Le retour de Mard
Récit érotique écrit par Foxy [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le retour de Mard
Le retour de Marc
Les deux premières expériences de Corinne avec Marc, puis en stage à Paris, avaient sérieusement boosté notre libido. Ainsi Marc et Patrick étaient souvent présents ( virtuellement) lors de nos ébats. Pour plus de réalisme j’avais acheté un second god à ma chérie, et nous les avions baptisé Marc, le premier et Patrick, le second. Parfois quand je venais me coucher, Corinne était occupée, avec l’un ou l’autre, les yeux fermés, je voyais le drap se soulever en cadence. Effet immédiat sur ma bite qui se redressait instantanément. Je m’installait dans le fauteuil pour me caresser en attendant que ma chérie m’appelle pour prendre la place de l’élu du jour et vider mes couilles dans sa chatte trempée. Un vrai bonheur chaque fois,
Nous savions qu’un suivi de stage devait avoir lieu dans l’année qui suivait le premier. Nous attendions avec impatience ce moment où ma chérie pourrait prendre son pied avec une nouvelle bite, pour me raconter ensuite ses ébats,
Mais une occasion se présenta avant cette échéance. Un soir, Corinne arriva toute excitée de son travail.
- Que t’arrive-t-il ma chérie ?
- Vendredi je reçois à l’agence une mission d’inspection sécurité. Devine qui est chargé de cette mission ?
- Ben dis-moi !
- C’est mon ancien collège Marc. C’est sa nouvelle fonction au sein de l’entreprise. Il est itinérant.
- Tu dois être contente de le revoir… !
-Oui, bien sûr !
- Tu ne vas pas rentrer de bonne heure vendredi, vous aurez des souvenirs à évoquer, hé ! Hé !
- Peut-être, je ne sais pas. Qu’en penses-tu ?
-Pas de problème, prends ton temps, et si tu veux prends ton pied, ça te fera du bien un nouveau petit coup de bite.
Ce soir-là au lit ce fût une fête en évoquant la venue de notre ami Marc.
Le jour venu, j’étais très excité à l’idée de ce qui allait se passer. Il me vint une idée. Si j’invitais Marc à l’apéro, pour voir leur tête après ce que je supposais qu’ils allaient faire après leur journée de travail. Je composai le n° de tel de l’Agence. L’employée me passa ma femme :
- J’ai envie d’inviter Marc à l’apéro ce soir, tu vois avec lui.
- Mais… enfin… pourquoi ?
- Marc est un bon ami, ça me ferait plaisir de le voir… après sa dure journée de travail !
- Je vais voir.
Après quelques instants :
-Je te passe Marc.
Je sentis notre ami gêné par ma proposition, mais en insistant il finit par accepter. Je fonçai chez le traiteur acheter quelques amuse-gueule pour préparer sa venue.
Corinne rentrait habituellement vers 18 h, mais ce soir là elle arriva vers 19 h 15.
-Alors ça c’est bien passé ? Vous avez fait des heures sup je suppose ?
- ...oui, nous avons traîné un peu, en évoquant le passé.
- Et c’était bon ? Tu as bien pris ton pied ma petite salope ?
- ..je te raconterai tout ça tout à l’heure au lit, petit vicieux.
Sur ce coup de sonnette, c’était Marc, un bouquet de fleurs à la main.
Nous nous installons verre en main, et la discussion très amicale va bon train. Un apéro, deux, puis trois. J’avais suffisamment de quoi grignoter, et finalement je décidai d’ouvrir une bouteille de bordeaux pour accompagner ce casse-croûte improvisé,
Vers 21 h, Marc se leva pour partir. Mais Corinne intervint aussitôt :
- Tu es en voiture, tu ne pas partir comme ça, si tu te fais arrêter tu es bon ! Et en plus avec une voiture de service, Tu te rends compte.
- Non ça va très bien, je ne vais pas loin, l’hôtel est à deux kilomètres à peine, et demain je pars de bonne heure,
- Pas question, c’est trop risqué. Nous avons la place pour te coucher, tu partiras demain matin.
Quelle idée trottait dans la tête de ma chérie ? Je n’allais pas tarder à le savoir, J’étais couché j’avais commencé à me caresser, en attendant le récit de Corinne, tout émoustillé à l’idée de savoir que Marc allait peut-être se branler en pensant au coup qu’il avait tiré avec Corinne au bureau,
Corinne arriva dans la chambre, vêtue d’une nuisette très sexy et d’une petite culotte si transparente que l’on voyait bien sa minette poilue. Elle se pencha vers moi, et me dit :
-J’ai oublié de donner un oreiller à Marc, je vais aller lui porter. Tu veux bien ?
- Heu...oui...vas-y, je t’attends
Sur ce elle me plaqua un gros baiser sur la bouche, tira le drap et pris ma main qu’elle posa sur ma queue, pour que je me branle. J’avais compris son manège. Fallait-il qu’elle ait envie de baiser,,, !
Elle disparut, et je commençai à m’astiquer sérieusement, Au bout d’un quart d’heure, n’y tenant plus je me levai et me dirigeai vers la porte de la chambre, Elle était poussée mais pas fermée, Néanmoins je ne pouvais pas voir ce qui se passait à l’intérieur. Les petits bruits, les soupirs et les chuchotements ne laissaient aucun doute sur ce que faisaient mes deux amants. Je finis par revenir dans mon lit en me branlant de plus belle, en attendant Corinne.
Elle arriva une demi-heure plus tard, toute excitée encore, et m’offrit sa chatte toute parfumée du jus que Marc y avait déposé, Je lui broutai le minou un bon moment jusqu’à ce qu’elle jouisse, avant de m’enfoncer la bite bien raide dans sa chatte gluante, pour me vider enfin les couilles.
Après quelques instants de répit nous nous dirigeâmes ensemble vers la salle de bain, mais au moment de sortir, je butai contre un tabouret qui fit un vacarme épouvantable en tombant sur le carrelage. La porte de la chambre de Marc s’ouvrit d’un coup, et il apparut en slip dans le couloir, devant nous, Corinne nue sous sa nuisette, et moi carrément à poil, aussi génés les uns que les autres :
-Excusez-moi j’ai entendu un grand bruit..
-C’est rien, un tabouret
-Mais le somnifère ? s’exclama Marc
- Il a oublié de le prendre, répliqua instantanément ma chérie.
Et prenant Marc par la main, elle lui dit :
-Viens passer un moment avec nous, tu veux bien, on va t’expliquer,
De retour dans notre chambre, Corinne s’assit sur le rebord du lit, attira Marc devant elle, lui baissa son slip, et goba sa bite qui se mit à gonfler aussitôt. Elle me fit signe de m’approcher et saisit ma queue pour la branler. Comme dans un film x ! Cependant pas facile de coordonner une pipe et une branlette en même temps. Elle finit par prendre ma main pour que je me branle moi-même pendant qu’elle suçait Marc. Après quelques minutes elle inversa les rôles, et vint me sucer pendant que Marc se branlait.
Elle finit par s’allonger sur le lit et attira Marc sur elle, pour qu’il la baise. Assis dans le fauteuil, je voyais la bite entrer et sortir de la chatte de Corinne, avec un petit bruit humide. Je surpris au fond de moi un petit pincement de jalousie, vite effacé par la plaisir que me procurait ce spectacle, jusqu’à ce que Marc se plaque contre elle, et accélère son mouvement, tandis qu’elle lui ceinturait la taille avec ses jambes. Il finit par se vider pour la troisième fois les couilles dans la chatte de ma femme, dans la même soirée.
Dès qu’il eut fini, je pris sa place entre les jambes grandes ouvertes de Corinne, et j’investis sa moule gluante dans laquelle je me vidais à mon tour.
Marc avait regagné sa chambre et nous sommes restés longtemps enlacés, l’un dans l’autre.
-C’est quoi cette histoire de somnifère ?
-J’ai dit à Marc que tu en prenais pour dormir, car il hésitait à me baiser
-Ha ! Ha ! Ma petite salope, quelle imagination. Tu as bien joui au moins ? Cinq coups de bites dans la même soirée et par deux queues différentes, c’est pas commun.
Un gros baiser fut sa seule réponse, avant que nous nous endormions collés l’un à l’autre comme de jeunes mariés,
Le lendemain Marc partit de bonne heure, avant que Corinne ne se lève, et me remercia pour cette magnifique soirée qu’il avait passé en notre compagnie. Nous ne l’avons jamais revu, Je sais qu’il était marié, et avait des enfants. Il ne voulait pas avoir un double vie, et c’est très bien comme ça,
Il ne reste plus qu’à attendre le suivi de stage de Corinne dans quelques mois,
Les deux premières expériences de Corinne avec Marc, puis en stage à Paris, avaient sérieusement boosté notre libido. Ainsi Marc et Patrick étaient souvent présents ( virtuellement) lors de nos ébats. Pour plus de réalisme j’avais acheté un second god à ma chérie, et nous les avions baptisé Marc, le premier et Patrick, le second. Parfois quand je venais me coucher, Corinne était occupée, avec l’un ou l’autre, les yeux fermés, je voyais le drap se soulever en cadence. Effet immédiat sur ma bite qui se redressait instantanément. Je m’installait dans le fauteuil pour me caresser en attendant que ma chérie m’appelle pour prendre la place de l’élu du jour et vider mes couilles dans sa chatte trempée. Un vrai bonheur chaque fois,
Nous savions qu’un suivi de stage devait avoir lieu dans l’année qui suivait le premier. Nous attendions avec impatience ce moment où ma chérie pourrait prendre son pied avec une nouvelle bite, pour me raconter ensuite ses ébats,
Mais une occasion se présenta avant cette échéance. Un soir, Corinne arriva toute excitée de son travail.
- Que t’arrive-t-il ma chérie ?
- Vendredi je reçois à l’agence une mission d’inspection sécurité. Devine qui est chargé de cette mission ?
- Ben dis-moi !
- C’est mon ancien collège Marc. C’est sa nouvelle fonction au sein de l’entreprise. Il est itinérant.
- Tu dois être contente de le revoir… !
-Oui, bien sûr !
- Tu ne vas pas rentrer de bonne heure vendredi, vous aurez des souvenirs à évoquer, hé ! Hé !
- Peut-être, je ne sais pas. Qu’en penses-tu ?
-Pas de problème, prends ton temps, et si tu veux prends ton pied, ça te fera du bien un nouveau petit coup de bite.
Ce soir-là au lit ce fût une fête en évoquant la venue de notre ami Marc.
Le jour venu, j’étais très excité à l’idée de ce qui allait se passer. Il me vint une idée. Si j’invitais Marc à l’apéro, pour voir leur tête après ce que je supposais qu’ils allaient faire après leur journée de travail. Je composai le n° de tel de l’Agence. L’employée me passa ma femme :
- J’ai envie d’inviter Marc à l’apéro ce soir, tu vois avec lui.
- Mais… enfin… pourquoi ?
- Marc est un bon ami, ça me ferait plaisir de le voir… après sa dure journée de travail !
- Je vais voir.
Après quelques instants :
-Je te passe Marc.
Je sentis notre ami gêné par ma proposition, mais en insistant il finit par accepter. Je fonçai chez le traiteur acheter quelques amuse-gueule pour préparer sa venue.
Corinne rentrait habituellement vers 18 h, mais ce soir là elle arriva vers 19 h 15.
-Alors ça c’est bien passé ? Vous avez fait des heures sup je suppose ?
- ...oui, nous avons traîné un peu, en évoquant le passé.
- Et c’était bon ? Tu as bien pris ton pied ma petite salope ?
- ..je te raconterai tout ça tout à l’heure au lit, petit vicieux.
Sur ce coup de sonnette, c’était Marc, un bouquet de fleurs à la main.
Nous nous installons verre en main, et la discussion très amicale va bon train. Un apéro, deux, puis trois. J’avais suffisamment de quoi grignoter, et finalement je décidai d’ouvrir une bouteille de bordeaux pour accompagner ce casse-croûte improvisé,
Vers 21 h, Marc se leva pour partir. Mais Corinne intervint aussitôt :
- Tu es en voiture, tu ne pas partir comme ça, si tu te fais arrêter tu es bon ! Et en plus avec une voiture de service, Tu te rends compte.
- Non ça va très bien, je ne vais pas loin, l’hôtel est à deux kilomètres à peine, et demain je pars de bonne heure,
- Pas question, c’est trop risqué. Nous avons la place pour te coucher, tu partiras demain matin.
Quelle idée trottait dans la tête de ma chérie ? Je n’allais pas tarder à le savoir, J’étais couché j’avais commencé à me caresser, en attendant le récit de Corinne, tout émoustillé à l’idée de savoir que Marc allait peut-être se branler en pensant au coup qu’il avait tiré avec Corinne au bureau,
Corinne arriva dans la chambre, vêtue d’une nuisette très sexy et d’une petite culotte si transparente que l’on voyait bien sa minette poilue. Elle se pencha vers moi, et me dit :
-J’ai oublié de donner un oreiller à Marc, je vais aller lui porter. Tu veux bien ?
- Heu...oui...vas-y, je t’attends
Sur ce elle me plaqua un gros baiser sur la bouche, tira le drap et pris ma main qu’elle posa sur ma queue, pour que je me branle. J’avais compris son manège. Fallait-il qu’elle ait envie de baiser,,, !
Elle disparut, et je commençai à m’astiquer sérieusement, Au bout d’un quart d’heure, n’y tenant plus je me levai et me dirigeai vers la porte de la chambre, Elle était poussée mais pas fermée, Néanmoins je ne pouvais pas voir ce qui se passait à l’intérieur. Les petits bruits, les soupirs et les chuchotements ne laissaient aucun doute sur ce que faisaient mes deux amants. Je finis par revenir dans mon lit en me branlant de plus belle, en attendant Corinne.
Elle arriva une demi-heure plus tard, toute excitée encore, et m’offrit sa chatte toute parfumée du jus que Marc y avait déposé, Je lui broutai le minou un bon moment jusqu’à ce qu’elle jouisse, avant de m’enfoncer la bite bien raide dans sa chatte gluante, pour me vider enfin les couilles.
Après quelques instants de répit nous nous dirigeâmes ensemble vers la salle de bain, mais au moment de sortir, je butai contre un tabouret qui fit un vacarme épouvantable en tombant sur le carrelage. La porte de la chambre de Marc s’ouvrit d’un coup, et il apparut en slip dans le couloir, devant nous, Corinne nue sous sa nuisette, et moi carrément à poil, aussi génés les uns que les autres :
-Excusez-moi j’ai entendu un grand bruit..
-C’est rien, un tabouret
-Mais le somnifère ? s’exclama Marc
- Il a oublié de le prendre, répliqua instantanément ma chérie.
Et prenant Marc par la main, elle lui dit :
-Viens passer un moment avec nous, tu veux bien, on va t’expliquer,
De retour dans notre chambre, Corinne s’assit sur le rebord du lit, attira Marc devant elle, lui baissa son slip, et goba sa bite qui se mit à gonfler aussitôt. Elle me fit signe de m’approcher et saisit ma queue pour la branler. Comme dans un film x ! Cependant pas facile de coordonner une pipe et une branlette en même temps. Elle finit par prendre ma main pour que je me branle moi-même pendant qu’elle suçait Marc. Après quelques minutes elle inversa les rôles, et vint me sucer pendant que Marc se branlait.
Elle finit par s’allonger sur le lit et attira Marc sur elle, pour qu’il la baise. Assis dans le fauteuil, je voyais la bite entrer et sortir de la chatte de Corinne, avec un petit bruit humide. Je surpris au fond de moi un petit pincement de jalousie, vite effacé par la plaisir que me procurait ce spectacle, jusqu’à ce que Marc se plaque contre elle, et accélère son mouvement, tandis qu’elle lui ceinturait la taille avec ses jambes. Il finit par se vider pour la troisième fois les couilles dans la chatte de ma femme, dans la même soirée.
Dès qu’il eut fini, je pris sa place entre les jambes grandes ouvertes de Corinne, et j’investis sa moule gluante dans laquelle je me vidais à mon tour.
Marc avait regagné sa chambre et nous sommes restés longtemps enlacés, l’un dans l’autre.
-C’est quoi cette histoire de somnifère ?
-J’ai dit à Marc que tu en prenais pour dormir, car il hésitait à me baiser
-Ha ! Ha ! Ma petite salope, quelle imagination. Tu as bien joui au moins ? Cinq coups de bites dans la même soirée et par deux queues différentes, c’est pas commun.
Un gros baiser fut sa seule réponse, avant que nous nous endormions collés l’un à l’autre comme de jeunes mariés,
Le lendemain Marc partit de bonne heure, avant que Corinne ne se lève, et me remercia pour cette magnifique soirée qu’il avait passé en notre compagnie. Nous ne l’avons jamais revu, Je sais qu’il était marié, et avait des enfants. Il ne voulait pas avoir un double vie, et c’est très bien comme ça,
Il ne reste plus qu’à attendre le suivi de stage de Corinne dans quelques mois,
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Voilà enfin un rôle actif pour le mari candauliste!