Le remplaçant 2/3 - histoire érotique

C’est une érection douloureuse qui m’a réveillé avec le vague souvenir d’une baise mémorable sans pouvoir me rappeler parfaitement des dernières heures.
Ah oui Valérie et Marc !
Je souris aussitôt en me remémorant le dévergondage de cette belle quinquagénaire qui gardera certainement un bon souvenir de ses trois orgasmes dans la même soirée .
Glissant ma main sous les draps je saisis mon sexe volumineux qui a semblé plaire à Valérie si j’en crois ses yeux d’enfant lorsqu’elle a découvert la taille de l’engin.
Moi c’est son cul qui me rend fou:un peu large sans être énorme,souple sans être mou et surtout vierge !
- Hummm.
Je me masturbe doucement m’imaginant déflorer son anus et la rendre dingue en l’enculant car je suis sur qu’elle aimera cela.
Ma main coulisse des couilles jusqu’au prépuce dans un rythme lent comme si j’habituais son petit trou au diamètre de ma bite.
Perdu dans mes pensées érotiques je ne remarque pas tout de suite le SMS de Marc.
« Ça va ? Valerie veut passer de voir seule. C’est possible ? »
Je souris bêtement à mon portable
« Évidemment ! Tu es OK ? »
« Bien sur »
Les maris cocus m’étonneront toujours !
« Top alors ! On dit 11 heures ? »
« Parfait ! Amusez vous bien »
Pour sûr qu’on va s’amuser ! Je file sous la douche et prendre un petit déjeuner car je sens que je vais avoir besoin de force.

Elle n’est pas en retard et il est 11h lorsque j’ouvre la porte de la chambre ensoleillée.
- Bonjour.
- Merci.
Elle est absolument magnifique dans sa robe légère bleue assortie à ses yeux. Debout au milieu de la pièce elle semble soudain mal à l’aise en revoyant ce lit où elle s’est offerte il y a quelques heures.
- Marc m’a tout dit pour les photos.
- OK.
Et elle me raconte la confession de son mari,son propre sentiment de trahison puis sa surprise de plaire encore à son âge.
- Tu es rassurée ?
Son regard a déjà changé lorsqu’elle me répond.
- Au delà de mes espérances.
Son sourire est si craquant que je me retiens de faire les deux mètres qui nous séparent la laissant maître du jeu qui s’installe.
- Mais en plein jour c’est peut être différent ?
- C’est le risque.
Je ne suis pas étonné de la voir défaire le premier bouton de sa robe cherchant dans mon regard un assentiment que mon sourire lui accorde.
Sa poitrine est joliment contenue dans un soutien gorge de dentelle bleu ciel assorti à un tanga que la chute du vêtement révèle à mes yeux gourmands.
- Tu es magnifique. Même en plein jour !
Elle sourit rassurée par ce compliment sincère et semble attendre quelque chose.
Comprenant le message je défais mon jeans pour libérer mon erection devenue gênante depuis son strip tease lui offrant ainsi le spectacle de mon shorty presque transparent distendu par mon sexe.
Son regard brille dans le soleil et ses joues rosissent telle une jeune vierge.
- Tu vois l’effet que tu me fais ?
- Oui…
Elle semble hypnotisée par ma bite que je débarrasse du tissu superflu.
- Elle te plaît ?
- Oh oui !
Son enthousiasme presque juvénile me fait éclater de rire .
- Tu la veux ?
- Oui.
- Où ?
- Où tu veux.
Son regard azur ne cille pas.
- Tu es sûre ?
- Je crois.
Je tends ma main qu’elle saisit pour se blottir dans mes bras. Putain que j’aime son corps un peu lourd et sa bouche qui cherche la mienne.
Elle gémit en se plaquant à mon sexe bandé promesse de moments chauds.
Tout comme hier soir elle semble sur la retenue alors qu’elle est venue pour cela.
Notre baiser est si chaud que je peux patienter plus longtemps dégrafant son soutien-gorge pour accéder à ses seins.
- Hummm.
Ses pointes dressées ne peuvent mentir ni sa langue habile qui joue avec la mienne tandis que je presse ses seins encore fermes.De son côté elle ose me caresser avec moins de timidité qu’hier me masturbant doucement mais efficacement.
- Tu aimes mon sexe ?
Ma question semble bête mais j’ai envie qu’elle me dévoile ses envies enfouies au fond d’elle.
- Oui.
Sa voix peu affirmée contraste avec ses caresses plus décidées.
- Tu sais ce que j’aime chez toi moi ?
- Mon cul ?
- Gagné !
Je glisse aussitôt ma main dans son tanga à la conquête de ses globes un peu lourds mais tellement excitants.
- J’ai gagné quoi ?
Une claque sur la fesse droite la met tout de suite au parfum!
- Aïe !
Elle sursaute mais ne tente pas d’échapper à la deuxième qui rougit déjà sa peau à travers la fine dentelle ni à la troisième qui la fait gémir les yeux fermés.
Ne voulant pas l’effrayer je caresse désormais la peau échauffée en reprenant sa bouche encore plus délicieuse.
Je la sens céder peu à peu sous mes mains qui font glisser le dernier rempart jeté au loin avant de repartir à la découverte de ce cul qui me fait bander comme une âne.
- C’est mes fesses qui te font cet effet ?
Son sourire mutin semble prometteur si bien que j’ose un index sur sa rosette juste pour voir…
Elle frémit fermant un instant les yeux avant de les rouvrir m’offrant un regard de braise qui me fait grogner de désir et la pousser doucement à plat ventre sur le lit.
Je dépose un doux baiser sur la trace rouge qu'a laissée ma main sur cul me collant ensuite à son dos mon sexe raide dans son sillon.
- Tu es gros.
La bouche dans son cou je ne réponds me contentant onduler du bassin pour l’exciter davantage ton en mordillant son oreille.
- Hummm. J’adore.
Mes mains saisissent ses seins pour parfaire mes caresses et la faire ronronner de désir au point de la sentir se cambrer pour mieux me sentir.
C’est est trop ! Je me redresse brusquement la saisissant aux hanches pour l’installer en levrette écartant ses globes dans le même mouvement.Sa rosette est là épilée de près comme si elle m’attendait.
- Attends …
Mais je n’attends pas léchant avec gourmandise cet orifice sensible si j’en crois ses frémissements.
- Ah.
Elle pousse un cri de surprise teintée de plaisir si j’en crois la cyprine que mes doigts récoltent à la source .
La coquine est trempée et ondule déjà sur ma main tandis que ma langue commence son exploration.
La tête dans les drais elle se laisse bouffer le cul et doigter le sexe par un amant qui pourrait être son fils mais elle s’en moque à priori.Elle est venue pour baiser et va en prendre pour son grade .Elle gémit maintenant sans discontinuer respirant par à coups à chacun de les coups de langue.
- Prends moi …
Pour la première fois les mots sont articulés et parfaitement audibles.Satisfait par sa métamorphosé je la laisse pourtant mariner encore un moment écartant ses fesses au maximum pour ouvrir davantage son anus que je rêve de deflorer.
- Non pas là !
Entretenant le doute je me redresse enduit mon gland de sa propre cyprine et le pose à l’entrée de son vagin accueillant.Rassurée et excitée à la fois elle recule le bassin pour d’empaler sur mon sexe tendu qui s’enfonce comme dabs du beurre.
- Ahhhhhhhh.
Elle crie tout le long de l’interminable pénétration s’immobilisant le corps parcouru de frémissement lorsque mon pubis se colle au sien.
Je la maintiens fermement aux hanches l’empêchant de s’échapper afin qu’elle profite de la taille de mon sexe avant notre inévitable cavalcade .
- Tu es gros…
- Tu te répètes ma belle,la taquiné-je.
Elle rit avant de me supplier.
- Fais moi jouir …
- Comment ? Comme ton mari ?
- Non …Fort !
- Fort comment ?
Je commence à bouger légèrement pour la rendre folle.
- Défonce moi .
Je me retire lentement de son vagin tellement lubrifié qu’un bruit de ventouse se fait entendre avant mon premier coup de rein qui la fait crier.
Son bassin est large à souhait et je prends un pied fou à aller et venir en elle avé un sentiment de toute puissance que mon sexe bandé m’offre.
De son côté ma maîtresse a oublié ses craintes initiales devant la taille de mon engin et ronronne désormais sans discontinuer lors de notre étreinte de plus en plus vive.
Les yeux rivés sur son petit trou que j’aperçois à chaque fois que je me retire presque en totalité je ne pense qu’à lui faire découvrir le plaisir de la sodomie.
Sans ralentir le mouvement de mon basin je pose mon pouce sur sa rondelle dabs obtenir de rebuffade bien au contraire.Un gémissement plus sourd accompagne le mouvement de mon doigt qui rapidement pénètre sans trop de difficulté cet anneau serré.
Son acceptation facilement obtenue confirme que je suis sur la bonne voie me donnant envie de la faire jouir rapidement avant de passer à autre chose.
J’accélère mes coups de rein sous ses cris de femme presque comblée m us qui le sera quelques minutes plus tard lorsqu’elle jouit dans un long crie contractant son vagin sur ma bite impassible de raideur.
- Ouiiiiiii.
Elle est traversée par des ondes de plaisir qui la ferait s’échapper de notre fusion si je ne la retenais pas aux hanches.
Finalement apaisée je m’allonge sur le lit mon sexe toujours aussi dur en elle.Je câline ses seins sensibles l’accompagnant doucement dans son retour sur terre.
- C’était trop bon.
- J’ai vu .
Elle rit se tournent vers moi le regard brillant de larmes de plaisir .
- Tu m’as fait quoi avec ton doigt ?
- Je t’ai presque enculée.
- C’était …wahou !
Je ris à mon tour amusée par sa réaction teintée de curiosité que je m’empresse d’attiser.
- C’est encore meilleur avec un sexe.
- Tu es trop gros !
- Même pas.
Mon pouce la fait frémir un peu tandis que je lui murmure à l’oreille.
- Ton cul me fait bander comme un âne. Tu ne le sens pas ?
Elle gémit en me sentant remuer un peu au fond d’elle.
- Si…
- Je banderais encore plus fort dans ton cul .
- Hummm.
Mon pouce élargit doucement l’anneau finalement pas si serré que cela…
- Tu l’as déjà fait coquine…
Mon coup de bluff porte ses fruits.
- Avec un mini vibro
- Tu as joui ?
- Oui…
L’anneau est manifestement plus souple acceptant un 2e doigt sans trop de difficulté ni de douleur pour ma surprenante quinquagénaire.
Prévoyant j’avais déposé une mini trousse de toilette sur la table de nuit que j’atteins sans me retirer de son sexe si chaud que la fraîcheur du lubrifiant la saisit.
- C’est froid !
Puis aussitôt .
- Non ! Ça ne passera pas …
Persuadé qu’elle en a aussi envie que moi-même si elle a peur-je ne l’écoute pas étalant le liquide sur mes doigts et mon gland .
Presque résignée elle tente de m’amadouer .
- Tu vas me déchirer.
Sa voix implorante m’émeut presque mais j’en ai trop envie et elle aussi.Je l’installe sur le dos cherchant sa bouche pour un chaud baiser tandis que je lubrifie son anus avec application.
- Va doucement je t’en supplie.
Son regard azur traduit une crainte légitime mais je la rassure.
- Juré.Caresse toi ça t’aidera.
Elle obéit les yeux fermés les doigts sur son clitoris alors que je pose mon gland sur sa rosette déclenchant une contraction inévitable.
- Détends toi Valérie.
Ma voix est aussi douce que ma bouche dans son cou au moment où je pousse doucement.Bien que lubrifié mon gland bute fatalement mais force doucement l’anneau vierge de toute pénétration masculine.
- Tu me fais mal !
Sa voix aiguë m’agace et m’excite à la fois car elle est venue pour cela j’en suis persuadé. J’interromps tout de même ma poussée lui laissant de temps de récupérer avant de reprendre inexorablement lorsque je la sens moins crispée.
- Ahhhhhh.
Un long feulement remplace son cri lorsque son anis accepte mon engin suffisamment pour que je ressente le besoin de souffler.
Un rapide coup d’œil entre nos deux corps confirment l’avancée « des travaux » et m’offre le spectacle toujours excitant de ma bite qui perfore un cul dilaté.
À nouveau immobile j’admire son visage rougi par la douleur ( le plaisir ? ) avec les yeux clos et la bouche crispée.
Je me retire un peu pour revevir gagner un peu de terrain.
- Arrête…
Elle m’implore à nouveau mais c'est trop tard et je veux en avoir le cœur net.
- Oui ? Tu veux que je partes de ton cul ?
- …
- Dis moi.
- …
- DIS MOI !
Cette femme me rend dingue !
- Non. Reste…
Un sourire barré mon visage.C’est gagné !
Je me retire à nouveau pour revenir dabs douceur. Ça coulisse finalement nue et ma maîtresse gémit désormais me plaquant contre elle pour me sentir en entier.
Ma bite est délicieusement comprimé et je sens que je ne vais finalement pas tenir longtemps malgré mon expérience.
De son côté sa main s’agite de plus belle sur son clitoris expliquant probablement sa tolérance à mon intrusion.
Je grogne à caque coup de rein tentant de résister encore et encore ralentissant un petit le rythme pour finalement me retirer d’elle.
- Tu fais quoi ?
Je lui souris et la place en levrette enduisant à nouveau mon sexe et son anus dilaté du lubrifiant adapté.
- C’est froid.
Elle frémit mais ne se dérobe pas lorsque je claque sa fesse en lui ordonnant.
- Tu veux que je t’encule ?
- …
- Alors ?
- Oui.
- Oui quoi ?
- Encule moi .
Et je pousse mon gland lentement ,inexorablement ne gênent plus compte de ses précautions l’elbrochabr presque jusqu’à la garde.
Les mains sur ses hanches je profite de l’instant avant de débuter un va et vient lent et puissant mais finalement plus court que désire car trop excité je jouis trop rapidement pour lui rendre la pareille.
- Aaaah.
De longs jets de sperme frappent sa muqueuse anale alors qu’elle continue de s’astiquer le clitoris avant de jouir également une bite presque raide dabs son cul .

Assoupi un instant je l’entends prendre une douche avant de sortir nue de la salle de bains.
Son sourire est aussi magnifique que son corps aux formes pleines.
- On va se revoir ?
- Je ne sais pas. Tu en as envie ?
Elle ne répond pas passant son tanga avec une classe folle.
- Forcément. Mais j’aime Marc.
- Je comprends.
En lingerie elle est craquante et je tente de l’attirer vers moi.En vain.
- Je dois y aller. Marc t’appellera si je veux te revoir. Je ne le ferai pas dans son dos.
Elle est habillée déjà près de la porte. Un dernier sourire et la voilà partie en lançant.
- Merci pour tout.