Visio vice - histoire érotique

Je rentre en milieu de journée, plus tôt que d'habitude. Ma voiture électrique ne fait pas de bruit et je comprends en ouvrant la porte d'entrée que tu ne m'as pas entendu arriver.
Je t'entends rire sur un ton sexy. Curieux, je me rapproche de ton bureau discrètement et je vois que tu es en visio avec un mec. J'essaie de voir ton écran depuis le salon, mais il est mal orienté. Je crois voir quelqu'un nu devant sa caméra.
J'ai un choc, mes yeux restent rivés sur l'ecran pour mieux identifier l'image. J'ai de moins en moins de doute: les images de chair et les mouvements répétitifs sont explicites: il se branle devant toi!
Je suis outré! Mais au moment où je m'approche pour intervenir, tu enlèves ton tee-shirt!
Je me ravise et fais trois pas en arrière, me mettant à l'abri de ton regard. Bien que furieux de te voir me tromper ainsi, je veux savoir jusqu'à oû tu es prête à aller. Je ne le saurai jamais si j'interviens maintenant.
Tu exhibes alors un sein hors de ton soutien-gorge, en disant à ton amant virtuel que tu voudrais qu'il te lèche. Je veux intervenir, mais je suis hypnotisé de te voir te donner en spectacle de la sorte. Et puis la situation me donne trop envie de me branler. Je sors ma queue sans bruit.
Je t'entends lui dire: "Vas-y, branle toi en visant la caméra, j'ai envie de voir une grosse giclée!".
On dirait que vous n'en êtes pas à votre première conversation, vue la façon dont tu lui parle.
Je vois ta main descendre entre tes jambes, et ton autre main orienter la caméra vers ta chatte. Tu t'exhibes en train de glisser un doigt dans ta chatte. Je ne t'ai jamais vue faire cela avec si peu de pudeur. Ton amant virtuel semble apprécier, vus les grognements qu'il émet. Tu continues de l'exciter: "j'aimerais que tu sois là et que tu me prennes. Regarde comme je suis trempée..." dis-tu en approchant tes doigts luisants de mouille près de la caméra.
Je bande de plus en plus en vous écoutant, et j'abandonne l'idée de vous interrompre.

Tu continues de l'exciter: "j'aimerais que tu viennes chez moi et que tu me prennes... par tous les trous... et que tu jouisses tout au fond de mon cul..."
Quelle salope! Tu l'allumes encore plus que moi quand nous baisons! A ce moment, je sens que j'aimerai être à sa place, en train de mater ta chatte et écouter tes cochonneries. Tu ajoutes: "Tu peux gicler partout sur ton ordi? J'aurai l'impression que tu es là...". Puis en changeant de ton: "Si tu arrives à viser la caméra, alors tu auras une surprise quand tu viendras me baiser: mon petit mari qui se branle en ce moment même, en train d'espionner sa femme comme un petit cocu, se fera un plaisir de venir nettoyer ta queue. Pas vrai chéri?" Tu te retournes vers moi...
C'est la honte totale: tu savais que j'étais en train de t'épier, peut-être depuis le début. Tu as montré tes seins et ta chatte à ce mec en sachant que je voyais tout, mais je ne me sens plus aucune légitimité pour jouer les maris jaloux...

Tu ajoutes, à destination de ton amant: "attends, mon mari arrive. Viens te branler devant l'écran, chéri.". Penaud, je m'approche, avec une érection qui trahit mon état. Tu me demandes devant ton interlocuteur: "tu aimes que ta femme se fasse des baises virtuelles, gros cochon?". Je n'arrive qu'à prononcer un "ouii" en gémissement.
Alors tu pousses la perversité: "on va jouer à un jeu les garçons : le premier qui jouit de vous deux fera la femme quand on se rencontrera. Ça veut dire qu'il devra sucer l'autre... Et, en bonus, s'il lèche son propre sperme, je promets de lui prendre le cul avec un gode pendant qu'il suce la bite de l'autre."
Ton amant est un peu abasourdi par ta proposition très salace. Il stope ses mouvements de va et vient sur sa queue pendant quelques secondes. Mais pour ma part, tes mots m'ont enflammés et fait perdre toute contenance: je me branle de plus en plus frénétiquement.
Alors tu poses sur moi un regard moqueur, en mettant de petites gifles sur ma bite. "On voit bien qui est la plus salope de vous deux! Tu veux sucer sa queue, mon chéri?". T'es mots me font perdre toute retenue: je gicle à longs jets sur l'écran de l'ordinateur. Alors tu me dis: "c'est donc toi qui le sucera, petite pute. Reste à savoir si tu veux te faire prendre en même temps..."
Ton amant a repris sa masturbation et s'est approché à quelques centimètres de sa caméra. Son gland énorme prend la moitié de l'écran. J'ai les yeux fixés sur ce gland démesuré.
Guidé par l'envie de te sentir au fond de moi si nous nous rencontrons, j'approche la langue de l'écran, pour nettoyer mon sperme. Ma langue se rapproche de la caméra et d'un seul coup, ton amant se répand en énormes jets visqueux, qui arrivent avec tellement d'énergie sur notre écran que je ferme les yeux, comme pour recevoir une ejaculation faciale.
Satisfaite, tu me dis: "Tu m'a bien montré que tu voulais sucer sa grosse queue. Et en plus tu lèches ton sperme et tu sembles prêt à te faire repeindre le visage. Ça mérite largement que je te prenne le cul en même temps. Et toi, Louis, dis-tu en t'adressant à ton amant, j'ai bien l'impression que tu mon mari t'as bien excité! Vous faites une belle paire de PD, tous les deux. Je vais bien m'amuser avec vous, je le sens..."