Le récit de ma vie (15)
Récit érotique écrit par Gd_max [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le récit de ma vie (15)
Chapitre 11 – Rencontre avec mon fantasme
Partie 2/3
J'ai nettoyé ma semence avec un gant de toilette, que j'ai passé consciencieusement sur sa poitrine, son cou, et son visage. Elle a nettoyé également ses lunettes, qui avaient reçues quelques gouttes, puis nous sommes descendus voir les autres.
Heureusement, tout c'est bien passé, elle a été très heureuse de se faire prendre si fort, et l'alcool à fait le reste. Pourtant je n'étais pas fier de moi, pourquoi avais-je fais ça ? Était ce pour me venger de Mélissa ?
Vers la fin de la soirée, Louise est repartie en voiture avec Mélissa comme chauffeuse, hors de question qu'elle conduise avec son taux d'alcool bien au delà des limites. C'est là que j'ai appris que Louise et elle se connaissaient très bien, et étaient amies depuis un bon moment. C'était vraiment pas une bonne nouvelle, car si Louise parlait de ce qui s'était passé avec moi, c'était foutu pour Mélissa et moi. Je sais ce que vous vous dites, elle m'avait déjà mis un beau râteau. Toutefois j'avais encore l'espoir de pouvoir arranger les choses.
Cette nuit là, plusieurs d'entre nous dormions sur place, notamment Elvina, Thomas et Emma. La petite amie de Jordan dormirait avec lui, pendant qu'Elvina et Emma partageaient l'ancienne chambre de la sœur de Jordan, et Thomas et moi prenions la chambre d'ami.
Les amis de Jordan sont repartis, sauf une fille qui allait dormir avec Emma et Elvina. Pauline est repartie accompagnée d'une fille qu'elle avait rencontrée à la soirée qui allait la ramener chez elle : la pauvre était « pompette » avec deux verres.
Je laisse le lit à Thomas et prend un duvet par terre. On avait l'habitude de dormir comme ça donc ce n'était pas un soucis. Alors que je sortais des toilettes, Emma est sortie au même moment de la salle de bain, elle était toujours aussi belle, les cheveux un peu emmêlés. Elle ne portait plus qu'une nuisette violette, opaque, qui descendait à mi cuisse, mettant magnifiquement son corps en valeur. Encore une fois sa poitrine attira mon regard, elle était bien plus exposée que sous sa robe, sa nuisette réalisant un décolleté exposant à ma vue un long sillon formé par deux magnifiques seins. Elle m'a fait la bise et est rentrée dans la chambre des filles, et ce moment m'a rendu heureux à nouveau.
Alors que j'étais dans mon duvet depuis un bon moment, repassant les images d'Emma et de Louise dans ma tête, j'ai vu la porte s'ouvrir. Qui pouvait venir à cette heure ? La porte s'est refermée, et j'ai deviné une silhouette avancer à tâtons vers le lit.
- C'est qui ? ai-je chuchoté.
- Max ? Tu es réveillé ? m'a répondu la voix d'Elvina dans l'obscurité.
Elle s'est agenouillée près de moi en se repérant à ma voix.
- Tu voulais rejoindre Thomas ? lui demandais-je.
- Et bien... non, je te cherchais toi en fait. Il dort ?
- Oui il s'est endormi. Qu'est ce que tu voulais ?
- Ouvre ton duvet s'il te plaît.
J'ai fais ce qu'elle me demandait, m'attendant à ce qu'elle veuille se mettre près de moi, mais au lieu de ça, elle s'est placée au dessus de moi, en 69, et a sorti mon sexe de son boxer.
- Qu'est ce que tu fais ? On est pas tout seuls, ai-je chuchoté.
Elle ne m'a pas répondu, mais j'ai senti sa langue parcourir mon sexe et mes bourses. J'ai tourné la tête vers Thomas, mais je n'arrivais pas à le distinguer dans l'obscurité. J'espérais qu'il dormait. Elvina continuait à lécher le moindre centimètre de ma verge, jusqu'à ce qu'elle soit entièrement gonflée de sang et dure entre ses doigts. Elle s'est ensuite occupée de mon gland, le suçotant, l'aspirant, faisant tournoyer sa langue autour. Je m'étais laissé faire pour l'instant, savourant ses caresses, mais maintenant qu'elle m'avait donné envie, je voulais moi aussi la sentir frémir au bout de ma langue. Mes mains ont relevé son long maillot de pyjama, et j'ai parcouru ses fesses de mes doigts. Je devinais une culotte avec des motifs, ou un genre de dentelle. Je l'ai écarté afin d'avoir un accès à son intimité. Elle a deviné mes intentions et s'est redressée.
- Non, si tu me caresse avec ta langue je vais réveiller Thomas, laisse toi faire.
- D'accord, répondis-je en reposant ma tête.
J'ai fermé les yeux et je me suis concentré sur ce qu'elle me faisait. Pendant de longues minutes, elle a alterné différentes caresses. Tantôt elle avalait ma verge le plus loin possible, ce qui était facilité par notre position, ce qui me faisait monter en excitation. Je sentais la chaleur de sa gorge contre mon gland, et ses lèvres presque à la base de mon sexe. Elle me branlait ainsi, ma queue frottant contre son palais, et confortablement installée sur sa langue douce mais tonique. Ses mains parcouraient alors l'intérieur de mes cuisses, et elle frottait ses seins fermes contre mon ventre. Et ensuite elle changeait de position pour me masturber rapidement, ses deux mains enserrant fortement ma verge, sa langue s'occupant de mon gland, essayant de le couvrir entièrement, de le caresser. Parfois encore, elle passait une main sur mon périnée. La coquine avait très bien vue à mes réactions que j'appréciais, et elle m'a surpris par sa témérité quand j'ai senti ses doigts effectuer de lents passages autour de mon anus, s'arrêtant parfois sur mon orifice, puis repartant vers mes bourses, avant de recommencer encore et encore.
Elle me faisait une magnifique pipe, pleine de douceur, d'amour, et surtout, d'envie. Alors que je sentais que je ne tiendrais plus très longtemps, elle a changé de technique, se contentant simplement de me branler énergiquement pendant que sa petite bouche retenait mon gland prisonnier, vulnérable à sa langue. J'ai senti qu'avec la pointe de celle ci, elle insistait sur mon méat, le lapant et appuyant fort dessus. Quand à moi, ces multiples caresses commençaient à me rapprocher très fortement de l'orgasme, mais j'avais peur qu'elle m'arrache un gémissement cette petite effrontée, gémissement qui risquait de réveiller Thomas. Soudainement, j'ai senti mon gland se faire aspirer, elle me pompait littéralement, ses lèvres comprimaient ma verge, et sa bouche forçait mon sang à se canalisé au niveau du gland. J'avais la fausse impression que mon sexe se dilatait dans la petite bouche d'Elvina. Mais je n’ai pas eu le temps de réfléchir d'avantage, une de ses mains avait saisi mes couilles fermement, presque à m'en faire mal, et les malaxait, tandis qu'elle s'était servie de l'autre pour caresser mon périnée, et introduire une phalange dans mon cul. Ce fût comme une explosion. Un orgasme plus puissant que celui que j'avais eu avec Louise quelques heures plus tôt me monta à la tête. Ma verge a déchargé de puissants jets de semence contre le palais de mon amie. J'avais l'impression que ça ne s'arrêterait jamais. Quelques instants après, je sentais mon sang circuler à nouveau normalement dans mes corps caverneux, j'avais la sensation que mon sexe se dégonflait. Elvina s'est retournée vers moi et m'a donné un baiser tendre et empli d'amour. Sa bouche était vide, elle avait bu l'offrande que mon corps lui avait faite.
Elle s'est ensuite collée à moi quelques minutes pour me câliner, puis elle est vite retournée dans sa chambre. Je me demandais si finalement, je ne devrais pas abandonner l'idée de sortir avec Mélissa pour pouvoir reporter toute mon attention sur elle, tendre et douce Elvina. C'est sur cette idée que je me suis endormi.
Le lendemain j'ai été réveillé par un bruit répétitif, comme si on tapait sur quelque chose...
A suivre...
Partie 2/3
J'ai nettoyé ma semence avec un gant de toilette, que j'ai passé consciencieusement sur sa poitrine, son cou, et son visage. Elle a nettoyé également ses lunettes, qui avaient reçues quelques gouttes, puis nous sommes descendus voir les autres.
Heureusement, tout c'est bien passé, elle a été très heureuse de se faire prendre si fort, et l'alcool à fait le reste. Pourtant je n'étais pas fier de moi, pourquoi avais-je fais ça ? Était ce pour me venger de Mélissa ?
Vers la fin de la soirée, Louise est repartie en voiture avec Mélissa comme chauffeuse, hors de question qu'elle conduise avec son taux d'alcool bien au delà des limites. C'est là que j'ai appris que Louise et elle se connaissaient très bien, et étaient amies depuis un bon moment. C'était vraiment pas une bonne nouvelle, car si Louise parlait de ce qui s'était passé avec moi, c'était foutu pour Mélissa et moi. Je sais ce que vous vous dites, elle m'avait déjà mis un beau râteau. Toutefois j'avais encore l'espoir de pouvoir arranger les choses.
Cette nuit là, plusieurs d'entre nous dormions sur place, notamment Elvina, Thomas et Emma. La petite amie de Jordan dormirait avec lui, pendant qu'Elvina et Emma partageaient l'ancienne chambre de la sœur de Jordan, et Thomas et moi prenions la chambre d'ami.
Les amis de Jordan sont repartis, sauf une fille qui allait dormir avec Emma et Elvina. Pauline est repartie accompagnée d'une fille qu'elle avait rencontrée à la soirée qui allait la ramener chez elle : la pauvre était « pompette » avec deux verres.
Je laisse le lit à Thomas et prend un duvet par terre. On avait l'habitude de dormir comme ça donc ce n'était pas un soucis. Alors que je sortais des toilettes, Emma est sortie au même moment de la salle de bain, elle était toujours aussi belle, les cheveux un peu emmêlés. Elle ne portait plus qu'une nuisette violette, opaque, qui descendait à mi cuisse, mettant magnifiquement son corps en valeur. Encore une fois sa poitrine attira mon regard, elle était bien plus exposée que sous sa robe, sa nuisette réalisant un décolleté exposant à ma vue un long sillon formé par deux magnifiques seins. Elle m'a fait la bise et est rentrée dans la chambre des filles, et ce moment m'a rendu heureux à nouveau.
Alors que j'étais dans mon duvet depuis un bon moment, repassant les images d'Emma et de Louise dans ma tête, j'ai vu la porte s'ouvrir. Qui pouvait venir à cette heure ? La porte s'est refermée, et j'ai deviné une silhouette avancer à tâtons vers le lit.
- C'est qui ? ai-je chuchoté.
- Max ? Tu es réveillé ? m'a répondu la voix d'Elvina dans l'obscurité.
Elle s'est agenouillée près de moi en se repérant à ma voix.
- Tu voulais rejoindre Thomas ? lui demandais-je.
- Et bien... non, je te cherchais toi en fait. Il dort ?
- Oui il s'est endormi. Qu'est ce que tu voulais ?
- Ouvre ton duvet s'il te plaît.
J'ai fais ce qu'elle me demandait, m'attendant à ce qu'elle veuille se mettre près de moi, mais au lieu de ça, elle s'est placée au dessus de moi, en 69, et a sorti mon sexe de son boxer.
- Qu'est ce que tu fais ? On est pas tout seuls, ai-je chuchoté.
Elle ne m'a pas répondu, mais j'ai senti sa langue parcourir mon sexe et mes bourses. J'ai tourné la tête vers Thomas, mais je n'arrivais pas à le distinguer dans l'obscurité. J'espérais qu'il dormait. Elvina continuait à lécher le moindre centimètre de ma verge, jusqu'à ce qu'elle soit entièrement gonflée de sang et dure entre ses doigts. Elle s'est ensuite occupée de mon gland, le suçotant, l'aspirant, faisant tournoyer sa langue autour. Je m'étais laissé faire pour l'instant, savourant ses caresses, mais maintenant qu'elle m'avait donné envie, je voulais moi aussi la sentir frémir au bout de ma langue. Mes mains ont relevé son long maillot de pyjama, et j'ai parcouru ses fesses de mes doigts. Je devinais une culotte avec des motifs, ou un genre de dentelle. Je l'ai écarté afin d'avoir un accès à son intimité. Elle a deviné mes intentions et s'est redressée.
- Non, si tu me caresse avec ta langue je vais réveiller Thomas, laisse toi faire.
- D'accord, répondis-je en reposant ma tête.
J'ai fermé les yeux et je me suis concentré sur ce qu'elle me faisait. Pendant de longues minutes, elle a alterné différentes caresses. Tantôt elle avalait ma verge le plus loin possible, ce qui était facilité par notre position, ce qui me faisait monter en excitation. Je sentais la chaleur de sa gorge contre mon gland, et ses lèvres presque à la base de mon sexe. Elle me branlait ainsi, ma queue frottant contre son palais, et confortablement installée sur sa langue douce mais tonique. Ses mains parcouraient alors l'intérieur de mes cuisses, et elle frottait ses seins fermes contre mon ventre. Et ensuite elle changeait de position pour me masturber rapidement, ses deux mains enserrant fortement ma verge, sa langue s'occupant de mon gland, essayant de le couvrir entièrement, de le caresser. Parfois encore, elle passait une main sur mon périnée. La coquine avait très bien vue à mes réactions que j'appréciais, et elle m'a surpris par sa témérité quand j'ai senti ses doigts effectuer de lents passages autour de mon anus, s'arrêtant parfois sur mon orifice, puis repartant vers mes bourses, avant de recommencer encore et encore.
Elle me faisait une magnifique pipe, pleine de douceur, d'amour, et surtout, d'envie. Alors que je sentais que je ne tiendrais plus très longtemps, elle a changé de technique, se contentant simplement de me branler énergiquement pendant que sa petite bouche retenait mon gland prisonnier, vulnérable à sa langue. J'ai senti qu'avec la pointe de celle ci, elle insistait sur mon méat, le lapant et appuyant fort dessus. Quand à moi, ces multiples caresses commençaient à me rapprocher très fortement de l'orgasme, mais j'avais peur qu'elle m'arrache un gémissement cette petite effrontée, gémissement qui risquait de réveiller Thomas. Soudainement, j'ai senti mon gland se faire aspirer, elle me pompait littéralement, ses lèvres comprimaient ma verge, et sa bouche forçait mon sang à se canalisé au niveau du gland. J'avais la fausse impression que mon sexe se dilatait dans la petite bouche d'Elvina. Mais je n’ai pas eu le temps de réfléchir d'avantage, une de ses mains avait saisi mes couilles fermement, presque à m'en faire mal, et les malaxait, tandis qu'elle s'était servie de l'autre pour caresser mon périnée, et introduire une phalange dans mon cul. Ce fût comme une explosion. Un orgasme plus puissant que celui que j'avais eu avec Louise quelques heures plus tôt me monta à la tête. Ma verge a déchargé de puissants jets de semence contre le palais de mon amie. J'avais l'impression que ça ne s'arrêterait jamais. Quelques instants après, je sentais mon sang circuler à nouveau normalement dans mes corps caverneux, j'avais la sensation que mon sexe se dégonflait. Elvina s'est retournée vers moi et m'a donné un baiser tendre et empli d'amour. Sa bouche était vide, elle avait bu l'offrande que mon corps lui avait faite.
Elle s'est ensuite collée à moi quelques minutes pour me câliner, puis elle est vite retournée dans sa chambre. Je me demandais si finalement, je ne devrais pas abandonner l'idée de sortir avec Mélissa pour pouvoir reporter toute mon attention sur elle, tendre et douce Elvina. C'est sur cette idée que je me suis endormi.
Le lendemain j'ai été réveillé par un bruit répétitif, comme si on tapait sur quelque chose...
A suivre...
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