Le rendez-vous "médical"
Récit érotique écrit par Coupledévergondé [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le rendez-vous "médical"
Cela fait dix minutes que nous attendons, dans cette salle d'attente plutôt agréable. Quelques tableaux classiques ornent les murs. Apparemment ce médecin apprécie les nus. Tu attires mon attention sur une toile particulièrement sensuelle, sur laquelle on voit un Apollon de dos, la jambe très légèrement engagée entre celles de la nymphe qui lui fait face. On sent à son attitude qu'elle n'est pas effarouchée par ce dieu grec qui s'apprête à lui faire écarter les cuisses.
Tu as voulu que je t'accompagne à ce rendez-vous médical de routine, vu que nous avions une course a faire dans la foulée.
Le docteur rentre dans la salle d'attente et mentionne ton nom. C'est un beau brun, grand et élégant. Quand son regard se pose sur toi, un sourire s'empare de ton visage.
- Bonjour Monsieur Airas.
Tu lui rends un large sourire. En te regardant je remarque d'ailleurs que tu es très jolie, maquillée discrètement, mais plus que d'habitude, avec un chemisier dont les boutons non attachés laissent apparaître quelques millimètres de la dentelle noire de ton soutien-gorge.
Il a une vue plongeante sur ta poitrine d'où il est. Je comprends mieux ce qui le fait autant sourire.
- Bonjour! Suivez-moi Marina. Je vois que vous êtes venue avec votre mari. Bonjour Monsieur.
Il nous laisse passer devant lui et referme la porte de son cabinet.
Dans cet intérieur chaleureux, il m'invite à m'installer dans un fauteuil confortable, près de son bureau. Il t'invite à passer directement vers le fond de la pièce où se trouve le matériel médical.
Après quelques mots pour te détendre, il chauffe son stéthoscope avec sa main et te demande d'ouvrir ton chemisier. Tu me regardes en souriant.
Il commence à t'ausculter. Rapidement, il te demande de dégrapher ton soutien-gorge. Je vois ses mains disparaître avec le stéthoscope derrière le tissus de ton chemisier. Je tourne le regard pour ne pas te gêner. Mais je ne te sens pas du tout embarrassée par la situation, comme si tu tu l'attendais.
Le docteur prend son temps. Quand mon regard se tourne à nouveau vers vous, je vois le stéthoscope pendre au bout de son cou. Mais ses mains semblent bien occupées à te palper. Tu es de profil, et lui semble avoir une main sur tes seins, et une autre dans ton dos. A voir ton visage, tu as l'air detendue. Je trouve même que tu es très détendue... Tu le regardes fixement et lui aussi. Je te vois te mordre la lèvre, subrepticement.
Je sais que tu es très sensible et que tu peux difficilement retenir ton plaisir quand on te caresse le dos et les seins. Mais tu n'es vraiment pas discrète et il va s'en rendre compte.
D'ailleurs, j'ai l'impression qu'il a compris et en profite pour s'attarder un peu avec tes tétons. Tu fermes les yeux une fraction de seconde, suffisamment pour lui signifier que tu aimes ça. Puis tu me regardes d'un air complice, pour partager l'excitation que fait naître cette situation. Je ne sais pas trop quoi penser: il est à la limite des attouchements, mais dans le cadre de son travail. Et tu sembles l'encourager et chercher mon approbation. Il rompt le silence qui devient chargé d'électricité.
- Tout va bien de ce côté, dit-il d'un ton satisfait. Veuillez passer sur la table de consultation.
Une fois allongée, il t'aide à descendre ta jupe. Il commence alors à tâter ton ventre. Je ne vois plus ce qu'il fait, mais ses mains me semblent descendre vers ta toison.
Je me penche pour mieux voir. Mon mouvement a attiré son attention. Tu l'as remarqué. Tu dis alors, en t'adressant à moi.
- Ça ne te dérange pas, mon amour?
Je sens que tout se joue dans ce que je vais te répondre. En me demandant cela, tu t'inquiètes de ce que je ressens, mais tu me demandes en même temps si je suis d'accord avec ce qui pourrait arriver. Cet homme pourrait aller jusqu'à te donner du plaisir avec mon consentement!
Que faire? Entrer dans le jeu et te donner mon accord?
Il a un mouvement pour retirer sa main de ton bas ventre, mais tu la retiens, en me regardant avec un sourire coquin, pour laisser la situation déraper dans le cas où je te donnerais mon approbation.
La tension devient insoutenable pour moi. L'appréhension laisse progressivement place à un sentiment d'excitation que tu me transmets par ton regard.
Le docteur y participe, par sa main brûlante posée sur ton ventre. Il te regarde, espérant obtenir ce qu'il veut.
- Qui ne dit mot conssent!, lâches-tu en riant.
Et je ne dis mot, vaincu par ton charme et ton désir.
-Installe-toi bien dans ton fauteuil, mon chéri, et profite du spectacle.
Te retournant vers le docteur, tu lui souris et ta main l'invite à poursuivre sa progression entre tes cuisses.
Sa main passe lentement sous ta culotte. Elle s'enfonce tout doucement entre tes cuisses. Je devine son doigt écarter les lèvres de ta chatte.Tu bascules légèrement la tête en arrière, pour te donner completement.
Il commence de petits mouvements. Il a dû trouver ton clito... Tu le laisses faire. Mieux, tu l'encourages par ta respiration saccadée.
- Viens me caresser les seins, chéri.
Je me lève et viens à côté de toi, les mains aimantées par tes seins déjà nus, que cet homme vient de caresser.
Après quelques secondes, j'entends un petit bruit, comme un clapotis à peine perceptible. Ce bruit je le connais. C'est celui de ta chatte quand je te caresse. Il te branle sans t'avoir enlevé ta culotte. Sa main s'agite et ta culotte s'humifie, amplifiant le bruit de mouillé qui trahit ton excitation.
Tu tires ta culotte sur le côté et tu nous invite, lui et moi, à profiter tous ensemble du spectacle.
Après quelques secondes à accélérer le mouvement de son doigt dans ta chatte, il s'arrête brusquement. Maintenant qu'il a le champ libre, il introduit un doigt lentement dans ta chatte.
- Mon amour, le doctor vérifie que je mouille... Viens, approche toi pour regarder. Tu peux te branler, tu sais.
J'obéis comme un pantin, me déplaçant pour avoir une meilleure vue sur ta chatte investie par ce doigt. Et je sors ma queue, déjà gonflée par cette scène affriolante.
Le médecin n'en peut plus, il sort aussi sa queue. Elle grandit à vue d'œil! Une belle queue longue et fine. Je vois ton regard qui ne peut plus la quitter, comme hypnotisé.
Tu te tournes subitement vers moi en te mordant lèvre. J'ai compris ce que tu veux. Tu me demandes dans un soupir:
- Je peux le prendre dans ma bouche?
Je craque:
- Oui, vas-y, suce-le bien à fond..
Tu souris de satisfaction: cette fois-ci je ne t'ai pas laissée prendre l'initiative, je t'ai même incitée à te faire encore plus cochonne que tu ne t'apprètais à l'être.
Tu tires la langue en direction de son gland déjà tout gonflé. Il avance sa queue vers toi. Ta langue établit un contact souple, et s'enroule autour de ce gland maintenant prêt à exploser. Puis tes lèvres s'ouvrent en avançant sur sa bite, progressivement, jusqu'à ce qu'elle ait disparue à moitié. Alors, tu commences à le sucer plus vigoureusement, en poussant des gemissements aigus, de plus en plus fort. Sa queue est bien longue. Tu attrapes la base d'une main, et commence à le branler en le suçant.
Après quelques minutes de ce traitement, il se retire pour ne pas jouir trop vite, reprend son souffle, et dirige sa queue vers ta chatte en te regardant, comme pour avoir ton accord. Sûre de toi et de ma complaisance, tu lui dis en me regardant:
- Vas-y, prends moi devant mon mari qui se branle.
Il ne se fait pas prier. De ma position, j'ai une vue plongeante sur ta chatte. Je vois sa queue s'y enfoncer, comme dans du beurre fondant. Il ressort sa queue luisante entièrement, puis entame une nouvelle pénétration, plus profonde, en commentant:
- Tu es trempée, salope.
Tu me fais signe de te caresser les seins. Je m'exécute. Il accélère progressivement les vas et vients.
- Tu l'aimes, ma queue? Dis-le.
- Oui, j'aime ta queue.
- Dis-le à ton mari.
- J'aime avoir sa longue queue au fond de ma chatte, mon amour! Il me baise bien. Regarde comme il baise ta femme. Tu aimes ça avoir une femme qui se fait baiser devant toi?...
Tu es complètement déchaînée, tes mots s'entrechoquent dans mon esprit.
Tu couines de plaisir. Des petits cris secs. Puis un peu plus longs. Tes gémissements traînent, se font bruyants. On doit t'entendre depuis la salle d'attente. Mes mains pressent tes seins, de plus en plus fort. Ton amant accélère ses mouvements de bassin. Il tape tes fesses avec ses cuisses à chaque poussée et se tend.
- Gicle au fond de ma chatte! Cries-tu, juste avant de jouir.
Tes mots achèvent ton amant, qui s'enfonce d'un violent coup de rein en criant de olaisir. A chacun de ses spasmes, j'imagine un flot de foutre se déverser dans ta chatte.
C'est énorme! Il te remplit tellement que du sperme sort rapidement autour de sa queue encore plantée en toi.
Il se retire, en continuant de jouir de longs jets puissants qui t'aspergent le ventre. Tu gémis de plaisir et alors qu'il retire sa queue luisante, tes doigts prennent sa place et ressortent couverts de sperme. Tu les tends vers moi et me les fourres dans la bouche, sans me demander mon avis. Je suis tellement excité que je les lèche sans réfléchir, et j'explose a mon tour, en me répendant sur le sol.
Tu me regardes satisfaite, la chatte et le ventre souillés par un autre, devant ton mari complice de cet adultère. t heureuse de m'en avoir fait profiter.
Tu me souris avec malice et annonçant à destination du docteur, qui n'en perd pas une miette:
- Montre à notre docteur comment tu t'y prends pour que ma chatte soit toujours propre, mon petit cocu.
Tu as voulu que je t'accompagne à ce rendez-vous médical de routine, vu que nous avions une course a faire dans la foulée.
Le docteur rentre dans la salle d'attente et mentionne ton nom. C'est un beau brun, grand et élégant. Quand son regard se pose sur toi, un sourire s'empare de ton visage.
- Bonjour Monsieur Airas.
Tu lui rends un large sourire. En te regardant je remarque d'ailleurs que tu es très jolie, maquillée discrètement, mais plus que d'habitude, avec un chemisier dont les boutons non attachés laissent apparaître quelques millimètres de la dentelle noire de ton soutien-gorge.
Il a une vue plongeante sur ta poitrine d'où il est. Je comprends mieux ce qui le fait autant sourire.
- Bonjour! Suivez-moi Marina. Je vois que vous êtes venue avec votre mari. Bonjour Monsieur.
Il nous laisse passer devant lui et referme la porte de son cabinet.
Dans cet intérieur chaleureux, il m'invite à m'installer dans un fauteuil confortable, près de son bureau. Il t'invite à passer directement vers le fond de la pièce où se trouve le matériel médical.
Après quelques mots pour te détendre, il chauffe son stéthoscope avec sa main et te demande d'ouvrir ton chemisier. Tu me regardes en souriant.
Il commence à t'ausculter. Rapidement, il te demande de dégrapher ton soutien-gorge. Je vois ses mains disparaître avec le stéthoscope derrière le tissus de ton chemisier. Je tourne le regard pour ne pas te gêner. Mais je ne te sens pas du tout embarrassée par la situation, comme si tu tu l'attendais.
Le docteur prend son temps. Quand mon regard se tourne à nouveau vers vous, je vois le stéthoscope pendre au bout de son cou. Mais ses mains semblent bien occupées à te palper. Tu es de profil, et lui semble avoir une main sur tes seins, et une autre dans ton dos. A voir ton visage, tu as l'air detendue. Je trouve même que tu es très détendue... Tu le regardes fixement et lui aussi. Je te vois te mordre la lèvre, subrepticement.
Je sais que tu es très sensible et que tu peux difficilement retenir ton plaisir quand on te caresse le dos et les seins. Mais tu n'es vraiment pas discrète et il va s'en rendre compte.
D'ailleurs, j'ai l'impression qu'il a compris et en profite pour s'attarder un peu avec tes tétons. Tu fermes les yeux une fraction de seconde, suffisamment pour lui signifier que tu aimes ça. Puis tu me regardes d'un air complice, pour partager l'excitation que fait naître cette situation. Je ne sais pas trop quoi penser: il est à la limite des attouchements, mais dans le cadre de son travail. Et tu sembles l'encourager et chercher mon approbation. Il rompt le silence qui devient chargé d'électricité.
- Tout va bien de ce côté, dit-il d'un ton satisfait. Veuillez passer sur la table de consultation.
Une fois allongée, il t'aide à descendre ta jupe. Il commence alors à tâter ton ventre. Je ne vois plus ce qu'il fait, mais ses mains me semblent descendre vers ta toison.
Je me penche pour mieux voir. Mon mouvement a attiré son attention. Tu l'as remarqué. Tu dis alors, en t'adressant à moi.
- Ça ne te dérange pas, mon amour?
Je sens que tout se joue dans ce que je vais te répondre. En me demandant cela, tu t'inquiètes de ce que je ressens, mais tu me demandes en même temps si je suis d'accord avec ce qui pourrait arriver. Cet homme pourrait aller jusqu'à te donner du plaisir avec mon consentement!
Que faire? Entrer dans le jeu et te donner mon accord?
Il a un mouvement pour retirer sa main de ton bas ventre, mais tu la retiens, en me regardant avec un sourire coquin, pour laisser la situation déraper dans le cas où je te donnerais mon approbation.
La tension devient insoutenable pour moi. L'appréhension laisse progressivement place à un sentiment d'excitation que tu me transmets par ton regard.
Le docteur y participe, par sa main brûlante posée sur ton ventre. Il te regarde, espérant obtenir ce qu'il veut.
- Qui ne dit mot conssent!, lâches-tu en riant.
Et je ne dis mot, vaincu par ton charme et ton désir.
-Installe-toi bien dans ton fauteuil, mon chéri, et profite du spectacle.
Te retournant vers le docteur, tu lui souris et ta main l'invite à poursuivre sa progression entre tes cuisses.
Sa main passe lentement sous ta culotte. Elle s'enfonce tout doucement entre tes cuisses. Je devine son doigt écarter les lèvres de ta chatte.Tu bascules légèrement la tête en arrière, pour te donner completement.
Il commence de petits mouvements. Il a dû trouver ton clito... Tu le laisses faire. Mieux, tu l'encourages par ta respiration saccadée.
- Viens me caresser les seins, chéri.
Je me lève et viens à côté de toi, les mains aimantées par tes seins déjà nus, que cet homme vient de caresser.
Après quelques secondes, j'entends un petit bruit, comme un clapotis à peine perceptible. Ce bruit je le connais. C'est celui de ta chatte quand je te caresse. Il te branle sans t'avoir enlevé ta culotte. Sa main s'agite et ta culotte s'humifie, amplifiant le bruit de mouillé qui trahit ton excitation.
Tu tires ta culotte sur le côté et tu nous invite, lui et moi, à profiter tous ensemble du spectacle.
Après quelques secondes à accélérer le mouvement de son doigt dans ta chatte, il s'arrête brusquement. Maintenant qu'il a le champ libre, il introduit un doigt lentement dans ta chatte.
- Mon amour, le doctor vérifie que je mouille... Viens, approche toi pour regarder. Tu peux te branler, tu sais.
J'obéis comme un pantin, me déplaçant pour avoir une meilleure vue sur ta chatte investie par ce doigt. Et je sors ma queue, déjà gonflée par cette scène affriolante.
Le médecin n'en peut plus, il sort aussi sa queue. Elle grandit à vue d'œil! Une belle queue longue et fine. Je vois ton regard qui ne peut plus la quitter, comme hypnotisé.
Tu te tournes subitement vers moi en te mordant lèvre. J'ai compris ce que tu veux. Tu me demandes dans un soupir:
- Je peux le prendre dans ma bouche?
Je craque:
- Oui, vas-y, suce-le bien à fond..
Tu souris de satisfaction: cette fois-ci je ne t'ai pas laissée prendre l'initiative, je t'ai même incitée à te faire encore plus cochonne que tu ne t'apprètais à l'être.
Tu tires la langue en direction de son gland déjà tout gonflé. Il avance sa queue vers toi. Ta langue établit un contact souple, et s'enroule autour de ce gland maintenant prêt à exploser. Puis tes lèvres s'ouvrent en avançant sur sa bite, progressivement, jusqu'à ce qu'elle ait disparue à moitié. Alors, tu commences à le sucer plus vigoureusement, en poussant des gemissements aigus, de plus en plus fort. Sa queue est bien longue. Tu attrapes la base d'une main, et commence à le branler en le suçant.
Après quelques minutes de ce traitement, il se retire pour ne pas jouir trop vite, reprend son souffle, et dirige sa queue vers ta chatte en te regardant, comme pour avoir ton accord. Sûre de toi et de ma complaisance, tu lui dis en me regardant:
- Vas-y, prends moi devant mon mari qui se branle.
Il ne se fait pas prier. De ma position, j'ai une vue plongeante sur ta chatte. Je vois sa queue s'y enfoncer, comme dans du beurre fondant. Il ressort sa queue luisante entièrement, puis entame une nouvelle pénétration, plus profonde, en commentant:
- Tu es trempée, salope.
Tu me fais signe de te caresser les seins. Je m'exécute. Il accélère progressivement les vas et vients.
- Tu l'aimes, ma queue? Dis-le.
- Oui, j'aime ta queue.
- Dis-le à ton mari.
- J'aime avoir sa longue queue au fond de ma chatte, mon amour! Il me baise bien. Regarde comme il baise ta femme. Tu aimes ça avoir une femme qui se fait baiser devant toi?...
Tu es complètement déchaînée, tes mots s'entrechoquent dans mon esprit.
Tu couines de plaisir. Des petits cris secs. Puis un peu plus longs. Tes gémissements traînent, se font bruyants. On doit t'entendre depuis la salle d'attente. Mes mains pressent tes seins, de plus en plus fort. Ton amant accélère ses mouvements de bassin. Il tape tes fesses avec ses cuisses à chaque poussée et se tend.
- Gicle au fond de ma chatte! Cries-tu, juste avant de jouir.
Tes mots achèvent ton amant, qui s'enfonce d'un violent coup de rein en criant de olaisir. A chacun de ses spasmes, j'imagine un flot de foutre se déverser dans ta chatte.
C'est énorme! Il te remplit tellement que du sperme sort rapidement autour de sa queue encore plantée en toi.
Il se retire, en continuant de jouir de longs jets puissants qui t'aspergent le ventre. Tu gémis de plaisir et alors qu'il retire sa queue luisante, tes doigts prennent sa place et ressortent couverts de sperme. Tu les tends vers moi et me les fourres dans la bouche, sans me demander mon avis. Je suis tellement excité que je les lèche sans réfléchir, et j'explose a mon tour, en me répendant sur le sol.
Tu me regardes satisfaite, la chatte et le ventre souillés par un autre, devant ton mari complice de cet adultère. t heureuse de m'en avoir fait profiter.
Tu me souris avec malice et annonçant à destination du docteur, qui n'en perd pas une miette:
- Montre à notre docteur comment tu t'y prends pour que ma chatte soit toujours propre, mon petit cocu.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très excitante et bien écrite
J’ai vécu une histoire presque similaire avec un faux couple Je veux dire amant et maîtresse qui rencontraient un mec seul pour le fun
Kevin
J’ai vécu une histoire presque similaire avec un faux couple Je veux dire amant et maîtresse qui rencontraient un mec seul pour le fun
Kevin
Une belle histoire bien excitante
j en reve bruno
Super
Très excitant cette histoire, un peu rapide mais le compte y est😄
J aimerais tant être à la place du mari
Donc le gyneco nique sans capotes !!!
Tres excitante j’adore et pour moi un fantasme quand je vais chez le docteur
Excitant. Classique et bien écrit. Un peu rapide