Le pilote part 1

- Par l'auteur HDS mojo7.0866 -
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Récit libertin : Le pilote part 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Le pilote part 1
Chapitre I

Jeudi 08 Mai 2025, aéroport de Charles de Gaulle.
Il est 09h38, l’aéroport est rempli de personnes qui partent pour passer un long week-end au soleil.

Il y a des familles entières. Beaucoup d’enfants.
Toujours cette personne perdue qui regarde partout désespérée.
Celui qui court à perdre haleine car son vol doit partir dans 24 minutes.
Ce couple qui roucoule main dans la main.
Cet autre qui se dispute car les billets ont disparu de la poche de Monsieur.
Et ces valises partout! Chacun en a plusieurs. Les caddies bagages sont pleins.
C’est à ce moment-là que l’on demande ce que les gens emportent avec eux.
À chaque comptoir d’enregistrement il y a une queue immense qui ne cesse de grandir.
Il règne un énorme brouhaha dans le terminal.

Au milieu de la foule, un homme d’une cinquantaine d’années se faufile.
Il se glisse entre les passagers sans les toucher, sans les voir. Il connaît chaque recoin de l’aéroport, pour le parcourir depuis presque 25 ans.
Il passe devant les comptoirs d’enregistrement, devant les boutiques.
Il ne jette même pas un œil dedans.
Il se dirige machinalement vers la pharmacie du Terminal 2F, tout au fond. Bifurque sur sa droite juste avant, passe devant les enregistrements de La Première d’Air France, et se dirige vers les sanitaires.

Tout à chacun pourrait penser qu’il a un besoin naturel, mais en fait il se rapproche d’un accès dérobé.
Que seuls les personnels des compagnies aériennes peuvent utiliser.

Il part dans quelques heures pour Los Angeles.
Il est très élégant dans cette tenue de pilote, ses cheveux légèrement grisonnants lui donnent du charme.
Sa veste parfaitement taillée met en valeur ses larges épaules.
Il sourit aux personnels en charge de la fouille de ses bagages. Révèle un sourire magnifique, des dents parfaitement alignées, de petites pattes d’oies à la commissure des yeux.
« Bonjour Madame. Vous êtes toujours aussi radieuse, votre sourire donne du baume au cœur pour la suite de la journée. »
Il s’identifie sur la borne automatique.

Timothé Prévost , 49 ans, yeux bleus, 1m76, Commandant de Bord sur A380 pour Air France.

Il dépose ses affaires sur le tapis et passe sous le portique de sécurité.
De l’autre côté. Il récupère ses valises et tout en partant, remercie chaleureusement les personnels qui étaient présents.
En sortant, il se dirige sur la droite, longe les différents duty free shops dans lesquels les TPE crépitent.

Puis sur la gauche. Encore à gauche. À droite. Passe par deux portes qui ne s’ouvrent qu’avec son laissez-passer.
Finalement, après 8 minutes de ce parcours, il se retrouve devant la porte de son avion du jour.
Il est imposant. Majestueux. Avec ses deux ponts passagers, celui pour les soutes, il mesure plus de 20 mètres de hauteur.
Il vient à la rencontre de l’hôtesse d’accueil qui va lui ouvrir l’accès dans la zone la plus réglementée de l’aéroport. Celle qui est en contact direct avec les avions.

Il passe ce sas. Marche dans la passerelle vitrée.
Et arrive devant la porte de l’avion.
Elle est fermée. D’un geste sûr et précis, il l’ouvre. Et pénètre dans l’avion.
Il est le premier de la journée à entrer dedans.
Bientôt, l’avion sera rempli de différentes personnes qui apporteront les repas des passagers. Les couvertures, les oreillers. Oreilles.
Puis les hôtesses et stewards arriveront aussi.
Feront l’inventaire de tout ce qui est bord.
Ensuite, les deux autres pilotes.
Et tout ce petit monde préparera l’avion pour le faire décoller en toute sécurité.


De retour de son voyage sur Los Angeles, il se dirige vers le parking réservé aux employés d’Air France.
Il se rend dans la partie qui n’est accessible qu’aux commandants de bord, puis s’approche de sa Tesla Model S. Il n’a pas besoin de sortir la clef de sa poche. Sa voiture l’identifie toute seule.
Il monte à son bord.
Sur son tableau de bord épuré, il apparaît déjà l’adresse de son domicile sur l’unique écran gigantesque.
Rapidement, il sort du parking. Il roule à vive allure sur l’A1 en direction du nord.
Puis, il prend la sortie numéro 8 vers Chantilly.
Il prend l’avenue de la Plaine des Aigles et, à proximité de l’hippodrome, tourne à gauche pour rentrer sur un petit chemin qui va le mener jusqu’à sa résidence.

Un grand portail en fer forgé de plusieurs mètres de haut s’ouvre à son approche.
L’allée principale est entourée de vieux arbres. Avec une pelouse parfaitement entretenue.
Au loin, se dessine sa maison.
Il se gare juste devant. Puis entre dans le hall.
La demeure est composée de 4 suites, 2 chambres. Une piscine intérieure avec jacuzzi attenant, une extérieure, une salle de sport.
Une grande cuisine parfaitement ordonnée.
Un salon-salle à manger immense organisé avec goût.
Aux murs, il y a des tableaux, des portraits.
Quelques plantes, décidément, agonisantes.
De larges fenêtres sur tous les murs.
La totalité représente plus de 240 m2, sur 3 niveaux.

Tout semble impeccable, mais en y regardant de plus près….
Il y a clairement de la poussière sur un peu tous les meubles. Quelques moutons de poussière qui dessinent sous les tables, les chaises, le canapé.
Depuis que sa dernière gouvernante a pris sa retraite, la maison de Timothé commence à dépérir lentement.

Au petit matin, après avoir parcouru 9km en elliptique, et sa séance de renfort musculaire d’une heure, Timothé prend une douche bien méritée puis s’accorde encore 10 minutes dans le sauna au sous-sol.
En sortant, nu, du nuage de vapeur, il s’est décidé. Il va poster des annonces pour trouver une nouvelle gouvernante.

Après s’être habillé en polo rouge à col, avec un bermuda bleu et des chaussures blanches.
Il s’engouffre dans sa sportive et se dirige vers le village.
Passant le panneau de Lamorlaye, il tourne rapidement sur la droite, et se stationne sur le parking des commerces.
Il entre en premier dans la boulangerie, salue les employés et leur demande s’il peut déposer une annonce.
La femme qui est de service ce jour-là lui montre un petit coin sur un mur avec écrit dessus « Annonces Diverses ».

Il y dépose la sienne.

« Cherche personne de confiance pour effectuer le ménage, entretien des plantes, courses, repassage, possibilité de logement sur place. »

Sur la partie basse de l’annonce apparaissent ses coordonnées.
En sortant de la boulangerie, il se dirige vers la boucherie, et fait la même demande.
Puis il enchaîne dans le village avec les commerces qu’il trouve.

En moins de 40 minutes. Son numéro est partout.
Il espère avoir des réponses rapides car sa prochaine rotation vers Tokyo arrive vite.
Profitant d’être au village pour l’heure du repas.
Il se stationne de nouveau, sur la place centrale.
Entourée d’arbres centenaires, ombrageant la place. Il se dirige vers la terrasse du « Cheval Blanc », s’installe à l’ombre d’un arbre.
Rapidement, le serveur arrive, il commande un verre de Chablis, puis récupère la carte que lui tend le serveur.





—————————————————





Une charmante jeune fille d’une vingtaine d’années tourna à l’angle de la rue.
Elle pédalait tranquillement, avec sa coupe asymétrique.
Ses beaux cheveux d’un noir profond battaient le rythme de ses mouvements.
Tranchant avec sa chevelure, elle était toute blanche de peau, presque pâle, ce qui faisait encore plus ressortir ses yeux vert émeraude.
Toute souriante, elle garait son vélo à proximité des commerces, passant par la boucherie. Le primeur. Puis traversa le petit parking pour entrer dans la boulangerie.
Elle portait un short noir pas trop court, laissant ses cuisses à l’air, un haut blanc à manches courtes qui dessinait une belle poitrine et de petites chaussures blanches.
Devant son vélo bleu, il y a un petit panier en métal dans lequel elle entreposait ses emplettes de la matinée.

En entrant dans la boulangerie pour récupérer les baguettes du jour, elle ne savait pas que sa vie changerait!
Étudiante en 3ème année de droit, elle avait du mal à boucler les fins de mois, entre son loyer, son téléphone, les transports, les quelques sorties qu’elle s’octroyait de temps en temps.

C’est la boulangère qui lui parla de l’annonce.
Elle connaissait son statut d’étudiante précaire et avait tout de suite pensé à elle.

« Dis-moi ma belle. Tu es toujours à la recherche d’un petit boulot? »

Alizée la regarda perplexe..

« Oui. Toujours. Mais pourquoi? Tu as un truc pour moi? »
Lui dit-elle en souriant.

« Il y a le beau pilote qui cherche quelqu’un pour s’occuper de sa maison quand il n’est pas là. Et il n’est pas là souvent… »
Lui dit-elle en lui faisant un clin d’œil.

« C’est vrai? Ça paye bien? »

« Connaissant le personnage, oui je pense. Et il a une grande maison dans laquelle tu peux vivre, ça te ferait économiser le loyer en plus ! »
« L’annonce est juste derrière toi »

Alizée se retourna et lut rapidement l’annonce.

« La maison est si grande que ça? Il ne vit avec personne? Pas d’enfants? »

« Non il est tout seul, jamais eu d’enfants. Je ne comprends pas pourquoi, il est tellement gentil et serviable en plus il est plein d’argent »
« Je n’ai jamais vu la maison mais on dit qu’elle est très grande avec un énorme jardin. »

Alizée resta songeuse quelques instants, puis ajouta.

« Je vais l’appeler tout de suite avant que quelqu’un d’autre ne le fasse. »
« Un immense merci à toi Françoise. C’est tellement gentil. »

Elle sortit de la boulangerie encore songeuse, et sur le chemin du retour elle ne pouvait penser à autre chose.
Aux économies qu’elle pourrait faire avec le loyer, peut-être avec internet si il lui laisse utiliser le réseau de la maison.
Si elle osait, mais elle savait qu’elle n’oserait jamais, elle pourrait aussi faire quelques économies sur la nourriture en gonflant un peu les courses qu’elle irait faire.
Elle fit un petit crochet avant de rentrer chez elle. Et passa devant le chemin qui mène à sa propriété.
Elle ne réussit pas à apercevoir la maison depuis la route, même pas à entrevoir.
Aussi elle continua à pédaler et repartit vers chez elle.
Dès qu’elle fut arrivée chez elle, elle appela sa mère pour lui faire part de cette bonne nouvelle et lui demander quelques conseils pour l’appel qu’elle passerait dans les minutes qui suivaient.




—————————————————





La carte des plats est complète.
Le verre arrive bien vite, il informe le serveur qu’il n’a pas encore fait son choix, puis trempe ses lèvres dans le vin.
Il est comme il l’aime juste à 10ºC, une belle robe or clair, une légère odeur de sous-bois d’acacia et de pomme fraîche lui donne toute sa saveur.
Il décide de commander un tartare de bœuf pour en tirer un maximum de saveur.
Une fois son repas terminé, il demande l’addition réglée en espèce son repas, puis au moment de se lever son téléphone sonne.
Une petite voix s’adresse à lui:


« Bonjour Monsieur, j’ai vu votre annonce à la boulangerie.
Je m’appelle Alizée Ferrand, j’ai 22 ans, je suis étudiante en droit et je suis à la recherche d’un emploi pour financer mes études.
Bonjour Alizée. Je suis Timothé.
Ravi de faire votre connaissance, vous seriez disponible à quel moment afin de passer chez moi pour que nous discutions et que je vous montre la maison?
C’est possible pour moi à partir de 15h aujourd’hui si vous voulez.
Ce serait parfait. Je vous envoie l’adresse par message si vous êtes ok.
Merci infiniment Monsieur. À tout à l’heure. »

Quel coup de chance ce serait que d’avoir une personne aussi rapidement.
Lui qui doit repartir le surlendemain, il aura juste le temps de lui expliquer ce qu’il attend d’elle et de lui faire faire un galop d’essai.
Il finit par quitter le restaurant, remonte dans son bolide et part rouler juste pour le plaisir sur les routes de l’Oise.
Il passe devant le château de Chantilly, magnifique, avec ses routes en pavés, étant dans le pays du cheval, il en croise régulièrement, de très grands, des plus petits. Montés par des femmes ou des hommes. Même des enfants.
Il passe devant les jardins du château. S’il avait eu plus de temps. Il aurait flâné dans le parc , mais il en manquait déjà, et il doit déjà se diriger vers chez lui.



Chapitre II



14h55, Timothé est prêt pour accueillir sa future employée.
Il a enfilé un jean bleu, avec un polo blanc, qui met largement ses épaules et ses pectoraux en avant.
Il l’attend dans le salon, les yeux sur l’écran de contrôle d’une des multiples caméras qui discrètement équipent quasiment toute la maison.
Il la voit passer le portail de la propriété à 14h56, sur son vélo bleu.
Ses cheveux au vent, elle est souriante.
Elle a troqué son short noir pour une jupe de la même couleur, mais ample.
Son tee-shirt blanc pour un chemisier blanc aussi, dont le dernier n’est pas fermé, elle porte aussi de petites chaussettes blanches entourées par des chaussures blanches également qui tiennent à sa cheville par une petite sangle.
Elle pédale rapidement pour arriver devant les marches de la porte à 15h00.
Elle vérifie sa montre, sa tenue et sonne, déterminée.

Timothé la laisse patienter quelques secondes avant de se diriger vers la porte, après avoir pris soin d’avoir verrouillé son ordinateur depuis lequel il pilote toutes les caméras, puis il se dirige vers la porte et l’ouvre.

« Re bonjour Mademoiselle, je suis ravi que vous soyez ponctuelle, je ne tolère pas le retard! »


Elle se fige tout de suite. Intimidé par l’homme qui lui ouvre la porte.
Son visage d’ordinaire si pâle, vire au rouge écarlate en une seconde.
Il est très direct.
Françoise avait raison, c’est un très bel homme, avec un physique imposant, et un caractère qui l’est tout autant.
Elle répond à balbutiant

« Bonjour Monsieur, je vous remercie de me recevoir. »

« Merci à vous de vous être rendu disponible si rapidement. J’ai un grand besoin d’une personne de confiance pour garder et s’occuper de la maison quand je suis en déplacement.
Suivez-moi si vous voulez bien. »

Puis il lui tourne le dos et la précède dans le salon.
Elle reste sans voix en entrant dans la demeure.
C’est encore plus grand et beau que ce qu’elle imaginait.
Les plafonds sont au moins à 2,80 m de haut.
Les murs sont maigrement décorés, mais avec goût.
Un tableau de paysage ici, une scène au bord d’un étang là.
Quelques meubles qui ne surchargent pas le couloir, dessus des miniatures de grands monuments mondiaux (le Taj Mahal, une pyramide, le Colisée…).
En entrant dans le salon, elle découvre une pièce qui doit faire 60 m².
Également décorée avec goût, sobrement. Pas de tapis au sol, une cheminée parfaitement propre, avec dessus quelques modèles réduits d’avions. De larges fenêtres sans rideaux laissant deviner un parc entretenu par-delà.
Quelques tableaux aux murs (l’un représente un magnifique coucher de soleil sur une montagne, elle apprendra que c’est le mont Fuji, il y en a aussi un qui représente une très belle femme dénudée, avec une poitrine à peine visible et ses fesses que l’on devine sous le tissu qui les couvre).

Elle est interrompue dans sa contemplation de la pièce par Timothé.

« Je ne vais pas nous faire perdre notre temps, si vous êtes d’accord.
Je cherche une personne qui puisse habiter ici quand je suis en déplacement, ce qui arrive très souvent au vu de mon métier, au moins 18 jours par mois, et que cette personne s’occupe de la maison.
Fasse le ménage, arrose les quelques plantes que j’ai ici et là, s’occupe de faire mes courses, et surveille le personnel qui vient pour l’entretien du jardin et autre.
Si cela vous intéresse, vous aurez une chambre de fonction avec salle de bain, vous aurez la possibilité de vous connecter au wifi de la maison pour relier votre ordinateur à internet et ainsi étudier plus facilement.
Et une carte bleue pour pouvoir régler les dépenses que vous jugerez utiles pour la maison.
J’aurai besoin que vous commenciez le plus vite possible, disons demain, ce qui nous laisserait une journée pour que je vous explique le fonctionnement de la maison, qui est très largement automatisée, et ce que je cherche. »

Après un court instant il ajouta:

« Ha oui, le salaire sera de 1.200€/mois, nourri, quand vous ferez les courses pour moi, vous pourrez dans la limite du raisonnable prendre pour vous, logé, blanchi, vous aurez accès à la buanderie, vous aurez accès à la salle de sport si vous le souhaitez. »

Alizée resta quelques secondes sans voix après cette tirade, puis reprenant ses esprits elle répondit timidement:

« Heu, oui je peux commencer demain si vous voulez. »

« Parfait, si vous avez le temps, je peux d’ores et déjà vous faire faire le tour de la maison pour vous expliquer ce que j’attends de vous. »

Toute souriante, réalisant la chance qu’elle avait devant elle, elle répondit:

« Oui avec plaisir. »

Il la convia à le suivre de nouveau, puis l’emmena dans la cuisine.
Celle-ci était équipée de tout ce dont on pouvait avoir besoin pour cuisiner, 2 fours, un îlot central avec 5 feux à induction, un immense réfrigérateur américain, un plan de travail qui pouvait permettre à 2 personnes de travailler en même temps sans se déranger. Des placards partout.
Une arrière cuisine avec toutes les étagères pour les réserves de nourriture.
Elle resta sans voix.

Il la conduisit ensuite à la buanderie, dans laquelle se trouvait tout le nécessaire pour entretenir la maison, ainsi que les lave-linge et sèche-linge.
Mais également la table à repasser, la centrale vapeur, ainsi que la télévision qui permettait de s’occuper durant ce moment barbant!
Vint ensuite la visite de la salle à manger, équipée d’une table pouvant accueillir facilement 10 personnes. Celle-ci donnait sur le parc et la cheminée qui était traversante avec le salon.
Plus loin, après un couloir qui lui sembla interminable, il la fit entrer dans sa suite.
Un immense lit en 240*200 l’accueillit.
Avec des tables de nuit de chaque côté, une télévision immense au mur lui faisant face. Deux fauteuils.
Une grande baie vitrée qui donnait aussi sur le parc et la piscine extérieure.
Elle devait faire 10 mètres * 5 mètres.
Il y avait aussi deux portes.
La première donnait dans sa salle de bain, et comprenait 2 vasques, 1 baignoire d’angle de 2 mètres, 1 immense douche à l’italienne, communiquant avec le dressing qui aurait fait pâlir un très grand nombre de femmes.
Dans le dressing, il y avait une collection de montres automatiques avec un système qui leur évitait de se décharger.

Elle pâlissait au fur et à mesure qu’elle avançait dans la maison.
Ils prirent l’escalier vers le haut qui les conduisit à 2 chambres avec salle de bain commune et à 1 suite plus petite que la sienne mais tout aussi bien équipée.

« C’est ici que vous dormirez si vous acceptez le travail. »

Elle n’en croyait pas ses yeux!

Puis ils descendirent l’escalier jusqu’au sous-sol.
De là, il y avait un couloir qui menait d’un côté au garage avec 2 motos à l’intérieur et 3 voitures de luxe en plus de la Tesla Modèle S qui était dehors.
Le garage était dans le même état que le reste de la maison, quasiment immaculé.
En regard, il y avait l’accès à la salle de sport, équipée comme une salle professionnelle : elliptique, vélo, tapis de course, barres de musculation, différents agrès avec des poids, et dans le fond, le sauna.

« Bien sûr, vous aurez accès à cet endroit aussi! »

Entre la salle de sport et le garage, il y avait une autre porte.
En repassant devant, voyant son regard perplexe, il lui dit :

« Ici, c’est mon domaine privé. Personne ne rentre sans mon accord. La pièce est fermée à clé, vous n’y avez pas accès! »

Elle se dit que cela ne poserait pas de problème et que cela ferait une pièce de moins à entretenir… !

Il la guida ensuite à l’extérieur, et elle pu profiter du paysage du parc.
De la piscine avec sa pool-house.
Du jacuzzi extérieur.
Elle n’en revenait pas d’avoir une chance d’habiter dans une demeure comme ça.
Surtout avec une personne qui n’était pas là très souvent.
Après presque 40 minutes à visiter les lieux, ils se retrouvèrent dans le salon où tout avait commencé.

« Comme je vous disais, il y a beaucoup de choses automatisées dans la maison.
Il y a des micros qui commandent la maison un peu partout. »

« Freddy, ferme les volets. »

Et dans la seconde, l’ensemble des volets de la maison commença à se fermer. En un court instant, ils se retrouvèrent dans le noir quasi total, ce qui lui déclencha un frisson dans le dos.

« Freddy, ouvre les volets. »

Et l’inverse se produisit.

« Vous avez un petit mode d’emploi avec les différentes commandes dans la table de nuit de votre chambre, vous en aurez besoin au début. 
Qu’en dites-vous? Cela vous intéresse? »

Elle répondit avec un peu trop d’enthousiasme…

« Oui, oui, bien sûr. Merci beaucoup, Monsieur. »

« Alors c'est parfait, rendez-vous demain à 10h00 pour votre période d’essai d’un jour! »

Et il la raccompagna à son vélo.
Elle l’enfourcha et, ce faisant, une petite brise souleva un peu plus que ce qu’elle aurait, voilà sa petite jupe, et laissa apparaître le bas de ses fesses.
Il constata avec plaisir qu’elle ne portait soit pas de sous-vêtements, soit un string discret.
Puis, tandis qu’elle s’éloignait, il commença à imaginer des choses plus érotiques que ce qu’il avait en tête en mettant cette annonce!


Chapitre III


Le lendemain, il se réveilla tôt, avec une énorme érection.
Il avait rêvé d’Alizée une bonne partie de la nuit.
Comme à son habitude, en sortant du lit, il ne s’habilla pas, il aimait se promener nu chez lui!
Son sexe encore dur se balançait au rythme de ses pas, il attendit 15 minutes, espérant qu’il se calme mais sans succès.
Aussi, il alluma son ordinateur, fouilla dans ses dossiers personnels et trouva la vidéo de l’une de ses ex-soumise.

Sur la vidéo, on pouvait la voir attachée, à quatre pattes, la tête et les bras dans un piloris.
Et lui derrière qui la prenait sans ménagement!
Son sexe continua de gonfler. Pour atteindre plus de 19cm de longueur.
Il le saisit et commença à se masturber avec force.
Après de longues minutes, sentant la jouissance arriver, il se dirigea sous la douche et sous l’eau chaude, éjacula de longs jets de sperme.
Son sexe repris une taille plus raisonnable.
Il se lava, puis se prépara pour l’arrivée d’Alizée.
Il enfila un bermuda bleu, un polo rouge et patienta jusqu’à 10h00.

Comme la veille, elle était parfaitement ponctuelle.
Elle posa son vélo contre un arbre et alla sonner à la porte.
Quand il lui ouvrit la porte, c’est avec son sourire ravageur qu’il l’accueillit.
Elle fut troublée en un instant.
Son sourire révélai une dentition parfaite, des dents blanches toutes alignées. Il créait aussi de petites ridules à la naissance de ces yeux bleus ravageur.
Sa voix grave et forte la troubla.

« Bonjour Alizée, merci d’être si ponctuelle. »

Elle sentit ses seins durcir instantanément, ses tétons pointer à travers le tissu, et se maudit de ne pas avoir mis de soutien-gorge!
Elle aurait du en porter un aujourd’hui!
Il baissa lentement les yeux sur elle depuis le perron, s’arrêta un instant sur sa poitrine, puis continua son examen.
Elle portait de nouveau cette petite jupe noire, ses petits mocassins blancs avec les chaussettes et un tee-shirt blanc aussi, collant à son corps de rêve, qui mettait parfaitement en avant ses formes généreuses, ainsi que ses tétons durcis.
Il sourit de plus belle et l’invita à entrer, la laissant passer devant lui.

Quand elle passa devant lui, son parfum remplit son nez en une seconde.
Un mélange de roses, de fleurs des champs et de vanille.
Son odeur, son tee-shirt moulant, ses seins si fermes mirent ses sens sans dessus-dessous immédiatement.
Si elle avait tournée la tête, elle aurait pu voir l’effet qu’elle lui faisait.
Son sexe redevint aussi dur qu’une bâte de baseball.
Il tacha de ne pas lui sauter dessus tout de suite.
Et se contenta de regarder ses fesses s’agiter au fur et à mesure de ses pas.
Il la guida vers la cuisine pour lui offrir un café avant de commencer.
Il firent connaissance.

Elle était étudiante en 3eme année de droit, non boursière car ses parents gagnaient à peine plus que le maximum pour pouvoir bénéficier des aides.
Dû coup les mois étaient toujours difficiles à boucler, ce qui expliquait sa recherche d’un travail.
Elle étudiait principalement à distance, et ne devait se rendre à la fac que 1 fois par semaine pour les cours obligatoires, le reste du temps elle travaillait depuis chez elle. Sortait très peu.
Elle lui avoua en rougissant qu’elle était célibataire et n’avait jamais vraiment eu un petit ami, juste un copain ou deux.
Elle aimait la musique, les plages, les voyages, le soleil, les randonnées en montagne.
Elle était fille unique.

Il lui expliqua son métier de pilote.
Lui décrivit où il allait, à quelle fréquence. Les paysages qu’il voyait, les plages.
Il mesurait chacun de ses mots afin de la faire rêver un peu plus à chaque moment.
Il la vit se détendre, imaginer ces endroits qu’il avait la chance de visiter.

Il lui dit qu’il avait besoin d’une personne chez lui car il voulait que sa maison qu’il avait mis tant années à obtenir soit toujours impeccable.
Il n’aimait pas désordre. La poussière.
Elle lui répondit qu’elle ferai de son mieux pour ne pas le décevoir.
Ce qui le fit sourire de nouveau. Et ajouta d’une voix intrigante:

« Je n’ai aucun doute sur le fait que notre collaboration sera profitable à tout le monde… »

Les présentations terminées, il l’invita à commencer sa journée d’essai.
Elle devait simplement faire le tour des pièces pour se les approprier et si besoin passer un petit coup ici et là.
Il la laissa aller à l’étage et se dirigea vers son bureau.
Une fois installé, il alluma son ordinateur et lança le système de surveillance de la maison.
Il y avait des caméras discrètes disposées dans chacune des pièces.
Et dans chaque pièce il y avait plusieurs caméras, de sorte qu’il n’y avait quasiment aucun angle mort dans la maison.
Les seules pièces qui n’étaient pas équipées étaient les toilettes.
Il l’observa se promener dans les chambres. Dans les couloirs.
Et quand elle entra dans celle qui lui était attribuée, elle sauta sur le lit et s’allongea sur le dos. Avec un immense sourire sur le visage.

Elle resta allongée quelques minutes. Puis se dirigea vers sa salle de bain.
Son sourire ne quittait pas son visage.
Elle descendit au rez-de-chaussée, passa devant son bureau et lui dit.

« Monsieur. Je vais,…., au sous sol, vérifier que tout est en ordre. »

« Vous n’avez pas besoin de me faire un point à chaque fois que vous me croiser, faites ce que vous pensez devoir faire.
Merci Alizée. »

Elle rougit de nouveau et se dirigea vers le sous-sol.
Entra dans la salle de sport et admira chacun des agréés qui était présent.
Elle les toucha tous, entra dans le sauna. S’assit un instant et s’imagina transpirante à se relaxer ici.
Même dans le sauna il ne ratait rien.
Il souriait toujours. Ravi de cette situation.

Depuis les hauts parleurs, qui étaient installés eux aussi un peu partout, il lui dit.

« Alizée, je dois aller faire une course. Je revient d’ici 2 ou 3 heures.
Si vous avez fini à avant que je ne revienne, j’ai laissé un jeu de clef sur la porte.
Dites simplement à Freddy de mettre l’alarme en partant. 
Merci à vous « 


Elle fut saisie de stupeur par l’annonce.
Elle ne s’attendait pas à ce qu’il y ait des hauts parleurs partout.
Mais cela était logique puisque « Freddy » était dans toutes les pièces.
Elle l’entendit fermer la porte.
Puis le silence.
Elle se retrouva seule dans cette immense maison.
Elle ne savait que faire, par où commencer.
Elle remonta dans la cuisine. Et se fit couler un café.
Puis déambula dans le salon, la salle à manger.
Elle ouvrit les fenêtres et observa le parc.
Finalement elle décida d’aller faire un tour à l’étage.

Partout où elle regardait, elle ne voyait rien à ranger ou à nettoyer.
Elle patienta jusqu’à 13h30, puis décida de partir.
D’aller chercher ses affaires, car il était évident qu’elle avait décroché le travail.
Elle se trouva un peu bête au moment de mettre l’alarme!
Comment fallait il « demander » à Freddy?
Après quelques essais elle fini par réussir. Et il dit

« Vous avez 30 secondes pour sortir de la maison. »

Soulagée d’avoir réussi, elle enfourcha son vélo et pédala tranquillement vers chez elle.
Une fois sur place. Elle prépara un sac avec le minimum pour quelques jours.
Jupes, teeshirt, chemisiers, sous-vêtements, maillot de bain…
Et au moment de remonter sur son vélo, elle fut prise d’un doute.
Fallait il qu’elle lui demande si elle pouvait déposer ses affaires chez lui ou attendre qu’il l’invite à le faire…?
Finalement c’est lui qui l’appela quelques instants plus tard.

« Re bonjour Monsieur. »

«  J’ai constaté que vous étiez parti et que vous aviez réussi à enclencher l’alarme, très bien.
Je dois partir demain matin tôt pour l’aéroport.
Si vous voulez vous pouvez venir et occuper votre chambre ce soir, si vous vous sentez plus à l’aise, demain matin.
Le choix est votre. »

« Merci à vous. Je vais revenir ce soir si vous voulez bien.
Comme ça demain je pourrai commencer tôt et ensuite étudier. »

« Parfait pour moi, je voulais faire un petit barbecue pour ce soir, ça vous dit? »

« Oui merci beaucoup, mais je ne voudrai pas abuser »
Dit elle timidement


« Parfait. Venez quand vous voulez, rdv à 19h à la piscine pour l’apéro et le repas.
À tout à l’heure. »
Puis il raccrocha aussi vite qu’il en avait l’habitude.

Elle resta quelques instants ébahi par ce qui était en train de ce passer.
Elle avait trouvé un boulot, un logement, une personne qui acceptait de prendre en charge une partie de ses frais de repas, internet et qui l’invitait à manger.
Tout ça en quelques heures, et de surcroît il était connu de tout le village et très gentil.
Quelle chance elle avait.

Le temps passa vite, son sac bouclé, elle reprit son vélo et pédala vers sa « nouvelle maison ». Elle était toute souriante.

Elle arriva à la maison, sonna, et comme personne ne répondait elle utilisa sa clef pour ouvrir la porte.
Un peu gênée, elle avança timidement dans le hall.
Puis ne voyant aucune activité, elle se rappelle ce que lui avait dit Timothé et gagna l’escalier pour rejoindre sa chambre.
Elle déposa son sac sur le lit, et entama de le vider.
Elle déposa ses affaires de toilettes de la salle de bain, et comme il était déjà plus de 18h, elle décida de prendre sa douche avant le repas.

Elle fit glisser sa jupe à ses pieds, libérant ses fesses sublimes.
Retira ses chaussettes, puis ôta son tee-shirt, libérant enfin ses seins magnifiques.
Ils étaient en très légère forme de poire, remontant juste à peine. De petites aréoles bien rosées. Elle faisait un splendide 90C.
Elle fut soulagée d’enfin pouvoir se retrouver quasiment nue, car elle adorait se promener chez elle en string, et rien d’autre.
Elle fit quelques aller-retour entre la salle de bain et son lit.

À chacun de ses pas, Timothé ne perdait pas une miette.
Il contemplait ses seins qui ballottaient doucement, ses fesses qui rebondissaient.
Alizée était une femme absolument magnifique.
Il se réjouissait de l’avoir trouvé.
Il la vit retirer son petit string, se penchant en avant. Il imagina beaucoup de choses et son sexe avait prit des proportions énormes.
Il la regarda entrer sous la douche, l’eau ruisselant sur son corps de rêve.

Après quelques minutes, elle sortit de la douche, trempée, passa une serviette autour de sa tête pour faire sécher ses cheveux, et ce faisant, elle leva les bras et ses seins se soulevèrent en même temps pour les rendre encore plus désirables.
L’eau coulait doucement sur son corps.
Elle sortit de la salle de bain ainsi, et se laissa sécher.
Puis, toujours nue, elle utilisa le sèche cheveux et refit sa coiffure.
Enfin elle retourna vers le lit, enfila un string ficelle qui se perdait entre ses fesses, remit sa jupe, un chemisier rose clair qui laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien gorge.
Elle sortit de sa chambre. Descendit l’escalier en direction du parc.
Elle retrouva Timothée à côté de la piscine.
Il avait préparer l’apéritif. Quelques tomates cerise, de petites carottes, du concombre ainsi que de la tapenade noire.
Il y avait quelques bières et jus, ne sachant pas ce qu’elle prendrai.
Alors qu’elle se rapprochait de lui, il voyait ses seins se balancer au rythme de ses pas.
Ses tétons pointer tandis qu’elle se rapprochait, et son caleçon qui redevenait trop serré.

Elle choisit une desperado, il en prit une également et ils trinquèrent ensemble.



Chapitre III

Quand la lumière qui avait pénétrer dans sa chambre dès le petit matin la réveilla enfin, elle se sentait reposée.
Apaisée.
Il était déjà plus de 09h20 en ce samedi matin.
Il n’y avait pas un bruit dans la maison, dans le parc.
Elle se souvint qu’elle avait la maison pour elle seule car Timothé était parti à Los Angeles pour 3 jours.
Elle avait cette immense maison pour elle seule pour tout le week-end.
Elle se leva, alla aux toilettes. Puis sortie de sa chambre et descendit l’escalier pour ouvrir l’ensemble des volets de la maison.
Freddy allait être d’une aide précieuse pour tout ce qu’elle devait faire.

Elle se fit couler un café, bu un jus d’orange.
Déambula dans la maison.
Sortie dans le parc, s’allongea sur un relax puis le soleil matinal chauffa doucement son corps nu.
Ce qu’elle ne savait pas c’est que les caméras enregistraient tous ces mouvements. Et que Timothé allait visionner toutes ces images dès son arrivée à l’hôtel.
Elle profita ainsi de la matinée.
Puis après sa salade prise au bord de la piscine, elle entama de commencer à faire un brin de ménage dans la maison.
Elle n’enfila qu’un tout petit string noir pour cela et s’activa un peu partout.
Quand elle frottait un meuble, un miroir, ses fesses et ses seins s’agitaient doucement. Elle aimait cette sensation de liberté.

Vers 16h, elle décida de s’attaquer à la suite de Timothé.
Elle entra dans l’immense chambre.
Le lit était défait, elle s’agita autour de lui pour le remettre en ordre.
Entra dans le dressing, et rangea quelques vêtements, pris la panière de linge sale et la posa devant la porte, elle fera la lessive après.
Pénétra dans la salle de bain, puis rangea le peu qui était désordonné.

L’après-midi passa vite.
Elle était content de ce qu’elle avait fait.
Et s’offrit de visionner un film dans le salon avec l’immense écran qui lui était mis à disposition.

Devant l’écran de son ordinateur, Timothé l’avait observer tout l’après-midi, à moitié nue, se promenant dans la propriété, il avait vu ses seins se dandiner dans cesse.
Ses fesses onduler aux grès de ses mouvements.
Et quand elle se posa devant le télévision, il l’a vit ouvrir une bouteille de chardonnay, couper quelques tranches de saucisson, et choisir un film sur le compte Netflix de la maison.

Elle choisit « Romance » une histoire dans laquelle une institutrice va découvrir de nouvelles sensations notamment grâce à l’humiliation.
Ce choix lui fit le plus grand plaisir.
Il la scruta alors qu’elle regardait le film.
Ses seins pointant par moment,
Puis finalement ce qu’il espérait finit par se produire.

Les images, les sons, l’alcool avaient eu raison d’elle.
Il la vit commencer à faire glisser ses mains sur ses seins. Les caressants, les pinçants, les étirants.
Ne perdant pas une image du film qui s’écoulait devant elle.
Sans vraiment s’en rendre compte, son autre main s’immisça sous son string et elle commença à jouer avec son petit bouton tout rose.
Il ne distinguait pas vraiment ses mouvements, mais la voyait parfaitement bien s’agiter sur le canapé. Preuve que ses caresses étaient efficaces.
Tandis qu’il la voyait se masturber devant le film, il glissa sa main sur son sexe.
Il saisit ses 19 cm de chair durcit et commença à se branler.
Ses yeux toujours fixés sur l’écran.
Il la voyait fermer les yeux, se mordre les lèvres.
Il la vit jouir pour la première fois.

Quand enfin elle éteignit la lumière de sa chambre, il referma son ordinateur portable et alla prendre une douche pour finir de se masturber sous l’eau.
Et enfin il alla se coucher.

Le week-end ainsi que le lundi passèrent très vite pour Alizée.
Elle alterna entre brin de ménage, études, farniente au soleil.
Un peu de sport, de sauna.

Ce n’est que quand elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir le mardi matin qu’elle réalisa que le temps avait passé si vite.
Comme à son habitude, elle n’était vêtue que de son string!
Elle courue dans les escaliers, s’enfonça dans sa chambre. Et enfila à toute hâte des vêtements, pour ensuite ressortir et aller à la rencontre de son employeur.
Elle le trouva dans la cuisine.

« Comment c’est passé votre petit voyage monsieur?
C’était sympa Los Angeles? J’aimerai tellement y aller un jour! »

« Oui merci c’était bien, mais ce n’était pas un voyage. Je travaillais! »
Lui répond il en souriant.

« Comment c’est passé votre week-end? »
Lui demanda t il, alors qu’il savait très exactement ce qu’elle avait fait, quand elle l’avait fait, et surtout dans quelle tenue elle l’avait fait…

« Oui ça c’est bien passé » répondit elle timidement.
« J’ai fait un peu de ménage, de rangement, je suis allé faire les courses hier matin. »

« Parfait, parfait, merci beaucoup. Vous n’avez eu aucun problème avec Freddy ou quoi que ce soit d’autre? »

« Non, non. Tout c’est bien passé. »

« Et bien tant mieux. Je vais aller faire une sieste après ma nuit blanche de travail.
Je vous retrouve tout à l’heure. Merci à vous. »

Puis il prit sa valise et se dirigea vers sa suite.

Chapitre IV


À 12h38, il sortit de son lit, prit une douche, repassa rapidement les vidéos de surveillance de la nuit et de la matinée, puis de dirigea vers la cuisine.

Il vérifia le réfrigérateur, constata qu’il avait été rempli avec ce qui était sur la liste, se prépara ses tomates buratta, et alla dans le salon pour les manger devant un reportage sur les pyramides.

Il scruta chaque centimètre carré des pièces pour trouver devant quoi redire à Alizée, mais il n’y avait rien!

Il s’assit dans son canapé, alluma le téléviseur, choisi son reportage et enfin il trouva ce qu’il cherchait..!

Par l’intermédiaire de Freddy, il l’appela dans le salon.

Des hauts parleurs sortit ce message.

« Alizée venez me voir dans le salon s’il vous plaît.. »
Le ton employé fit frémir Alizée.

Elle referma aussitôt le livre qu’elle étudiait, et descendit les escaliers et se présenta devant lui quelques instants plus tard. À moitié tremblante.

Comme à son habituelle, il fut direct.

« Je dois vous avouer que j’espèrerai un peu mieux de vous Mademoiselle! »

Elle balbutia:

« Je, je je ne comprends pas Monsieur. Que c’est il passé? Qu’est ce que j’ai fait? »

Tout en pointant le bouchon de la bouteille de chardonnay qui était tombée sous la ta le basse il lui dit :

« Que vous buviez du vin, fassiez la fête ne me dérange pas, mais quand vous avez fini, la moindre des choses c’est de ranger! »

Alizée se liquéfia en un instant, et rougie de honte.
Comment avait elle pu le laisser tomber, et ensuite laissé passer plus de 24 heures sans le voir.

« Je suis absolument désolé Monsieur, cela ne se reproduira pas.
Je vous présente toutes mes excuses.
Je vous en prie ne me renvoyez pas. »

Il la regarda impassible, mais souriant en sort intérieur.

« Je vais voir ce que je vais faire.
En attendant vous pouvez rentrez chez vous.
Soyez là demain matin à 08h00, et je vous annoncerai ma décision. »

Puis il se retourna sur sa salade et commença à manger.

Toute penotte, Alizée sortie de la chambre. Remonta l’escalier et attrapa à la va-vite quelques affaires pour rentrer chez elle.
Elle maudissait chaque instant qu’elle avait passée sans voir le bouchon.
Elle enfourcha son vélo et chemin faisant des larmes perlaient sur ses joues.
Elle passa sa soirée à se morfondre de peur de perdre cet emploi inespéré.

Timothé était ravi d’avoir trouvé quelque chose à lui reprocher.
Après son repas, il enfourcha sa moto et se dirigea vers Senlis pour acheter ce qu’il avait en tête.

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