Le plan cul - La première sortie à deux - histoire érotique

Les semaines passent et Alex et moi nous voyons toujours régulièrement. Une réelle
complicité est née entre nous. En général, les rapports que j’entretiens avec mes
plans culs sont toujours bons, mais je n’ai jamais vécu une complicité aussi forte. Le
seul avec qui le courant ne passait pas trop s’appelait Florian, un mec avec qui je
couchais régulièrement l’année dernière. Il était extrêmement beau, bien foutu, bien
monté, mais un peu hautain. Au début, j’arrivais à faire face à son comportement, mais
ça n’a pas duré. J’ai décidé de cesser toute relation le jour où, chez moi, une fois
qu’il a jouit dans le préservatif, Florian s’est levé, a jeté la capote usagée sur le
carrelage et m’a dit de me finir seul parce qu’il avait envie de fumer. Déstabilisé,
je m’exécutais en matant son joli fessier nu sur le balcon, je préférais l’attendre,
mais juste après avoir finis sa clope, il est parti, sans même prêter attention à moi.

Le contraste est flagrant avec Alex. Après l’amour, on se câline, on s’embrasse, en
gardant tout de même à l’esprit que notre relation est basée sur le sexe. Et puis,
quand on se voit, ce n’est pas que pour baiser. On regarde souvent des films ensemble,
ou on dîne, on boit une bière, comme de vrais potes ! Je lui ai proposé d’aller courir
avec moi un après-midi. Cela fait des mois que je cherche quelqu’un pour m’accompagner
dans mon footing hebdomadaire, surtout pour une question de motivation et Alex a
accepté.

Le rendez-vous est pris en bas de chez moi et nous nous faisons un petit check pour
nous dire bonjour avant de commencer notre course. « Il te fait un bon boule ce petit
jogging gris ! » me complimente-t-il. Nous nous dirigeons vers un bois qui se trouve à
quelques kilomètres de chez moi, qui est souvent fréquenté par les joggeurs. Au bout
d’une demi-heure, je sens Alex totalement épuisé. Nous nous arrêtons un instant pour
souffler un peu et boire un peu d’eau. D’un air malicieux, il me demande si j’ai déjà
fait des coquineries dans les sous-bois. Je ris et lui réponds que non. Il me prend
alors par la main et m’emmène hors du sentier, au fond du bois. Je ne tarde pas à
comprendre ce qu’il veut faire. Cachés derrière un grand tronc, nous nous embrassons.
Le fait qu’on puisse nous surprendre est terriblement excitant. Sans prévenir, je
m’agenouille face à lui, vérifiant que personne ne puisse nous voir, puis je baisse
légèrement son jogging bleu marine. Je trouve son boxer à l’effigie de Superman très
mignon. Je le baisse un peu et goute à son Super sexe. Une forte odeur s’en dégage due
à la transpiration, mais elle est loin d’être désagréable. Il soupire de plaisir. Je
ne le suce que quelques secondes. Il y a du monde. Je me redresse, il remonte son
boxer. Nous nous sourions. Une fois les coureurs passés, je me baisse à nouveau pour
poursuivre la fellation. Je m’aide de mes doigts pour caresser son point G, se situant
sous ses bourses. « Remonte, remonte », me chuchote-t-il. Je me dépêche de me
redresser et de faire comme si rien n’était. Une fois les trouble-fêtes partis, je
propose à Alex de rentrer, pensant qu’on sera plus tranquille chez l’un de nous. « Tu
ne veux pas te faire sucer ? » me demande-t-il de sa voix faussement innocente. C’est
un fantasme et l’adrénaline est forte, alors j’accepte, mais préfère que l’on fasse ça
ailleurs. Nous nous déplaçons, cherchant un coin moins fréquenté. Nous trouvons un
petit coin sympathique et caché derrière le feuillage, il s’accroupie devant moi,
baisse mon survêtement et mon boxer et commence à me sucer. Quel plaisir de sentir son
corps au grand air ! Malheureusement pour nous, un sentier passe à proximité et nous
risquons d’être pris en flagrant délit d’exhibition. Je lui propose alors de rentrer.
Ma gâterie dans les bois n’aura pas duré longtemps, mais c’est bien plus prudent !
Nous finissons notre jogging par un sprint jusqu’à chez lui.

Dans l’ascenseur, nous nous pouvons nous empêcher de nous embrasser. Arrivé au bon
étage, nous entrons dans son appartement. Assoiffés, nous buvons presque un litre et
demi d’eau à nous deux. Alex enlève son t-shirt et m’invite à le rejoindre sous la
douche. Je finis la bouteille et je le rejoins. Sous le jet d’eau chaude, nous nous
rinçons avant de nous embrasser. Il se muni de nos deux sexes tendus pour les faire
gonfler davantage. Il me masturbe un peu avant de s’accroupir et de me sucer
bestialement. Le sentiment de sécurité est plus fort que dans les bois, mais mon
plaisir est autant fort. Je lui tiens la tête et je pousse de petits gémissements pour
l’exciter. Au bout de quelques instants, nous coupons le jet d’eau et Alex m’enduit le
corps de gel douche qu’il fait mousser. Je fais de même. En insistant sur mes fesses,
je sens qu’il me lance un défi. Je fais de même avec les siennes. Il me titille avec
son index l’anus. Je fais de même. Il a un léger spasme, puis il me sourit et
m’embrasse bien fort. Sous ses airs d’homme viril, il ne peut résister à ce plaisir !
Nous nous frottons nos corps en nous amusant avant de nous rincer. De sa voix
tranquille, il me demande de me retourner. Il s’accroupie de nouveau, écarte
légèrement mes jambes et glisse sa langue sur mon petit trou. Je gémis lorsqu’il
enfonce sa langue et surtout lorsqu’il y mêle ses doigts. Il se relève ensuite et
plaque son sexe tendu contre mes fesses. Il m’embrasse le cou tout en me prenant
doucement. La pénétration se fait difficile et douloureuse. Je dois prendre sur moi
plus longtemps que d’habitude pour que la souffrance s’atténue. De son côté, je sens
qu’il apprécie particulièrement le moment. C’est la première fois qu’il me prend sans
préservatif. Il se colle particulièrement à moi en me demandant si je vais bien. Je
lui avoue que ce n’est pas très confortable sans lubrifiant. Nous nous arrêtons et
nous nous séchons. Alex qui était sorti, revient dans la salle de bain embuée, son
flacon de lubrifiant à la main. Il l’applique. Je me cambre en avant en prenant appui
sur le lavabo face au miroir. Nos regards ne quittent pas le visage de l’autre dans le
reflet du miroir. C’est tellement beau un homme qui prend son pied ! Il se retire vite
et se masturbe alors que je suis toujours cambré vers lui. Je sens alors son sperme
sortir de sa verge sur ma peau encore humide. Son jus glisse entre mes fesses. Je me
finis dans la douche face à lui et jouis à hauteur de son pubis. Nous nous embrassons.

Quelques instants plus tard, Alex me propose d’enfiler un de ses boxers propres et de
m’installer devant la télé. Il me rejoint, un paquet de biscuits à la main et me
demande si j’ai quand même apprécié ce moment, malgré la douleur. Je lui réponds que
oui. Il me propose alors d’aller faire un test de dépistage pour pouvoir avoir des
rapports sans préservatif, puisqu’il ne couche qu’avec moi et sa copine. Je suis
touché par cette déclaration et j’accepte naturellement sa proposition. Tout à coup,
Alex reçoit un SMS et bondit : « Oh putain ! ». Il se précipite vers son armoire pour
s’habiller.
- Qu’est-ce qu’il se passe ? lui demandé-je
- Il faut que tu y ailles, je suis désolé, mais ma copine arrive, elle vient de
m’envoyer un SMS pour me dire qu’elle part de chez elle.

Voyant que je ne bouge pas, il me dit de me dépêcher de me rhabiller. En quelques
secondes, j’enfile mes vêtements odorants de sueur. Alex vient m’embrasser et s’excuse
de nouveau de me chasser. Je sors de chez lui et rejoins la rue principale pour
prendre le bus. La nuit étant tombée, c’est bien plus prudent que de rentrer à pied.
En rentrant, je croise Charlotte qui va dîner chez sa sœur. Elle a réussi à me donner
faim, je vais m’acheter un sandwich dans un des snacks à proximité. Nous nous
souhaitons une bonne soirée et nous nous séparons. A peine arrivé au snack, je reçois
un SMS d’Alex : « Désolé de t’avoir mis dehors, c’est de ma faute, j’avais
complètement zappé qu’elle devait venir… Tu ne m’en veux pas ? La prochaine fois,
c’est pas une pipe que je te fais dans les bois, c’est bien plus … ». Je souris, lui
réponds qu’il n’y a pas de soucis et je passe ma commande. Ce n’est pas le repas le
plus sain, mais après tant d’effort, un peu de réconfort ne fait pas de mal, même si
ça n’égale pas les caresses et les baisers d’Alex…