Le récit de ma vie (4)
Récit érotique écrit par Gd_max [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2015 dans la catégorie Plus on est
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Le récit de ma vie (4)
Chapitre 4 – Les récits de Camille : la nymphomanie de deux amies
Tout le long de cette première année de faculté, et surtout au second semestre, j'avais l'habitude de voir Camille. C'était est une amie commune avec Lindsay. Je l'ai rencontré à la même époque que celle ci, c'est à dire au lycée. Nous avons partagés deux années ensemble, dans la même classe, mais les deux filles se connaissaient depuis beaucoup plus longtemps.
Camille était dans une autre branche d'étude que la mienne et celle de Lindsay, donc nous nous étions perdus de vue. Un soir d'octobre, elle m'a proposé d'aller boire un verre. Nous nous sommes revu en décembre pour un resto entre amis. Et depuis ce jour là, nous nous réservions une soirée par mois. Le plus souvent au restaurant, parfois chez elle ou moi. Parallèlement, pendant un mois, on ne se parlait que peu ou pas, et toujours par sms. En fait, on profitait de cette soirée ensemble pour parler du mois passé, et de ce que l'on voulait faire le mois suivant. Comme on se connaissait depuis déjà plusieurs années, nos discussions portaient sur tous les sujets, et de plus en plus, sur le sexe. Je découvris surtout sa vie sexuelle, la mienne étant en pause depuis quelques mois. Après la soirée avec Noémie et Enzo, j'ai hésité à lui en parler, mais nous avions confiance l'un l'autre, et si elle me confiait tout, je pouvais lui confier ce moment de ma vie.
C'est après ça que j'ai su qu'elle ne me confiait pas tout finalement. Après l'annonce de cette partie à 3, je me serais attendu à ce qu'elle soit étonnée, ou je ne sais pas, je trouvais que ça n'était pas banal. Mais en fait, c'est à partir de ce jour elle m'a vraiment confié toute sa vie sentimentale, et surtout sexuelle. Et elle n'était pas si classique que je l'imaginais. Ma petite soirée avec Enzo et Noémie ne pouvait pas l'effaroucher quand on sait ce qu'elle a vécu.
Laissez moi vous exposer les conversations que nous avons eu, lors de nos rendez-vous mensuels cette année là.
Il me faut en premier lieu vous décrire Camille. C'est une fille de 19 ans, assez grande, un peu plus d'1m70 je dirais, et très fine. Le visage fin, une petite bouche, les yeux marrons, et des cheveux bruns, coupés mi-long. Sa poitrine est en accord avec sa morphologie, puisqu'elle ne fait qu'un bonnet A.
Je savais qu'elle avait déjà eu plusieurs relations, ses petits amis ne duraient jamais bien longtemps (depuis la rentrée de septembre, elle était déjà sortie avec trois mecs différents). Je pensais qu'elle ne tombait simplement pas sur « le bon ». En fait, elle aimait le changement. Comme toutes les femmes elle aimait les attentions, la tendresse, les mots doux. Mais elle adorait le sexe, et elle s'ennuyait vite de voir toujours le même lui être présenté. Elle me confia avoir perdue sa virginité à 13 ans, avec un garçon de 17 ans. Elle n'avait pas aimé cette première fois, son partenaire était inexpérimenté, elle avait eu mal, et n'avait pas eu beaucoup de plaisir. Elle le largua quelques jours plus tard. Les mois qui suivirent, elle découvrit son corps par la masturbation, et par les conseils de sa grande sœur. Quand elle se sentie prête, elle chercha un garçon dont elle savait qu'il était expérimenté, un jeune lycéen, avec qui elle découvrit l'orgasme vaginal. Très vite elle en voulu toujours plus, avide de découverte. Quand elle voulu découvrir le plaisir anal, elle avait à sa disposition un petit ami possédant un sexe imposant et large. Elle ne voulait pas reproduire l'erreur de sa première fois. Ce jour là, elle réussie à prendre du plaisir dès sa première fois. Mais elle avait malgré tout eu très mal, surtout quand elle a sentie ses intestins se dilater de force.
Camille enchaînait les conquêtes. De plus en plus, elle était dominatrice. Les hommes étaient ses jouets, elle aimait les chauffer, les exciter, les voir à sa merci. Puis les laisser satisfaire ses envies. Et gare à celui qui ne la satisfaisait pas, il était aussitôt remplacé.
Elle avait une amie de lycée chez qui elle allait régulièrement, pour les devoirs ou pour s'amuser. Son père était un quadragénaire, commercial dans la vie, et bien sur tout rapport. Camille prenait un malin plaisir à le fixer ou à lui faire des clins d’œil quand il était présent chez lui. Elle se caressait la poitrine quand il lui parlait. Elle se léchait les lèvres quand elle le voyait. Un week end, sachant que son amie était sortie avec sa mère, elle alla frapper chez lui. Elle avait 16 ans à l'époque. Elle était habillée d'un simple débardeur sans soutien gorge et d'une jupe courte. Il fut surpris de la trouver sur son pas de porte. Il l'invita à entrer tout en se demandant ce qu'elle faisait là. Camille savait pourquoi elle était là, et elle n'avait pas besoin de parler. Ses regards étaient sans équivoque. Sa langue humectait déjà ses lèvres d'envie. Elle s'est assise dans un fauteuil et a relevé lentement sa jupe. Évidemment le brave homme avait compris ce qu'il se passait, mais quand la main de Camille commença a caresser sensuellement sa jeune chatte, il évalua les risques que sa femme rentre pendant la prochaine heure, et conclu rapidement qu'une chance pareille ne se représenterai pas deux fois.
Cet après midi là, Camille réussie à corrompre le père de son amie, et donc à accomplir un de ses fantasmes, mais également à connaître un état de transe orgasmique comme elle en avait encore jamais connu. Le père de son amie avait un sexe très long, au moins 20 cm d'après elle. Il n'y a eu que peu de préliminaires, et tant mieux, elle n'était pas venue pour ça. Il avait donné sa verge à sucer à la petite, pour la lubrifier, puis il s'était présenté à l'entrée de l'intimité interdite. Camille ressentie un sentiment incroyable quand, petit à petit, centimètre par centimètre, elle sentait son vagin s'élargir au passage de cette tige dure comme l'acier. Quand elle senti le pubis de son amant contre sa chatte, elle manqua d'avoir un orgasme. Son corps avait accueilli la totalité de cette queue. Elle voyait son ventre, d'habitude si plat, bombé du mont de Vénus jusqu'au nombril. Cet homme la pénétrait. Littéralement. Il donna les premiers coups de butoir à Camille, qui eu son premier orgasme de la journée presque aussitôt. Il profitait de cette petite salope qui s'offrait à lui. Il allait la baiser, faire ce que sa femme lui refusait. Il était bestial. Le fourreau serré de la jeune fille eu raison d'un premier flot de sperme, qu'il déversa sur le ventre et le débardeur de Camille. Il redonna son sexe à Camille pour qu'elle le nettoie, puis il retourna sa maîtresse, de façon à pouvoir la prendre en levrette sur le fauteuil. Aussitôt de nouveau au chaud dans sa grotte chaude, il la baisa de nouveau. Sa petite salope gémissait et tremblait au fur et à mesure qu'un nouvel orgasme s'approchait. Il introduisit son index dans l'anus de Camille, ce qui déclencha son orgasme.
Puis il décida de passer aux choses sérieuses, en présentant son gland à l'entrée du petit trou. La pénétration fût un mélange de d'excitation, de douleur, de bonheur, d'orgasme et d'impression d'être fendue en deux pour notre petite allumeuse. Là encore, plus de 20 cm de sexe brûlant et raide parvinrent à entrer. Camille pensait ne jamais pouvoir s’asseoir à nouveau. Là encore elle prit son pied. Les voisins furent témoins de ses cris. Il lui tenait la taille pour la maintenir, et la défonçait sur place. Frissons, orgasme, bonheur, puis de nouveau le plaisir qui montait, les frissons... Camille subissait ce schéma en boucle. Elle sentie enfin la jouissance de son amant remplir ses intestins à vifs. Elle retomba sur le fauteuil, les orifices ouverts, elle sentait l'air frais la toucher plus loin qu'il n'avait jamais été. Mais lui avait encore envie d'en profiter. Il se branlait énergiquement pendant qu'il embrassait la jeune fille. Quand il jugea son érection suffisante, il pénétra la bouche de la lycéenne. Elle manqua de suffoquer quand elle sentie le gland au fond de sa gorge, mais elle se fit violence pour ne pas le refouler, et prendre le maximum de longueur. Elle se laissa faire pendant qu'il se mit à lui baiser la bouche, maintenant sa tête entre ses mains. Camille ressentait une immense excitation. Elle avait fait chuter un homme mûr, elle avait réussie, et en plus, elle subissait orgasme sur orgasme. Elle était une salope oui, elle commençait à le savoir. Et c'était bon. Son amant finit par jouir au fond de sa gorge. Elle tenta de ne pas bouger mais commença à avaler de travers. Il se retira pour la laisser respirer.
Elle était maintenant jambes écartées, les orifices dilatés et souillés de sperme, son débardeur relevé, son ventre tâché de sperme également, tout comme ses lèvres, qui laissait un filet de bave et de sperme s'échapper au fur et à mesure qu'elle reprenait sa respiration. Mais ses yeux brillaient. Elle était heureuse. C'est là qu'ils entendirent le bruit de la voiture sur les graviers de l'allée. Il cacha Camille dans la salle de bain, dans laquelle elle fit rapidement un brin de toilette. Quand elle ressortie, elle était coiffée et correctement rhabillée, mais il y avait des tâches sur son débardeur. Elle a dit bonjour à son amie, et pris rapidement congé. En passant la porte, elle sentait le sperme du père de son amie couler de son anus sur ses cuisses... Elle laissait également le pauvre dans un bel embarra, car il allait devoir justifier cette visite.
Parallèlement, elle prit beaucoup de plaisir dans son lycée à repérer les garçons puceaux, les exciter était facile. Ensuite, c'était elle qui les initiait, les baisait, leur offrait une nuit ou une journée incroyable, avant de passer au suivant. C'était ses jouets, mais pendant une nuit, quelques nuits pour les plus chanceux, elle s'occupait de leur éducation comme une reine. Son amie Lindsay préférait les hommes d'expérience, elle voulait baiser pour jouir, et non pas jouir de baiser des camarades de classe. Point sur lequel Camille avait évolué.
Camille eut sa première expérience lesbienne avec Lindsay à 17ans. Celle ci partageait son caractère, et son goût pour la luxure. Lindsay est une fille d'environ 1m65, aux belles mensurations, avec un 90B, de jolies fesses ni trop rondes, ni trop peu et une taille fine. Elle a des cheveux châtains foncés, des yeux marrons. Lindsay et Camille ont partagé énormément de choses, notamment dans leur vie sexuelle. Par exemple, il arrivait que l'une séduise un homme, le test au lit, puis le largue. La seconde s'occupait ensuite de le « consoler ». Et elles comparaient ensuite leur points de vue, leurs ressentis.
Comme je le disais Camille et Lindsay ont eu leur première expérience lesbienne ensemble. Elles s'aimaient comme des sœurs. Et d'après Camille, il y a eu une forme d'amour entre elles. Différent de l'amour tel que nous nous le représentons habituellement. Elles n'étaient pas jalouses des conquêtes de l'autre, elles n'avaient que le plaisir pour objectif. Toutefois, malgré l'amour et la sensualité qu'elles s'échangeaient, elles étaient d'accord toutes les deux pour dire que « rien ne vaut une bonne bite, de préférence très grosse, et longue aussi. Et surtout un mec qui ait des couilles et qui sache s'en servir ». Le ton était donné.
Lindsay et Camille se lançaient parfois des défis, du genre « cap ou pas cap de te faire prendre dans les toilettes du bahut », ou bien « cap ou pas cap de draguer le prof ». Pour les curieux, je vous dirais seulement que mes deux amies se sont toutes les deux fait prendre dans les toilettes du lycée. Évidemment elles avaient sucés des amis dans les toilettes. Mais ça ne leur apportait pas autant d'excitation que cette peur de se faire entendre par un surveillant pendant qu'elles se faisaient baiser contre un mur. Toutes les deux ont dragué un prof. Un chacun. Lindsay avait choisit un professeur de français d'une trentaine d'année, avec qui il ne s'était rien passé. Mais Camille avait décidé de draguer un professeur de physique d'une cinquantaine d'année, du genre bedonnant, barbu, avec des lunettes. Un peu le papa Noël du lycée. En restant à la fin du cours un vendredi soir, là où habituellement tout le monde est pressé de partir, elle avait pu le faire craquer, passant pour une jeune fille découvrant l'amour, elle l'avait séduit, c'était laissée toucher, et avait fini par le sucer, dans la salle de classe. Elle avait fait jouir son professeur sur sa culotte, et lui avait laissée avant de quitter la salle.
Bien sûr, plus Camille me dévoilait sa véritable nature, plus j'étais excité, et plus j'étais déçu. Car non, ni elle, ni Lindsay n'avait couché avec moi jusqu'à présent, malgré que je les connaissais toutes les deux depuis deux ans et demi.
En dernière année de lycée, Lindsay avait commencé à sortir avec un finlandais, d'environ 25 ans, qu'elle avait rencontré en vacances avec ses parents. C'était un grand blond, plutôt du style surfeur australien que scandinave d'ailleurs. Bien évidemment, ils se voyaient peu, pendant les vacances scolaires de Lindsay uniquement. Le plus souvent c'est lui qui venait en France. Ça a permis à Lindsay de faire durer cette relation pendant plusieurs années. Certes elle continuait à fréquenter d'autres garçons pendant son absence, mais ce fut sa plus longue relation amoureuse.
En faculté, elle rencontra de nombreux étudiants masculins, et comme souvent, des groupes se forment dès le début de l'année. Elle avait dans son groupe 3 garçons, 3 amis, qui venaient du même lycée. Je pourrais vous les décrire comme des rugbymans. Damien était le plus grand, et devait faire dans les 100kg. Son ami Grégory ne mesurait pas plus d'1m75, mais devait faire le même poids. Elle n'eut que des relations amicales avec le troisième. Au début de l'année, elle avait fréquenté Grégory, puis l'avait laissé tombé pour Damien. Ce qu'elle aimait, c'était trouver une salle ou un amphithéâtre vide, et s'abandonner au plaisir et à l'excitation de se faire surprendre par un autre étudiant ou un professeur.
Un soir, elle était chez elle avec ses deux « portes » comme on les appelait avec Thomas, car ils étaient tous les deux taillés comme des...portes, au carré quoi. L'après midi c'est déroulé simplement, des révisions, des exercices où ils s'entraidaient. Le soir, pendant l'apéro, Lindsay s'éclipsa, avant de réapparaître dans la pièce, entièrement nue. Elle commença par s'approcher de son petit ami (du moins l'un de ses petits amis, car elle était toujours en couple avec le finlandais), elle déboutonna son jean et sortie son sexe. Après s'être attelée à la tâche de le rendre en parfaite érection, prête pour sa chatte qui mouillait d'envie, elle s'occupa de Grégory. Quand les 2 verges furent en complète érection devant ses yeux, elle s'allongea sur le tapis et écarta ses jambes. Grégory saisi l'invitation, et commença à lécher la petite chatte parfaitement épilée qui s'ouvrait de plus en plus à chaque coup de langue, pendant que David embrassait la belle étudiante, caressant son corps de ses puissantes mains. D'elle même, elle changea de position, se présentant en levrette. Tour à tour, les deux hommes étaient soit derrière elle, à la baiser avec ardeur, soit devant elle, à la regarder sucer, lécher, avaler leur verge.
Le jour où Camille m'avait raconté cette histoire, elle m'avait confié à quel point cette histoire l'excitait, et à quel point elle avait envie de se caresser sans attendre, malgré les nombreux autres clients du restaurant autour de nous. De quoi m'exciter encore d'avantage. Ce qu'elle n'a malheureusement pas fait d'ailleurs.
Toujours est il que ce soir là, Lindsay avait ensuite choisi d'allonger Grégory sur le dos, et de le chevaucher tout en regardant son petit ami. Ses yeux brillaient d'envie, pendant que ses doigts pinçaient ses tétons. Elle s'était ensuite allongée sur le torse de Greg, cambrant volontairement ses fesses. Damien lécha le petit trou de sa petite nymphette, et le dilata avec un, puis deux doigts. Cela ne suffit pas à éviter une pénétration douloureuse, mais quand Lindsay sentie qu'il l'avait entièrement pénétré, elle émit un soupir de bonheur. Maintenant il n'était plus question que de plaisir. L'énorme mandrin qui lui remplissait le vagin ne faisait que 15cm, mais il avait un diamètre de 6 cm. La verge dans son cul était moins large, mais atteignait 18 cm. Elle se sentait remplie, elle sentait leur chaleur, leur pouls battre dans leurs sexes tendus, elle les sentait dans son ventre. Ils commencèrent des vas et vient, doucement, en alternance. Quand l'un sortait presque son gland, l'autre le poussait le plus loin possible. Lindsay sentait la fine paroi qui séparait son vagin de son anus prête à se rompre. Elle aimait surtout l'instant où les deux verges se croisaient, chacune allant dans une direction opposée. Les deux mâles ont progressivement accéléré, Lindsay avait déjà eu plusieurs orgasmes quand ils se mirent à la défoncer littéralement. Leurs coups de rein étaient désordonnés, elle était tantôt remplie par un orifice, ou par l'autre, ou par les deux, et tantôt elle se sentait vide. Les orgasmes se succédèrent, les deux hommes étaient endurants. Elle commença à avoir la vue qui se troublait, elle oubliait où elle se trouvait. Son corps tremblait. Ses mains agrippaient de façon anarchique le torse de Grégory. Elle ne criait pas, elle hurlait. Et c'est semi-inconsciente qu'elle sentie le sperme des deux garçons qui la remplissait tandis qu'ils éjaculaient l'un après l'autre. Elle perdit connaissance quelques secondes. Elle était tombée sur des amants vraiment très bons. Et elle en profita beaucoup.
Il arriva également que Lindsay partage Damien avec Camille. C'était une exception à leurs habitudes, qui étaient de séduire leur proie l'une après l'autre. Mais Damien était un bon amant aux yeux de Lindsay, et elle voulait faire une exception pour son étalon, et en faire profiter sa sœur sa cœur. Camille ne m'a pas raconté en détail ces soirées, je sais seulement qu'il y en a eu deux ou trois. Damien étant très endurant, elles pouvaient le laisser s'occuper d'elles pendant des heures. Ils se rejoignaient en fin d'après midi, et leurs ébats duraient jusqu'au milieu de la nuit, alternant des pauses repas où ils mangeaient nus, des pauses douches où bien souvent il y avait au moins deux personnes dans la petite baignoire de Lindsay. Camille insista sur le fait qu'il était un très bon amant, et, venant d'elle, il devait savoir s'y prendre. Je ne sais pas ce qu'il s'est réellement passé, mais ça devait être très très jouissif pour Damien d'avoir de telles salopes juste pour soit.
Vous connaissez maintenant mes deux amies, tel que Camille me l'a rapporté. Bien sûr j'ai vu Lindsay différemment à la lumière de ces révélations. Ce n'est pas la même chose de savoir qu'elle change de copain assez souvent et de savoir qu'elle est une salope affirmée. Quand à Camille, le fait d'entendre ses récits à chaque rendez vous mensuel me donnait de plus en plus envie d'elle. Je vous dirais juste pour l'instant qu'il ne s'est rien passé entre nous jusqu'à la fin de l'année scolaire. Toutefois cette histoire remonte à plusieurs années déjà... Et beaucoup de choses me sont arrivées depuis.
Si vous avez des questions/remarques/conseils sur l'orthographe ou la syntaxe, ou tout simplement des avis positifs, faites les moi parvenir (max60w@outlook.fr). Je suis également disposé à discuter de certains personnages avec vous, mais en maintenant l'anonymat, puisque tout ce que je vous écris s'est réellement déroulé. A bientôt pour la suite.
Tout le long de cette première année de faculté, et surtout au second semestre, j'avais l'habitude de voir Camille. C'était est une amie commune avec Lindsay. Je l'ai rencontré à la même époque que celle ci, c'est à dire au lycée. Nous avons partagés deux années ensemble, dans la même classe, mais les deux filles se connaissaient depuis beaucoup plus longtemps.
Camille était dans une autre branche d'étude que la mienne et celle de Lindsay, donc nous nous étions perdus de vue. Un soir d'octobre, elle m'a proposé d'aller boire un verre. Nous nous sommes revu en décembre pour un resto entre amis. Et depuis ce jour là, nous nous réservions une soirée par mois. Le plus souvent au restaurant, parfois chez elle ou moi. Parallèlement, pendant un mois, on ne se parlait que peu ou pas, et toujours par sms. En fait, on profitait de cette soirée ensemble pour parler du mois passé, et de ce que l'on voulait faire le mois suivant. Comme on se connaissait depuis déjà plusieurs années, nos discussions portaient sur tous les sujets, et de plus en plus, sur le sexe. Je découvris surtout sa vie sexuelle, la mienne étant en pause depuis quelques mois. Après la soirée avec Noémie et Enzo, j'ai hésité à lui en parler, mais nous avions confiance l'un l'autre, et si elle me confiait tout, je pouvais lui confier ce moment de ma vie.
C'est après ça que j'ai su qu'elle ne me confiait pas tout finalement. Après l'annonce de cette partie à 3, je me serais attendu à ce qu'elle soit étonnée, ou je ne sais pas, je trouvais que ça n'était pas banal. Mais en fait, c'est à partir de ce jour elle m'a vraiment confié toute sa vie sentimentale, et surtout sexuelle. Et elle n'était pas si classique que je l'imaginais. Ma petite soirée avec Enzo et Noémie ne pouvait pas l'effaroucher quand on sait ce qu'elle a vécu.
Laissez moi vous exposer les conversations que nous avons eu, lors de nos rendez-vous mensuels cette année là.
Il me faut en premier lieu vous décrire Camille. C'est une fille de 19 ans, assez grande, un peu plus d'1m70 je dirais, et très fine. Le visage fin, une petite bouche, les yeux marrons, et des cheveux bruns, coupés mi-long. Sa poitrine est en accord avec sa morphologie, puisqu'elle ne fait qu'un bonnet A.
Je savais qu'elle avait déjà eu plusieurs relations, ses petits amis ne duraient jamais bien longtemps (depuis la rentrée de septembre, elle était déjà sortie avec trois mecs différents). Je pensais qu'elle ne tombait simplement pas sur « le bon ». En fait, elle aimait le changement. Comme toutes les femmes elle aimait les attentions, la tendresse, les mots doux. Mais elle adorait le sexe, et elle s'ennuyait vite de voir toujours le même lui être présenté. Elle me confia avoir perdue sa virginité à 13 ans, avec un garçon de 17 ans. Elle n'avait pas aimé cette première fois, son partenaire était inexpérimenté, elle avait eu mal, et n'avait pas eu beaucoup de plaisir. Elle le largua quelques jours plus tard. Les mois qui suivirent, elle découvrit son corps par la masturbation, et par les conseils de sa grande sœur. Quand elle se sentie prête, elle chercha un garçon dont elle savait qu'il était expérimenté, un jeune lycéen, avec qui elle découvrit l'orgasme vaginal. Très vite elle en voulu toujours plus, avide de découverte. Quand elle voulu découvrir le plaisir anal, elle avait à sa disposition un petit ami possédant un sexe imposant et large. Elle ne voulait pas reproduire l'erreur de sa première fois. Ce jour là, elle réussie à prendre du plaisir dès sa première fois. Mais elle avait malgré tout eu très mal, surtout quand elle a sentie ses intestins se dilater de force.
Camille enchaînait les conquêtes. De plus en plus, elle était dominatrice. Les hommes étaient ses jouets, elle aimait les chauffer, les exciter, les voir à sa merci. Puis les laisser satisfaire ses envies. Et gare à celui qui ne la satisfaisait pas, il était aussitôt remplacé.
Elle avait une amie de lycée chez qui elle allait régulièrement, pour les devoirs ou pour s'amuser. Son père était un quadragénaire, commercial dans la vie, et bien sur tout rapport. Camille prenait un malin plaisir à le fixer ou à lui faire des clins d’œil quand il était présent chez lui. Elle se caressait la poitrine quand il lui parlait. Elle se léchait les lèvres quand elle le voyait. Un week end, sachant que son amie était sortie avec sa mère, elle alla frapper chez lui. Elle avait 16 ans à l'époque. Elle était habillée d'un simple débardeur sans soutien gorge et d'une jupe courte. Il fut surpris de la trouver sur son pas de porte. Il l'invita à entrer tout en se demandant ce qu'elle faisait là. Camille savait pourquoi elle était là, et elle n'avait pas besoin de parler. Ses regards étaient sans équivoque. Sa langue humectait déjà ses lèvres d'envie. Elle s'est assise dans un fauteuil et a relevé lentement sa jupe. Évidemment le brave homme avait compris ce qu'il se passait, mais quand la main de Camille commença a caresser sensuellement sa jeune chatte, il évalua les risques que sa femme rentre pendant la prochaine heure, et conclu rapidement qu'une chance pareille ne se représenterai pas deux fois.
Cet après midi là, Camille réussie à corrompre le père de son amie, et donc à accomplir un de ses fantasmes, mais également à connaître un état de transe orgasmique comme elle en avait encore jamais connu. Le père de son amie avait un sexe très long, au moins 20 cm d'après elle. Il n'y a eu que peu de préliminaires, et tant mieux, elle n'était pas venue pour ça. Il avait donné sa verge à sucer à la petite, pour la lubrifier, puis il s'était présenté à l'entrée de l'intimité interdite. Camille ressentie un sentiment incroyable quand, petit à petit, centimètre par centimètre, elle sentait son vagin s'élargir au passage de cette tige dure comme l'acier. Quand elle senti le pubis de son amant contre sa chatte, elle manqua d'avoir un orgasme. Son corps avait accueilli la totalité de cette queue. Elle voyait son ventre, d'habitude si plat, bombé du mont de Vénus jusqu'au nombril. Cet homme la pénétrait. Littéralement. Il donna les premiers coups de butoir à Camille, qui eu son premier orgasme de la journée presque aussitôt. Il profitait de cette petite salope qui s'offrait à lui. Il allait la baiser, faire ce que sa femme lui refusait. Il était bestial. Le fourreau serré de la jeune fille eu raison d'un premier flot de sperme, qu'il déversa sur le ventre et le débardeur de Camille. Il redonna son sexe à Camille pour qu'elle le nettoie, puis il retourna sa maîtresse, de façon à pouvoir la prendre en levrette sur le fauteuil. Aussitôt de nouveau au chaud dans sa grotte chaude, il la baisa de nouveau. Sa petite salope gémissait et tremblait au fur et à mesure qu'un nouvel orgasme s'approchait. Il introduisit son index dans l'anus de Camille, ce qui déclencha son orgasme.
Puis il décida de passer aux choses sérieuses, en présentant son gland à l'entrée du petit trou. La pénétration fût un mélange de d'excitation, de douleur, de bonheur, d'orgasme et d'impression d'être fendue en deux pour notre petite allumeuse. Là encore, plus de 20 cm de sexe brûlant et raide parvinrent à entrer. Camille pensait ne jamais pouvoir s’asseoir à nouveau. Là encore elle prit son pied. Les voisins furent témoins de ses cris. Il lui tenait la taille pour la maintenir, et la défonçait sur place. Frissons, orgasme, bonheur, puis de nouveau le plaisir qui montait, les frissons... Camille subissait ce schéma en boucle. Elle sentie enfin la jouissance de son amant remplir ses intestins à vifs. Elle retomba sur le fauteuil, les orifices ouverts, elle sentait l'air frais la toucher plus loin qu'il n'avait jamais été. Mais lui avait encore envie d'en profiter. Il se branlait énergiquement pendant qu'il embrassait la jeune fille. Quand il jugea son érection suffisante, il pénétra la bouche de la lycéenne. Elle manqua de suffoquer quand elle sentie le gland au fond de sa gorge, mais elle se fit violence pour ne pas le refouler, et prendre le maximum de longueur. Elle se laissa faire pendant qu'il se mit à lui baiser la bouche, maintenant sa tête entre ses mains. Camille ressentait une immense excitation. Elle avait fait chuter un homme mûr, elle avait réussie, et en plus, elle subissait orgasme sur orgasme. Elle était une salope oui, elle commençait à le savoir. Et c'était bon. Son amant finit par jouir au fond de sa gorge. Elle tenta de ne pas bouger mais commença à avaler de travers. Il se retira pour la laisser respirer.
Elle était maintenant jambes écartées, les orifices dilatés et souillés de sperme, son débardeur relevé, son ventre tâché de sperme également, tout comme ses lèvres, qui laissait un filet de bave et de sperme s'échapper au fur et à mesure qu'elle reprenait sa respiration. Mais ses yeux brillaient. Elle était heureuse. C'est là qu'ils entendirent le bruit de la voiture sur les graviers de l'allée. Il cacha Camille dans la salle de bain, dans laquelle elle fit rapidement un brin de toilette. Quand elle ressortie, elle était coiffée et correctement rhabillée, mais il y avait des tâches sur son débardeur. Elle a dit bonjour à son amie, et pris rapidement congé. En passant la porte, elle sentait le sperme du père de son amie couler de son anus sur ses cuisses... Elle laissait également le pauvre dans un bel embarra, car il allait devoir justifier cette visite.
Parallèlement, elle prit beaucoup de plaisir dans son lycée à repérer les garçons puceaux, les exciter était facile. Ensuite, c'était elle qui les initiait, les baisait, leur offrait une nuit ou une journée incroyable, avant de passer au suivant. C'était ses jouets, mais pendant une nuit, quelques nuits pour les plus chanceux, elle s'occupait de leur éducation comme une reine. Son amie Lindsay préférait les hommes d'expérience, elle voulait baiser pour jouir, et non pas jouir de baiser des camarades de classe. Point sur lequel Camille avait évolué.
Camille eut sa première expérience lesbienne avec Lindsay à 17ans. Celle ci partageait son caractère, et son goût pour la luxure. Lindsay est une fille d'environ 1m65, aux belles mensurations, avec un 90B, de jolies fesses ni trop rondes, ni trop peu et une taille fine. Elle a des cheveux châtains foncés, des yeux marrons. Lindsay et Camille ont partagé énormément de choses, notamment dans leur vie sexuelle. Par exemple, il arrivait que l'une séduise un homme, le test au lit, puis le largue. La seconde s'occupait ensuite de le « consoler ». Et elles comparaient ensuite leur points de vue, leurs ressentis.
Comme je le disais Camille et Lindsay ont eu leur première expérience lesbienne ensemble. Elles s'aimaient comme des sœurs. Et d'après Camille, il y a eu une forme d'amour entre elles. Différent de l'amour tel que nous nous le représentons habituellement. Elles n'étaient pas jalouses des conquêtes de l'autre, elles n'avaient que le plaisir pour objectif. Toutefois, malgré l'amour et la sensualité qu'elles s'échangeaient, elles étaient d'accord toutes les deux pour dire que « rien ne vaut une bonne bite, de préférence très grosse, et longue aussi. Et surtout un mec qui ait des couilles et qui sache s'en servir ». Le ton était donné.
Lindsay et Camille se lançaient parfois des défis, du genre « cap ou pas cap de te faire prendre dans les toilettes du bahut », ou bien « cap ou pas cap de draguer le prof ». Pour les curieux, je vous dirais seulement que mes deux amies se sont toutes les deux fait prendre dans les toilettes du lycée. Évidemment elles avaient sucés des amis dans les toilettes. Mais ça ne leur apportait pas autant d'excitation que cette peur de se faire entendre par un surveillant pendant qu'elles se faisaient baiser contre un mur. Toutes les deux ont dragué un prof. Un chacun. Lindsay avait choisit un professeur de français d'une trentaine d'année, avec qui il ne s'était rien passé. Mais Camille avait décidé de draguer un professeur de physique d'une cinquantaine d'année, du genre bedonnant, barbu, avec des lunettes. Un peu le papa Noël du lycée. En restant à la fin du cours un vendredi soir, là où habituellement tout le monde est pressé de partir, elle avait pu le faire craquer, passant pour une jeune fille découvrant l'amour, elle l'avait séduit, c'était laissée toucher, et avait fini par le sucer, dans la salle de classe. Elle avait fait jouir son professeur sur sa culotte, et lui avait laissée avant de quitter la salle.
Bien sûr, plus Camille me dévoilait sa véritable nature, plus j'étais excité, et plus j'étais déçu. Car non, ni elle, ni Lindsay n'avait couché avec moi jusqu'à présent, malgré que je les connaissais toutes les deux depuis deux ans et demi.
En dernière année de lycée, Lindsay avait commencé à sortir avec un finlandais, d'environ 25 ans, qu'elle avait rencontré en vacances avec ses parents. C'était un grand blond, plutôt du style surfeur australien que scandinave d'ailleurs. Bien évidemment, ils se voyaient peu, pendant les vacances scolaires de Lindsay uniquement. Le plus souvent c'est lui qui venait en France. Ça a permis à Lindsay de faire durer cette relation pendant plusieurs années. Certes elle continuait à fréquenter d'autres garçons pendant son absence, mais ce fut sa plus longue relation amoureuse.
En faculté, elle rencontra de nombreux étudiants masculins, et comme souvent, des groupes se forment dès le début de l'année. Elle avait dans son groupe 3 garçons, 3 amis, qui venaient du même lycée. Je pourrais vous les décrire comme des rugbymans. Damien était le plus grand, et devait faire dans les 100kg. Son ami Grégory ne mesurait pas plus d'1m75, mais devait faire le même poids. Elle n'eut que des relations amicales avec le troisième. Au début de l'année, elle avait fréquenté Grégory, puis l'avait laissé tombé pour Damien. Ce qu'elle aimait, c'était trouver une salle ou un amphithéâtre vide, et s'abandonner au plaisir et à l'excitation de se faire surprendre par un autre étudiant ou un professeur.
Un soir, elle était chez elle avec ses deux « portes » comme on les appelait avec Thomas, car ils étaient tous les deux taillés comme des...portes, au carré quoi. L'après midi c'est déroulé simplement, des révisions, des exercices où ils s'entraidaient. Le soir, pendant l'apéro, Lindsay s'éclipsa, avant de réapparaître dans la pièce, entièrement nue. Elle commença par s'approcher de son petit ami (du moins l'un de ses petits amis, car elle était toujours en couple avec le finlandais), elle déboutonna son jean et sortie son sexe. Après s'être attelée à la tâche de le rendre en parfaite érection, prête pour sa chatte qui mouillait d'envie, elle s'occupa de Grégory. Quand les 2 verges furent en complète érection devant ses yeux, elle s'allongea sur le tapis et écarta ses jambes. Grégory saisi l'invitation, et commença à lécher la petite chatte parfaitement épilée qui s'ouvrait de plus en plus à chaque coup de langue, pendant que David embrassait la belle étudiante, caressant son corps de ses puissantes mains. D'elle même, elle changea de position, se présentant en levrette. Tour à tour, les deux hommes étaient soit derrière elle, à la baiser avec ardeur, soit devant elle, à la regarder sucer, lécher, avaler leur verge.
Le jour où Camille m'avait raconté cette histoire, elle m'avait confié à quel point cette histoire l'excitait, et à quel point elle avait envie de se caresser sans attendre, malgré les nombreux autres clients du restaurant autour de nous. De quoi m'exciter encore d'avantage. Ce qu'elle n'a malheureusement pas fait d'ailleurs.
Toujours est il que ce soir là, Lindsay avait ensuite choisi d'allonger Grégory sur le dos, et de le chevaucher tout en regardant son petit ami. Ses yeux brillaient d'envie, pendant que ses doigts pinçaient ses tétons. Elle s'était ensuite allongée sur le torse de Greg, cambrant volontairement ses fesses. Damien lécha le petit trou de sa petite nymphette, et le dilata avec un, puis deux doigts. Cela ne suffit pas à éviter une pénétration douloureuse, mais quand Lindsay sentie qu'il l'avait entièrement pénétré, elle émit un soupir de bonheur. Maintenant il n'était plus question que de plaisir. L'énorme mandrin qui lui remplissait le vagin ne faisait que 15cm, mais il avait un diamètre de 6 cm. La verge dans son cul était moins large, mais atteignait 18 cm. Elle se sentait remplie, elle sentait leur chaleur, leur pouls battre dans leurs sexes tendus, elle les sentait dans son ventre. Ils commencèrent des vas et vient, doucement, en alternance. Quand l'un sortait presque son gland, l'autre le poussait le plus loin possible. Lindsay sentait la fine paroi qui séparait son vagin de son anus prête à se rompre. Elle aimait surtout l'instant où les deux verges se croisaient, chacune allant dans une direction opposée. Les deux mâles ont progressivement accéléré, Lindsay avait déjà eu plusieurs orgasmes quand ils se mirent à la défoncer littéralement. Leurs coups de rein étaient désordonnés, elle était tantôt remplie par un orifice, ou par l'autre, ou par les deux, et tantôt elle se sentait vide. Les orgasmes se succédèrent, les deux hommes étaient endurants. Elle commença à avoir la vue qui se troublait, elle oubliait où elle se trouvait. Son corps tremblait. Ses mains agrippaient de façon anarchique le torse de Grégory. Elle ne criait pas, elle hurlait. Et c'est semi-inconsciente qu'elle sentie le sperme des deux garçons qui la remplissait tandis qu'ils éjaculaient l'un après l'autre. Elle perdit connaissance quelques secondes. Elle était tombée sur des amants vraiment très bons. Et elle en profita beaucoup.
Il arriva également que Lindsay partage Damien avec Camille. C'était une exception à leurs habitudes, qui étaient de séduire leur proie l'une après l'autre. Mais Damien était un bon amant aux yeux de Lindsay, et elle voulait faire une exception pour son étalon, et en faire profiter sa sœur sa cœur. Camille ne m'a pas raconté en détail ces soirées, je sais seulement qu'il y en a eu deux ou trois. Damien étant très endurant, elles pouvaient le laisser s'occuper d'elles pendant des heures. Ils se rejoignaient en fin d'après midi, et leurs ébats duraient jusqu'au milieu de la nuit, alternant des pauses repas où ils mangeaient nus, des pauses douches où bien souvent il y avait au moins deux personnes dans la petite baignoire de Lindsay. Camille insista sur le fait qu'il était un très bon amant, et, venant d'elle, il devait savoir s'y prendre. Je ne sais pas ce qu'il s'est réellement passé, mais ça devait être très très jouissif pour Damien d'avoir de telles salopes juste pour soit.
Vous connaissez maintenant mes deux amies, tel que Camille me l'a rapporté. Bien sûr j'ai vu Lindsay différemment à la lumière de ces révélations. Ce n'est pas la même chose de savoir qu'elle change de copain assez souvent et de savoir qu'elle est une salope affirmée. Quand à Camille, le fait d'entendre ses récits à chaque rendez vous mensuel me donnait de plus en plus envie d'elle. Je vous dirais juste pour l'instant qu'il ne s'est rien passé entre nous jusqu'à la fin de l'année scolaire. Toutefois cette histoire remonte à plusieurs années déjà... Et beaucoup de choses me sont arrivées depuis.
Si vous avez des questions/remarques/conseils sur l'orthographe ou la syntaxe, ou tout simplement des avis positifs, faites les moi parvenir (max60w@outlook.fr). Je suis également disposé à discuter de certains personnages avec vous, mais en maintenant l'anonymat, puisque tout ce que je vous écris s'est réellement déroulé. A bientôt pour la suite.
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