Le pilote part 2

- Par l'auteur HDS mojo7.0866 -
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Récit libertin : Le pilote part 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le pilote part 2
Chapitre V


À 08h00, Alizée sonna à la porte.
Elle avait très peu dormi cette nuit, c’était levée très tôt, elle avait retourné la situation dans tous les sens dans sa tête et avait décidé que pour tenter de lui faire changer d’avis si il voulait la renvoyer, elle devait tenter de le séduire.
Aussi elle avait revêtu une petite paire de basket blanche sans chaussettes apparentes.
Un petit short rose et un teeshirt blanc très fin, sans soutien gorge.

Il ouvrit la porte quelques secondes après qu’elle ai sonné.
Ses yeux plongèrent presque instantanément de son visage à ses seins qui pointaient sous le tissu.
Il vit immédiatement qu’elle était prête à beaucoup de chose pour rester à son service.
Son cœur bâti la chamade quand il la vit, mais grâce ses très nombreuses années à gérer des situation souvent très délicates, il ne laissa rien paraître.

Sans sourciller, il lui dit d’entrer et d’aller dans le salon.
Elle passa devant lui et tandis qu’elle s’éloignait, il scruta ses fesses qui ondulaient au rythme de ses pas.
Il la soupçonna d’accentuer ses mouvements, sachant qu’il la regardait.
Il pouvait voir le bas de ses fesses qui dépassaient très légèrement de son short.
Et son engin bien que déjà durcit par la vision de ses seins, gonfla encore dans son pantalon.

Une fois dans le salon il lui dit:

« Je ne vous cache pas que j’ai été déçu par votre manque de professionnalisme, mais nous commettons tous de erreurs, aussi je vais vous laisser une chance. »

Le visage d’Alizée se transforma! Il passa du plus attristé au plus joyeux en un éclair.

« Merci Monsieur. Je ne vous décevrai pas. Merci infiniment »

« Je n’en doutes pas, mais pour être certains que quand vous travaillez dans la maison, vous serez concentré à 100%, je vais vous demander de porter un uniforme quand vous travaillerez. »

Son visage se figea.
Un uniforme!?
Pensa-t-elle.

« Heuuu, oui si vous voulez, bien sûr. »

« Et bien c’est parfait. Vous pouvez aller l’enfiler, il est sur votre lit, j’ai pris plusieurs tailles au cas où, mais je penses que celui qui est prêt sera le bon. »

Puis il se dirigea vers son bureau.

Elle quitta le salon, perplexe, quel genre d’uniforme avait il pu trouver.
Sûrement celui d’une serveuse quelconque.
Elle s’interrogea sur celui-ci jusque devant sa porte de chambre.
Et quand elle ouvrit la porte et le découvrit sur le lit, elle se figea instantanément.

Au pied du lit, il y avait une petite paire d’escarpin noire avec des talons de 7 cm.
Sur le lit, il y avait des bas auto portants noirs avec une couture sur l’arrière.
Une robe noire également, avec des rubans blancs et des dentelles blanches également, visiblement très courte, avec un décolleté assez prononcé,
Un petit tablier blanc.
Et un serre tête noir.

Son visage se figea.
Elle n’osait y croire.
Comment pouvait il lui demander de s’habiller comme ça?
Elle re-sortie de la chambre tremblante.
Descendit l’escalier et se dirigea vers le bureau de Timothé.
Elle se planta devant lui et bredouilla:

« Monsieur. Je ne peux pas m’habiller comme ça pour faire le ménage chez vous.
Ce n’est pas possible.
C’est trop humiliant. »

« Mademoiselle, je suis désolé d’en être arrivé là, mais au vu de votre dernière prestation, vous devez savoir ce que vous faites.
Mais je reste compréhensif et augmente votre salaire de 300€ par mois.
C’est à prendre ou à laisser.
À vous de voir. »

Elle resta stupéfaite.
Ça lui faisait un salaire de 1.500€, nourrie, logée, blanchie.
Elle n’avait pas le choix.

« Très bien Monsieur. J’accepte. »

« Parfait. Vous pouvez aller vous habiller et commencer à travailler. »

Elle se retira de la pièce et remonta dans sa chambre.

Il la regarda entrer, et ne rata pas une seconde de ce qu’elle faisait dans la chambre.
Elle se déshabilla, libérant ses seins qui étaient toujours tout durs.
Et prit les habits.
Elle se contempla devant le miroir avec la petite robe placée devant elle.
Elle sourit, elle se trouvait plutôt jolie avec. Et attirante.
Elle enfila les bas, mis ses chaussures à talons. Et marcha un peu comme dans la chambre.
Avec juste son string et ses seins à l’air.
Elle aimait ce qu’elle voyait.
Puis elle passa la robe sans prendre la peine d’enfiler un soutien gorge.
Et enfin elle mit le serre tête.
Elle se trouva très belle, très sexy. Et sourit de nouveau.
Elle se pencha en avant et constata que si elle n’était pas vigilante, on verrait ses fesses.

Timothé n’avait pas perdu une miette de sa séance d’habillage.
Son bâton était complètement rigide dans son caleçon.
Il attendait impatiemment de la voir vraiment.
Son attente fut de courte durée.
En effet, elle vint se présenter devant lui.

Elle se planta devant lui.

« Voila Monsieur, je suis prête à retourner au travail »

Il la toisa lentement. S’attardant sur ses seins qui pointaient, sur son décolleté, sur le haut de ses cuisses ou les bas s’arrêtaient.
Il sourit en pensée.

« C’est parfait. Je penses que vous aller pouvoir vous concentrer mieux maintenant.
Merci à vous.
Vous pouvez commencer à faire ce que vous avez à faire. »

Puis il retourna à son écran.
Elle se demandait ce qu’il faisait tout le temps devant son ordinateur.
Timothé passa son après-midi à la regarder. À rêver à elle.
Il aurait aimer en voir plus. Mais elle se cantonnait à rester dans des pièces où il n’était pas.

Le soir venu, elle alla directement dans sa chambre.
Pris une douche. Et se glissa sous les draps.
Entre ses heures d’études et de ménage, elle était épuisée.
Elle avait besoin de relâcher la pression.
Aussi, elle prit son téléphone et se rendit sur un site porno pour se détendre.
Elle aimait faire cela après une longue journée.
Elle choisit la catégorie groupe et sélectionna une vidéo dans laquelle trois hommes étaient en train de baiser une femme.
L’actrice du jour alternait entre sucer les trois hommes, se faire pendre par deux d’entre eux tout en suçant le troisième. En gémissant énormément.

Devant son écran, Timothé entendait les gémissements de la femme.
Il bandait comme rarement même sans voir les images.
Et encore plus quand il la vit commencer à se caresser.
Après quelques instants, elle ouvrir sa table de nuit et en sorti un gode.
Elle caressa son bouton, le fit glissé dessus, le remonta entre ses seins, jusqu’à sa bouche, le suça et soudain l’enfonça entre ses cuisses.
Elle gémit en une seconde.
Et entama de se masturber avec, tout en caressant ses seins de sa main libre.
Le téléphone était posé sur le lit. On y entendait encore la femme qui subissait les coups de ses amants.
Timothé vit parfaitement la belle Alizée jouir à bout de quelques minutes.
Il fit de même devant son écran.

Elle resta inerte plusieurs minutes, reprenant son souffle, tout en jetant un œil à son téléphone à l’occasion.
Puis finalement, elle l’éteignit, laissa son gode sur le lit. Et plongea la chambre dans le noir.
Elle s’endormie rapidement.


Chapitre VI


Les journées passaient vite pour Alizée.
Entre ses études, les courses, être obligée de se changer à chaque fois qu’elle devait accomplir des tâches dans la maison et le temps qu’elle essayait de s’épargner pour profiter un peu de la salle de sport et du sauna.

Les absences de Timothé étaient un relâchement pour elle.
Elle n’était plus obligée de mettre ce déguisement ridicule et pouvait se promener presque nue dans la maison.
Mais le temps passant, elle se trouvait plus belle dans cet tenue que nue.
Et un jour elle se surprit à l’enfiler alors qu’elle était seule à la maison.
Derrière son écran Timothé était enchanté.
Elle progressait vers le chemin qu’il voulait lui faire prendre.

Pour passer à l’étape suivante il fallait qu’elle commente un autre impair, mais elle était particulièrement vigilante depuis l’histoire du bouchon.
La délivrance arriva pour lui un jeudi soir.
Il était de sortit et quand il revint chez lui, Alizée n’était pas là, mais elle avait oubliée d’enclencher l’alarme.!

À son retour il l’attendait, impassible.
Elle compris immédiatement à son regard qu’elle avait commis une erreur.

« Vous êtes partis sans mettre l’alarme » lui dit il simplement.

Elle se figea. Comment avait elle pu oublié ça?

« Je suis désolé Monsieur. Je vous présente mes excuses. »

« Je pourrai consentir à vous pardonner et à ne pas vous renvoyer si vous acceptez une nouvelle condition pour travailler. »

Elle ouvrit ses yeux en grand. Dégluti difficilement.
Que pouvait il lui demander de plus?

« C’est à dire? Je ne comprends pas. »

« Puisque le fait d’être en tenue pour travailler ne semble pas vous permettre de vous concentrer suffisamment, nous allons changer votre uniforme! »

« Maisss, heu, c’est à dire? Que voudriez-vous que je porte de plus? »

« De plus? Rien! Mais de moins… la robe simplement!
Vous retirez la robe de votre uniforme et vous travailler ainsi. »

Elle se glaça. Sans la robe? En sous vêtement devant lui?
Alors qu’elle ne portait que des strings et exceptionnellement des soutien gorge.

« Mais Monsieur, vous ne pouvez pas me demander ça!. »

« Je ne vous le demande pas! Je vous l’impose. À pendre ou à laisser.
Vous pouvez aller vous mettre en tenue, j’ai quelques taches à vous faire faire avant la nuit. »

Elle se liquéfia sur place.
Elle n’avait sur elle que son string blanc et pas de soutien gorge, et elle venait de déposer chez elle ce qu’elle trouvait superflu ici, notamment ses culottes.

Il la regardait, impassible.
Elle pensait rapidement à ce qu’elle perdrai si elle refusait et en baisant la tête elle dirigea vers sa chambre.
Elle pleura en montant les escaliers, et tout le temps où elle se changeait.
En sortant de la chambre, elle ne portait que ses chaussures à talons, ses bas, son string, le serre tête, mais il n’avait parlé de que la robe, il n’avait rien dit du tablier, aussi elle avait décidé de le porter.
Au moins ses seins serraient partiellement cachés.

Il l’attendait en bas des escaliers, le regard sombre mais plus que ravie de la voir enfin ainsi.
Il pouvait deviner ses seins qui ballotaient à chaque marche.
Il voyait ses tétons durcir.
Quand elle passa devant lui, la tête basse, il la scruta et s’arrêta plus que de raison sur ses fesses qui ondulaient au gré de ses pas.

« Allez dans la cuisine, il y’a un peu de vaisselle à faire. »
Elle s’exécuta.
Tandis qu’elle lavait la vaisselle, il la laissa seule.
Au moins elle ne sentait pas ses yeux sur elle.
Mais bien évidemment il ne perdait rien, car il l’observait depuis son bureau.
Il la sentit se détendre au fur et à mesure.
Ses seins s’agitaient sans cesse. De même que ses magnifiques fesses.
Elle alla au sous sol pour ranger quelques affaires et mettre des lessives en route.
Puis elle lui demanda:

« Si vous n’avez plus besoin de moi ce soir, je vais aller me reposer. »

Il fit mine de l’entendre à peine.

« Oui bien sûr » dit il détaché d’elle, concentré sur son ordinateur.

Elle fût soulagée et se dirigea vers sa chambre.
Une fois dans celle-ci, elle se sentit en sécurité dans son chez elle.
Elle fit tomber le tablier et libéra ses splendides seins qu’elle prit à pleine mains et qu’elle massa, comme si il avaient été emprisonnés toute la journée.
Elle fit tomber au sol le serre tête. Fit glisser le string et les bas à ses chevilles.
Et se dirigea vers la salle de bain.
Elle fit couler l’eau de la douche, et revint dans la chambre pour se saisir de celui qu’elle appelait son meilleur ami, un gode avec une ventouse qu’elle pouvait fixer à peu près partout.
Elle avait besoin d’une séance de sexe, avoir été obligée de faire le ménage à moitié nue, ce qui l’avait mise dans un état d’excitation très avancé.

Elle fixa le gode à la parois de la douche, l’enduisit de vaseline et entra à son tour dans la douche.
L’eau chaude coulait sur son corps. Ses mains parcouraient ses seins. Ses fesses. Sa chatte en feu. Elle tirait sur ses tétons. Les écrasaient doucement. Laissait ses doigts écarter ses lèvres et glisser sur son petit clito.
Elle suça ses doigts, et les plongea dans son sexe trempé.
Elle se rapprocha de son ami, le fit glisser entre ses fesses, puis le saisit et le guida en elle.
Son visage se figea de plaisir quand il fut tout entier en elle.
Elle commença des vas et vient contre la parois de la douche, tout en s’agitant sur son petit bouton tout rose.
Ses mouvements s’accéléraient de secondes en secondes, ceux de Timothé sur sa verge gorgée de sang aussi.
Il ne quittait des yeux son écran, ne voulant rater une seule seconde de son Alizée qui prenait tant de plaisir.

Elle commença à se caresser les fesses tout en continuant ses mouvements.
Puis elle en claqua une.
Et encore, puis l’autre. Ses doigts glissaient entre ses monts. S’attardant sur son petit. Revenant sur ses fesses, et replongeant presque tout de suite vers son anus.
Sans extraire le gode de son sexe plus que trempé, elle saisit le lubrifiant, en fit couler une bonne quantité dans sa main, sur ses doigts, et elle vint de nouveau caresser son trou.
Elle s’enfonça un doigt et augmenta aussitôt son plaisir.
Elle libéra son sexe de l’engin qui la remplissait et vint le présenter à son petit trou.
Elle poussa doucement ses fesses contre et lentement le fit disparaître dans son cul.
Elle se mordit les lèvres. Ses yeux se révulsèrent. Ses doigts revinrent sur son clito, et tout en se masturbant, elle commença à faire glisser son ami dans son antre secrète.
Elle joua ainsi de longues minutes, plaquant ses fesses contre la paroi, son ami entièrement en elle, pour le plus grand plaisir de Timothé.

Et tandis que la jouissance l’envahit, elle s’accrocha du mieux qu’elle pu dans la douche pour tenter de se retenir alors que l’orgasme l’envahissait.
Ses jambes tremblaient, sa tête s’agitait en tout sens.
Elle ne pouvait plus se tenir à demi-debout et s’écroula dans la douche tout en continuant à se masturber.
Ce n’est qu’après plusieurs minutes que son corps lui appartient de nouveau.
Elle se releva, et soulagée, elle se lava les cheveux et le corps.
Puis elle lava son ami et sorti de la douche.

Elle se regarda longuement dans le miroir, repensant à ce qui venait de ce passer, à ce qui ce passait dans cette maison.
Elle n’était plus là même depuis qu’elle était là.
Elle savait qu’elle aurait du partir dès que Timothé lui avait demandé d’enfiler cet uniforme, mais cela lui plaisait.
Elle devait se rendre à l’évidence.
Elle aimait être à lui!
Elle voulait lui appartenir d’avantage et savait comment faire.
Elle devait « commettre des erreurs » durant ses tâches quotidiennes pour qu’il lui impose plus de chose qui la mettaient dans cette état d’excitation.

Timothé était ravi de ce qu’il avait vu. Il avait jouit lui aussi, la voir s’auto faire prendre par derrière était l’un des plus beau spectacle qu’il avait jamais vu.
Il se promenait dans sa chambre, nu, son sexe à moitié mou, mais qui re durcissait dès qu’il repensait à ces images.
Dès qu’il pensait à elle.
Il fut obligé de se soulager 3 fois ce soir là pour enfin réussir à s’endormir.

À l’inverse, Alizée, après sa séance de sexe intense, sombra rapidement dans un profond sommeil.

Chapitre VII


Les jours passaient vite.
Les soirées aussi.
Le soir il la regardait sur son lit, sous la douche, quand elle se touchait. Quand elle dormait.

Elle était maintenant habituée à sa nouvelle tenue, n’était plus gênée d’être ainsi vêtue devant lui, elle cherchait même à être le plus souvent possible dans son champs de vision.
Et dans ces cas là, elle laissait échapper un de ses seins de son tablier pour voir sa réaction.
À chaque fois que cela se produisait, son engin se retrouvait un peu plus à l’étroit.

Ses yeux étaient sur elle sans cesse.
Alternant entre ses fesses, ses seins. Sa bouche.
Il rêvait de l’embrasser sur l’ensemble de son corps.
De son côté, elle cherchait quel impair elle pouvait commettre.
Elle opta pour oublier d’arrêter le sauna après l’avoir utilisé pour elle durant son temps libre.

Ce soir là, vers 19h30, après sa séance de sport, et après s’être détendu dans le sauna, elle le laissa donc allumé.
Elle savait qu’il ne devait venir dans la salle de sport que le lendemain matin.


Alors qu’elle était déjà habillée et en train de travailler dans sa suite, elle entendit dans les hauts parleurs.

« Alizée, venez me voir dans mon bureau s’il vous plaît.!. »

Elle était à la fois impatiente et angoissée par ce message.
Elle espérait qu’il lui impose une nouvelle tenue, de nouvelles règles.
Mais elle était aussi angoissée par ce qu’il pourrait lui demander de faire.
Elle s’interrompit dans ses tâches, descendit l’escalier en souriant, ce qui n’échappa pas aux yeux de Timothé, qui comme à son habitude ne la quittait pas des yeux.
Il vit ses tétons durcir à mesure qu’elle s’approchait de son bureau, et il la vit aussi prendre un visage plus triste, plus apeuré.

Elle entrât dans le bureau Le visage baissé, les mains jointes devant elle.

« Bonjour Monsieur, que puis-je faire pour vous? »

Il leva les yeux de son ordinateur, et contempla son corps.
Il pouvait voir ses seins qui tentaient de s’échapper du petit tablier. Ses tétons qui pointaient à travers le tissus.
Il aurait aimé lui demander de se retourner pour qu’il puisses admirer ses fesses si rebondit.

« Alizée, hier soir vous êtes aller faire un peu de sport je crois. »

« Heu, oui Monsieur. »

« Et ensuite il semblerait que vous ayez profité du sauna. »

Il s’abstient de lui dire qu’elle s’était également masturbé tandis qu’elle profitait de la chaleur, qu’il avait admiré son corps onduler sous ses doigts.

« Oui Monsieur. » répondit elle, se souvenant elle aussi de ce moment, et surtout de pourquoi elle l’avait fait, ce qui l’avait beaucoup excité.

« J’ai peur que vous ayez oublié de l’éteindre après en être sorti! »

Il savait très bien que cela n’était pas un oublie, car il l’avait vu passer devant l’interrupteur, qu’elle l’avait regardé une seconde, et que sourire en coin, elle avait passé son chemin.

« Ho mon dieu, c’est vrai Monsieur? Je suis désolé. Je vous prie de m’excuser.
Cela ne se reproduira plus. »

Il la regarda quelques instants, et ajouta:

« J’en suis sûr…! »

Et il sortit une boîte du tiroir supérieur de son bureau.
Et tout en souriant il lui dit:

« Si vous voulez continuer à travailler pour moi, il va falloir que vous portiez cet objet tandis que vous travailler.
J’espère qu’il vous aidera rester concentrer! »

Elle leva les yeux vers la boîte, elle faisait environ 10cm par 10cm sur 7cm de hauteur. Entièrement noire.

« Qu’est-ce qu’il y a dedans? » demanda-t-elle.

« Approchez et ouvrez la. »

Elle s’approcha doucement, craintive de ce qu’elle allait trouver.
Elle espérait qu’il lui demande d’enlever un des habits de soubrette, pas d’en rajouter d’autre.
Il avait laissé la boîte près de lui, et pour pouvoir la prendre, elle fut obligée de se placer à côté de lui.
Elle avait ses fesses si belles à quelques centimètres de lui, de ses mains.
Il aurait tant aimé les caresser, les flatter délicatement.
Il pouvait voir ses seins de côté, qui ne semblait tenir dans le tablier que par magie.
Elle ouvrit la boîte et se glaça.
Elle se tourna légèrement, baissa ses yeux sur lui.
Il souriait.

« Oui, si vous voulez rester avec moi, il faudra porter ceci, tous les jours, quand vous travaillez bien sur. »

Il savait qu’elle accepterait.
Elle saisit l’objet et le sorti de la boîte.
C’était un plug anal.
Noir, en latex parfaitement lisse, tout doux, avec un bijou brillant au bout.
Il y avait aussi une petite bouteille de lubrifiant à l’intérieur.

Elle le regarda horrifiée.
Il lui souri.

« Je vous laisse aller vous « habiller », et augmente votre salaire de 100€ par mois. »

Elle ne réussi pas à répondre. Tellement surprise par sa demande.
Par la rapidité de la chose. Elle se contentait de tenir le plug entre ses doigts, de la faire rouler. Ses pensées alternant entre l’envie immédiate de l’enfiler devant lui pour lui faire plaisir, et celle dans lesquelles elle ne voulait pas qu’il s’aperçoive de ce qu’il provoquait chez elle.
Et le fait de l’augmenter encore l’excitait aussi, même si elle ressemblait de plus en plus à une prostituée.

« Il va falloir vous décider jeune fille. Je ne vais pas avoir toute la journée à vous attendre. » dit il à moitié impatient et à moitié rieur.

Les yeux d’Alizée passèrent des siens à son cou musclé, puis à son torse qui se soulevait rapidement suivant sa respiration.
Et enfin pour la première fois, elle osa continuer à les faire descendre vers son entre jambes.
Elle vit instantanément l’énorme bosse qui déformait son pantalon.
Elle la contempla quelques instants. Et s’imagina tout de suite la taille que son sexe pouvait faire.

« Très bien Monsieur. » répondit-elle.
« J’accepte. »
Chapitre VIII
.


Elle s’éloigna lentement vers la porte.
Il ne quitta pas ses fesses qui s’agitaient du regard alors qu’elle s’éloignait de lui.
Son engin était aussi dur qu’une barre de fer. Aussi chaud que la braise.
Il ne tenait plus dans son caleçon.
Quand elle commença à se tourner pour fermer la porte, il revit ses seins de profil.
Et alors qu’elle fermait la porte, elle lui sourit.

Elle remonta les escaliers en direction de sa chambre.
Son cœur battant à tout rompre.
Elle se dirigea dans la salle de bain, et fit glisser son string à ses pieds.
Elle lubrifia son nouvel accessoire, et commença à le présenter à son petit trou.
Elle le fit glisser, le repassa, le poussa doucement, forçant un peu plus à chaque passage sur son petit.
Il écartait son anus délicatement. La faisant frémir à chaque fois.

Elle commença à se masturber, à caresser ses seins, ses doigts glissant entre ses lèvres, sur son anus, revenant sur ses tétons, les tirant, les pinçant.
De nouveau, elle le présenta à son petit cul.
Et enfin elle le poussa à fond. Lui arrachant un gémissement de plaisir.
Timothé avait libéré sa queue et ne pouvait s’empêcher de se branler tout en la regardant faire.
Elle resta ainsi quelques instants, tout en continuant de se masturber, puis se relava.
Elle fit quelques pas.
Cette sensation nouvelle d’avoir ce jouet entre ses fesses était magique.
À chaque pas, il déclenchait une petite jouissance.

Elle marchait lentement, presque tremblante. De petites gouttes de sueur perlant de son front.
Dans les escaliers, les sensations étaient encore plus fortes.
Elle hésitas à retourner dans le bureau pour lui dire qu’elle portait son nouvel accessoire, mais elle avait trop peur qu’il découvre qu’elle aimait ça, et décida de poursuivre son chemin vers la chambre de Louis.
Chaque mouvement provoquait des frémissements.
Elle avait de la difficulté à accomplir les taches, à rester concentrer.
La matinée passa à la fois très vite et très lentement!
Chaque mouvement lui rappelait la présence de son nouveau petit ami, et semblait donc durer une éternité, et à la fois cette présence ne lui apportant que du plaisir fit filer le temps.

En fin de matinée, elle s’était presque habituée à lui, et alors qu’elle s’accorda enfin de s’assoir pour boire un verre d’eau, il se rappela à elle instantanément, lui arrachant de nouveau un gémissement en se posant dessus.
Elle se releva immédiatement et vacilla sur ses jambes devenues toutes molles.
Elle se reteint à la table pour ne pas tomber et c’est à ce moment que Timothé entra dans la cuisine.
Il vit son visage à moitié décomposé par l’effroi de la voir ainsi prendre du plaisir.

Il s’arrêta devant elle, et tout en souriant il lui dit:

« Je suis ravi de voir que ce petit objet vous rappelle bien que vous êtes en train de travailler! »

Alizée se redressa et ne répondit pas.
Elle se plaisait à être ainsi devant lui, et savait très bien au vu de la protubérance qui déformait son pantalon que cela lui plaisait aussi.
Elle s’imagina son sexe. Énorme, rosé, elle se l’imagina entre ses mains. Le serrant entre ses doigts. Le parcourant de haut en bas, et posant ses lèvres sur bon bout tout doux.
Il l’interrompit.

« Je vous laisse, je dois m’absenter, passez une bonne après-midi. »

Et il tourna les talons et sorti de la maison.
Elle était toujours appuyer sur le plan de travail de la cuisine.
Il lui fallu quelques instants pour sortir de son rêve interrompu bien trop brusquement.
Elle décida qu’elle avait assez travaillée pour aujourd’hui, sachant aussi que ses livres l’appelaient, et remonta l’escalier en se tenant à la rampe.
Une fois dans sa chambre elle retira son tablier, ses bas, son string et se rua dans la salle de bain pour se faire couler un bain très chaud.
Quelques minutes plus tard, armée de son meilleur ami, son petit ami toujours en elle, elle plongea dans l’eau brûlante.
Elle avait besoin de cela pour tenter de calmer son excitation.
Elle enclencha son gode au maximum des vibrations et l’amena directement sur son bouton, et rapidement elle se l’enfonça en elle.

Elle allait jouir quand elle retira son plug. Son mai qui vibrait en elle, ses pensées tournées vers la queue de Timothé et la sensation exceptionnelle en retirant son plug la firent jouir instantanément!
Elle poussa de grands cris de plaisir tandis qu’elle retirait et se remettait le plug. Tout en continuant à se branler avec son ami.
Elle jouit durant de longues minutes.
Enfin, épuisée elle se laissa se détendre.
Son visage était marqué par la jouissance qu’elle avait retenue toute la matinée et qui venait de se libérer.
Depuis son portable, Timothé n’avait rien raté du spectacle qu’elle lui avait offert.
Ne pouvant, pour le moment en tout cas, jouer avec elle. Il appela une de ces conquêtes et passa la récupérer pour l’inviter au restaurant et la ramener chez lui le soir.
Chapitre IX

Alizée entendit Timothé revenir, il était tard, presque 23h45, elle avait surveillée son retour, sans vraiment savoir pour quelle raison, mais n’avait pas pas réussi à se retenir.
Quand il entra dans la maison elle entendit aussi une voix de femme.
Une voix qui riait beaucoup, un peu trop, une voix qui résonnait l’alcool.
Les rires étaient interrompus par des bruits plus sourds.
Par des gémissements.
Elle s’approcha discrètement des escaliers, nue. Et aperçu Timothé qui était de out dans le couloir. Une blonde platine était agenouillée devant lui.
Pour la première fois elle vit son dard.
Énorme.
Son sexe allait et venait entre ses lèvres rougies.
.
Il devait mesurer plus de 18 cm, son sexe était tellement gros qu’il tenait à peine dans les mains de la blonde.
Quand à sa bouche, elle ne pouvait accueillir tant de chair.
Elle tentait de l’avaler tout entier mais ne parvenait à en faire disparaître que la moitié. Elle le branlait tout en le suçant.

Alizée entendit Timothé revenir, il était tard, presque 23h45, elle avait surveillée son retour, sans vraiment savoir pour quelle raison, mais n’avait pas pas réussi à se retenir.
Quand il entra dans la maison elle entendit aussi une voix de femme.
Une voix qui riait beaucoup, un peu trop, une voix qui résonnait l’alcool.
Les rires étaient interrompus par des bruits plus sourds.
Par des gémissements.
Elle s’approcha discrètement des escaliers, nue. Et aperçu Timothé qui était debout dans le couloir. Une blonde platine était agenouillée devant lui.
Pour la première fois elle vit son dard.
Énorme.
Son sexe allait et venait entre ses lèvres rougies.
.
Il devait mesurer plus de 18 cm, son sexe était tellement gros qu’il tenait à peine dans les mains de la blonde.
Quand à sa bouche, elle ne pouvait accueillir tant de chair.
Elle tentait de l’avaler tout entier mais ne parvenait à en faire disparaître que la moitié. Elle le branlait tout en le suçant.
Alizée n’avait jamais vu une femme faire ça!
Elle l’avait vu en vidéo, mais cela n’avait rien à voir en vrai.

Elle pouvait presque toucher cet engin de plaisir.
Elle entendait les sons glutureaux que la femme faisait comme si elle juste à côté.
Elle voyait tous les détails.
La mâchoire déformée de la femme.
Ses yeux presque exorbités.
Elle entendait le souffle court de cette pute qui le suçait tandis qu’il lui baisait la bouche.
Elle le voyait forcer sur sa bouche, elle voyait sa queue s’enfoncer toujours un peu plus dans sa bouche.
Puis il la ressortait pour lui claquer le visage avec.
Elle voyait ses yeux plongés dans ceux de Timothé, demandant toujours plus tandis que sa langue parcourait sa tige sur toute la longueur. Que ces couilles étaient aspirées par la femme.

Elle s’approchait inconsciemment de l’escalier, subjuguée par ce spectacle.
Elle se caressait les seins, la chatte, plongeant ses doigts en elle sans le réaliser.
Elle ne voulait qu’une chose:
Être la place de cette femme!

Soudain, Timothé tourna la tête et la vit en haut des escaliers, nue, en train de masturber en les regardant.
Elle se figea de honte, de stupeur.
Il la regarda droit dans les yeux et tout en tenant le visage de la femme lui donna un énorme coup de hanches.
Et accéléra encore plus ses mouvements.
Il baisait la bouche de cette femme mais regardait Alizée.

Elle resta immobile, incapable de bouger.
Au bout de quelques instants, elle retrouva ses esprits et détala dans le couloir à toute vitesse, vers sa chambre.
Rouge de honte.
Timothé souriait.
Il saisit la femme par les cheveux, la mis debout puis la dirigea vers sa chambre.
Il laissa la porte ouverte pour être certain qu’Alizée pourrai les entendre et la baisa avec vigueur et force plusieurs dizaines de minutes.

Elle était resté à la lisière de sa chambre. Écoutant intensément chaque son.
Elle avait saisit son meilleur ami et se l’était enfoncé dans sa chatte trempée sans perdre une seconde. Il vibrait pour son plaisir.
Elle s’imaginait à la place de cette femme.
Son orgasme fut tellement intense qu’elle tomba au sol, ses jambes incapables de la porter!
Elle continua à se caresser un long moment avant d’enfin réussir à trouver la force de se relever.

Cette nuit fut très agitée. Elle ne fit que des rêves pornographiques dans lesquelles elle se faisait prendre dans toutes les pièces de la maison.
Elle se réveilla à plusieurs reprises trempée de sueur, en chaleur, ses doigts s’agitant sur son clito.

Au petit matin elle due trouver la force de se lever. Se glissa dans la douche, et en repensant à la scène de la veille, elle se masturba avec le pommeau de la douche.
Enfin elle devait descendre et affronter le regard de Timothé.
Elle enfila ses bas, ses talons hauts, mis son serre tête en place, noua sa blouse sur ses seins nus qui ne cessaient de pointer.
Et enfin elle s’insérera son plug, il rentra sans aucun effort, et lui redonna l’envie de se masturber.
Elle se retint et sorti de sa chambre.
Les jambes tremblantes elle avançait vers l’escalier. Effrayée à l’idée de le voir.
Elle descendit les marches hésitante.
Une fois en bas, elle se dirigea vers la cuisine pour se faire un café, elle espérait qu’il était dans son bureau, comme à son habitude.

Sur le palier elle le vit en train de se faire couler 2 cafés.

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