est debout la dominant de son mètre quatre vingt, bronzé sur tout le corps recouvert d’un slip de bain minimaliste, faisant ressortir outrageusement le paquet qui en occupe le devant. Valérie est terriblement gênée. Elle se doute que le regard inconvenant qu’elle a lancé sur les attributs de cet homme n’a pu lui échapper. Mais celui-ci, calmement, la rassure.
« Valérie, me permettez-vous de faire quelques longueurs et de vous tenir compagnie quelque temps. Nous pourrons en profiter pour bavarder et faire plus amplement connaissance ? »
Valérie bafouille son acquiescement et se réinstalle dans la position qu’elle occupait, elle entend le bruit que font les bras et les pieds battant l’eau dans un crawl puissant. Elle songe que Cédric, pour un homme qui vient de dépasser la soixantaine est un bel homme, aux traits virils, grand, musclé certainement par des activités sportives. Elle frissonne, elle prend conscience un peu effrayée qu'elle éprouve indéniablement une forte attirance pour cet homme, car elle a l'impression de retrouver des sensations qu'elle a connues lorsqu'elle était avec son beau Serge.
Pourtant, le patron de son mari, ayant un titre de Baron et propriétaire de banques, n’est certainement pas un homme pour elle. Puis, Hervé qui s’était éloigné d’elle il y a six ans, est depuis quelque temps très prévenant et d’une grande gentillesse auprès d’elle. Il ne la critique plus pour un rien et n’est plus d’une exigence désagréable pour coucher avec elle. Au contraire, il est plein d’attention, l’emmenant plus souvent au restaurant, lui offrant des petits bouquets de fleurs, de modestes cadeaux, mais toujours avec une attention particulière. Des petits bisous, sans pour autant vouloir la trousser à tout bout de champ. Du coup, c’est elle qui va au-devant de lui et qui provoque l’acte charnel, entrainant de ce fait un renouveau dans l’harmonie de leur couple. Elle qui pensait que leur couple se dirigeait lentement vers une séparation, est de nouveau très amoureuse de son mari, lui étant reconnaissante de lui offrir la perspective d’une vieillesse heureuse, car elle est certaine à présent qu’il l’aime aussi.
Valérie est dans ses pensées, lorsque soudain, elle sent des mains qui étalent une pâte molle sur son dos. À ce moment, la voix charmeuse de Cédric lui dit.
« Vous allez cuire ma chère Valérie. Il faut protéger votre peau, ou bien vous aurez des graves problèmes plus tard, vous qui êtes infirmière, vous devriez le savoir »
Valérie ne répond pas, paniquée par les mains douces qui parcourent son dos, puis ses cuisses, ses jambes et remontent sur son cou, ses épaules et ses bras. Elle a fermé les yeux, ayant l’impression que la séance avec Kalong recommence, mais là, c’est autrement dangereux avec le séduisant Cédric. Pourtant, elle n’ouvre pas les yeux, se laissant bercer sous les délicieuses caresses, ayant l’impression de ronronner comme une chatte.
Subitement, Cédric la prenant par les épaules la retourne pour la disposer sur le dos. Elle n’a que le temps de plaquer ses mains sur ses bonnets pour que sa poitrine ne se retrouve pas découverte. Elle est rouge de confusion de s’être laissé surprendre, mais là encore, elle n’ose se rebeller devant l’assurance audacieuse du beau sexagénaire. Celui-ci, calmement, commence par les pieds, remontant calmement sur les jambes, puis, toujours graduellement sur les cuisses, les écartant délicatement, occasionnant un léger tremblement à ces dernières lorsque les doigts approchent de trop près les bords du slip. Puis, Cédric applique ses doigts sur le ventre qu’il enduit lentement de crème solaire. Valérie a croisé les bras sur sa poitrine pour protéger son soutien-gorge qui n’est plus attaché. Posément, Cédric déplie les bras qui le gênent pour appliquer la pâte sur le haut du torse, le cou, les épaules et les bras. Valérie retient son souffle, car son ventre bouillonne et son cœur s’emballe. Ses bras sont le long du corps, lorsque Cédric, résolument et sans un brin d’hésitation, retire le haut de son maillot.
« Nonnnnnnn…. Oh ! Non, je vous en supplie, retirez vos mains !.... »
Gémit Valérie, alors que Cédric prend les seins dans ses paumes et qu’il les malaxe calmement.
« Allons ma Chère, ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais baignée seins nus. C’était pourtant la grande mode lorsque vous aviez vingt ans. D’ailleurs, vous avez de très jolis seins et c’est très dommage de les cacher »
Cédric a mis un peu de crème solaire dans chacune de ses paumes et il reprend en douceur sa caresse sur les mamelons, pressant graduellement les tétons déjà bien durs en les faisant rouler sous ses doigts. Valérie se mord les lèvres pour ne pas gémir, elle sent que sa vulve est envahie de mouille et se sent incapable de résister à cet homme diabolique, lorsque soudainement, celui-ci se redresse et lui lance.
« Voulez-vous m’accompagner pour quelques longueurs Valérie, vous me feriez plaisir »
La pauvre femme ne sait plus où elle en est. Il y a quelques secondes, elle s’apprêtait à s’offrir à cet homme, mais bien sûr qu’il ne peut pas coucher avec une femme de sa condition. Il s’est seulement amusé à la tourmenter. Valérie, après avoir attaché son soutien-gorge, se glisse dans l’eau, dont la fraîcheur apaise ses sens enflammés et prend plaisir à nager de concert avec l’homme qui l’a profondément troublée.
À suivre…
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Dans l’immense chambre du château de Castelneuf, le soleil filtre par l’entrebâillement d‘un des lourds doubles rideaux qui ferment les deux fenêtres aux vitres à la Française. Un rayon indiscret vient frapper les paupières fermées d’Hervé, qui dort encore, emboité dans une position à la cuillère contre le corps de Valérie. Il ouvre un œil et s’aperçoit que tous deux ont dormi nus, pour la première fois depuis leur mariage il y a vingt-cinq ans. L’érection matinale fait se redresser la verge dans la fourche des cuisses s’infiltrant naturellement dans la fente vaginale. Il tient son épouse à bras-le-corps, sa main gauche enveloppant le sein correspondant. Projetant son bassin en avant, son membre vient doucement s’insinuer progressivement dans l’échancrure du conin. Valérie ouvre un œil à son tour, sentant aussitôt l’organe mâle qui occupe sa matrice. Elle ressent un étonnant bien-être à la queue qui s’agite en elle de plus en plus. Elle se laisse aller à répondre aux coups de ventre de son époux par des va-et-vient de son cul allant au-devant du pieu qui la perfore. Hervé rempli bientôt la matrice de son jus, embrassant sa belle dans le cou.
Le couple après s’être douché et habillé, lui d’un jeans et d’un polo, elle de la jupe corolle et de la blouse paysanne achetée avec Paul, descend sur la terrasse ouverte sur le parc et la piscine pour prendre le petit-déjeuner. Seul, Paul est attablé. Ils bavardent tout en déjeunant, lorsque Cédric apparaît vêtu d’une djellaba marocaine. Après quelques mots échangés, il demande à Paul et à Hervé de le rejoindre dans son bureau, puis, s’adressant à Valérie :
« Ma Chère Valérie, je viens de me faire masser par une aimable asiatique que je fais venir habituellement. Je vous la mets volontiers à disposition, vous verrez, elle vous relaxera divinement »
Valérie, embarrassée, remercie leur hôte et, après le départ de son mari et de Paul, elle se décide à demander au majordome où se trouve la masseuse ? Elle ne peut refuser la proposition du Baron, ce serait lui faire un affront. Conduite par l’homme de confiance de Cédric, Valérie parcourt les couloirs du château, puis ils descendent dans les sous-sols voûtés pour s’arrêter devant une lourde porte en chêne cloutée datant d’un autre siècle. Valérie se retrouve dans une petite pièce, tendue de velours rouge grenat, où quatre fauteuils en cuir noir entourent une table de salon en fer forgé. Quelques secondes à peine et une très jeune asiatique, revêtue d’un sarong noir, vient la chercher et la fait pénétrer dans une pièce aux murs laqués de noir. Un large futon blanc est au sol, des bougies colorées courent le long des murs et autour du futon. Au bout de la pièce se trouve une cloison comportant deux portes. La jeune fille qui lui dit s’appeler Kalong, demande à Valérie de se déshabiller dans le vestiaire dont elle ouvre la porte et de revêtir le kimono qu’elle lui confie. Après s’être mise nue et avoir passé le kimono, elle revient dans la grande pièce. Les seules lumières sont les bougies : dans un angle un récipient en céramique contient certainement de l’encens, car une fumée à l’odeur entêtante s’en dégage. Kalong entraîne sa patiente vers la seconde porte qui est en fait une très grande salle d’eau, avec une douche à l’italienne, deux lavabos, un bidet et des sanitaires.
Kalong dispose un bonnet de la forme d’un turban en tissu éponge sur la tête de Valérie, puis, elle retire délicatement le kimono de ses épaules, et se mettant nue elle aussi, elle la dirige vers la douche. Prenant un gel parfumé à la rose, elle savonne le dos, les bras, les jambes, le torse, les fesses, et même l’intimité totale jusqu’à la raie culière et la rosace rectale, au grand désarroi de Valérie qui n’ose émettre un son. Après l’avoir séchée entièrement avec plusieurs serviettes, Kalong la ramène dans la salle de massage. La température est assez élevée et Valérie n’a pas froid. Après s’être étendue sur le ventre sur le futon à la demande de la jeune asiatique, celle-ci commence à huiler son corps avec un mélange qui sent le gingembre et la cannelle. Les gestes sont doux et continus, Valérie apprécie les doigts, glissés sur le dos, les épaules et les bras, qui courent par des pressions légères ou des effleurements. La masseuse descend le long des fesses puis des jambes afin de masser les cuisses, les mollets et les pieds. C’est à ce moment qu’elle commence à utiliser son propre corps, telle une petite chatte qui voudrait se lover contre les jambes de sa maîtresse, Kalong se cambre et glisse avec sa poitrine et son ventre le long du corps de Valérie réalisant ainsi des va-et-vient fort agréables et sensuels. Cette dernière est stupéfaite de sentir le corps huilé glisser contre son propre corps. Au bout d’un quart d’heure, Kalong se retire et retourne Valérie. Le massage reprend cette fois de face, les seins de Valérie sont malaxés, ainsi que son ventre, l'intérieur de ses cuisses, et même la vulve. Lorsque Kalong s’étend de tout son long sur Valérie, celle-ci, n’ose encore une fois pas protester. Mais elle ressent que son corps est en feu, surtout lorsque seins contre seins et ventre contre ventre, le fruit mur et lisse de la vulve de la jeune femme vient s’emboîter sur son propre abricot. Elle sent la mouille s’écouler abondamment de sa fente largement ouverte, ne pouvant s’empêcher de gémir de bonheur. Ce corps à corps dure une éternité, Valérie se laisse emporter dans une béatitude bienfaisante, flottant dans un rêve irréel et jouissant sans aucune retenue. Après un bon quart d'heure d’activité, la jeune asiatique l’essuie avec une serviette très douce. Reposée, le corps encore plein de bonheur sensuel, elle se laisse guider vers la douche où, de nouveau, Kalong la savonne entièrement et l’aide à se rhabiller.
Elle remonte à l’appartement dans un état second. Ce qui la choque, c’est qu’elle n’éprouve aucune honte, ce qui est diablement inhabituel. Elle se demande si elle va en parler à son mari. Bien qu’elle n’ait fait aucun mal, elle se sent troublée, mais aussi un peu coupable. Pourtant, elle pouvait difficilement faire un esclandre, leur hôte en aurait certainement été vexé et c’est tout de même le patron de son mari. Puis, en femme pratique, elle se dit que c’est une expérience intéressante et que ce fut bien agréable.
Lorsqu’Hervé revient de sa séance de travail, il veut savoir si le massage a été bénéfique. Valérie rougit et quelque peu embarrassée, raconte à son mari les pratiques insolites de la masseuse de son patron. Hervé sourit tout en titillant sa moitié.
« J’espère ma Chérie que tu as apprécié, je suis sûr que tu as mouillé sous les doigts de cette Kalong »
Tout en disant cela, il fourre rapidement sa main sous la jupe de sa femme et ne peut que constater, en touchant sa culotte à la hauteur de la chatte qu’elle est trempée.
« C’est bien ce que je dis mon Amour, tu mouilles beaucoup en ce moment et j’en suis ravi, tu as envie de ton petit mari en apéritif ? »
Valérie se dégage avec peine des bras de son mari, cramoisie et mi furieuse, mi troublée, elle lui lance.
« Tu m’a mise dans un bel état, il faut que je me nettoie et que je change de culotte. Nous allons déjeuner dans dix minutes et si tu continues à me tourmenter, nous allons être en retard »
Le déjeuner auprès de la piscine se révèle on ne peut plus bucolique. Aucune allusion à la séance de massage par Cédric, au grand soulagement de Valérie. Après le café, Paul propose une ballade en VTT dans les bois du Thymerais qui couvrent près de 1 800 hectares. Il explique à Hervé que cette forêt, couvrait au moyen-âge plus de dix fois cette surface et qu’elle contient des chênes de plus de cinq cents ans. Les deux hommes se rendent aux communs pour récupérer des vélos, Cédric a disparu dans ses appartements. Valérie se retrouvant seule, décide de profiter de la piscine. Elle va donc passer l’ensemble de bains qu’elle a acheté à Paris. Pour une fois, c’est un deux-pièces, elle qui ne porte depuis longtemps que des maillots une pièce. Elle songe que dans un autre temps, elle allait se baigner seins nus, et même dans le plus simple appareil. À cette pensée, lui vient une brusque bouffée de chaleur et une moiteur entre les cuisses. Elle songe que décidément, c’est bien la ménopause qui la travaille, elle n’est pas infirmière pour rien.
Après s’être baignée longuement et avoir fait des longueurs, Valérie s’est installée près de l’eau sur un matelas pour se faire bronzer. Elle est allongée sur le ventre, les bretelles de son soutien-gorge détachées pour prendre le maximum de soleil. Soudain, elle sent une présence auprès d’elle. Prenant les bonnets de soutien-gorge entre ses mains, elle se redresse en se retournant. Cédric est debout la dominant de son mètre quatre vingt, bronzé sur tout le corps recouvert d’un slip de bain minimaliste, faisant ressortir outrageusement le paquet qui en occupe le devant. Valérie est terriblement gênée. Elle se doute que le regard inconvenant qu’elle a lancé sur les attributs de cet homme n’a pu lui échapper. Mais celui-ci, calmement, la rassure.
« Valérie, me permettez-vous de faire quelques longueurs et de vous tenir compagnie quelque temps. Nous pourrons en profiter pour bavarder et faire plus amplement connaissance ? »
Valérie bafouille son acquiescement et se réinstalle dans la position qu’elle occupait, elle entend le bruit que font les bras et les pieds battant l’eau dans un crawl puissant. Elle songe que Cédric, pour un homme qui vient de dépasser la soixantaine est un bel homme, aux traits virils, grand, musclé certainement par des activités sportives. Elle frissonne, elle prend conscience un peu effrayée qu'elle éprouve indéniablement une forte attirance pour cet homme, car elle a l'impression de retrouver des sensations qu'elle a connues lorsqu'elle était avec son beau Serge.
Pourtant, le patron de son mari, ayant un titre de Baron et propriétaire de banques, n’est certainement pas un homme pour elle. Puis, Hervé qui s’était éloigné d’elle il y a six ans, est depuis quelque temps très prévenant et d’une grande gentillesse auprès d’elle. Il ne la critique plus pour un rien et n’est plus d’une exigence désagréable pour coucher avec elle. Au contraire, il est plein d’attention, l’emmenant plus souvent au restaurant, lui offrant des petits bouquets de fleurs, de modestes cadeaux, mais toujours avec une attention particulière. Des petits bisous, sans pour autant vouloir la trousser à tout bout de champ. Du coup, c’est elle qui va au-devant de lui et qui provoque l’acte charnel, entrainant de ce fait un renouveau dans l’harmonie de leur couple. Elle qui pensait que leur couple se dirigeait lentement vers une séparation, est de nouveau très amoureuse de son mari, lui étant reconnaissante de lui offrir la perspective d’une vieillesse heureuse, car elle est certaine à présent qu’il l’aime aussi.
Valérie est dans ses pensées, lorsque soudain, elle sent des mains qui étalent une pâte molle sur son dos. À ce moment, la voix charmeuse de Cédric lui dit.
« Vous allez cuire ma chère Valérie. Il faut protéger votre peau, ou bien vous aurez des graves problèmes plus tard, vous qui êtes infirmière, vous devriez le savoir »
Valérie ne répond pas, paniquée par les mains douces qui parcourent son dos, puis ses cuisses, ses jambes et remontent sur son cou, ses épaules et ses bras. Elle a fermé les yeux, ayant l’impression que la séance avec Kalong recommence, mais là, c’est autrement dangereux avec le séduisant Cédric. Pourtant, elle n’ouvre pas les yeux, se laissant bercer sous les délicieuses caresses, ayant l’impression de ronronner comme une chatte.
Subitement, Cédric la prenant par les épaules la retourne pour la disposer sur le dos. Elle n’a que le temps de plaquer ses mains sur ses bonnets pour que sa poitrine ne se retrouve pas découverte. Elle est rouge de confusion de s’être laissé surprendre, mais là encore, elle n’ose se rebeller devant l’assurance audacieuse du beau sexagénaire. Celui-ci, calmement, commence par les pieds, remontant calmement sur les jambes, puis, toujours graduellement sur les cuisses, les écartant délicatement, occasionnant un léger tremblement à ces dernières lorsque les doigts approchent de trop près les bords du slip. Puis, Cédric applique ses doigts sur le ventre qu’il enduit lentement de crème solaire. Valérie a croisé les bras sur sa poitrine pour protéger son soutien-gorge qui n’est plus attaché. Posément, Cédric déplie les bras qui le gênent pour appliquer la pâte sur le haut du torse, le cou, les épaules et les bras. Valérie retient son souffle, car son ventre bouillonne et son cœur s’emballe. Ses bras sont le long du corps, lorsque Cédric, résolument et sans un brin d’hésitation, retire le haut de son maillot.
« Nonnnnnnn…. Oh ! Non, je vous en supplie, retirez vos mains !.... »
Gémit Valérie, alors que Cédric prend les seins dans ses paumes et qu’il les malaxe calmement.
« Allons ma Chère, ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais baignée seins nus. C’était pourtant la grande mode lorsque vous aviez vingt ans. D’ailleurs, vous avez de très jolis seins et c’est très dommage de les cacher »
Cédric a mis un peu de crème solaire dans chacune de ses paumes et il reprend en douceur sa caresse sur les mamelons, pressant graduellement les tétons déjà bien durs en les faisant rouler sous ses doigts. Valérie se mord les lèvres pour ne pas gémir, elle sent que sa vulve est envahie de mouille et se sent incapable de résister à cet homme diabolique, lorsque soudainement, celui-ci se redresse et lui lance.
« Voulez-vous m’accompagner pour quelques longueurs Valérie, vous me feriez plaisir »
La pauvre femme ne sait plus où elle en est. Il y a quelques secondes, elle s’apprêtait à s’offrir à cet homme, mais bien sûr qu’il ne peut pas coucher avec une femme de sa condition. Il s’est seulement amusé à la tourmenter. Valérie, après avoir attaché son soutien-gorge, se glisse dans l’eau, dont la fraîcheur apaise ses sens enflammés et prend plaisir à nager de concert avec l’homme qui l’a profondément troublée.
À suivre…
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