Le pote bricoleur - histoire érotique

Voici un nouvel épisode de ma vie de petite salope. Comme toujours cette histoire est authentique. C’était il y a quelques années j’avais un copain mais il vivait chez lui et moi chez moi. Nous nous voyons que le week-end en général. Je voulais faire une terrasse derrière chez moi et mon copain avait proposé à un pote à lui très bon bricoleur de nous aider. En fait son pote donnait les ordres, dirigeait les travaux et mon copain exécutait. Le pote n’était pas vraiment mon type, la cinquantaine, assez rondouillard, pas très grand mais il était drôle, racontait des histoires de cul et ça m’amusait. Dès le début j’avais remarqué qu’il ne se gênait pas pour me mater. Mais il le faisait ouvertement et je préférais ça que les mecs qui matent en douce. De plus j’étais un peu responsable car je prenais un malin plaisir à m’habiller sexy et quand parfois je leur donnais un coup de main si je me penchais et que mon string dépasse de mon jean je ne faisais rien pour le remettre en place et cela semblait bien plaire au pote (appelons-le Pierrot).
Une fois je devais aider Pierrot et je portais une mini-jupe et accroupie devant lui je vis ses yeux descendre entre mes cuisses et à son sourire je sus qu’il avait vu mon string. Il se leva alors et la bosse qui ornait le devant de son pantalon en disait long sur son état. Il s’éclipsa pour aller aux toilettes et quand il revint assez longtemps après je le taquinai en lui demandant si ça allait mieux. Les travaux n’avançant pas vite Pierrot proposa de venir en semaine. Consciente des conséquences de mon attitude avec lui je décidai durant la semaine de ne pas allumer le pauvre Pierrot et fus assez distant mais dès le week-end suivant mon naturel repris le dessus et je l’allumais de plus belle ne manquant pas une occasion de lui monter mon décolleté ou mon entrejambe. Le lundi suivant en partant Pierrot voulu que je lui offre un apéritif. Je lui servis donc un verre et m’affairais dans la cuisine quand j’eu la surprise en revenant dans le salon de le découvrir la queue à la main. Je lui ordonnai de la ranger et de rentrer chez lui mais il me dis en souriant que c’étais moi qui le rendais dans cet état et qu’il fallait à tout pris qu’il se termine. Je lui indiquai donc les toilettes mais il me demanda de le faire devant moi car étant la cause de son érection cela irait plus vite. Mon côté salope pris le dessus et j’acceptai. Il se mit donc à se branler en me regardant et je dois dire que cela ne me gène pas d’être l’objet du désir des hommes quels qu’ils soient. Il voulu ensuite que je lui montre mon soutien-gorge puis mon string et à chaque fois après quelques refus j’acceptai. Ensuite il me demanda de le branler et là encore j’acceptai. Sa queue grosse et raide me plaisait et j’oubliais le physique de Pierrot. Il me fit m’asseoir sur le canapé et se mit debout devant moi si bien que sa queue était au niveau de mon visage et quand il me demanda de sortir ma langue je fis mieux que ça et me mis à le sucer.
Le sucer commençait agir sur moi et je sentais mon minou devenir humide si bien que quand il me demanda de m’allonger sur la table pour frotter sa queue sur mon minou à travers mon string je n’opposai aucune résistance. Ayant mis un préservatif il caressa donc mon minou et quand il me pénétra j’étais déjà au bord de la jouissance. Ses coups de reins puissants déclenchèrent rapidement une intense jouissance qui me coupa le souffle. Il voulu alors me prendre en levrette je me mis donc à quatre patte sur le canapé et il m’enfila et commença à me défoncer avec force. Je jouis encore une fois car sa queue était vraiment bien dure et grosse. Comme il allait jouir je lui demandai de gicler sur mon dos ce qu’il fit sans se faire prier. Le week-end suivant il s’arrangea pour envoyer mon copain faire une course pour se retrouver seul avec moi et comme je faisais la sieste il monta me rejoindre. Je tentai de le dissuader car nous avions peu de temps mais il savait que je n’attendais que ça et n’eu pas trop d’effort à faire pour que je me retrouve nue en train de lui sucer la queue. Cet après-midi là je lui offris mon petit trou et la grosseur de sa verge me fis d’abord souffrir avant que le plaisir ne vienne et que tout en caressant mon petit bouton je prenne mon pied la tête enfouie dans mon oreiller. Quand mon copain revint j’avais un peu honte de ce que j’avais fait mais le plaisir que je ressentais encore dans mon minou et mon cul me fit vite oublier cette honte.