Le suivi de stage de Corinne - histoire érotique

Le suivi de stage de Corinne

Après ce délicieux épisode avec Tony à la plage, nous sommes rentrés et avons repris notre vie bien rangée. Dans notre petite ville, qui se douterait dans notre entourage de nos folles escapades érotiques ? Nos métiers respectifs en souffriraient, nous devons passer pour des gens respectables. Encore que prendre du plaisir n’a rien d’irrespectueux quand c’est entre adultes consentants…

Toujours est-il que nous attendions avec impatience la convocation de Corinne pour son suivi de stage. Elle arriva mi-septembre. Cela redonna un coup de fouet à notre libido, car Corinne était bien décidée à en profiter encore une fois, avec ma bénédiction.

Quand le moment du départ fut arrivé, comme la première fois, je glissais dans sa valise quelques dessous affriolants, et discrètement une petite boite de douze… pour le cas où !

Corinne partit le mercredi soir, et nous étions convenu que je la rejoindrai le vendredi soir en voiture, car nous projetions de nous arrêter chez un couple d’amis au retour. Sauf bien entendu si ma belle trouvait chaussure à son pied ( je devrais plutôt dire « bite à sa chatte ») et souhaitait prolonger son plaisir la nuit de vendredi. Auquel cas je prendrais un chambre à part, en attendant qu’elle ait bien pris son pied. L’occasion d’une bonne branlette en solitaire.

Il n’en fut rien, Quand j’arrivais le vendredi elle était seule, et avait passé ses deux dernières nuits seule dans son grand lit.
- Tu t’es caressée un peu quand même, lui demandais-je
-Bien sûr, mon chéri. Un bon moment même. Mais je préfère une bonne bite que deux doigts dans mon minou. Et toi qu’as-tu fait ?
- Comme d’habitude, une bonne branlette en pensant à ta chatte, et à la queue qui peut-être la ramonait. Tant pis ce sera pour une autre fois. Mais ce soir nous nous rattraperons tous les deux . Je vais t’en mettre un bon coup ma chérie.

Un gros baiser sur la bouche et nous partons en ville dîner. L’hôtel était à 10mn en voiture, d’ une belle ville de la banlieue ouest de Paris. Nous nous garons et avisons un petit resto à l’aire sympa.
La salle est presque pleine, c’est bon signe, On nous trouve deux places, près d’une homme qui s’apprête à dîner seul.

Alors que nous nous interrogeons sur le plat du jour, notre voisin intervient :
- Si je peux me permettre, si vous aimez le poisson le dos de cabillaud est exceptionnel.
- Va pour le dos de cabillaud.
La glace est rompue, et nous devisons gaîment avec Jérôme notre voisin de table, et lui proposons de prendre l’apéro avec nous. Il nous apprend qu’il est commerçant, divorcé depuis 4 ans, et vit seul depuis.
De fil en aiguille, je glisse parfois des petites pointes coquines dans la conversation, car je vois souvent son regard se poser sur Corinne, qui porte une jupe assez courte et sexy. Et il me semble que ma chérie n’est pas insensible à cet hommage.

Le temps passe, et finalement Jérôme demande l’addition et insiste pour payer nos repas.
- Pour une fois que je suis pas seul pour dîner, je tiens à vous inviter toi et ta délicieuse épouse.
Les yeux de Corinne brillent, je crois que la même pensée que moi l’habite à cet instant.
Assez gêné quand même , je propose à Jérôme d’aller prendre un verre ailleurs.
- Non je ne peux pas, car mon dernier bus passe dans 15 mn, après je ne pourrais plus rentrer chez moi.
-Tu habites loin ?
-Quinze ou vingt minutes.
-OK, je te ramènerai en voiture.
-D’accord je connais un bar de nuit pas loin, où il y a une piste de danse le WE, ça vous dit.
-C’est parti
Je croise le regard de Corinne dans lequel dansent des étoiles. Je crois qu’elle a compris que la soirée pourrait être animée,

Dans le bar, nous nous installons, dans la salle où se trouve la piste de danse, Lumière tamisée, musique genre slow...tout baigne. Je sens le regard de Jérôme qui se fait plus insistant sur les belles jambes de ma chérie. La soirée commence bien.
Je commande une bouteille de champagne, et invite notre ami à faire la première danse avec Corinne. Ma chérie n’hésite pas et se colle contre lui pour un slow langoureux. Jérôme jette de temps en temps un œil inquiet vers moi, mais je souris.
Deuxième danse j’enlace ma femme, et lui susurre à l’oreille :
-Il te plaît Jérôme?
-Oh oui !
-Tu veux que j’essaye de le brancher
Comme d’habitude la réponse est un gros baiser sur la bouche. Ma chérie est prête. Je suis sûr que sa petite culotte est déjà bien mouillée.
- Tu refais une danse avec lui, tu le chauffes bien, et après tu vas « te refaire une beauté » au toilettes , le temps que je tâte le terrain. Je suis sûr que tu vas le faire bander et que ta culotte est déjà trempée.
-Humm, petit cochon, ça t’excite.

Cette deuxième danse avec son nouveau compagnon, est beaucoup plus lascive, et ils commencent à échanger des bisous dans le cou… c’est tout bon !
De retour à la table, Corinne s’absente comme prévu. J’entreprends Jérôme :
- Elle est belle Corinne et elle danse bien  !
- Oui, elle est parfaite me répond-il timidement
- Tu sais quand elle boit du champagne elle est toujours très excitée !
- Ah oui…
-Et je crois qu’elle t’aime bien !
-…
- Écoute, nous sommes un couple, comment dire, assez libre. Nous aimons bien satisfaire nos envies. Et je crois que Corinne a flashé sur toi.
- Euh, c’est la première fois qu’on me dit ça, oui alors je ne sais pas quoi dire
- Laisse-toi aller si ma femme te plaît, on peut passer un bon moment ensembles. Pour tout te dire nous sommes candaulistes. C’est à dire que j’aime voir ma femme prendre du plaisir, même avec un autre homme. Et je peux te dire qu’elle aime ça.

Sur ce Corinne revient toute souriante, et s’assied près de Jérôme.
- Et si on allait finir la bouteille de champagne chez toi ?
- Oui bonne idée, je suis d’accord confirme notre ami.
Corinne qui a compris se penche sur lui et l’embrasse longuement sur la bouche, pendant que je vais payer et récupérer un bouchon pour la bouteille.
Arrivés à la voiture, Jérôme fait mine de monter devant :
- Non va derrière avec Corinne, je suis sûr que vous avez plein de choses à vous dire, Donne -moi ton adresse le GPS me guidera.
Je règle mon rétro pour voir ce qui se passe à l’arrière, même si dans la pénombre c’est un peu flou, et je démarre. Aussitôt leurs bouches se rejoignent longuement, puis je vois Corinne qui se tortille, je suis certain qu’une main chatouille sa petite chatte Je commence à bander.
Soudain un petit bruit de fermeture éclair. Pas de doute la braguette de Jérôme est ouverte, et à voir sa tête, Corinne a commencé à le branler. Et ça elle sait bien le faire !!
J’essaie de me concentrer sur ma conduite, je roule doucement, je reste prudent, Nouveau coup d’œil dans le rétro, la tête de Corinne a disparu, je ne vois que celle de Jérôme qui semble aux anges. Je baisse un peu le retro, et j’aperçois le haut de la tête de ma chérie qui monte et qui descend… c’est certain elle est en train de le sucer. Et ça aussi elle sait bien faire.
Je ralentis encore un peu pour lui laisser le temps de bien s’amuser avec cette nouvelle queue.

Le GPS annonce « Vous êtes arrivés à destination » . Fin du premier round pour Jérôme et Corinne, J’entends à nouveau le bruit de fermeture éclair, le petit oiseau est rentré dans son nid. Nous descendons de la voiture, Corinne et son étalon la main dans la main, et entrons dans le hall de l’immeuble. Jérôme loge au 5e, En attendant l’ascendeur il plaque Corinne contre le mur et l’embrasse fougueusement, On monte dans l’ascenseur, et rebelote grosse pelle et cette fois la main de Jérôme passe sous la robe et s’invite dans la petite culotte de ma femme, Je n’existe plus pour eux.
Arrivés sur le palier, le temps que Jérôme cherche ses clefs, Corinne dépose un gros baiser sur mes lèvres, ses yeux pétillent, elle est heureuse, et moi aussi, Je bande comme un cerf.

A peine entrés dans l’appartement je m’aperçois que j’ai oublié la bouteille dans la voiture :
- Je redescends la chercher, j’en ai pour une minute.
- Prends ton temps, me rétorque Jérôme en me tendant les clefs de son appart. Tu pourras rentrer tout seul, moi je vais faire visiter mon appartement à Corinne. Surtout ma chambre, je crois qu’elle en meure d’envie !
Un nouveau gros baiser de Corinne confirme.
Je redescends donc, mais que faire, remonter aussitôt, ou leur laisser le temps de « faire connaissance » comme me l’a suggéré Jérôme ? Il n’y a personne sur le parking, je m’assois dans la voiture, je sors ma queue toute raide depuis longtemps et commence à me faire un petit plaisir en imaginant ce qui se passe là-haut. Depuis le temps que je bande, ça me fait du bien. Toutefois je m’arrête à temps pour conserver tout mon bon jus que je destine à ma chérie, quand son amant aura pris son pied.

Je finis par remonter. J’ouvre tout doucement la porte. Dans le couloir, une porte est entrouverte, je m’approche doucement. Jérôme est entre les cuisse de Corinne et la baise avec vigueur. Elle a enserré la taille de son amant entre ses jambes et je vois son bassin répondre aux coups de butoirs du mâle. Elle ne vas pas tarder à jouir, j’en suis certain. Je me déshabille prestement, et m’installe dans un fauteuil, queue en main, en attendant mon tour.
Il ne faut que quelques minutes pour que les premiers gémissements confirment mon pressentiment. Jérôme accélère le rythme et soudain je le vois se crisper , je suis sûr qu’il se vide les couilles dans la chatte de Corinne. Encore quelques va et vient puis les deux corps restent enlacés et les bouches se mêlent pour un dernier baiser.
Jérôme se relève enfin. Au bout de sa bite pend une capote bien garnie. Tandis qu’il se dirige vers la salle de bains, je m’allonge sur ma chérie et aussitôt j’enfonce ma queue dans sa chatte trempée :
- Alors ma petite salope tu as tiré un bon coup, elle t’a fait du bien la grosse bite de Jérôme, tu as bien joui ! Et ma queue elle est bonne aussi ?
- Oui mon chéri, c’était très bon . Et toi tu t’es bien branlé mon petit salaud ? ça t’excite hein de me voir baiser. Tu as la queue bien dure, alors maintenant à ton tour de me faire jouir, vas-y défonce-moi, inonde-moi la chatte avec ton jus, plus vite, plus vite …
A ce régime quelques minutes après je vidais à mon tour mes couille avec délectation dans le minou de Corinne, que en profitait pour jouir à nouveau.

De retour Jérôme s’était allongé près de nous. Après quelques minutes, n’y tenant pas, Corinne saisit la bite encore molle, de Jérôme pour lui redonner vigueur, et pour plus d’efficacité, elle se pencha pour le sucer avidement, L’effet fut instantané, alors elle enjamba son partenaire pour un 69 qui dura un bon moment pendant que je me branlais près d’eux. Tout ça se termina par une nouvelle bonne baise de Jérôme, que je remplaçais dans le trou humide de Corinne dès qu’il eut à nouveau joui.

Après tous ces efforts, Corinne et moi nous étions rhabillés, Jérôme, avait juste passé un peignoir, quand nous avons décidés de finir le champagne que j’avais eu soin de mettre au frais. Tous les trois, Corinne entre nous deux, assis sur le canapé, nous étions heureux et détendus :
- Tu as une femme merveilleuse, elle est belle, et elle aime faire l’amour, C’est super de pouvoir s’éclater en couple comme ça. Et puis c’est la reine de la pipe, tu ne trouves pas ?
- Si tu as raison, elle suce très bien, depuis plus de 20 ans que nous sommes mariés, je ne m’en lasse pas.
- Hum, rien que d’en parler ça me fait rebander avoua Jérôme.
Corinne dont le regard brillait à nouveau, voulut vérifier cette affirmation, et passa sa main sous le peignoir. Une petite branlette et la bite de notre ami était de nouveau prête au combat. Tout comme la mienne d’ailleurs,
Corinne écarta le peignoir et à genoux de devant son amant d’un soir se mit à le sucer à nouveau goulûment. Je ne pouvais pas rester inactif, alors j’entrepris de me branler à nouveau.
Il se passa 10 bonnes minutes avant que Jérôme ne se contracte à nouveau, et contrairement à ce qu’elle fait habituellement, ma chérie le suça à fond, jusqu’à aspirer et avaler son foutre, Il est vrai qu’il devait être moins abondant. Pour ma part j’avisais un rouleau de sopalin qui me permit de m’épancher tout seul comme une grand.

Après cette débauche de sens, nous sommes rentrés à l’hôtel, et après une bonne douche, très sage, nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, nos corps apaisés, mais plein de souvenirs à se remémorer plus tard.