Le remplaçant 1/3

- Par l'auteur HDS kdn74 -
Récit érotique écrit par kdn74 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le remplaçant 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le remplaçant 1/3
C’est lorsque Julien a posé sa main sur le genou de ma femme que j’ai compris que la soirée allait forcément être différente.
Julien, j’ai fait sa connaissance sur Instagram, mais cela, Valérie ne le sait pas. Elle croit naïvement que c’est un futur remplaçant de mon cabinet médical, comme je lui ai fait croire pour expliquer cette soirée inattendue.
— On pourra faire connaissance comme cela.
— Oui, mon chéri.

Un baiser amoureux plus tard, je file consulter l’esprit pourtant ailleurs, donnant rendez-vous à ma chérie à 20 heures au bar de l’hôtel où mon futur collaborateur est descendu.
Ce que ne sait pas non plus ma jolie blonde, c’est que j’ai échangé avec Julien des photos d’elle nue, prises lors d’une après-midi coquine, ce qui a conduit à ce plan diabolique qui se referme peu à peu sur elle.
Car elle ne repousse pas cette main, elle, la supposée épouse fidèle, qui se contente de me regarder les yeux brillants d’alcool et de désir.
Je lui souris le cœur battant, étonné par son attitude complice et excité par la situation.

— Je t’aime.

Cette simple phrase, murmurée juste avant de l’embrasser, la rassure et l’incite à se laisser faire pour mon plus grand plaisir.
Car le pari était loin d’être gagné !
Complètement opposée à l’irruption d’une 3e personne dans nos jeux sexuels – idéalement une femme au départ – je ne l’imaginais pas se laisser draguer par un jeune de 28 ans, aussi charmant soit-il !
Mais l’alcool, le physique avantageux et l’humour de Julien ont peu à peu fait sauter les verrous de son éducation et c’est maintenant sur sa cuisse qu’elle tolère une main.
Il faut dire que sa robe est suffisamment courte pour permettre une telle audace, et suffisamment décolletée pour donner envie de partir à la découverte de ce corps qui me plaît malgré l’outrage des ans.
Assez grande avec une poitrine encore ferme, Valérie est complexée par ses fesses pourtant excitantes.
Ses blets qui m’ont charmé dès le premier jour ont soudain un éclat qui me laisse penser que la main de Julien doit être plus loin sous le tissu.

— Ça va ?

Ma question est formelle, et sa réponse tout autant.

— Oui, et toi ?

Je lui souris, excité comme jamais je ne l’aurais pensé.
Heureusement, il fait sombre dans le pub et notre position en retrait nous permet une certaine confidentialité propice à ces premiers échanges.

— Tout roule Julien ?

Il me sourit avant de répondre

— Très bien. Je pense que je vais me plaire dans votre ville.

Valérie lui sourit, presque gênée, alors qu’elle se laisse caresser sans honte.

— Et toi, chérie ?

Son « oui » est faible, mais sincère, si j’en crois la passion de notre baiser échangé avant que notre nouvel ami propose une suite plus confidentielle.

— Je vous montre ma chambre ?

Elle me regarde soudain, presque affolée par ce que cela signifie alors qu’elle a encore sa main sous sa robe.

— Val ?

Elle reste impassible un instant, me faisant craindre le pire, puis me saisit la main en se levant dans le même geste.
Personne ne fait attention à nous lorsque traversons la réception alors que nous allons vivre un moment inoubliable.
Inoubliable comme leur premier baiser dans l’ascenseur sous mes yeux de mari complice et excité comme en témoigne mon érection naissante.
Julien la plaque contre la paroi, tel l’amant pressé qu’il est, glissant à nouveau sa main sous la robe à la découverte de ce corps de mère de famille respectable.

— Hummm.

Elle gémit plus qu’elle ne proteste lorsqu’il s’active entre ses cuisses un peu lourdes de mère de deux filles adultes. Elle se laisse trousser, telle une femme facile caressant le dos de son futur étalon.
Car si j’ai choisi Julien, c’est qu’il est bien monté, si j’en crois les photos reçues : son sexe en érection est impressionnant par sa longueur et son épaisseur.
Si ma femme ne doit me tromper qu’une seule fois, autant que ce soit avec une bite mémorable.
Sans doute submergée par les émotions, Valérie a fermé les yeux et ne les rouvre qu’au moment où la sonnerie de l’étage retentit.
Nos regards se croisent et ce que je lis dans le sien m’excite et me fait peur à la fois tant elle semble hallucinée par ce qu’elle découvre sur elle-même.
La chambre que j’ai réservée est suffisamment grande pour que je puisse les admirer de loin ce qui est le deal fixé avec Julien : il la baise et je les regarde.
Je prends d’ailleurs place dans le fauteuil un peu à l’écart, laissant Valérie debout près du lit.

— Mais…

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que Julien est déjà contre elle, uniquement vêtu d’un boxer blanc qui magnifie son corps musclé encore bronzé en ce début d’automne.
Il embrasse à nouveau férocement ma femme qui découvre avec stupeur l’envie de son futur amant, dont l’érection mal dissimulée par le tissu semble impressionnante.

— Attends …

Elle cherche mon aide du regard, tandis qu’il se frotte à elle tel un chien en chaleur.

— Chéri, s’il te plaît.
— Tu en as envie, ma puce ? lui réponds-je en souriant pour la rassurer.
— Pas comme cela.
— Comment alors ?
— Plus lentement.

Mais Julien défait déjà sa robe dont il la débarrasse, avec une dextérité qui traduit une certaine expérience, révélant une lingerie blanche presque virginale.
Elle rougit, sans doute gênée par ses formes de femme mûre, qui semblent pourtant exciter notre jeune ami qui l’enlace à nouveau pour mieux se coller à elle, sans rencontrer de résistance.
Cette fois, elle ne réclame plus de ralentir le rythme osant caresser le dos musclé de son amant qui libère ses seins de leur écrin.
La tête dans son cou, elle frémit lorsqu’il commence à caresser ses globes tombants, tout en lui murmurant à l’oreille des mots qui semblent lui plaire, car elle acquiesce d’un léger mouvement de tête.

— Oui.

Sa voix est faible, tout comme sa résistance finalement, car je vois glisser sa main entre leurs corps pour flatter la bosse du boxer.

— Oh.

Sa surprise semble sincère car – sauf adultère clandestin – ce n’est que la deuxième bite qu’elle découvre, étant jusqu’à ce soir le seul homme de sa vie.
Je la vois frôler à travers le tissu le gland assez volumineux qui termine un sexe de belle taille, si je me souviens bien des clichés reçus.
De son côté, Julien caresse les fesses de ma femme avec un appétit qui m’excite tout autant. Complexée par cette partie de son anatomie, Valérie ne m’accorde pas ce qu’elle lui permet ce soir car, si je ne m’abuse, il a ses doigts entre ses globes probablement près de son petit trou.
Julien abandonne un instant son corps frémissant pour ôter son boxer et exhiber son corps parfait. Sa nudité est insolente de beauté tout comme son sexe dont la taille n’a d’égal que sa parfaite rectitude.
Si on rajoute une épilation parfaite, on obtient un contraste total avec ma toison abondante, mon sexe de dimension médiocre et courbé, que je libère pourtant de mon jeans dans le plus grand anonymat.
Devant, leur couple disparate est magnifique : LUI jeune et musclé, et ELLE mature en rondeurs.
Leur baiser reprend avec cette fois un cran d’érotisme en plus, car je la vois masturber avec douceur le mandrin avec une main qui prend de l’assurance au fil des minutes.
Les deux amants respirent plus vite sous l’effet de leurs caresses respectives, qui traduisent une complicité étonnement parfaite pour une première rencontre.
Mais les caresses de Julien deviennent plus impatientes, et l’ordre qui fuse bientôt ne m’étonne pas.

— Suce-moi.

Valérie le regarde interdite, comme choquée alors qu’elle a sa bite dans la main.

— Vas-y.

La voix est aussi brusque que son geste qui installe Valérie à genoux devant lui le sexe tendu à hauteur de sa bouche.
Les joues rougies par le désir, elle admire ce sexe magnifique, avant de le reprendre en main avec une douceur qui déplaît à son amant.

— Suce-moi, j’ai dit.

Et elle obéit, engloutissant dans un bruit humide la moitié du sexe offert à sa gourmandise, avant de ressortir complètement de sa bouche la tige brillante de salive. Elle lui sourit satisfaite par cette entrée en matière qu’elle poursuit, en avalant à nouveau ce pieu épais entièrement décalotté.

— Ah.

Il lâche un gémissement de satisfaction masculine, sans doute séduit par l’application qu’elle met à l’ouvrage. Sa bouche aspire, lustre, mouille ou avale presque dans un bruit d’étranglement sa bite raide et vibrante de désir. Je devine à son air crispé qu’elle le rend dingue, lui faisant oublier son air autoritaire et devenant un jouet entre les lèvres de Valérie.

— Tu es bonne.

Elle gémit sous le compliment machiste, la bouche remplie par le sexe tendu qu’elle dorlote encore de longues minutes, caressant aussi parfois les couilles rondes et lisses.
Julien se retire d’un coup sec de la grotte accueillante de Valérie qui le regarde soudain inquiète.

— Tu n’aimes pas ?
— Oh si !

Rassurée, elle va pour reprendre son hommage, mais il la relève presque brusquement pour l’allonger sur les draps blancs. Au-dessus, les genoux fléchis, son regard ne quitte pas son amant qui se masturbe doucement comme pour entretenir une raideur qui n’en a pas besoin.
Il glisse ensuite ses mains sous l’élastique de la culotte dont il la débarrasse avant de la jeter.
L’odeur et la moiteur ne peuvent mentir : ma chérie mouille comme jamais sous les caresses d’un autre qui ne va pas tarder à s’en apercevoir.

— Humm.

Elle laisse filtrer un léger gémissement au premier contact des lèvres de son amant sur la peau fine de ses cuisses. Valérie adore cela et le confirme en ronronnant comme une chatte en chaleur.
Les mains crispées sur les draps, elle se laisse lentement conquérir, lâchant un petit cri au moment où Julien dépose sa bouche sur son sexe probablement gonflé de désir.

— Oui.

Elle cède déjà lorsque son amant écarte sa toison bien entretenue et légèrement grisonnante pour accéder à ses petites lèvres qu’il butine déjà.
Je l’entends gémir plus fort avant de la voir dodeliner de la tête, les mains crispées aux draps.
Putain ce qu’elle est belle lorsqu’elle fait l’amour !
Je me retiens de les rejoindre mais un deal est un deal, et je me contente de les mater en me masturbant.
Il prend son temps, le salaud, alors qu’elle lui réclame déjà de la faire jouir.

— Viens… viens.

Elle tente en vain d’obtenir ce qu’elle veut, mais il résiste la faisant gémir à chaque coup de langue au bruit évocateur.
Je croise un instant son regard habité par le désir avant qu’elle tourne la tête vers son amant qui la dévore en grognant.
Appuyée sur les coudes, je la vois de profil frôler le bout de ses seins, la bouche ouverte et les cheveux collés par la sueur.

— S’il te plaît, viens…, le supplie-t-elle.

Il ne répond rien, se contentant d’aspirer la vulve de ma femme qui gémit de plus belle, fermant finalement les yeux pour se laisser envahir par les ondes de plaisir.
Il la lèche désormais avec davantage de vigueur, immobilisant ses cuisses avec fermeté pour ne pas être gêné dans son cunnilingus, mémorable en tous points.
Sur le dos et cuisses largement écartées, elle se laisse faire comme demandé, prononçant des mots inaudibles en dehors de « oui…oui … ».
Je connais cette mélodie car c’est celle de l’orgasme qui approche, au rythme de ces incantations d’acceptation du plaisir qui la saisit brutalement.

— Ouiiiiiiiiiiiiii.

Et elle jouit, tétanisée par la jouissance qui la crispe, au point parfois d’avoir des crampes dans les cuisses maintenues écartées par Julien, qui aspire sa vulve tout le long de son orgasme dévastateur.
Le spectacle est si excitant que j’ai failli jouir sans me toucher, tant mon sexe vibre de désir.
Sur le lit, les deux amants s’enlacent et s’embrassent passionnément, emboîtant leurs corps naturellement, au point où la pénétration semble inéluctable mais Valérie le retient par l’épaule.

— Attends. Tu es trop gros.

Ce constat ne me blesse même pas tant il relève de l’évidence.

— T’inquiète. Ça va rentrer.

Et ça rentre si j’en crois son mouvement de bassin et le long feulement de ma chérie tout au long de la poussée qui semble interminable.
Fiché en elle, il reste immobile, lui laissant le temps de s’habituer au calibre du sexe qui doit la distendre comme jamais. Le souffle court et les yeux clos, elle profite de l’instant magique, gémissant dès le premier mouvement de recul de son amant, qui se retire aussi lentement que possible dans un bruit de succion troublant.

— Reste…

Sa voix implorante est encore plus excitante que la vision du bassin de Julien qui revient en elle.

— Oui…

Comblée, elle se laisse pénétrer à nouveau, enserrant le dos de son étalon de ses mains manucurées qui caressent bientôt ses fesses musclées.
Habituée à des coïts plus brefs, elle semble sur une autre planète, coordonnant ses mouvements avec les coups de boutoir qui s’accélèrent, faisant grincer le lit.
Julien grogne aussi, se retenant de jouir avant de faire exploser à nouveau ma femme qui crie à chaque choc entre leurs pubis.
Il ralentit soudain le rythme au grave désespoir de Valérie qui l’implore.

— Continue…

Il fait mine de se retirer mais, en fin de compte, revient en elle pour son plus grand plaisir.

— Ouiiiii !

Et leur sarabande repart inexorablement vers le plaisir de Madame qui semble possédée par le démon du plaisir qui la saisit à nouveau.

— Aaaaahhhh !

Elle crie, emprisonnant le corps de son bienfaiteur de ses bras et de ses jambes comme pour l’empêcher de fuir.
La bouche dans son cou, elle récupère de sa cavalcade inhabituelle, sans doute rassasiée pour la soirée.
Mais dans l’euphorie de son second orgasme, elle n’a pas relevé que Julien ne s’est pas répandu en elle, se retirant doucement en la faisant gémir une nouvelle fois.
Debout, le sexe raide brillant de la cyprine de mon épouse, il me jette un bref coup d’œil avant de saisir Valérie aux hanches pour la mettre sur le ventre sans fioriture.

— Eh. Tu fais quoi ?

Sa voix est presque apeurée mais elle ne tente pas d’échapper aux mains qui caressent ses fesses un peu larges.

— Putain, quel cul tu as !

Une claque sur un globe scelle le verdict sans que ma femme regimbe, bien au contraire, un léger gémissement confortant Julien dans son idée, qui bientôt rougit le postérieur de la mère de mes enfants.
La tête dans ses bras, elle se laisse fesser dans une posture sans équivoque.

— Tu l’as déjà sodomisée ?

Pour la première fois, je ne suis plus transparent.

— Non jamais.
— Pourtant elle a le cul pour cela.

Joignant le geste à la parole, il frôle son anus vierge déclenchant un frisson assez éloigné du dégoût.

— Tu vois qu’elle en a envie.
— Non, proteste-t-elle.
— Pas ce soir, rassure-toi.

La promesse d’une autre rencontre la rend soudain plus docile, acceptant de fait le contact d’un pouce avec sa rosette.

— Voilà.

Julien lui parle comme à une jument qu’il va monter, ce qu’il fait doucement, poussant son bassin pour la pénétrer en levrette sans ôter son pouce.
Valérie feule à nouveau, ne se plaignant plus de la grosseur du sexe qui la comble à nouveau. Ses seins et son ventre pendent un peu dans cette position, mais la voir se faire posséder la rend encore plus belle à mes yeux.
Le rythme s’accélère un peu, faisant bouger sa lourde poitrine qui soudain me fait penser aux pis d’une vache qui se fait monter par son taureau. Loin de me déplaire, cette vision bestiale m’excite au point de participer un petit peu à leurs ébats.

— Défonce-la.

C’est lorsque Julien a posé sa main sur le genou de ma femme que j’ai compris que la soirée allait forcément être différente.
Julien, j’ai fait sa connaissance sur Instagram, mais cela, Valérie ne le sait pas. Elle croit naïvement que c’est un futur remplaçant de mon cabinet médical, comme je lui ai fait croire pour expliquer cette soirée inattendue.
— On pourra faire connaissance comme cela.
— Oui, mon chéri.

Un baiser amoureux plus tard, je file consulter l’esprit pourtant ailleurs, donnant rendez-vous à ma chérie à 20 heures au bar de l’hôtel où mon futur collaborateur est descendu.
Ce que ne sait pas non plus ma jolie blonde, c’est que j’ai échangé avec Julien des photos d’elle nue, prises lors d’une après-midi coquine, ce qui a conduit à ce plan diabolique qui se referme peu à peu sur elle.
Car elle ne repousse pas cette main, elle, la supposée épouse fidèle, qui se contente de me regarder les yeux brillants d’alcool et de désir.
Je lui souris le cœur battant, étonné par son attitude complice et excité par la situation.

— Je t’aime.

Cette simple phrase, murmurée juste avant de l’embrasser, la rassure et l’incite à se laisser faire pour mon plus grand plaisir.
Car le pari était loin d’être gagné !
Complètement opposée à l’irruption d’une 3e personne dans nos jeux sexuels – idéalement une femme au départ – je ne l’imaginais pas se laisser draguer par un jeune de 28 ans, aussi charmant soit-il !
Mais l’alcool, le physique avantageux et l’humour de Julien ont peu à peu fait sauter les verrous de son éducation et c’est maintenant sur sa cuisse qu’elle tolère une main.
Il faut dire que sa robe est suffisamment courte pour permettre une telle audace, et suffisamment décolletée pour donner envie de partir à la découverte de ce corps qui me plaît malgré l’outrage des ans.
Assez grande avec une poitrine encore ferme, Valérie est complexée par ses fesses pourtant excitantes.
Ses blets qui m’ont charmé dès le premier jour ont soudain un éclat qui me laisse penser que la main de Julien doit être plus loin sous le tissu.

— Ça va ?

Ma question est formelle, et sa réponse tout autant.

— Oui, et toi ?

Je lui souris, excité comme jamais je ne l’aurais pensé.
Heureusement, il fait sombre dans le pub et notre position en retrait nous permet une certaine confidentialité propice à ces premiers échanges.

— Tout roule Julien ?

Il me sourit avant de répondre

— Très bien. Je pense que je vais me plaire dans votre ville.

Valérie lui sourit, presque gênée, alors qu’elle se laisse caresser sans honte.

— Et toi, chérie ?

Son « oui » est faible, mais sincère, si j’en crois la passion de notre baiser échangé avant que notre nouvel ami propose une suite plus confidentielle.

— Je vous montre ma chambre ?

Elle me regarde soudain, presque affolée par ce que cela signifie alors qu’elle a encore sa main sous sa robe.

— Val ?

Elle reste impassible un instant, me faisant craindre le pire, puis me saisit la main en se levant dans le même geste.
Personne ne fait attention à nous lorsque traversons la réception alors que nous allons vivre un moment inoubliable.
Inoubliable comme leur premier baiser dans l’ascenseur sous mes yeux de mari complice et excité comme en témoigne mon érection naissante.
Julien la plaque contre la paroi, tel l’amant pressé qu’il est, glissant à nouveau sa main sous la robe à la découverte de ce corps de mère de famille respectable.

— Hummm.

Elle gémit plus qu’elle ne proteste lorsqu’il s’active entre ses cuisses un peu lourdes de mère de deux filles adultes. Elle se laisse trousser, telle une femme facile caressant le dos de son futur étalon.
Car si j’ai choisi Julien, c’est qu’il est bien monté, si j’en crois les photos reçues : son sexe en érection est impressionnant par sa longueur et son épaisseur.
Si ma femme ne doit me tromper qu’une seule fois, autant que ce soit avec une bite mémorable.
Sans doute submergée par les émotions, Valérie a fermé les yeux et ne les rouvre qu’au moment où la sonnerie de l’étage retentit.
Nos regards se croisent et ce que je lis dans le sien m’excite et me fait peur à la fois tant elle semble hallucinée par ce qu’elle découvre sur elle-même.
La chambre que j’ai réservée est suffisamment grande pour que je puisse les admirer de loin ce qui est le deal fixé avec Julien : il la baise et je les regarde.
Je prends d’ailleurs place dans le fauteuil un peu à l’écart, laissant Valérie debout près du lit.

— Mais…

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que Julien est déjà contre elle, uniquement vêtu d’un boxer blanc qui magnifie son corps musclé encore bronzé en ce début d’automne.
Il embrasse à nouveau férocement ma femme qui découvre avec stupeur l’envie de son futur amant, dont l’érection mal dissimulée par le tissu semble impressionnante.

— Attends …

Elle cherche mon aide du regard, tandis qu’il se frotte à elle tel un chien en chaleur.

— Chéri, s’il te plaît.
— Tu en as envie, ma puce ? lui réponds-je en souriant pour la rassurer.
— Pas comme cela.
— Comment alors ?
— Plus lentement.

Mais Julien défait déjà sa robe dont il la débarrasse, avec une dextérité qui traduit une certaine expérience, révélant une lingerie blanche presque virginale.
Elle rougit, sans doute gênée par ses formes de femme mûre, qui semblent pourtant exciter notre jeune ami qui l’enlace à nouveau pour mieux se coller à elle, sans rencontrer de résistance.
Cette fois, elle ne réclame plus de ralentir le rythme osant caresser le dos musclé de son amant qui libère ses seins de leur écrin.
La tête dans son cou, elle frémit lorsqu’il commence à caresser ses globes tombants, tout en lui murmurant à l’oreille des mots qui semblent lui plaire, car elle acquiesce d’un léger mouvement de tête.

— Oui.

Sa voix est faible, tout comme sa résistance finalement, car je vois glisser sa main entre leurs corps pour flatter la bosse du boxer.

— Oh.

Sa surprise semble sincère car – sauf adultère clandestin – ce n’est que la deuxième bite qu’elle découvre, étant jusqu’à ce soir le seul homme de sa vie.
Je la vois frôler à travers le tissu le gland assez volumineux qui termine un sexe de belle taille, si je me souviens bien des clichés reçus.
De son côté, Julien caresse les fesses de ma femme avec un appétit qui m’excite tout autant. Complexée par cette partie de son anatomie, Valérie ne m’accorde pas ce qu’elle lui permet ce soir car, si je ne m’abuse, il a ses doigts entre ses globes probablement près de son petit trou.
Julien abandonne un instant son corps frémissant pour ôter son boxer et exhiber son corps parfait. Sa nudité est insolente de beauté tout comme son sexe dont la taille n’a d’égal que sa parfaite rectitude.
Si on rajoute une épilation parfaite, on obtient un contraste total avec ma toison abondante, mon sexe de dimension médiocre et courbé, que je libère pourtant de mon jeans dans le plus grand anonymat.
Devant, leur couple disparate est magnifique : LUI jeune et musclé, et ELLE mature en rondeurs.
Leur baiser reprend avec cette fois un cran d’érotisme en plus, car je la vois masturber avec douceur le mandrin avec une main qui prend de l’assurance au fil des minutes.
Les deux amants respirent plus vite sous l’effet de leurs caresses respectives, qui traduisent une complicité étonnement parfaite pour une première rencontre.
Mais les caresses de Julien deviennent plus impatientes, et l’ordre qui fuse bientôt ne m’étonne pas.

— Suce-moi.

Valérie le regarde interdite, comme choquée alors qu’elle a sa bite dans la main.

— Vas-y.

La voix est aussi brusque que son geste qui installe Valérie à genoux devant lui le sexe tendu à hauteur de sa bouche.
Les joues rougies par le désir, elle admire ce sexe magnifique, avant de le reprendre en main avec une douceur qui déplaît à son amant.

— Suce-moi, j’ai dit.

Et elle obéit, engloutissant dans un bruit humide la moitié du sexe offert à sa gourmandise, avant de ressortir complètement de sa bouche la tige brillante de salive. Elle lui sourit satisfaite par cette entrée en matière qu’elle poursuit, en avalant à nouveau ce pieu épais entièrement décalotté.

— Ah.

Il lâche un gémissement de satisfaction masculine, sans doute séduit par l’application qu’elle met à l’ouvrage. Sa bouche aspire, lustre, mouille ou avale presque dans un bruit d’étranglement sa bite raide et vibrante de désir. Je devine à son air crispé qu’elle le rend dingue, lui faisant oublier son air autoritaire et devenant un jouet entre les lèvres de Valérie.

— Tu es bonne.

Elle gémit sous le compliment machiste, la bouche remplie par le sexe tendu qu’elle dorlote encore de longues minutes, caressant aussi parfois les couilles rondes et lisses.
Julien se retire d’un coup sec de la grotte accueillante de Valérie qui le regarde soudain inquiète.

— Tu n’aimes pas ?
— Oh si !

Rassurée, elle va pour reprendre son hommage, mais il la relève presque brusquement pour l’allonger sur les draps blancs. Au-dessus, les genoux fléchis, son regard ne quitte pas son amant qui se masturbe doucement comme pour entretenir une raideur qui n’en a pas besoin.
Il glisse ensuite ses mains sous l’élastique de la culotte dont il la débarrasse avant de la jeter.
L’odeur et la moiteur ne peuvent mentir : ma chérie mouille comme jamais sous les caresses d’un autre qui ne va pas tarder à s’en apercevoir.

— Humm.

Elle laisse filtrer un léger gémissement au premier contact des lèvres de son amant sur la peau fine de ses cuisses. Valérie adore cela et le confirme en ronronnant comme une chatte en chaleur.
Les mains crispées sur les draps, elle se laisse lentement conquérir, lâchant un petit cri au moment où Julien dépose sa bouche sur son sexe probablement gonflé de désir.

— Oui.

Elle cède déjà lorsque son amant écarte sa toison bien entretenue et légèrement grisonnante pour accéder à ses petites lèvres qu’il butine déjà.
Je l’entends gémir plus fort avant de la voir dodeliner de la tête, les mains crispées aux draps.
Putain ce qu’elle est belle lorsqu’elle fait l’amour !
Je me retiens de les rejoindre mais un deal est un deal, et je me contente de les mater en me masturbant.
Il prend son temps, le salaud, alors qu’elle lui réclame déjà de la faire jouir.

— Viens… viens.

Elle tente en vain d’obtenir ce qu’elle veut, mais il résiste la faisant gémir à chaque coup de langue au bruit évocateur.
Je croise un instant son regard habité par le désir avant qu’elle tourne la tête vers son amant qui la dévore en grognant.
Appuyée sur les coudes, je la vois de profil frôler le bout de ses seins, la bouche ouverte et les cheveux collés par la sueur.

— S’il te plaît, viens…, le supplie-t-elle.

Il ne répond rien, se contentant d’aspirer la vulve de ma femme qui gémit de plus belle, fermant finalement les yeux pour se laisser envahir par les ondes de plaisir.
Il la lèche désormais avec davantage de vigueur, immobilisant ses cuisses avec fermeté pour ne pas être gêné dans son cunnilingus, mémorable en tous points.
Sur le dos et cuisses largement écartées, elle se laisse faire comme demandé, prononçant des mots inaudibles en dehors de « oui…oui … ».
Je connais cette mélodie car c’est celle de l’orgasme qui approche, au rythme de ces incantations d’acceptation du plaisir qui la saisit brutalement.

— Ouiiiiiiiiiiiiii.

Et elle jouit, tétanisée par la jouissance qui la crispe, au point parfois d’avoir des crampes dans les cuisses maintenues écartées par Julien, qui aspire sa vulve tout le long de son orgasme dévastateur.
Le spectacle est si excitant que j’ai failli jouir sans me toucher, tant mon sexe vibre de désir.
Sur le lit, les deux amants s’enlacent et s’embrassent passionnément, emboîtant leurs corps naturellement, au point où la pénétration semble inéluctable mais Valérie le retient par l’épaule.

— Attends. Tu es trop gros.

Ce constat ne me blesse même pas tant il relève de l’évidence.

— T’inquiète. Ça va rentrer.

Et ça rentre si j’en crois son mouvement de bassin et le long feulement de ma chérie tout au long de la poussée qui semble interminable.
Fiché en elle, il reste immobile, lui laissant le temps de s’habituer au calibre du sexe qui doit la distendre comme jamais. Le souffle court et les yeux clos, elle profite de l’instant magique, gémissant dès le premier mouvement de recul de son amant, qui se retire aussi lentement que possible dans un bruit de succion troublant.

— Reste…

Sa voix implorante est encore plus excitante que la vision du bassin de Julien qui revient en elle.

— Oui…

Comblée, elle se laisse pénétrer à nouveau, enserrant le dos de son étalon de ses mains manucurées qui caressent bientôt ses fesses musclées.
Habituée à des coïts plus brefs, elle semble sur une autre planète, coordonnant ses mouvements avec les coups de boutoir qui s’accélèrent, faisant grincer le lit.
Julien grogne aussi, se retenant de jouir avant de faire exploser à nouveau ma femme qui crie à chaque choc entre leurs pubis.
Il ralentit soudain le rythme au grave désespoir de Valérie qui l’implore.

— Continue…

Il fait mine de se retirer mais, en fin de compte, revient en elle pour son plus grand plaisir.

— Ouiiiii !

Et leur sarabande repart inexorablement vers le plaisir de Madame qui semble possédée par le démon du plaisir qui la saisit à nouveau.

— Aaaaahhhh !

Elle crie, emprisonnant le corps de son bienfaiteur de ses bras et de ses jambes comme pour l’empêcher de fuir.
La bouche dans son cou, elle récupère de sa cavalcade inhabituelle, sans doute rassasiée pour la soirée.
Mais dans l’euphorie de son second orgasme, elle n’a pas relevé que Julien ne s’est pas répandu en elle, se retirant doucement en la faisant gémir une nouvelle fois.
Debout, le sexe raide brillant de la cyprine de mon épouse, il me jette un bref coup d’œil avant de saisir Valérie aux hanches pour la mettre sur le ventre sans fioriture.

— Eh. Tu fais quoi ?

Sa voix est presque apeurée mais elle ne tente pas d’échapper aux mains qui caressent ses fesses un peu larges.

— Putain, quel cul tu as !

Une claque sur un globe scelle le verdict sans que ma femme regimbe, bien au contraire, un léger gémissement confortant Julien dans son idée, qui bientôt rougit le postérieur de la mère de mes enfants.
La tête dans ses bras, elle se laisse fesser dans une posture sans équivoque.

— Tu l’as déjà sodomisée ?

Pour la première fois, je ne suis plus transparent.

— Non jamais.
— Pourtant elle a le cul pour cela.

Joignant le geste à la parole, il frôle son anus vierge déclenchant un frisson assez éloigné du dégoût.

— Tu vois qu’elle en a envie.
— Non, proteste-t-elle.
— Pas ce soir, rassure-toi.

La promesse d’une autre rencontre la rend soudain plus docile, acceptant de fait le contact d’un pouce avec sa rosette.

— Voilà.
Julien lui parle comme à une jument qu’il va monter, ce qu’il fait doucement, poussant son bassin pour la pénétrer en levrette sans ôter son pouce.
Valérie feule à nouveau, ne se plaignant plus de la grosseur du sexe qui la comble à nouveau. Ses seins et son ventre pendent un peu dans cette position, mais la voir se faire posséder la rend encore plus belle à mes yeux.
Le rythme s’accélère un peu, faisant bouger sa lourde poitrine qui soudain me fait penser aux pis d’une vache qui se fait monter par son taureau. Loin de me déplaire, cette vision bestiale m’excite au point de participer un petit peu à leurs ébats.
- Défonce-la.
Elle me regarde mi-étonnée mi-excitée par mon ordre qui semble plaire à son amant qui accélère le rythme.
Les mains sur ses hanches, il la laboure sans douceur pour notre plus grand plaisir à tous les trois. Valérie crie, Julien grogne et je gémis de les voir baiser.
La lumière tamisée de la chambre rajoute à l’érotisme de la scène dont je ne me lasse pas.
La fin semble pourtant proche, car même les plus jeunes ont des limites, et je vois les traits du beau brun se crisper au même titre que ceux de ma femme qui va bientôt connaître son troisième orgasme en moins d’une heure.
Julien la prévient d’ailleurs.
— Je vais t’inonder la chatte.
— Viens …
Et il vient dans un dernier coup de reins qui le fiche en elle jusqu’à la garde, avant d’éjaculer de longs jets de sperme qui font jouir ma femme pour la troisième fois de la soirée.
Leurs cris mêlés résonnent dans la chambre avant qu’ils s’effondrent sur le lit, unis par cette superbe bite dont la première photo m’a inspiré ce scénario fou. Elle me regarde mi-étonnée mi-excitée par mon ordre qui semble plaire à son amant qui accélère le rythme.
Les mains sur ses hanches, il la laboure sans douceur pour notre plus grand plaisir à tous les trois. Valérie crie, Julien grogne et je gémis de les voir baiser.
La lumière tamisée de la chambre rajoute à l’érotisme de la scène dont je ne me lasse pas.
La fin semble pourtant proche, car même les plus jeunes ont des limites, et je vois les traits du beau brun se crisper au même titre que ceux de ma femme qui va bientôt connaître son troisième orgasme en moins d’une heure.
Julien la prévient d’ailleurs.
— Je vais t’inonder la chatte.
— Viens…
Et il vient dans un dernier coup de reins qui le fiche en elle jusqu’à la garde, avant d’éjaculer de longs jets de sperme qui font jouir ma femme pour la troisième fois de la soirée.
Leurs cris mêlés résonnent dans la chambre avant qu’ils s’effondrent sur le lit, unis par cette superbe bite dont la première photo m’a inspiré ce scénario fou.

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Texte coquin : Le remplaçant 1/3
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