Séjour à Djerba (suite) - histoire érotique

Voici la suite de mon séjour à Djerba.
Sollicités depuis notre arrivée par Hakim pour faire une ballade en dromadaire nous
acceptâmes enfin, mon copain et moi et le lendemain nous rejoignîmes un petit groupe à
l’extérieur de l’hôtel pour faire cette ballade. Il y a avait quelques dromadaires et
chevaux qui nous attendaient. Pour la circonstance j’avais mis un chemisier et un
pantalon blanc qui laissaient deviner mes sous-vêtements blancs eux aussi. Au regard
d’Hakim je devinais que ma tenue lui plaisait bien et qu’il allait encore me faire du
rentre dedans malgré la présence de mon copain. Il m’aida à monter sur un cheval et en
profita pour toucher mes fesses sa main glissant même un instant sur mon entrecuisse
quand j’enjambai le cheval. Après quelques centaines de mètres le frottement de la
selle sur mon minou commença à me mettre dans un état second et quand Hakim qui
marchait à côté de notre groupe sauta prestement derrière moi pour me montrer commet
faire trotter ou galoper le cheval j’étais déjà prête à laisser libre cours à mes
pulsions. Dès que le cheval se mit à trotter Hakim se colla à moi et je sentis bientôt
sa queue prendre du volume contre mes fesses, il me demanda alors si j’aimais ça. Je
répondis un « oui j’adore » qui pouvais s’appliquer aussi bien à la ballade qu’à sa
queue qui était maintenant complètement raide contre mon dos. Une de ses mains qui me
tenait au niveau du ventre descendit alors vers mon bas-ventre et bientôt ses doigts
furent en contact avec mon minou à travers le léger tissu de mes vêtements. Je devais
être rouge comme une pivoine mais cela pouvait être interprété comme les conséquences
de la chaleur. Hakim voyant que j’étais réceptive remonta sa main puis essaya de la
faire glisser à l’intérieur de mon pantalon. Je lui facilitai la tache en défaisant le
cordon qui ceinturait ma taille et ses doigts reprirent leur place sur mon minou qui
réclamait maintenant autre chose que de simples caresses. Profitant de ce que je me
décollais régulièrement de la selle pour suivre le trot du cheval la main d’Hakim
glissa jusqu’à ce que ce fût sur sa main que je retombe à chaque fois provoquant un
afflux d’humidité dans ma petite fente. Bientôt je sentis un doigt se glisser
délicatement sur le bord de mon string et s’insinuer entre mes lèvres. Vu mon état
d’excitation son doigt n’eut aucun mal à me pénétrer et je commençai alors à prendre
du plaisir sur ce doigt étranger. Lisant dans mes pensées Hakim ajouta un deuxième
doigt puis rapidement un troisième. Etant alors bien remplie je ne suivais plus le
rythme du cheval mais m’empalais à mon rythme sur ses doigts tout en frottant mon
clitoris sur la paume de sa main à la recherche d’une jouissance qui vint trop
rapidement et m’obligea à me mordre les lèvres pour ne pas crier et attirer les
regards des autres cavaliers. Reprenant mes esprits je remarquai que la queue d’Hakim
continuait de battre contre mes fesses et décidai de lui rendre le plaisir qu’il
venait de me donner. Je lui demandai si je pouvais me mettre derrière lui ce qu’il
accepta bien entendu. Nous échangeâmes nos places et je me retrouvai collée à son dos
mes bras enserrant son torse et mes mains à la hauteur de son sexe. Ne perdant pas de
temps en préliminaires ma main pénétra rapidement dans son pantalon. Je découvris
alors une queue raide et courbée vers son ventre dont le gland était bien dégagé. Pas
très longue c’est surtout sa grosseur qui m’impressionna, ma main aux doigts longs et
fins n’en faisait pas le tour. Je me mis alors en devoir de le branler. Tantôt formant
un cercle du pouce et de l’index dans lequel il venait glisser son gland au rythme du
cheval, tantôt empoignant sa queue à pleine main et la branlant rapidement m’arrêtant
quand je sentais qu’il allait venir, tantôt caressant ses couilles que je sentais
lourdes et tendues. La ballade touchant à sa fin j’enserrai sa queue à la base du
gland et le branlai doucement jusqu’à qu’il se contracte et que je sente son sperme
couler sur mes doigts en de nombreuses saccades. Otant ma main de son pantalon je
léchai discrètement ma main pour la nettoyer juste à temps pour pouvoir descendre du
cheval sans éveiller les soupçons des autres membres du groupe et surtout de mon
copain qui me demanda pourquoi Hakim était resté tout le temps sur mon cheval. Ce à
quoi je répondis que j’avais peur de tomber et qu’il m’avait rassurée. Mon copain
sembla accepter ces explications et ne m’en parla plus.

A suivre…